Poussières...
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Poussières...
Poussières…
Beautés. Couleurs. Parfums. Ciel. Air.
Tendre vie.
Cendres vides.
Quand la mort nous rend à la Terre.
La pensée qui vogue…
Des questions sur l’existence.
Une conscience. Pénitence !
La mélancolie, comme une mode...
Des ruelles peuplées.
Des vies qui sans arrêt se croisent.
Des destins qui s’abordent et se toisent.
Des solitudes que les faux-semblants ont meublées.
Ils sont pareils. Au fond, tous pagaient.
Ils se croient malins. Si fières et superbes.
Avancent à petits pas. Aux aguets.
Comme le chasseur qui marche sur l’ herbe...
Ainsi vont-ils, espérant leur pas sage.
S’impriment obstinément des buts ;
Repoussant la fin, ignorant le début.
Juste une idée comme ca, au passage…
Leurs esprits projettent tant de chantiers,
Puis vient le jour où s’éteint la lumière !
Ah ! Toutes ces ombres, sur ces civières…
Comme autant d’avenirs qui ont déchanté.
Beauté. Couleurs.
Il ne restera plus que le drap blanc.
Des êtres veufs. Pâles et tremblants.
Des vibrations de douleur.
Cendres vides...
Ce n’était pas un lapsus :
Ces tendres vies,
S’éteindront là-dessus…
Un texte par semaine et par section, c'est sur la page d'accueil du site. Ce texte sera déverrouillé la semaine prochaine. Merci de votre compréhension.
La modération
Beautés. Couleurs. Parfums. Ciel. Air.
Tendre vie.
Cendres vides.
Quand la mort nous rend à la Terre.
La pensée qui vogue…
Des questions sur l’existence.
Une conscience. Pénitence !
La mélancolie, comme une mode...
Des ruelles peuplées.
Des vies qui sans arrêt se croisent.
Des destins qui s’abordent et se toisent.
Des solitudes que les faux-semblants ont meublées.
Ils sont pareils. Au fond, tous pagaient.
Ils se croient malins. Si fières et superbes.
Avancent à petits pas. Aux aguets.
Comme le chasseur qui marche sur l’ herbe...
Ainsi vont-ils, espérant leur pas sage.
S’impriment obstinément des buts ;
Repoussant la fin, ignorant le début.
Juste une idée comme ca, au passage…
Leurs esprits projettent tant de chantiers,
Puis vient le jour où s’éteint la lumière !
Ah ! Toutes ces ombres, sur ces civières…
Comme autant d’avenirs qui ont déchanté.
Beauté. Couleurs.
Il ne restera plus que le drap blanc.
Des êtres veufs. Pâles et tremblants.
Des vibrations de douleur.
Cendres vides...
Ce n’était pas un lapsus :
Ces tendres vies,
S’éteindront là-dessus…
Un texte par semaine et par section, c'est sur la page d'accueil du site. Ce texte sera déverrouillé la semaine prochaine. Merci de votre compréhension.
La modération
Re: Poussières...
Schopenhauer en poésie, j'adhère parfaitement à l'idée de ce texte dont la fluidité et le désespoir sont d'une grande qualité
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