moopha : un titre svp

je ne sais pas comment débuter
la fin fait partie d'un début
alors je vous laisse le soin de commenter.


-il s'agit d'un début de roman-

pour les fautes d'orthographe et surtout les temps utilisés (désolé).



Un ciel gris, les nuages dessinaient une continuité harmonieuse, un temps perplexe, rigide qui faisait réfléchir et dont la physiologie humaine fuyait la plupart du temps. Chaque personne s’en plaignait a sa façon ; les sauts d’humeurs, la tension, étaient palpables, l’atmosphère lourde ne rendait service a personnes.
Comme toute règle qui se donnait ce nom, une exception s’imposait, ce temps la faisait au moins un joyeux, il se trouvait un peu esseulé dans son coin préféré, de ce qui était désormais son jardin a lui, normal pour un jeune homme qui appréciait un temps pareil, le jardin ne s’étendait pas sur une large surface, cependant il était sublime, bordée de toutes sortes de conifères, le cyprès formait une haie naturelle, encadrant les trois quarts du jardin, a chaque fois qu’il vit ces cyprès il se rappelait la légende de Cyparisse l’ami d’Apollon qui par chagrin se transforma en cyprès après avoir tué par erreur sa biche d’or, dés lors le cyprès devint l’arbre des funèbres, veillant sur les morts…
L’entrée était plutôt normal, a la limite banal un panneau de bienvenue longé le paysage, perché plus haut que la plupart des arbres ce qui le dérangeait un peu, mais il apprit avec le temps a ne pas prêté attention a ce genre de détails surtout quand il s’agissait de sa journée.
Il marchait sereinement, respirant a fond le parfum des arbres, la fraîcheur du climat, ça lui donnait des ailes songeait-il, cette pensée lui arrachait un bref sourire, sur son visage cynique habitué au climat sérieux du monde du travail. il connaissait bien cet endroit, recherchant une certaine paisibilité il se glissait entre les arbrisseaux empruntant des chemins peu communs des autres visiteurs, pour enfin contempler son lieu de paix, l’endroit connu seulement par de rares personnes, était divin, il occupait rapidement le banc enfouis sous un arbre majestueux qu’il affectionnait particulièrement, tant part la beauté de l’image qu’on pouvait percevoir de ce coin la, que par la sensation de stimulation qu’il éprouvait, une fois installé sur ce vieux siège en bois terne un peu étroit qui racontait bien des histoires, des saisons qui se succédèrent, des années qui passèrent, des gens qui changèrent, planter la il était témoin d’une vie qui passait et qui ne revenait pas.
Il s’installa doucement sur le banc, qui fut envahi par ses affaires ; des feuilles blanches, un porte document, un stylo noir et un petit carnet tous sortaient de sa besace en cuire marquée par le temps, occupants ainsi l’étroit siège en bois ce qui ne le dérangeait guère, il n’y avait personnes dans les parages, et sans doute il ne voulait certainement pas être dérangé, pas ce jour la en tout les cas.
Il saisissait son stylo, la feuille vierge déjà placée sur le porte-documents, les conditions favorables, tout était réunit pour palier à ses besoins, il en était impatient. Son stylo tournait en rond sur sa main droite, un geste automatique, commandait par son pouce, son index et son majeur… il n’arrivait pas à débuter, une petite déception, car d’habitude, il ne bloquait pas avant même d’avoir commencer, il pris une énorme inspiration tout en adoptant une nouvelle position sur le banc, pour mieux se concentrer avant de replonger ses yeux sur sa feuille, mais juste avant de ressaisir son stylo, ses yeux refusèrent de rabattre le regard, une créature, male définie, se tenait juste devant lui partageant son horizon, son intimité, allongeait a quelques mètres, contrairement a lui, sur l’herbe verte, les pieds étendus, d’une blancheur inouïe, un livre entre les mains dont les pages ne tournaient pas, c’était une femme, en relâchent son souffle, il ne la vit pas au paravent ni au moment de son arrivée, ce n’était pas une illusion il était bien éveillé, son bras en était témoin, après l’avoir pincé, sa respiration irrégulière, comment ne pas remarquer une personne qui venait d’arriver, le calme régnait, même les oiseaux se faisaient rares en un temps pareil, le moindre bruit aurait été percevable, en plus cet endroit n’était pas connu de tout le monde, il en conclu qu’il s’agissait d’une personne silencieuse, calme, recherchant une certaine tranquillité, tout a fait comme lui admit il, et si il ne l’avait pas remarqué, sans doute parce qu’il était en pleine méditation, et qu’elle connaissait bien le coin pour s’y rendre sans attirait l’attention, se rassurait il, son regard ne la quittait plus, désormais son esprit dirigeait toute son énergie vers elle, en un premier temps il voulait se désintéresser de cette mystérieuse jeune femme, mais sa curiosité en décida autrement, assise il ne pouvait apprécier sa belle silhouette comme il l’aurait souhaité, ses longs cheveux raides cachaient partiellement son visage d’un teint clair, dotait de joues pleines a croquer, bordant ses lèvres douces d’un rose naturel, laissant place a des grands yeux noirs qu’on remarquait tout de suite, c’était tout simplement la femme la plus charmante qu’il ait vu.
Son regard plongeant dans un bouquin ses mains figées, intrigué par le livre qu’elle tenait froidement sans pour autant le lire, il était déstabilisé sa paix rompu, il ne voulait pas en faire une affaire personnelle mais, les dés étaient jetés, sa curiosité, son instinct de mâle, un mâle journaliste dont la réputation le précédé, avaient pris le dessus.
Sa réflexion dura un temps, un moment plutôt long car une fois revenus parmi les mortels, il était seul, personnes aux alentours, la jeune femme avait disparue, aucun indice pour la retrouver, dans un moment d’inconscience il avait gravé son regard sur son papier, insuffisant il le savait, mais il tenait la preuve de son malaise des yeux pareille ne pouvaient cacher de la tristesse, il était désormais impliqué mais sans aucun pouvoir, ni la moindre idée, il ne savait plus quoi, faire ni comment le faire.
La journée semblait interminable, les regrets, la joie, un sentiment d’insatisfaction, une envie de remonter le temps, une vague déferlante de sentiments aussi différents que l’était le jour et la nuit traversaient le jeune homme simultanément, tel un orage qui s’abattait sur lui sans prévenir.
Le ciel grognait il ne se rappelait pas depuis quand il faisait aussi sombre, des petites gouttelettes d’eau commencèrent alors a couler ce qu’il le réveillait de son passage au pays des songes, cette fois il le savait il en était conscient, il se connaissait très bien, rien n’allait redevenir comme avant, c’était ce qu’on appelait la rencontre qui modifie le courant de la vie.
Ses papiers encore vierges il en avait utilisé qu’un seul et ce n’était même pas pour exercer son sport favori « l’écrits » mais, pour dessiner des yeux qu’il voyait pour la première fois, des yeux qu’il n’était pas prêt d’oublier. Il tenait en main juste la feuille dans la quelle il a gravé cet étrange regard qui coulait a présent dans ses veines il était immobile, et dans un mouvement peineux il s’était relevé protégeant le bout de papier dans le quel il entretenait désormais son esprit, sans doute le plus significative qu’il eu dessiné, pensait-il. Il le tenait fermement, ne voulait pas que ce regard s’imprègne d’une seule goutte d’eau car il y voyait un mauvais présage, un signe de tristesse de plus qu’il ne pourrait certainement pas gérer dans ces conditions, souciant aussi, peut être, il ne voulait pas imaginer les circonstances dans les quelles ces yeux pouvaient verser des larmes ou encore l’impact qu’un tel désastre aurait sur lui. Le temps d’une seconde il s’était rendu compte qu’il venait d’appeler ça un désastre, pourquoi était-il aussi impliqué dans une histoire qui n’avait même pas eu lieu et dont il n’avait aucun mérite, il a juste était victime d’un sortilège d’une magie qui s’était opérée lors d’un bref regard qui le rendait une proie a l’illusion, a la passion, des idées folles le tenaillait des remords dont il ne comprenait pas la raison l’aspirait vers le fond.

désolé pour les fautes.

La catalogueuse se débrouillera avec un titre provisoire, en attendant....
Pour ce qui est de l'ortho, ça serait la moindre des choses de se faire relire avant de poster, merci !

Impossible à lire jusqu'au bout.
Ce brouillon mérite un vrai travail d'écriture avant une nouvelle présentation.
Tout comme toi : désolé.

Lecture difficile, parce que les phrases sont trop longues, elles veulent trop faire poète et il y’a trop de descriptions. De l’action! De l’action! Un événement déclencheur!
Ton paragraphe aurait pu se résumer en deux lignes.
Le début doit obligatoirement accrocher le lecteur dans cette société de vitesse et de zapping, si dès les premières lignes tu ne peux retenir le lecteur ou le mordre à la gorge c’est foutu!
J’ai aimé ton soucis de créer une ambiance, c’est bon en milieu de route, pour gonfler les pages du romans, mais pour le début d’un roman ça ne le fait pas.
Il m’a semblé que t’a voulu faire beau, faire poésie, faire subjectif; tu devrais faire simple et précis, écrire le plus simplement possible ton histoire avec tes mots tout en te mettant à la place du lecteur lambda.
Bonne courage à toi te décourage pas surtout.

merci dryano et aux autres je prendrai en considération les conseils.