Débats, billevesées et causette (Des babils & co)

le nutella une nouvelle façon d'imaginer l'oeil au beurre noir

je suis remontée comme une horloge ce matin
c'est toutes les heures l'heure de la bêtise
comment ? pas que ce matin ?

rrrrrebeka tou mé fé peurrrr

pas que ce matin non
mais certains plus que d'autres, oui

moi c'était hier aprème
ça se traduisit par une envie de me battre avec des garçons

du coup j'ai battu partick au scrabble !
yeah !

bon hop, deux kwak à jeun c'est bien, maintenant aux palourdes !

Rebecca a écrit:c'est clair je lui ai dit
je suis une fonctionnaire
ça me donne une optique particulière

troublante Rebecca !

Salut Reb et K, Easter, Alice, Janis, Polgarée, Lyra, BM et une poignée d'autres que j'ai la flemme d'écrire mais que j'embrasse goulu quand même !

Ah et un Bocanniv aussi !

Hello coline

oh ! un exo

j'ai même pas envoyé celui d'avant
pas faute d'avoir essayé

et puis bijour Ve !

bijou Alice

Je suis en train de bouffer tous les marshmallows que j'avais acheté pour pas être hantée par le remords la nuit d'Halloween
en même temps j'en aurai pas eu assez pour satisfaire tous les petits salopiauds qu vont venir sonner
quelle idée aussi d'habiter dans l'école
mais comme ça je leur dirai zero bonbec les mecs
car ici c'est pas grimaces menaces fête à la ramasse
ici c'est liberté égalité fraternité
vl'a déjà votre part d'égalité

ha moi j'écris salopio

demande à...

non rien

je trouve ça plus parlant

well well well

hop hop hop

Rebecca a écrit:mais comme ça je leur dirai zero bonbec les mecs
car ici c'est pas grimaces menaces fête à la ramasse
ici c'est liberté égalité fraternité
vl'a déjà votre part d'égalité

Sinon, tu leur montre des belles photos de gingivites, avec de la chance ça les dégoûtera :-)

Rebecca a écrit:le nutella une nouvelle façon d'imaginer l'oeil au beurre noir

Je me démantibulerais la tronche de ne pas y avoir songé ,o)
Bon en punition je vais me démantibuler l'estomac par un direct du bocal dans l'estomac.

Rebecca a écrit:Je suis en train de bouffer tous les marshmallows que j'avais acheté pour pas être hantée par le remords la nuit d'Halloween
en même temps j'en aurai pas eu assez pour satisfaire tous les petits salopiauds qu vont venir sonner
quelle idée aussi d'habiter dans l'école
mais comme ça je leur dirai zero bonbec les mecs
car ici c'est pas grimaces menaces fête à la ramasse
ici c'est liberté égalité fraternité
vl'a déjà votre part d'égalité

Si ces petites brutes apprenties maffieuses viennent me racketter, je lache mon chat.

te fais pas trop mal quand même avec ton direct de bocal
et confonds pas avec le bocal de moutarde

faut dire que t'as un vrai chat de Halloween toi

Bonjour.
Bonsoir.
Leçon du jour : éviter se promener sur une toiture lorsqu'il pleut.
Devoir à copier pour lundi à tous les temps : pour ne pas glisser d'un toit lorsqu'il neige, enfile des charentaises... (pantoufles).

Ah ! Que j'aime ce retour à la bonne heure.

bertrand-môgendre a écrit:Bonjour.
Bonsoir.
Leçon du jour : éviter se promener sur une toiture lorsqu'il pleut.
Devoir à copier pour lundi à tous les temps : pour ne pas glisser d'un toit lorsqu'il neige, enfile des charentaises... (pantoufles).

Quelle idée !
Tu es entier quand même ?

bertrand-môgendre a écrit:Bonjour.
Bonsoir.
Leçon du jour : éviter se promener sur une toiture lorsqu'il pleut.
Devoir à copier pour lundi à tous les temps : pour ne pas glisser d'un toit lorsqu'il neige, enfile des charentaises... (pantoufles).

Mordiou ! Quelle brutalité ami Bertrand, tu m'as filé une de ces trouilles... Jolie publicité quand même !

Bonsoir à toi et à toutes mes cop's...

bertrand-môgendre a écrit:Ah ! Que j'aime ce retour à la bonne heure.

ah oui ! crénom !

Moi aussi j'aime ça

bonsoir les soireteux

Hello à tous. Salut Bertrand, rien de cassé ?

Pour Bertrand :


Des Gars, Des Eaux. par rodiniasystem

:-)
et bonsoir!

oui on change d'heure...


c'est pas pour ça qu'on dort plus :0(

Rebecca a écrit:faut dire que t'as un vrai chat de Halloween toi

Précisément...
Tu sais, Halloween a en réalité été entièrement batie sur les vestiges des premiers carnages perpétrés par les ancêtres de mon chat.
Tous ces charmants petits bambins déguisés en terreurs d'un soir ne sont que des imposteurs et les figurants involontaires d'une lointaine comédie qui se rejoue à chaque génération.
"On veut avoir des bonbons, on veut avoir des bonbons, on veut avoir des bonbons"
"pourquoi ?"
"Parce que l'on te fait peur et que sinon...."
"Vous voulez avoir des bonbons ?"
"Ouiiiiiii on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir..."
"I'll be back." leur répondis-je en leur tournant le dos avant de remonter l'escalier.
après tout, pensais-je en allant jusqu'à la porte, le moment où nous nous rappelons à nos morts et retrouvons par là un semblant d'humanité et d'empathie a bien dénaturée par l'Amérique, isn't it ?"
Ma porte est faite de bois, encadrée par le tronc tordu d'un arbre au nom que je ne prononcerai pas ici. Le pauvre agonisait dès sa naissance et grandit en quête d'une improbable lumière à l'ombre d'une maison orientée nord . Les parents des anciens propriétaires avaient fait promettre à leurs enfants de ne jamais faire abatre ce triste rejeton de bois et de sève planté là de leurs mains. Ils avaient de même exigé de faire jurer à d'éventuels acheteurs de montrer semblable respect à cette déclinaison arbustive de l'agonie. Ainsi ais-je tenu parole.
J'ai toujours respecté les morts.
Il y a quelques années, mon chat aimait s'installer en hauteur, sur une branche horizontale engendrée par cette abomination Horticole. Mais ça, c'était avant. Avant qu'il ne pousse un officier militaire de carrière dans ses derniers retranchements, au plus profond de son propre garage. Avant qu'il n'attaque vicieusement les chiens du quartier, transformant leurs aboiements rageurs en couinements pathétiques.
Et avant, il me faut bien l'avouer, qu'il ne déchiquette mes propres jambes en les prenant pour celles du dit militaire dans un moment de rage et de furie.
Il était pourtant si mignon, là haut, scrutant son monde peuplé de proies de ses beaux yeux verts.
De rage, lorsqu'un postier ou un pompier venu quêter pour le calendrier lui échappait, il y massacrait la mousse puis l'écorce. Peut-être voulait-il abbatre ce mourant de ses propres griffes ? Après tout, il n'avait fait aucune promesse, lui. Les morts ne l'interressaient pas là où les vivants sollicitaient toute son attention.
"On veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir..."
Les grasses petites miniatures bourgeoises, nettement moins épouvantables et terrifiantes à voir que d'habitude une fois déguisées en monstres hideux, se rappelaient à mon bon souvenir et effaçaient de mon esprit vagabond ces charmants souvenirs d'il y a quelques années.
Je ne sais combien de temps j'étais resté là planté devant ma porte, à contempler sur ma gauche une branche dorénavant couverte de mousse.
Elle n'existait plus que pour le seul bénéfice d'une promesse faite à des morts que je n'ai jamais connus. Et celui des oiseaux, venus effrontément y chercher de quoi batir le nid où s'y reproduirait leur dérisoire existence...
J'ai toujours respecté les morts.
Tant de promesses non tenues, de haines tues et d'amour déçus, d'instants perdus, de culpabilité gravée dans le marbre à jamais pour des fautes que l'on ne pourra jamais...
"on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons"
"Vous êtes vraiment surs ?" répondis-je la main sur la poignée de ma porte à ces échantillons d'une nouvelle génération éperdue de convoitise pour des stupidités industrielles confites.
"Oui on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons...on veut avoir des bonbons"
J'hésitais.
Derrière ma porte, se trouvait le fléau de tous ceux qui se cachent derrière des uniformes et des costumes, de tout ce qui fait du bruit, de tout ce qui bouge si près des frontières de son territoire.
Je l'imaginais, ramassé sur lui-même, le poil hérissé, les muscles tendus, pret à fondre toutes griffes dehors sur les intrus épouvantés à la vue de ses yeux, jaunis par la lueur blafarde de l'éclairage public.
Il ne voyait pas les intrus, mais connaissait la position de chacun d'entre eux en se repérant à leurs beuglements.
"Sinon..." entendis-je avant d'entrouvrir la porte.
Son départ fut si rapide que son arrière train heurta la porte d'entrée, le faisant heureusement pivoter en direction des intrus.
Il dévala l'escalier, habité par le gout du sang, si chaud, si exquis, si doux, une telle friandise délicatement emmaillotée par un emballage de peau si fin...
"On veut avoir des..."
Lorsqu'il sauta sur le muret, à une hauteur dangereusement proche des yeux enfantins, il leur cracha au visage et la plupart reculèrent d'un pas.
Puis il se mit à gronder en poussant des cris épouvantables.
C'est à ce moment qu'ils firent, comme à leur habitude, exactement ce qu'il ne faut pas faire : ils se détournèrent et fuirent, en se dispersant de surcroit, faisant montre d'autant de sollicitude pour leurs camarades vivants que pour la mémoire de leurs ancêtres morts.
Mon petit démon de poils et de crocs allait leur apprendre une importante leçon de vie à coup de griffes à ces petites sucreries sur deux pattes :
être et avoir (un bonbon).
Et comment ils se conjuguent hors de l'univers sucré, entre proies et prédateur.
Ici, un fantôme disparaissait, laissant un chat un instant confus déchiquetter un drap tandis qu'apparaissait un petit enfant grassouillet. L'horreur féline sembla prendre les jambes du bambin pour la branche d'un certain arbre torturé par l'obscurité.
L'enfant hurla.
Sage décision : de par ma douloureuse expérience, seul un cri puissant ou un extincteur ont la force de conviction nécessaire pour détourner l'attention de la bête vers une autre proie. Ce qu'elle fit volontiers.
"Thon !" m'entendis-je hurler, sachant que ce mot ferait revenir un chat domestique à la simple évocation de son paradis. Les enfants reviendraient piteusement vers le leur, de paradis, en se goinfrant des produits de leur racket.
Un esprit simple dans un corps gras, triste dissolution de l'enfance dans une société enfin homogéne et égalitaire dans l'idiotie à défaut de se trouver fraternelle et libre.
Dépourvue de mémoire aussi me dis-je avant d'évoquer celle de mes chers disparus.
Elle est si douce, passé un certain âge, cette déchirure qui nous rappelle à quel point, il y a longtemps, nous avons été capables d'aimer.


Bon tu auras compris que, contrairement à l'anecdote du type d'EDF venu relever le compteur (laquelle est véridique), celle ci est une pure fiction et relate des évênements qui ne se produiront pas avant 4 jours.
Bonjour à tous !
Une bise particulière à coline et à Bertrand que j'espère sauvé des eaux.

première chose lue de bon matin, l'envolée miaouesque de Boc : c'est bien !
bonjour à tous !

Salut par là,
on a changé d'heure ?! Me demandais aussi pourquoi petite Rachel s'était levée à 5h30 ;-P

tu n'as pas trouvé le bouton de changement d'heure sur petite Rachel? :o)
bonjour Yali !

Salut Polgara.
Bon, crevé ou pas : travailler !

Yo Janis !
JE VEUX DE LA NEIGE !!!!!!!!!!!!!!!!

Bonjour à chacune et à chacun.
Ici on rentre du bois en prévision de...

Bonjour VE !
Quelle heure est-il, en fin de compte ?

Mes voisins et moi nous partageons une minette des rues devenue par nos soins conjugués une aristochatte. Chez moi, elle a choisi le couvert. Chez eux, le gîte. Mais les voisins s'absentant pour quelques jours m'ont demandé de lui ouvrir ma porte la nuit. La minette a été adorable. Elle ne m'a réveillée que quatre fois, demandant à sortir. A chaque fois, la froidure lui a recommandé de revenir à l'intérieur. Et pour passer le temps, elle a grimpé sur mon lit et n'a eu de cesse de traquer le moindre mouvement de mes orteils pour y planter ses griffes et ses dents pointues. Ô quelle nuit !
De plus, j'avais oublié de lui signifier le changement d'heure. Alors l'heure de plus au lit... tintin !

chrystie12 a écrit:Bonjour à chacune et à chacun.
Ici on rentre du bois en prévision de...

Ah tiens, je vais allumer ma cheminée pour faire disparaître en toute discrétion des revues coupables que je n'ai jamais osé mettre au container à papiers. J'ai découvert ces choses en faisant du rangement dans la chambre de mon fiston quand il était ado et habitait sous mon toit.

Bonjour les gens, bonjour les chats.
J'adore les histoires de chatchiants, la tienne Iris m'est très familière, ils ont un culot ces animaux ! Et le pire, c'est qu'on s'extasie et qu'on en redemande, c'est ça le chatcharme...
Dans le même genre, les enfants (petits), c'est pas mal non plus, j'admets :-)

euh

les grands aussi !

bonjour les jeunettes

parfois... les grands ;-)
(en vrai, j'ai plus d'affinités avec les grands que les petits)

bonjour grande Janis !