Les hauts murs
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Les hauts murs
Voici le vieux mur gris tout de pierres moussu
Son lierre enchevêtré mordant la valériane.
Le chat, les yeux mi-clos, rêve, vieillard pansu
Minaudant sur sa chair que le soleil boucane.
Derrière ce haut mur bruissant de pas coulis
On devise gaiement lovant la méridienne
A coups de petits fours aux secrets cramoisis
D’un passé révolu qui craint qu’on se souvienne.
Et l’orgeat désaltère engorgé de miellat
Qui se mêle aux « on dit » battant le voisinage.
Ah ! tenir jusqu’au soir ! tomber le chinchilla,
Autour d’un marsala ruiner le maquillage.
Et puis voici l’ancien tremblant sur le pommeau.
Il garde au fond des yeux l’exquise politesse
Qui abolit le mal, allège son fardeau
Mais à la bouche pend le pli de la tristesse.
Les jours se font langueur quand les roses se fanent
Sous le ciel éraillé de vertus qu’on suspend
Dans le grand escalier qui mène aux lits profanes.
Sur l’ennui marouflé, le vieux mur gris se fend.
Son lierre enchevêtré mordant la valériane.
Le chat, les yeux mi-clos, rêve, vieillard pansu
Minaudant sur sa chair que le soleil boucane.
Derrière ce haut mur bruissant de pas coulis
On devise gaiement lovant la méridienne
A coups de petits fours aux secrets cramoisis
D’un passé révolu qui craint qu’on se souvienne.
Et l’orgeat désaltère engorgé de miellat
Qui se mêle aux « on dit » battant le voisinage.
Ah ! tenir jusqu’au soir ! tomber le chinchilla,
Autour d’un marsala ruiner le maquillage.
Et puis voici l’ancien tremblant sur le pommeau.
Il garde au fond des yeux l’exquise politesse
Qui abolit le mal, allège son fardeau
Mais à la bouche pend le pli de la tristesse.
Les jours se font langueur quand les roses se fanent
Sous le ciel éraillé de vertus qu’on suspend
Dans le grand escalier qui mène aux lits profanes.
Sur l’ennui marouflé, le vieux mur gris se fend.
Soliflore- Nombre de messages : 380
Age : 71
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Les hauts murs
Bien réussi dans le style rimbaldien :
j'entends
" Ah que ma quille éclate"
dans ton :
"Ah ! tenir jusqu’au soir !"
Ça fonctionne à mon avis.
Mais je suis plus mécanicien que poète et mon jugement ne vaut pas grand chose.
j'entends
" Ah que ma quille éclate"
dans ton :
"Ah ! tenir jusqu’au soir !"
Ça fonctionne à mon avis.
Mais je suis plus mécanicien que poète et mon jugement ne vaut pas grand chose.
Invité- Invité
Re: Les hauts murs
Poème vibrant de réalisme sur le pommeau de la vie.
Bien aimé
Bien aimé
Maryse- Nombre de messages : 811
Age : 80
Localisation : Montélimar
Date d'inscription : 22/09/2010
Re: Les hauts murs
"Sous le ciel éraillé de vertus qu’on suspend"
"Sur l’ennui marouflé, le vieux mur gris se fend."
Quel poème... Vraiment quel poème. Rien à dire. C'est baston.
"Sur l’ennui marouflé, le vieux mur gris se fend."
Quel poème... Vraiment quel poème. Rien à dire. C'est baston.
Re: Les hauts murs
Une ambiance bien rendue. Ce jardin derrière ses hauts murs évoque un monde suranné, un peu sucré:
Une aquarelle en demi-teinte où j'aurais peut-être aimé deviner plus de gris que celui du vieux mur s'effaçant sous les roses qui se fanent.
... avec une touche de dérision:Et l’orgeat désaltère engorgé de miellat
A coups de petits fours aux secrets cramoisis
Ah ! tenir jusqu’au soir ! tomber le chinchilla,
Autour d’un marsala ruiner le maquillage
Une aquarelle en demi-teinte où j'aurais peut-être aimé deviner plus de gris que celui du vieux mur s'effaçant sous les roses qui se fanent.
Re: Les hauts murs
"Mais à la bouche pend le pli de la tristesse"
pour ne citer que celui-là...
Un instantané qui m'a émue.
pour ne citer que celui-là...
Un instantané qui m'a émue.
Clarisse- Nombre de messages : 227
Age : 72
Date d'inscription : 10/03/2011
Re: Les hauts murs
Merci bien. Plus de gris ou plus de sépia?
Soliflore- Nombre de messages : 380
Age : 71
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Les hauts murs
Pour ma part je le vois tout à fait sépia, et très, très, très réussi.
Quel plaisir ! Le fond et la forme en osmose parfaite. Encore !...
Quel plaisir ! Le fond et la forme en osmose parfaite. Encore !...
Invité- Invité
Re: Les hauts murs
Relisant ce poème je me dis que ses teintes sont absolument parfaites et qu'il n'y a aucune raison de rajouter du gris à cet univers clos à l'abri du haut mur. Sans doute l'avais-je parcouru un peu vite, hier.
Ce monde-là n'est pas installé dans des pastels immuables, il est suspendu, fragile comme le sourire de l'ancien dont le pli de tristesse se retrouve dans les fentes du vieux mur cachées sous le lierre. Cette fragilité, cette vulnérabilité valent tous les gris du monde ! Désilée de ne pas l'avoir senti à ma première lecture.
Ce monde-là n'est pas installé dans des pastels immuables, il est suspendu, fragile comme le sourire de l'ancien dont le pli de tristesse se retrouve dans les fentes du vieux mur cachées sous le lierre. Cette fragilité, cette vulnérabilité valent tous les gris du monde ! Désilée de ne pas l'avoir senti à ma première lecture.
Re: Les hauts murs
Décidément presque pas de journée sans la découverte d'un nouveau poète . Je suis très touché par le ton mélancolique et presque désespéré qui se dégage de ces vers . Même les traits d'humour relèvent de l'humour noir et le décor , les accessoires (le chinchilla, le chat), les boissons (l'orgeat, le marsala )nous engluent dans "un passé craignant qu'on se souvienne" , Et moi qui suis comme "l'ancien tremblant sur le pommeau", moi qui ai bu du Marsala et boit encore de l'orgeat, je sens l'odeur "triste" qui se dégage de ce salon. Merci pour ce beau poème.
François T- Nombre de messages : 147
Age : 96
Date d'inscription : 13/02/2011
Re: Les hauts murs
Je ne viens plus beaucoup commenter en poésie, et pourtant certains textes me forcent à sortir de ma réserve, comme celui-ci. Je lis ce poème comme un tableau, une peinture d'un autre temps où la nostalgie ne fait que passer. Et toujours chez toi, ce choix de mots peu usités, oubliés sinon disparus. Bravo, Soliflore, bravo.
Invité- Invité
Re: Les hauts murs
Le lézard aime s’attarder sur ses hauts murs...
Dès le début nous voici projeté dans les trois mondes : minéral, végétal, animal. Le tout tressé en connivence. Le lierre, plante de Dionysos, a déjà commencé sont œuvre lente de destruction sur ce vieux mur. La valériane communément appelé herbe au chat, annonce le félidé minaudant mine de rien.
Les strophes suivantes s’adressent à nos sens : l’ouïe, le goût, la vue.
L’auteur reste discrète, en second plan dans cette scène, on devine une femme par le lexique employé. Témoin privilégié, elle n’est pas le personnage principal car celui-ci est bien le vieil homme. Il incarne la vieillesse, la mort, le temps qui passe. Il trouble la douce quiétude qui régnait jusqu’alors. Les roses se fanent, le ciel paraît bien vide et sans morale. Seul l’escalier qui mène au lit semble tenir promesse d’ascension. Mais déjà dans l’ellipse ce lézarde ce vieux mur gris.
La poésie reste bien le premier des arts : celui de la création.
Je ne m’attarde pas sur la technique mais je goûte la richesse de votre verbe, votre capacité à adjectiver et votre talent dans la composition. Merci Soliflore.
Dès le début nous voici projeté dans les trois mondes : minéral, végétal, animal. Le tout tressé en connivence. Le lierre, plante de Dionysos, a déjà commencé sont œuvre lente de destruction sur ce vieux mur. La valériane communément appelé herbe au chat, annonce le félidé minaudant mine de rien.
Les strophes suivantes s’adressent à nos sens : l’ouïe, le goût, la vue.
L’auteur reste discrète, en second plan dans cette scène, on devine une femme par le lexique employé. Témoin privilégié, elle n’est pas le personnage principal car celui-ci est bien le vieil homme. Il incarne la vieillesse, la mort, le temps qui passe. Il trouble la douce quiétude qui régnait jusqu’alors. Les roses se fanent, le ciel paraît bien vide et sans morale. Seul l’escalier qui mène au lit semble tenir promesse d’ascension. Mais déjà dans l’ellipse ce lézarde ce vieux mur gris.
La poésie reste bien le premier des arts : celui de la création.
Je ne m’attarde pas sur la technique mais je goûte la richesse de votre verbe, votre capacité à adjectiver et votre talent dans la composition. Merci Soliflore.
Jean Lê- Nombre de messages : 591
Age : 65
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 22/11/2010
Re: Les hauts murs
Au premier abord ce poème a effectivement beaucoup d'envergure, tant au niveau de la construction audacieuse des alexandrins qu'au niveau du message délicieusement mélancolique.
On se dit :"Fichtre, quelle maitrise !"
Puis le regard se fait tatillon et décortique ce bel édifice. Laissons de côté l'aspect technique, césure à l'hémistiche, contre-rejet, élision et tout le tintouin pour nous attacher au sens, rien qu'au sens. Voilà qu'apparaissent les premières failles :
- Le chat est comparé à un"vieillard pansu minaudant".
Image pour le moins insolite quand on connait la définition de minauder : faire des manières pour se faire remarquer. A la rigueur, admettons que ce vieux matou ventru recherche des caresses dans son sommeil. Le mien faut pas l'embêter quand il pionce.
- "ce haut mur bruissant de pas coulis".
Ce ne peut être des pas alimentaires, donc si je reprends mon dictionnaire à la définition de coulis (locution) ce sont des pas "qui se glissent par les fentes". Soit, ces retraités sont diablement agiles !
-"On devise gaiement lovant la méridienne
A coups de petits fours aux secrets cramoisis
D’un passé révolu qui craint qu’on se souvienne"
Chapeau pour ces trois vers véritablement bien construits. On comprend que cette assemblée de vénérables ancêtres cache des secrets pendables qui feraient rougir un saint.
-"Il garde au fond des yeux l’exquise politesse
Qui abolit le mal, allège son fardeau"
Diantre, depuis quand la politesse peut-elle alléger quelconque fardeau ? Il faudra que vous m'expliquiez. J'avoue être fortement sceptique et plutôt déçu par ces deux vers passables.
-"Sous le ciel éraillé de vertus qu’on suspend
Dans le grand escalier qui mène aux lits profanes."
Là, franchement, j'ai l'impression que vous cherchez à aligner de jolis mots, grandiloquents, pour faire du poétique car le fond de ceci reste totalement obscur. Je reprends mon impitoyable dictionnaire Hachette 2011 et je vous traduis :
"Sous le ciel qui rend la voix rauque de devoirs moraux qu'on suspend
Dans le grand escalier qui mène aux lits sans caractères religieux."
Argh, j'ai mal à la tête !!
Allez, stop. Ne voyez rien de méchant Soliflore, juste de la malice. Je voulais me mêler au concert de louanges, à ma manière, sachant pertinemment que la poésie ne s'analyse pas, surtout pas.
On se dit :"Fichtre, quelle maitrise !"
Puis le regard se fait tatillon et décortique ce bel édifice. Laissons de côté l'aspect technique, césure à l'hémistiche, contre-rejet, élision et tout le tintouin pour nous attacher au sens, rien qu'au sens. Voilà qu'apparaissent les premières failles :
- Le chat est comparé à un"vieillard pansu minaudant".
Image pour le moins insolite quand on connait la définition de minauder : faire des manières pour se faire remarquer. A la rigueur, admettons que ce vieux matou ventru recherche des caresses dans son sommeil. Le mien faut pas l'embêter quand il pionce.
- "ce haut mur bruissant de pas coulis".
Ce ne peut être des pas alimentaires, donc si je reprends mon dictionnaire à la définition de coulis (locution) ce sont des pas "qui se glissent par les fentes". Soit, ces retraités sont diablement agiles !
-"On devise gaiement lovant la méridienne
A coups de petits fours aux secrets cramoisis
D’un passé révolu qui craint qu’on se souvienne"
Chapeau pour ces trois vers véritablement bien construits. On comprend que cette assemblée de vénérables ancêtres cache des secrets pendables qui feraient rougir un saint.
-"Il garde au fond des yeux l’exquise politesse
Qui abolit le mal, allège son fardeau"
Diantre, depuis quand la politesse peut-elle alléger quelconque fardeau ? Il faudra que vous m'expliquiez. J'avoue être fortement sceptique et plutôt déçu par ces deux vers passables.
-"Sous le ciel éraillé de vertus qu’on suspend
Dans le grand escalier qui mène aux lits profanes."
Là, franchement, j'ai l'impression que vous cherchez à aligner de jolis mots, grandiloquents, pour faire du poétique car le fond de ceci reste totalement obscur. Je reprends mon impitoyable dictionnaire Hachette 2011 et je vous traduis :
"Sous le ciel qui rend la voix rauque de devoirs moraux qu'on suspend
Dans le grand escalier qui mène aux lits sans caractères religieux."
Argh, j'ai mal à la tête !!
Allez, stop. Ne voyez rien de méchant Soliflore, juste de la malice. Je voulais me mêler au concert de louanges, à ma manière, sachant pertinemment que la poésie ne s'analyse pas, surtout pas.
Jano- Nombre de messages : 1000
Age : 54
Date d'inscription : 06/01/2009
Re: Les hauts murs
Une belle description d'un vieux cliché...
Si la technique est bonne, je me demande où est l'âme...
Selon moi, c'est froid. La poésie est-ce cela ?
Si la technique est bonne, je me demande où est l'âme...
Selon moi, c'est froid. La poésie est-ce cela ?
Invité- Invité
Re: Les hauts murs
Malgré des qualités déjà remarquées sur le thème de la lenteur de l'ennui, je me suis un peu justement ennuyé à lire ce texte. Et à la fin "l'ennui marouflé" me ferme bien des portes.
Re: Les hauts murs
Un très beau texte, bien joliment tourné.
Isis30
Isis30
isis30- Nombre de messages : 21
Age : 73
Localisation : Entre montagne et mer
Date d'inscription : 25/06/2011
Re: Les hauts murs
"L"exquise politesse qui abolit le mal": Qui dit politesse sou-entend bonne éducation, celle qui, à force de travail sur soi laisse comme une patine, un vernis, si vous préférez rendant apte à quelque indulgence envers ses propres erreurs. J'espère me faire mieux comprendre.Jano a écrit:-"Il garde au fond des yeux l’exquise politesse
Qui abolit le mal, allège son fardeau"
Diantre, depuis quand la politesse peut-elle alléger quelconque fardeau ? Il faudra que vous m'expliquiez. J'avoue être fortement sceptique et plutôt déçu par ces deux vers passables.
-"Sous le ciel éraillé de vertus qu’on suspend
Dans le grand escalier qui mène aux lits profanes."
Là, franchement, j'ai l'impression que vous cherchez à aligner de jolis mots, grandiloquents, pour faire du poétique car le fond de ceci reste totalement obscur. Je reprends mon impitoyable dictionnaire Hachette 2011 et je vous traduis :
Allez, stop. Ne voyez rien de méchant Soliflore, juste de la malice. Je voulais me mêler au concert de louanges, à ma manière, sachant pertinemment que la poésie ne s'analyse pas, surtout pas.
Quand à la citation sur les "vertus accrochées dans l'escalier", elles ne sont rien moins que les portraits des ancêtres (vertueux, et c'est une moquerie de ma part) qui ornent tout grand escalier.
J'espère m'être fait mieux comprendre. Merci pour cette riche analyse car je suis d'avis qu'un poème s'analyse autrement qu'au simple regard d'une prosodie.
Soliflore- Nombre de messages : 380
Age : 71
Date d'inscription : 17/02/2009
Re: Les hauts murs
à l'exercice poétique
du tableau d'alexandrins
votre musique est belle
et la couleur aussi
par contre
concernant le fond de l'histoire
tout d'abord le titre, LES hauts murs...
tout le poème ne parle que de vieux qui n'ont plus vraiment le port altier...?
et de ce vieillard moussu patiné par le temps
la formulation me sonne un peu dommage en poncif
surtout quand vous arrivez au vieux tremble vénérable
...>
Et puis voici l’ancien tremblant sur le pommeau.
Il garde au fond des yeux l’exquise politesse
Qui abolit le mal, allège son fardeau
Mais à la bouche pend le pli de la tristesse.
amicalement
du tableau d'alexandrins
votre musique est belle
et la couleur aussi
par contre
concernant le fond de l'histoire
tout d'abord le titre, LES hauts murs...
tout le poème ne parle que de vieux qui n'ont plus vraiment le port altier...?
et de ce vieillard moussu patiné par le temps
la formulation me sonne un peu dommage en poncif
surtout quand vous arrivez au vieux tremble vénérable
...>
Et puis voici l’ancien tremblant sur le pommeau.
Il garde au fond des yeux l’exquise politesse
Qui abolit le mal, allège son fardeau
Mais à la bouche pend le pli de la tristesse.
amicalement
Re: Les hauts murs
Chaque fois que je lis ton texte, j'entends la voix de Brel. Il l'aurait si bien chanté!
Polixène- Nombre de messages : 3287
Age : 61
Localisation : Dans un pli du temps . (sohaz@mailo.com)
Date d'inscription : 23/02/2010
Re: Les hauts murs
Voilà une méchanceté qui mérite réponse:dusha a écrit:Une belle description d'un vieux cliché...
Si la technique est bonne, je me demande où est l'âme...
Selon moi, c'est froid. La poésie est-ce cela ?
L'âme? Non, elle ne se situe pas au niveau du nombril.
Je parle des gens dans leur simple humanité. C'est autrement plus intéressant et plus enrichissant que de passer pas mon temps à me gratter pour savoir si le matin je vais trouver des souches moussues au pied de mon lit ou bien des barbelés devant ma porte . je n'ai pas ce genre de pathologie que je ne confonds pas avec de la poésie.
Et pour finir, ce n'est pas parce que vous ne savez pas écrire de manière métrée que ce genre poétique ne vaut rien.
La froideur est dans vos yeux et en cela, je n'y puis rien.
< Souhaitez-vous uniquement des avis positifs sur vos textes ? Dans ce cas, ce n'est pas sur VOS ECRITS que cela se passera.
Quant à intervenir pour répondre quand vous le désirez, c'est ICI.
Merci de votre compréhension.
La Modération >
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Soliflore- Nombre de messages : 380
Age : 71
Date d'inscription : 17/02/2009
Page 1 sur 1
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