Rencontre à (Bernay) Paris
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Rencontre à (Bernay) Paris
Certains croient aux dieux, aux sciences ou à la politique, moi, je crois en la poésie, en l’art en la musique. Quand mon œil ouvert savoure de jolis vers, bien sur j’ai bien envie d’en connaître l’auteur, mais de bafouiller au bout du fil : j’ai peur. Je préfère tchatter pour cacher ma timidité.
- Mademoiselle X, j’ai une idée fixe, j’aimerais vous dire que j’adore vos vers, voudriez-vous en discuter autour d’un verre.
- Mon cher bigsisterski, bien sur c’est accordé car vos vers sont exquis. J’en serai honorée.
Rendez-vous est donc pris dans l’ancien cœur de Paris où jadis fut un trou profond : un abîme, comme dans le mien où l’artillerie féminine a laissé un paysage désolé style 14/18, depuis j’ai rajouté des barbelés bien vite.
J’arrive en retard de dix petites minutes, je sais me faire désirer, mais flûte ! vingt minutes encore je poireaute, décidément Miss X est très forte.
La voilà qui arrive, je vois ses yeux qui brillent sous la pluie. Elle a une belle allure de grand largue, puis remonte au près serré.
Je l’accoste et sous la bise je sens les gouttes, étranges elles sont d’eaux chaudes. Elle est chaussée de ces fameuses bottes en peau de formica retournée. Un pantalon serré sur des gambettes à la Misstinguett (à sa belle époque). Une veste cintrée aux pans arrondis avec motif de guipures noires sur fond gris, très jolie. En comparaison je me sens vrai mousse haillon.
Nous glissons dans une artère de ce cœur de Paris qui pulse au rythme trash-punk des soldes. C’est pitié de voir le volume de sacs que ces malheureuses parisiennes peuvent supporter.
Nous rentrons dans un chinois qui se relève pour nous servir un Phô et des champignons noirs. Elle se dévêt de sa veste à dessins ravissants, j’avise que Miss X aussi…
Nous voici attablé entre poètes surdoués. Il s’en suit un échange littéraire sur la poétique, trop spirituel pour être relaté ici et que j’épargnerai au lecteur néophyte. Je plonge alternativement dans ses yeux d’émeraude et dans ma soupe de nouilles. J’ai bien du mal à décrocher de son regard comme ces infinies nouilles chinoises de ma bouche. Ambiance aidant, j’appréhende enfin l’action hypnotique du fakir dans Tintin et le Lotus bleu. Ou sont-ce les champignons noirs qui m’hallucinent ?
Un regard de rayon vert, dernier feu du crépuscule, que le marin attend à l’horizon de la mer...
Avec Miss X nous sortons du chinois pour rejoindre Miss Y. Miss Y écrit des textes X sur le site « veaux et cris ». Les Misses XY ça fait mâle et c’est encore du chinois, donc pour clarifier ce récit, j’appellerai désormais Miss X : Miss Cantharide, au regard de la belle couleur verte de ce joli diptère et de ses propriétés bien en rapport...
Et Miss Y sera Miss Jean en référence à Jean Seberg et sa fameuse réplique : « j’sais pas quoi faire, y’a rien à faire ! ».
Miss Jean est sur son 31, voire 32, 13 en beauté, même 14.
La poitrine bardée de l’art discutable des badges et autres pin’s.
Miss Jean à le blues ; figure de proue du mouvement dominant de la nouvelle écriture allégée, elle est moins présente sur le site depuis qu'elle a publié l’intégralité de son petit cahier rose qui ferme à clé. Elle a bien du mal à refaire surface du cercle des poètes disparus. Elle devise étrangère sur un avenir à la poésie incertaine.
Nous dérivons quelques temps parmi les chalands puis nous nous amarrons face au paquebot pompidolesque. Autour d’un café on rassure Miss Jean, demain sera merveilleux, car on sait que d’autres auteurs nous fignolent les paroles de leurs prochains textes. Ils les mûrissent, pour nous ce n’est pas rien, on sourit.
On évoque les pseudos bien aimés rencontrés cette année, trop long pour les citer ici. On parle en prose sans compter nos pieds sur nos doigts.
Miss Cantharide parle d’écrire des nouvelles antiques , Miss Jean parle en braille …
On se pose comme toujours les grandes questions existentielles du site.
_ Tu crois que pseudoX c’est machin ?
_ Non, mais buvardbaveux, c’est certain
_ Et punkbizzar, il existe ?
_ J’pense bien, il m’a éreinté pour rien.
_ Il voit pas l’avis en bleu
_ T’as lu ce com : Cher Apollinaire tu peux mieux faire.
_ Néo-surréaliste !
_ Missmétèskizofrénik laissait des textes de folie.
_ Dommage, ingérable !
_ Z’avez suivi les amours de princesansrire pour accrostache ?
_ Y’a trop de guimauve sur ce mur
On se gausse comme la courbe, d’autres mousses sous la moyenne.
On abuse de cet humour vache typiquement hexagonal, on rit…
Ça nous donne un petit creux, on consulte la carte des crêpes.
Intuition toute masculine, je pressens qu’elles vont craquer pour la crêpe au chocolat.
En effet le chocolat contient une substance qui supplée aux manques affectifs.
Gagné ! On commande donc trois crêpes au chocolat.
Miss Jean bâfre sa crêpe en 5 /7, puis farfouille dans son sac pour nous lire sa dernière création : Licornes.
Le déluge réeL
Ici l’on bénI
Chute à piC
O seaux d’O
Rêve de voiR
Noé le boN
Et son archE
- Bravo ! acrostiche et télestiche ornent la météo d’une paire de licornes.
- Oui, mais là : seaux d’o, fait mal.
- Faut essayer, posté en douce, ça peut passer.
- …
Je dois me rendre à l’évidence : mes barbelés sont obsolètes contre les lasers verts de Miss Cantharide. Ses œillades charmantes m’invitent à parcourir sa carte du tendre. Déjà elle tend des oreilles roses pour écouter ma prose. Mais le respect de la décence m’oblige à abréger une énième partie trop torride. Désolé lecteur, te voilà chocolat ! Tu contiens donc cette substance qui supplée aux manques affectifs, saches en abuser sans parcimonie.
Aux lecteurs frustrés qui réclament la torride énième partie.
Ce chapitre à censeurs
est un artifice pour l’auteur
l’inspiration coupée
il aurait pu taper
un message pulsion
en sa simple expression
informatique élémentaire
bit , soft
rythme binaire
voie sans maux
mégabit, hot
poudre aux yeux
voix sans mots
que du feu
message artifice
enflamme les machines
soyez compréhensif
le poète érotomane
conseille : Hey you woman
et si ça ne va pas
lisez le Kama-Sutra
L’auteur mentor
Salutations obséquieuses à la CNIL
Post-scriptum
Je me vois dans l’obligation
d’apporter des précisions
aux lecteurs poètes mâles.
Miss X la sculpturale,
et la douce Miss Jean,
sont de mon imagination le fruit.
De telles femmes idéales
perles fines philippines
sont sans doute irréelles.
toute ressemblance n’est fortuite,
mais plutôt virtuelle.
Cessez, je vous prie, de me harceler
pour obtenir leurs coordonnées,
et ne comptez pas sur ma pomme
pour vous donner leur téléphone.
En Bretagne on raconte un conte
le temps d’une rencontre
et la chute est balèze
elle suggère : holidays.
Je précise à Miss X et Miss Jean que je leur ai déjà pardonné tout le plaisir qu’elles m’ont apporté au cours de cet inoubliable rencontre deBernay Paris.
bigsisterski is kissing you ! XXXX
- Mademoiselle X, j’ai une idée fixe, j’aimerais vous dire que j’adore vos vers, voudriez-vous en discuter autour d’un verre.
- Mon cher bigsisterski, bien sur c’est accordé car vos vers sont exquis. J’en serai honorée.
Rendez-vous est donc pris dans l’ancien cœur de Paris où jadis fut un trou profond : un abîme, comme dans le mien où l’artillerie féminine a laissé un paysage désolé style 14/18, depuis j’ai rajouté des barbelés bien vite.
J’arrive en retard de dix petites minutes, je sais me faire désirer, mais flûte ! vingt minutes encore je poireaute, décidément Miss X est très forte.
La voilà qui arrive, je vois ses yeux qui brillent sous la pluie. Elle a une belle allure de grand largue, puis remonte au près serré.
Je l’accoste et sous la bise je sens les gouttes, étranges elles sont d’eaux chaudes. Elle est chaussée de ces fameuses bottes en peau de formica retournée. Un pantalon serré sur des gambettes à la Misstinguett (à sa belle époque). Une veste cintrée aux pans arrondis avec motif de guipures noires sur fond gris, très jolie. En comparaison je me sens vrai mousse haillon.
Nous glissons dans une artère de ce cœur de Paris qui pulse au rythme trash-punk des soldes. C’est pitié de voir le volume de sacs que ces malheureuses parisiennes peuvent supporter.
Nous rentrons dans un chinois qui se relève pour nous servir un Phô et des champignons noirs. Elle se dévêt de sa veste à dessins ravissants, j’avise que Miss X aussi…
Nous voici attablé entre poètes surdoués. Il s’en suit un échange littéraire sur la poétique, trop spirituel pour être relaté ici et que j’épargnerai au lecteur néophyte. Je plonge alternativement dans ses yeux d’émeraude et dans ma soupe de nouilles. J’ai bien du mal à décrocher de son regard comme ces infinies nouilles chinoises de ma bouche. Ambiance aidant, j’appréhende enfin l’action hypnotique du fakir dans Tintin et le Lotus bleu. Ou sont-ce les champignons noirs qui m’hallucinent ?
Un regard de rayon vert, dernier feu du crépuscule, que le marin attend à l’horizon de la mer...
Avec Miss X nous sortons du chinois pour rejoindre Miss Y. Miss Y écrit des textes X sur le site « veaux et cris ». Les Misses XY ça fait mâle et c’est encore du chinois, donc pour clarifier ce récit, j’appellerai désormais Miss X : Miss Cantharide, au regard de la belle couleur verte de ce joli diptère et de ses propriétés bien en rapport...
Et Miss Y sera Miss Jean en référence à Jean Seberg et sa fameuse réplique : « j’sais pas quoi faire, y’a rien à faire ! ».
Miss Jean est sur son 31, voire 32, 13 en beauté, même 14.
La poitrine bardée de l’art discutable des badges et autres pin’s.
Miss Jean à le blues ; figure de proue du mouvement dominant de la nouvelle écriture allégée, elle est moins présente sur le site depuis qu'elle a publié l’intégralité de son petit cahier rose qui ferme à clé. Elle a bien du mal à refaire surface du cercle des poètes disparus. Elle devise étrangère sur un avenir à la poésie incertaine.
Nous dérivons quelques temps parmi les chalands puis nous nous amarrons face au paquebot pompidolesque. Autour d’un café on rassure Miss Jean, demain sera merveilleux, car on sait que d’autres auteurs nous fignolent les paroles de leurs prochains textes. Ils les mûrissent, pour nous ce n’est pas rien, on sourit.
On évoque les pseudos bien aimés rencontrés cette année, trop long pour les citer ici. On parle en prose sans compter nos pieds sur nos doigts.
Miss Cantharide parle d’écrire des nouvelles antiques , Miss Jean parle en braille …
On se pose comme toujours les grandes questions existentielles du site.
_ Tu crois que pseudoX c’est machin ?
_ Non, mais buvardbaveux, c’est certain
_ Et punkbizzar, il existe ?
_ J’pense bien, il m’a éreinté pour rien.
_ Il voit pas l’avis en bleu
_ T’as lu ce com : Cher Apollinaire tu peux mieux faire.
_ Néo-surréaliste !
_ Missmétèskizofrénik laissait des textes de folie.
_ Dommage, ingérable !
_ Z’avez suivi les amours de princesansrire pour accrostache ?
_ Y’a trop de guimauve sur ce mur
On se gausse comme la courbe, d’autres mousses sous la moyenne.
On abuse de cet humour vache typiquement hexagonal, on rit…
Ça nous donne un petit creux, on consulte la carte des crêpes.
Intuition toute masculine, je pressens qu’elles vont craquer pour la crêpe au chocolat.
En effet le chocolat contient une substance qui supplée aux manques affectifs.
Gagné ! On commande donc trois crêpes au chocolat.
Miss Jean bâfre sa crêpe en 5 /7, puis farfouille dans son sac pour nous lire sa dernière création : Licornes.
Le déluge réeL
Ici l’on bénI
Chute à piC
O seaux d’O
Rêve de voiR
Noé le boN
Et son archE
- Bravo ! acrostiche et télestiche ornent la météo d’une paire de licornes.
- Oui, mais là : seaux d’o, fait mal.
- Faut essayer, posté en douce, ça peut passer.
- …
Je dois me rendre à l’évidence : mes barbelés sont obsolètes contre les lasers verts de Miss Cantharide. Ses œillades charmantes m’invitent à parcourir sa carte du tendre. Déjà elle tend des oreilles roses pour écouter ma prose. Mais le respect de la décence m’oblige à abréger une énième partie trop torride. Désolé lecteur, te voilà chocolat ! Tu contiens donc cette substance qui supplée aux manques affectifs, saches en abuser sans parcimonie.
Aux lecteurs frustrés qui réclament la torride énième partie.
Ce chapitre à censeurs
est un artifice pour l’auteur
l’inspiration coupée
il aurait pu taper
un message pulsion
en sa simple expression
informatique élémentaire
bit , soft
rythme binaire
voie sans maux
mégabit, hot
poudre aux yeux
voix sans mots
que du feu
message artifice
enflamme les machines
soyez compréhensif
le poète érotomane
conseille : Hey you woman
et si ça ne va pas
lisez le Kama-Sutra
L’auteur mentor
Salutations obséquieuses à la CNIL
Post-scriptum
Je me vois dans l’obligation
d’apporter des précisions
aux lecteurs poètes mâles.
Miss X la sculpturale,
et la douce Miss Jean,
sont de mon imagination le fruit.
De telles femmes idéales
perles fines philippines
sont sans doute irréelles.
toute ressemblance n’est fortuite,
mais plutôt virtuelle.
Cessez, je vous prie, de me harceler
pour obtenir leurs coordonnées,
et ne comptez pas sur ma pomme
pour vous donner leur téléphone.
En Bretagne on raconte un conte
le temps d’une rencontre
et la chute est balèze
elle suggère : holidays.
Je précise à Miss X et Miss Jean que je leur ai déjà pardonné tout le plaisir qu’elles m’ont apporté au cours de cet inoubliable rencontre de
bigsisterski is kissing you ! XXXX
Jean Lê- Nombre de messages : 591
Age : 65
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 22/11/2010
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
Comme on disait dans les années 70 : subtiiiil ! Je ne suis pas sûre que ma lecture profane (ou presque...) rende grâce à toutes les trouvailles, allusions et clins d'oeil, l'espièglerie est chaque détour de phrase, ça pétille d'intelligence et de douce moquerie.
Juste une faiblesse, ici :
Le déluge réeL
Ici l’on bénI (le I final ne fonctionne pas => "Ici l'on béniT"... Ou alors : "Ici l'on a bénI" :-))
Chute à piC
O seaux d’O
Rêve de voiR
Noé le boN
Et son archE
Juste une faiblesse, ici :
Le déluge réeL
Ici l’on bénI (le I final ne fonctionne pas => "Ici l'on béniT"... Ou alors : "Ici l'on a bénI" :-))
Chute à piC
O seaux d’O
Rêve de voiR
Noé le boN
Et son archE
Invité- Invité
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
Ah, et je n'arrive pas à modifier le titre, à striker Bernay, ça n'a pas l'air possible, pas que je sache en tout cas. Peut-être que mentor, ou Yali...
Invité- Invité
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
Ravissant récit d'une rencontre dont je n'ai certainement pas saisi toutes les subtilités, mais dont la lecture m'a beaucoup amusé.
Sweet Heart- Nombre de messages : 98
Age : 46
Date d'inscription : 11/09/2011
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
Bernay... Paris, j'oublie tout. Il pleuvait, j'en suis certaine.
Ce texte Mr Jean m'embulle (sais pas si ce verbe existe) dans mon périple Normand.
Ce texte Mr Jean m'embulle (sais pas si ce verbe existe) dans mon périple Normand.
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
Quand à moi, Cantharide candide
Trop contente
De conter fleurette à Jean (Mister)
Me fit faux fuyant;
Cantilène en nef allai pleurer
Etant par trop gelé
Au marché
Des garennes
Trop contente
De conter fleurette à Jean (Mister)
Me fit faux fuyant;
Cantilène en nef allai pleurer
Etant par trop gelé
Au marché
Des garennes
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
De la pluie à Bernay ? Jamais ! Tandis qu'à Paris... :-)
Le mousse haillon m'a définitivement conquise, jolie trouvaille !
Le mousse haillon m'a définitivement conquise, jolie trouvaille !
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
Coline : Le conte rendu débute en alexandrins,
tu t'en seras rendu compte pourtant enfin.
Easter : merci pour cette bonne correction. Béni sois-tu ! maitresse correctrice...
Sweat Heart : divertir était le but, mais c'est basé sur une rencontre réelle, merci du passage.
Croisic : à Bernay s'était plus déconfiture voire même des compotes. Le bonjour.
Denis la cantharide : commencer par une patte de lapin pour avoir une chance de pouvoir utiliser la mouche espagnole (en fait un coléoptère pour coller au Q).
Sahkti mousse haillon et mousse noir, bref pas loin de ta guinness préférée.
tu t'en seras rendu compte pourtant enfin.
Easter : merci pour cette bonne correction. Béni sois-tu ! maitresse correctrice...
Sweat Heart : divertir était le but, mais c'est basé sur une rencontre réelle, merci du passage.
Croisic : à Bernay s'était plus déconfiture voire même des compotes. Le bonjour.
Denis la cantharide : commencer par une patte de lapin pour avoir une chance de pouvoir utiliser la mouche espagnole (en fait un coléoptère pour coller au Q).
Sahkti mousse haillon et mousse noir, bref pas loin de ta guinness préférée.
Jean Lê- Nombre de messages : 591
Age : 65
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 22/11/2010
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
Bonsoir ami Jean.
J'aime aussi le vin vert, à l'apéro c'est excellent avec ou sans morue.
J'aime aussi le vin vert, à l'apéro c'est excellent avec ou sans morue.
Re: Rencontre à (Bernay) Paris
Bonsoir Jean,
J'espère que tout va bien pour toi en pays bigouden. Ici on a recoiffé le bonnet de laine...
J'espère que tout va bien pour toi en pays bigouden. Ici on a recoiffé le bonnet de laine...
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