Celui qui lit ça en entier a gagné !

Commandant Lefoureur avait un seul défaut : son énorme pénis.

L'affaire Kennedy, c'est sur lui qu'on misait. Une informatrice de première souche devait lui révéler le prénom du tireur mais face à l'éléphant, au lit elle a pris peur. Commandant Lefoureur, commandant l'âme en peine et la bitte en déroute, retourne à son bureau ; histoire irrésolue.

Fallait-il que tout ça retombe sur sa pomme? (ou ailleurs?) Un soir fin de juillet commandant Lefoureur décida de sévir, ouvrit (ou bien ouvra, ça dépend son état) son cabinet nouveau, autonome et princier. Oui, tel un autre, fameux, quelques décades avant, sa calvitie avance. Commandant Lefoureur, Georges pour les intimes (dont vous n'êtes, je vous l'assure, pas!) reprit un cabinet en grande pompe mais dans la discrétion dont à laquelle il savait en faire preuve.

Commandant Lefoureur ouvrit son cabonnet et toute secrétaire soucieuse de son rang remisa un CV, feautaux à la puit, dans un souci de concurrence indénificable!

Mais peu après commandant Lefoureur mis devant l'embarras du choix se mit à se mettre dans la position d'un sélectionneur de football amateur. Et l'on sait leurs déboires (aujourd'hui surtout, salut Laurent (une couleur claire est son Nom)! ). C'est pour cela ici que pour lui les balles blessent (calembour : le bât blesse, aura compris le lecteur aguerri à l'humour…)

D'un coup d'un seul sa majesté le roi des mousses, décidit d'engager toutes ces péronnelles.

Revêtu d'une ribambelle de gonzesses enlacées à lui, l'inoubliable Lefoureur se remit à la fût du moindre des indices sur d'aucunes affaires. Un coup par ci, un coup par la sans passer par la case départ il touchait peu de prime. Affaires sordides ou chats perchés, son quotidien ne désemplissait pas, et il devait payer les georgettes qui suivaient sa longue queue. (la ribambelle désignant son leadership, esprit maltourné que tu es!) (qui plus est, aucune loi n'interdit aux parents d'appeler son fils georges!).

Les temps passant ( tout comme Guy de Mau ) Lefoureur commencit à se faire un nom dont auquel les gens ils arrêtaient de se moquer. Pis p'tit à p'tit l'oiseau faisant son nid, d'affaire d'entre cuissage en affaire au-dessous de la ceinture (40 centimètres à peu de choses près), Georges Lefoureur tombit sur une affaire de mœurs dont à laquelle il avait que peu l'habitude. Il se agissait de trouver le lieu ousque qu'on avait planqué l'argent de le casse du siècle! Ni une, ni deux, ni plus, ni moins qu'il fait le Giorgio, il se lance dans l'affaire!

Méticuleusement, indice après indice, Lefoureur recoupe pièce par pièce le profil de chacun des voleurs. Formé à la vieille école, il est formé à la vieille école! N'en déplaise à ceux à qui ça déplaise. Il potasse, révise, enquête et repotasse : il retrouve la piste du butin! (pas de contrepèterie la dedans!)

- Butin de merle, dit Lefoureur un peu chaste tout en considérant le montant du forfait, je suis tombé sur les brigands!

Après avoir expliqué à trois quart de ses suivantes qu'en disant "je suis tombé sur" il utilisait une métaphore et que ses cervicales ne risquaient nada, Lefoureur et ses suivantes se mirent à la sot du butin susse mentionné (trouvez l'intrus!)

Cependant, en courant trop vite et avec trop de liberté, Georges se prit les pattes dans son appendice. Les bandits courrent encore. Ce qui prouve bien le début de notre histoire :

Commandant Lefoureur avait un seul défaut : son énorme pénis.

C'est pour cela ici que pour lui les balles blessent (calembour : le bât blesse, aura compris le lecteur aguerri à l'humour…)
L'explication me paraît superflue.

Un ton qui me paraît par moments forcé, presque pesant, comme si il fallait à tout prix faire rire et être compris du lecteur. Bien sûr, je comprends qu'il y a pas mal de second voire de troisième degré dans tout ceci mais l'effet est trop présent à mon goût, comme avec ce Guy de Mau. Simple avis perso, bien sûr.

ça va, j'ai bien ri. Ça me rappelle un peu l'esprit des San Antonio, même si c'est parfois trop (le coup des balles qui blessent, c'est pas très spontané.)

Et puis voyant le nom du commandant, je m'attendais à lire les aventures d'un inspecteur queutard, ça aurait été bien marrant.

a bientôt.

Moi j'ai trouvé que c'était assez lourd. Soit c'est trop gras soit ça ne l'est pas assez à mon goût.
J'ai bien aimé cependant quelques jeux de mots et le langage.

Sans rire, j'ai tout lu.
(tiens, une phrase à la Hemingway..)