Intermède
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Intermède
Les pas qui percent au fond
Du ciel se détachent sans qu’on
S’en doute et viennent les
Voir ; MES YEUX SONT DES
ORGANES DES ASTRES.
INUTILE
D'Y
CHERCHER
Le nerf invisible qui
Les relie à
Mon cerveau,
Ce sont les cheveux des dames dans les parcs au
Printemps et le rire d’un
Chien,
Le soupir d’un roseau.
Tout conspire maintenant dans la
Nature. Je dois retenir fermement les
Rêves qui s’échappent au
Matin par la manche de leur
Veston, et darder sévère mon
Oeil de pluie et de poussière pour que
Leur corps
Se fondent dans le mien et se logent
Dans cette
demeure. C'est le privilège de la chair.
Les sentiments je les ais recueillis au fond des gouffres
Au dos des feuilles
Que la rosée
Caressait.
Et j’ai voulu les vendre je n’en ai tiré aucun prix,
Parce qu’on a pas inventé la monnaie pour payer mon existence.
Au fond je sais
Que
Celui
Au fond je sais
Que celui qui dit je t’aime se sait sauvé.
Du ciel se détachent sans qu’on
S’en doute et viennent les
Voir ; MES YEUX SONT DES
ORGANES DES ASTRES.
INUTILE
D'Y
CHERCHER
Le nerf invisible qui
Les relie à
Mon cerveau,
Ce sont les cheveux des dames dans les parcs au
Printemps et le rire d’un
Chien,
Le soupir d’un roseau.
Tout conspire maintenant dans la
Nature. Je dois retenir fermement les
Rêves qui s’échappent au
Matin par la manche de leur
Veston, et darder sévère mon
Oeil de pluie et de poussière pour que
Leur corps
Se fondent dans le mien et se logent
Dans cette
demeure. C'est le privilège de la chair.
Les sentiments je les ais recueillis au fond des gouffres
Au dos des feuilles
Que la rosée
Caressait.
Et j’ai voulu les vendre je n’en ai tiré aucun prix,
Parce qu’on a pas inventé la monnaie pour payer mon existence.
Au fond je sais
Que
Celui
Au fond je sais
Que celui qui dit je t’aime se sait sauvé.
Calvin- Nombre de messages : 530
Age : 34
Date d'inscription : 22/05/2010
Re: Intermède
Les pas qui percent au fond du ciel se détachent sans qu’on d’en doute et viennent les voir ; mes yeux sont des organes des astres. Inutile d'y cherche le nerf invisible qui les relie à mon cerveau, ce sont les cheveux des dames dans les parcs au printemps et le rire d'un chien, le soupir d'un roseau. Tout conspire maintenant dans la nature. Je dois retenir fermement les rêves qui s’échappent au matin par la manche de leur veston, et darder sévère mon oeil de pluie et de poussière pour que leur corps se fondent dans le mien et logent en cette demeure. C'est le privilège de la chair. Les sentiments je les ais recueillis au fond des gouffres, au dos des feuilles que la rosée caressait. Et j’ai voulu les vendre je n’en ai tiré aucun prix, parce qu’on a pas inventé la monnaie pour payer mon existence. Au fond je sais, que, celui, au fond je sais, que celui qui dit je t'aime se sait sauvé.
Calvin- Nombre de messages : 530
Age : 34
Date d'inscription : 22/05/2010
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