Duperie

Amoureux depuis sa retraite des ouvrages littéraires : poèmes, nouvelles, romans classiques, romantiques ou réalistes, Bertrand passait ses nuits à avaler le plaisir que ses amis ; personnages d’œuvres ; lui procuraient.
Sur son bureau, il se laissait rêver et éveillait en lui cet esprit enfantin, ingénu et naif, pour palper les profondeurs d’une histoire.
Une de ses nuits ne fut cependant pas semblable. A 2h du matin, il avait entre les mains Anna Karénine de Tolstoi, il entendit soudain des coups de pieds sur sa porte
Il se leva et se dirigea vers sa chambre, prit son fusil et l’arma.
Il alla vers la porte marchant sur la pointe des pieds .
Il ouvrit et se mit en garde. Mais il lâcha le fusil dés qu’il vit une femme en robe par terre, du sang lui coulant sur le visage ainsi que sur ses jambes.
‘’Seigneur Dieu !’’ fit-il.
La femme essayait de dire quelque chose, mais elle s’abstint.
Bertrand la fit soulever et l’emmena à sa chambre. Il la fit allonger et appela la police.
Quelques minutes plus tard, le commissaire Jean lui serrait la main tout en posant les questions :
- Qu’y a-t-il de si grave ? demanda le commissaire sans lâcher prise.
- Vous devez voir ça, venez, suivez moi. Répondit Bertrand vivement.
Le commissaire vit des taches de sang sur le parquet, ainsi que le fusil posé. Il jeta un coup d’œil vers Bertrand en fronçant les sourcils :
- Un accident monsieur ? fit-il.
- Aucune idée, elle est venue vers 2h du matin frapper à ma porte. Les coups étaient bien fort, j’ai armé alors mon fusil au cas ou.
Mais voila ce que je vis , montrant la femme allongée sur le lit du doigt.
- Vous l’avez lavé ? Demanda le commissaire étonné.
Bertrand répondit par l’affirmative en hochant la tête.
- Que savez-vous a propos d’elle ? la connaissez-vous ? demanda Jean .
Bertrand répondit qu’il ne l’avait jamais vu, qu’il ne voulait pas la laisser mourante au seuil de sa porte. Alors il l’a fit entrer, allonger et laver attendant que la police arrive.
- Vous lui avez posé quelques questions ? redemanda le commissaire pensif.
- Elle est inconsciente depuis tout a l’heure.
- Ecoutez monsieur, attendez alors qu’elle se réveille, elle risque de rester ainsi jusqu'à demain. Mais appelez nous des que vous verrez qu’elle est consciente.
- D’accord. Répondit Bertrand en serrant la main.


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en se levant, le vieux Bertrand écarta ses membres. Dormir sur un fauteuil ne lui était pas favorable. Il marcha lentement vers la cuisine, prit un verre de lait et le mit au micro-ondes. Il prépara pendant le réchauffage des tartines, quand il entendit la porte de sa chambre s’ouvrir.
‘’Bon sang, je l’ai toute oubliée cella là’’ fit-il.
Cependant, il resta debout sans bouger, attendant qu’elle apparaisse.
Elle avait un teint blond, cheveux mi-longs noirs et des yeux clairs humides. Le vieux la trouva jolie.
- Mais approchez-vous, n’ayez pas peur ! lui dit-il.
- Ou suis-je ? lui demanda-t-elle en contournant des yeux la pièce .
- Vous êtes chez moi. Venez prendre quelque chose, vous êtes sûrement affamée. Proposa-t-il.
Elle s’approcha lentement d’une chaise et s’assit.
’’Je vais vous préparer du thé . ’’lui dit-il.
Il prit son verre de lait, le posa sur la table et ouvrit le frigidaire .
- Vous préférez une tarte aux citrons ou des croissants ? demanda le vieux amicalement
La femme ne répondait cependant pas, elle regardait toujours la maison essayant de comprendre et remémorer la scène d’hier.
Mais elle n’a pu le faire
- Je fais quoi ici ? demanda-t-elle a nouveau
- Vous souvenez vous de ce qui vous êtes arrivé ? fit le vieux Bertrand on tenant la main de la femme.
- Non. Je ne me souviens pas du tout.
Le vieux se rappela qu’il a un devoir a accomplir et qu’il devait passer un coup de fil à la police.
Il annonça ça à la femme et alla au salon.
- Allo, commissaire ? C’est Bertrand Germet, je voulais vous prévenir qu’elle s’est réveillée et qu’elle est consciente .
- Vous lui avez parlé ? demanda Jean.
- Elle ne se souvient de rien, elle reste la bouche baie a regarder la maison, je crois qu’elle se souvient pas de ce qu’il lui arrivé. Rétorqua Bertrand
- D’accord monsieur, on arrive . Riposta le commissaire .
Le vieux raccrocha et s’assit un moment pensif.
Il se leva et alla rapidement vers la cuisine.
Il ne trouva pas la femme assise . Etonné, il se dirigea vers sa chambre, mais il ne la trouva pas non plus.
‘’ Elle s’est envolé ou quoi ?&;#146;’ se dit-il.
Soudain, il entendit des pas rapides . Il n’a pas eu cependant le temps de tourner qu’il reçut un coup de marteau sur la tête et perdit connaissance.
La femme alla rapidement vers la chambre, et chercha dans les tiroirs des tables de nuits quoi trouver de précieux.
Elle trouva en effet quelques billets, les prit et sorti en laissant la porte ouverte.

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Bertrand vit un couteau taché de sang. Il le prit , marcha et vit un cadavre sur son lit.
Soudain, il se réveilla.
‘’Quel cauchemar ! ‘’. Pensa-t-il, mais il devint soudain étonné de voir une infirmière entrain de lui préparer son médicament.
- Ou suis-je ? demanda-t-il.
- Attendez, je vais appeler le commissaire Jean Brigaud.
Bertrand soupira, se rappelant ce qu’il lui était arrivé.
- Bonjour monsieur, fit le commissaire en entrant, soyez heureux que vous avez reçu un coup de marteau que quelques années de prison.
- Hein, pourquoi ? demanda Le vieux tout stupéfait.
- La fille que vous avez hébergé s’appelle Cindy Rouet. Elle était recherchée pour crime. Son dossier n’est cependant pas vierge, elle est malade mentalement. Elle vous a assommé, prit votre argent et votre fusil et elle s’en est servi.
- Contre qui ? posa à nouveau Bertrand. Il n’arrivait pas à croire ce qu’il lui arrivait cependant.
- Elle a abattue son mari. Il est la cause de ces blessures que vous avez soigné hier. Il ne voulait cependant pas signalé la disparition de sa femme vu qu’il avait a se reprocher son agressivité. Elle avait changé de papiers. Je vous le dis a nouveau, soyez heureux qu’on a pu l’identifier !
- D’accord, je vous remercie commissaire, puis-je rentrer chez moi maintenant ?
- Mais bien sur monsieur . fit Jean avec un sourire forcé.
Quelques minutes plus tard, Bertrand montait les escaliers qui menaient a son appartement. Il se dirigea directement vers la salle de bain, prit une douche.
Il vit les taches de sang sur le parquet, et se rend compte que son fusil est toujours au commissariat.
‘’ J’ai tout le temps pour le récupérer. C’est une sieste qu’il me faut maintenant.’’


concernant les fautes, désolé, je corrigerais

Pour ce genre de phrase :
Elle est inconsciente depuis tout a l’heure.
- Écoutez monsieur, attendez alors qu’elle se réveille, elle risque de rester ainsi jusqu'à demain. Mais appelez nous des que vous verrez qu’elle est consciente. il me semble, sans le certifier, qu'un retraité du genre à Bertrand aurait eut pour premier réflexe de téléphoner aux pompiers. Ce commissaire Jean arrive comme un cheveu sur la soupe. Une incohérence qui vient écrouler le château de carte que tu tentais de construire.

Pour ce genre de phrase :
Il prépara pendant le réchauffage des tartines, quand il entendit la porte de sa chambre s’ouvrir. Il te reste beaucoup à écrire pour rendre réaliste cette scène. Le lecteur que je suis se sent à l'aise dans un décor bien planté, même si parfois l'auteur l'entraîne parfois dans des histoires abracadabrantes.
Pour résumer, je t'encourage à reprendre ton récit sans copier la version initiale. Celle-ci te servira à comparer la seconde mouture. Ce qui par la suite t'encouragera à écrire les nombreuses suivantes.

Oui, peut être. ça dépend de la personnalité du personnage!
Pour la 2ème remarque, je ne vois pas vraiment quoi rajouter. Il préparait quoi manger quand la porte s'ouvrit et la femme se dirigea vers la cuisine ......
Merci pour le commentaire, et j'espère que vous répondrez.
Encore merci !

Est ce que vous voulez dire que je dois rajouter des détails, qui feront vivre la scène?

J'adore cette réplique : "‘’ Elle s’est envolé ou quoi ?&;#146;’ se dit-il." :-)))

Sinon quoi dire sans me montrer un tantinet désagréable ? Un texte maladroit dans l'expression, fautif au niveau du vocabulaire, de la syntaxe , de l'utilisation des temps, de la ponctuation, des guillemets , des accents, des majuscules et minuscules et sur le plan orthographique en général.
Exemples :

-soyez heureux que vous avez reçu un coup de marteau que quelques années de prison ( phrase incorrecte)

-Bertrand passait ses nuits à avaler le plaisir que ses amis ; personnages d’œuvres ; lui procuraient (utilisation étrange du point virgule)

-Mais voila ce que je vis , montrant la femme allongée sur le lit du doigt (il manque quelque chose entre le bout de dialogue et l'action décrite, genre "lui dis-je" outre l'utilisation inappropriée du passé simple alors qu'un passé composé eut été plus logique , plus juste )

-Il prépara pendant le réchauffage des tartines, quand il entendit la porte de sa chambre s’ouvrir. (phrase incorrecte)

-Ou suis-je ? lui demanda-t-elle en contournant des yeux la pièce ( utilisation déplacée du mot contourner et problème d'accent sur le où))

-Alors il l’a fit entrer, allonger et laver attendant que la police arrive ( allonger et laver quoi ? :-) )

-Il ne trouva pas la femme assise. Etonné, il se dirigea vers sa chambre, mais il ne la trouva pas non plus.
‘’ Elle s’est envolé ou quoi ?&;#146;’ se dit-il.
Soudain, il entendit des pas rapides . Il n’a pas eu cependant le temps de tourner qu’il reçut un coup de marteau sur la tête et perdit connaissance.
La femme alla rapidement vers la chambre, et chercha dans les tiroirs des tables de nuits quoi trouver de précieux.
Elle trouva en effet quelques billets, les prit et sorti en laissant la porte ouverte. (quatre fois le verbe trouver en si peu de lignes ...tu pourrais trouver d'autres verbes et puis tu pourrais les conjuguer sans fautes et en respectant les accords de temps)

-D’accord monsieur, on arrive . Riposta le commissaire . (mauvaise utilisation du terme riposter)


-Il vit les taches de sang sur le parquet, et se rend compte que son fusil est toujours au commissariat ( on passe du passé simple au présent )

Etc...Y'a du boulot ! En l'état, ce texte ne raconte rien de crédible , et le déroulement des actions , racontées d'une façon totalement mécanique, n'a rien qui puisse retenir l'intérêt du lecteur. En plus de corriger il va falloir à la fois élaguer et étoffer !
Au travail !

D'accord d'accord, je recommencerais le travail !

et je vous remercie de prendre au sérieux mon travail ( même si ça ne l'est pas :d ).
Entre nous Rebecca, C'est ce que je voulais, que quelqu'un soit désagréable pour voir chacune de mes fautes.
Merci a nouveau

Il y a de l'idée mais les moyens pour la mettre en oeuvre sont à revoir en effet, à développer, à travailler. On a fait remarquer les fautes de style, de syntaxe, d'orthographe, etc., je ne reviendrai pas là-dessus. Le récit n'est qu'un canevas, une esquisse, une caricature même si je pense aux personnages. Pour faire imagé, je dirais qu' il va te falloir mettre quelque chose dans le sandwich pour le rendre goûteux, parce que, en l'état, il me fait l'effet d'une tranche de pain rassis bien seulette et peu savoureuse. Bon courage !

Bonsoir Guy-fawkes,

Avant d'écrire il va te falloir lire beaucoup, énormément ...
On dirait quelqu'un qui écrit dans une langue étrangère mal maîtrisée ...
En ce qui concerne l'action elle-même : je ne crois pas qu'un commissaire de police laisserait jusqu'au lendemain matin chez quelqu'un qui vient de l'appeler une femme blessée, couverte de sang ...

Amicalement,
midnightrambler