Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
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Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
Peux pas blairer les ‘rosbifs’. Leur air supérieur et suffisant m’agace. Alors, ce week-end à Londres, inutile de vous dire que je commençais à en avoir ras la casquette. Ma copine avait fait la connaissance de Sir Arthur Conan Doyle et ne parlait plus que de visiter Baker Street et Tower Bridge. Elle avait rebaptisé le poisson rouge ‘’Watson’’ et déposé une miniature d’un taxi londonien au fond de son aquarium. Dix jours avant le départ, elle m’avait obligé à parler anglais. Mes trois années de deux heures par semaine ne pesaient pas lourd face à sa licence. Elle me reprenait à chaque phrase avec cet air ‘’So british’’ que je ne supportais décidemment pas, surtout chez elle. Et puis, comment dire : << J’aime bien quand tu te promènes en shorty devant les fenêtres du salon, ça me file une gaule pas possible>> ? Je l’avais remplacé par : << Aille ouante tout feu que You>> et j’avais pris une tarte monumentale plus un cours accéléré de deux heures sur la prononciation et les verbes irréguliers ! Ras le seau des ‘rosbifs’…
Donc là, on était devant Big Ben, plantés comme des poireaux gallois à attendre son fameux carillon. Perso, je n’en avais rien à battre. Je matais les petites anglaises et leurs airs de Sainte Nitouche, sapées comme des pensionnaires du ‘’One two two’’. Ma copine, elle dévisageait chaque passant mâle, croyant reconnaître Hugues Grant dés qu’elle apercevait un costard trois pièces coiffé d’un chapeau melon. On venait de passer deux heures dans Baker Street et j’en avais plein les pattes. Le vieux Ben finit par balancer sa mélodie ultra entendue aux quatre coins de la planète. Mais là, c’était mieux, c’était pour de vrai. La suite du programme s’annonçait terrible : salon de thé, Madame Tussauds et son musée des horreurs et le fin du fin, diner dans un restau anglais, un vrai, avec sauce à la menthe et bœuf bouilli. J’espère que la bière sera à la hauteur, elle !
J’aime pas le thé, qu’il soit anglais où pas, je ne peux pas boire ça. J’ai commandé un chocolat, la serveuse du salon m’a regardé en fronçant les sourcils et ma copine Léa, (oui, j’avais oublié de vous la présenter, elle s’appelle Léa) m’a évidemment repris en appuyant sur chaque mot. Comme le faisait Madame Grindail, en sixième. Il y a un siècle quoi. La serveuse au sourire chevalin pouffa, ce qui n’était pas british du tout et je passais bien sûr pour l’idiot du village. Je me vengeais sur les petits fours que j’engloutis en deux temps trois mouvements. Léa, ainsi que deux vieilles dames très dignes, me fusillèrent du regard alors que je me pourléchais les doigts. Profitant de ce que Léa tournait la tête ailleurs, je fis un clin d’œil à mes deux Ladies tout en passant une langue gourmande sur mes lèvres chocolatées. Outrées, elles replongèrent le nez dans leur assiette de macarons. Cette petite vengeance sur les représentantes du peuple honni remonta mon barème bonne humeur de deux crans.
<< What’s appending Marc? (Marc, c’est moi.)
— Nothing my beauty, I love you honey. >>
Vlan, trois points pour ma pomme. Léa m’avait de nouveau à la bonne, elle régla l’addition. L’heure tournait et Madame Tussauds nous attendait. En sortant, je tirais discrètement la langue aux deux rombières, ce qui fit glousser la serveuse que je trouvais finalement sympathique. A mon avis, elle devait être Irlandaise.
Madame Tussauds s’avéra à la hauteur de ce que je pensais du bon goût Anglais. Quant au musée des horreurs, il portait bien son nom. Je ne m’étendrai pas sur la visite et je vous convie direct au restau.
Léa avait bien fait les choses. L’établissement regorgeait de vieilles dames qui ressemblaient toutes à ‘’Her Majesty The Queen Elizabeth ‘’. Des chapeaux pas possibles, des rivières de diamants sur des robes aux couleurs aussi diverses qu’avariées. Quant aux messieurs qui les accompagnaient, je pense que nous n’avons pas le même usage du manche à balai. Des Majordomes façon Nestor à chaque coin de table, droit comme des Horse Guard le jour du couronnement complétaient la faune locale. Et puis du rose, partout. Sur les murs, sur les chaises, les nappes et les serviettes. Du rose saumon, du rose bonbon, framboise écrasée, framboise à gerber. Cela n’avait pas l’air de gêner Léa qui affichait un air béat. Elle si pointilleuse sur la déco de notre appartement. Perdait-on tout sens commun en traversant la Manche ? Et bien moi, je ferais de la résistance, pas question de renier Astérix et Jeanne d’Arc, et vive Napoléon !
On nous installa au beau milieu de la salle. Un loufiat nous apporta le menu et la carte des vins. Léa me traduisit la moitié des plats, j’optais pour une ‘’tête de veau sauce british’’. Le pinard s’avérant hors de prix, je commandais une pinte. J’ignorais le regard désapprobateur du larbin.
Léa était aux anges, elle parlait tout le temps, en anglais, en français quand je fronçais les sourcils, au majordome, à la serveuse qui vint nous apporter les plats. Vous savez quoi, et bien la serveuse, elle avait une tête de veau. Oui, oui, une bonne tête de veau avec ce regard si spécial propre à la race bovine. Je me marrais comme une baleine et j’eus toutes les peines du monde à traduire la raison de mon hilarité à Léa. A savoir si c’était la tête de la serveuse qu’on m’apporterait, garnie de sauce british. Ma copine me fusilla du regard. Cela ne gâcha pas ma bonne humeur retrouvée. Elle insista sur l’indécence de mon comportement. Moi, ce que je trouvais indécent, c’était ce que l’on m’avait servi en guise de diner. Sous la pression, je dus finir mon plat faute de quoi, je vivrais les prochaines nuits au régime monastique. La diablesse !
Le repas fut long et ennuyeux. J’abusais de la bière, Léa de la conversation.
Vint le moment de rentrer à l’hôtel, enfin. Marcher me fit du bien, j’étais un tantinet alcoolisé. J’aspirais à une bonne nuit de sommeil. Demain serait rude : Downing street, Piccadilly Circus, Soho, plus quelques réjouissances du type relève de la garde et séance photo sur la Tamise. Arrivé dans notre chambre, je me jetais sur le lit, tout habillé. Dormir. Léa alluma la télé, zappa quelques instants.
<< T’as pas sommeil toi ?
— In English please.
— Fuck!
— What!
— No...nothing my dear, good night.>>
Elle marmonna je ne sais quoi en anglais, s’assit sur le lit et poussa de grands cris de joie quand elle vit que le film qu’elle regardait était ‘’Le Loup Garou de Londres’’. Je le suivi un moment, puis fini par m’endormir.
Je me réveille au milieu de la nuit, Léa dort à côté de moi. J’ai très soif et me lève pour boire un verre d’eau. J’ai du mal à digérer, l’abus d’alcool ou la sauce british ? Et puis la trouille de ma vie. Là, assis sur le fauteuil, il y a quelqu’un dans notre chambre qui me regarde en fumant la pipe. C’est Sherlock Holmes ! Il me dit :
<< C’est le veau.
Et il me montre quelque chose que je ne distingue pas tout de suite, là, sur la table. Je m’approche et je vois avec horreur qu’il s’agit de la tête de la serveuse, posée sur une assiette, baignant dans sa sauce british. Je veux crier mais aucun son ne sort de ma bouche. Par la fenêtre ouverte, j’entends l’appel du loup.
Léa hurle à son tour :
< Elle en oublie son anglais. Je suis assis sur le lit, en sueur, la gorge sèche.
— Tu m’as foutu la trouille de ma vie hurle t elle à son tour.
Il n’y a personne d’autre que nous dans cette chambre, nous et la télé qui hurle avec le Loup.
Un cauchemar, un fucking nightmare. Je prends une nouvelle tarte, j’enchaine par un coup de coude. Léa surprise me regarde avec ses beaux grands yeux.
<< BANZAÏ !
C’est le signal, les polochons volent, bagarre générale, plumes et duvet.
Câlin.
En français…
Je t’aime
Je t’aime.
Donc là, on était devant Big Ben, plantés comme des poireaux gallois à attendre son fameux carillon. Perso, je n’en avais rien à battre. Je matais les petites anglaises et leurs airs de Sainte Nitouche, sapées comme des pensionnaires du ‘’One two two’’. Ma copine, elle dévisageait chaque passant mâle, croyant reconnaître Hugues Grant dés qu’elle apercevait un costard trois pièces coiffé d’un chapeau melon. On venait de passer deux heures dans Baker Street et j’en avais plein les pattes. Le vieux Ben finit par balancer sa mélodie ultra entendue aux quatre coins de la planète. Mais là, c’était mieux, c’était pour de vrai. La suite du programme s’annonçait terrible : salon de thé, Madame Tussauds et son musée des horreurs et le fin du fin, diner dans un restau anglais, un vrai, avec sauce à la menthe et bœuf bouilli. J’espère que la bière sera à la hauteur, elle !
J’aime pas le thé, qu’il soit anglais où pas, je ne peux pas boire ça. J’ai commandé un chocolat, la serveuse du salon m’a regardé en fronçant les sourcils et ma copine Léa, (oui, j’avais oublié de vous la présenter, elle s’appelle Léa) m’a évidemment repris en appuyant sur chaque mot. Comme le faisait Madame Grindail, en sixième. Il y a un siècle quoi. La serveuse au sourire chevalin pouffa, ce qui n’était pas british du tout et je passais bien sûr pour l’idiot du village. Je me vengeais sur les petits fours que j’engloutis en deux temps trois mouvements. Léa, ainsi que deux vieilles dames très dignes, me fusillèrent du regard alors que je me pourléchais les doigts. Profitant de ce que Léa tournait la tête ailleurs, je fis un clin d’œil à mes deux Ladies tout en passant une langue gourmande sur mes lèvres chocolatées. Outrées, elles replongèrent le nez dans leur assiette de macarons. Cette petite vengeance sur les représentantes du peuple honni remonta mon barème bonne humeur de deux crans.
<< What’s appending Marc? (Marc, c’est moi.)
— Nothing my beauty, I love you honey. >>
Vlan, trois points pour ma pomme. Léa m’avait de nouveau à la bonne, elle régla l’addition. L’heure tournait et Madame Tussauds nous attendait. En sortant, je tirais discrètement la langue aux deux rombières, ce qui fit glousser la serveuse que je trouvais finalement sympathique. A mon avis, elle devait être Irlandaise.
Madame Tussauds s’avéra à la hauteur de ce que je pensais du bon goût Anglais. Quant au musée des horreurs, il portait bien son nom. Je ne m’étendrai pas sur la visite et je vous convie direct au restau.
Léa avait bien fait les choses. L’établissement regorgeait de vieilles dames qui ressemblaient toutes à ‘’Her Majesty The Queen Elizabeth ‘’. Des chapeaux pas possibles, des rivières de diamants sur des robes aux couleurs aussi diverses qu’avariées. Quant aux messieurs qui les accompagnaient, je pense que nous n’avons pas le même usage du manche à balai. Des Majordomes façon Nestor à chaque coin de table, droit comme des Horse Guard le jour du couronnement complétaient la faune locale. Et puis du rose, partout. Sur les murs, sur les chaises, les nappes et les serviettes. Du rose saumon, du rose bonbon, framboise écrasée, framboise à gerber. Cela n’avait pas l’air de gêner Léa qui affichait un air béat. Elle si pointilleuse sur la déco de notre appartement. Perdait-on tout sens commun en traversant la Manche ? Et bien moi, je ferais de la résistance, pas question de renier Astérix et Jeanne d’Arc, et vive Napoléon !
On nous installa au beau milieu de la salle. Un loufiat nous apporta le menu et la carte des vins. Léa me traduisit la moitié des plats, j’optais pour une ‘’tête de veau sauce british’’. Le pinard s’avérant hors de prix, je commandais une pinte. J’ignorais le regard désapprobateur du larbin.
Léa était aux anges, elle parlait tout le temps, en anglais, en français quand je fronçais les sourcils, au majordome, à la serveuse qui vint nous apporter les plats. Vous savez quoi, et bien la serveuse, elle avait une tête de veau. Oui, oui, une bonne tête de veau avec ce regard si spécial propre à la race bovine. Je me marrais comme une baleine et j’eus toutes les peines du monde à traduire la raison de mon hilarité à Léa. A savoir si c’était la tête de la serveuse qu’on m’apporterait, garnie de sauce british. Ma copine me fusilla du regard. Cela ne gâcha pas ma bonne humeur retrouvée. Elle insista sur l’indécence de mon comportement. Moi, ce que je trouvais indécent, c’était ce que l’on m’avait servi en guise de diner. Sous la pression, je dus finir mon plat faute de quoi, je vivrais les prochaines nuits au régime monastique. La diablesse !
Le repas fut long et ennuyeux. J’abusais de la bière, Léa de la conversation.
Vint le moment de rentrer à l’hôtel, enfin. Marcher me fit du bien, j’étais un tantinet alcoolisé. J’aspirais à une bonne nuit de sommeil. Demain serait rude : Downing street, Piccadilly Circus, Soho, plus quelques réjouissances du type relève de la garde et séance photo sur la Tamise. Arrivé dans notre chambre, je me jetais sur le lit, tout habillé. Dormir. Léa alluma la télé, zappa quelques instants.
<< T’as pas sommeil toi ?
— In English please.
— Fuck!
— What!
— No...nothing my dear, good night.>>
Elle marmonna je ne sais quoi en anglais, s’assit sur le lit et poussa de grands cris de joie quand elle vit que le film qu’elle regardait était ‘’Le Loup Garou de Londres’’. Je le suivi un moment, puis fini par m’endormir.
Je me réveille au milieu de la nuit, Léa dort à côté de moi. J’ai très soif et me lève pour boire un verre d’eau. J’ai du mal à digérer, l’abus d’alcool ou la sauce british ? Et puis la trouille de ma vie. Là, assis sur le fauteuil, il y a quelqu’un dans notre chambre qui me regarde en fumant la pipe. C’est Sherlock Holmes ! Il me dit :
<< C’est le veau.
Et il me montre quelque chose que je ne distingue pas tout de suite, là, sur la table. Je m’approche et je vois avec horreur qu’il s’agit de la tête de la serveuse, posée sur une assiette, baignant dans sa sauce british. Je veux crier mais aucun son ne sort de ma bouche. Par la fenêtre ouverte, j’entends l’appel du loup.
Léa hurle à son tour :
<
— Tu m’as foutu la trouille de ma vie hurle t elle à son tour.
Il n’y a personne d’autre que nous dans cette chambre, nous et la télé qui hurle avec le Loup.
Un cauchemar, un fucking nightmare. Je prends une nouvelle tarte, j’enchaine par un coup de coude. Léa surprise me regarde avec ses beaux grands yeux.
<< BANZAÏ !
C’est le signal, les polochons volent, bagarre générale, plumes et duvet.
Câlin.
En français…
Je t’aime
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Marchevêque- Nombre de messages : 199
Age : 64
Date d'inscription : 08/09/2011
Re: Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
Moi qui ne voulais (pouvais) faire qu'un rapide passage en mode lecture, j'ai lu tout d'une traite jusqu'au bout. Je ne sais pas si c'est de l'humour anglais, mais de l'humour dans ce texte, il y en a à chaque phrase.
Ce qui m'a bien amusée, c'est :" la serveuse devait être irlandaise". Cela m'a rappelé une gaffe que j'ai faite un jour en parlant élogieusement d'un irlandais à un anglais.
Ce qui m'a bien amusée, c'est :" la serveuse devait être irlandaise". Cela m'a rappelé une gaffe que j'ai faite un jour en parlant élogieusement d'un irlandais à un anglais.
Invité- Invité
Re: Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
My God ! What happened to my dear dream !
J'ai bien reconnu les oiseaux multicolores travestis en vieilles Anglaises friquées, mais où est mon beau jet d'eau bicéphale ?
Cela dit, je me suis shockingnement bien amusée !
J'ai bien reconnu les oiseaux multicolores travestis en vieilles Anglaises friquées, mais où est mon beau jet d'eau bicéphale ?
Cela dit, je me suis shockingnement bien amusée !
Invité- Invité
Re: Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
( suis pas sûre de mon franglais..., surtout sans l'accent !)
Invité- Invité
Ouhhh, la boulette!!!!
Bonjour Coline,
Mille excuses, je viens de me rendre compte de mon erreur. J'ai cru que le rêve dont je me suis servi était de vous, en fait il s'agit de celui de Panda...
Arghhh, appel au secours pour modifier le titre...
Désolé
Marc
Coline Dé transmutée en Pandaworks (dans le titre).
Mille excuses, je viens de me rendre compte de mon erreur. J'ai cru que le rêve dont je me suis servi était de vous, en fait il s'agit de celui de Panda...
Arghhh, appel au secours pour modifier le titre...
Désolé
Marc
Coline Dé transmutée en Pandaworks (dans le titre).
Marchevêque- Nombre de messages : 199
Age : 64
Date d'inscription : 08/09/2011
Re: Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
Malgré les boulettes de Rosbif...Trop bon ;-)
Sweet Heart- Nombre de messages : 98
Age : 46
Date d'inscription : 11/09/2011
Re: Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
Voilà une excellente tête de veau sauce britiche, tous les ingrédients y sont, un régal.
Et les waters mon cher Matson !
Et les waters mon cher Matson !
Jean Lê- Nombre de messages : 591
Age : 65
Localisation : Bretagne
Date d'inscription : 22/11/2010
Re: Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
holy Graal ! on nous promet des petites anglaises et on nous sert du museau...
m'est avis que si on coupe la tête de toutes les têtes de veau anglaises, la polulation féminine pourrait être relogée en Corse tranquille ^^ enfin, j'en connais qu'une, en vrai, une poètesse dans la gousse du spectre, elle est très gentille, néanmoins. Et mon loup qui louvoie à la mort à la fin alors ?
m'est avis que si on coupe la tête de toutes les têtes de veau anglaises, la polulation féminine pourrait être relogée en Corse tranquille ^^ enfin, j'en connais qu'une, en vrai, une poètesse dans la gousse du spectre, elle est très gentille, néanmoins. Et mon loup qui louvoie à la mort à la fin alors ?
Invité- Invité
Re: Exo rêves et cauchemars : Introduction au rêve de Panda ''Sherlock ou la tête de veau sauce british"
ah ouais, le loup est là walou.
Invité- Invité
Lectures
J'attendais beaucoup plus de monde.
Vous aurait il dérangé?
Vous aurait il dérangé?
Marchevêque- Nombre de messages : 199
Age : 64
Date d'inscription : 08/09/2011
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