Rêves infinis et réalité cruelle
2 participants
Page 1 sur 1
Rêves infinis et réalité cruelle
Bonjour à tous,
Ceci étant mon premier texte ce n'est pas pour autant que j'en attends un certains égards de votre part.
Soyez direct sans prendre de gants. Après tout, tout le monde est ici pour s'améliorer non ?
Je suis d'avance désoler pour mon manque de richesse au niveau du vocabulaire et certaines fautes que j'aurais pus laisser. Je profite aussi de ce premier "post" pour saluer tout le monde qui passerait par là.
Aucune autre présentation nécessaire vous êtes les seul juges.
(N'étant pas ce que nous pouvons appeler un fan des forums j'admets avoir eu du mal à trouver la bonne rubrique. Si toutefois celle-ci n'étant pas la bonne, je m'en excuse.)
Stafan,
Ceci étant mon premier texte ce n'est pas pour autant que j'en attends un certains égards de votre part.
Soyez direct sans prendre de gants. Après tout, tout le monde est ici pour s'améliorer non ?
Je suis d'avance désoler pour mon manque de richesse au niveau du vocabulaire et certaines fautes que j'aurais pus laisser. Je profite aussi de ce premier "post" pour saluer tout le monde qui passerait par là.
Aucune autre présentation nécessaire vous êtes les seul juges.
Rêves infinis et réalité cruelle
Je ne sais pas comment les décrire, mes rêves
Certains me diront qu'ils sont naïf et mièvres
Moi je les vois doux, tristes, puissants et remplis d'espoir
Mais mis à par moi qui peux savoir
Ce que je vois et ressens, dans toutes ces histoires ?
Des choses impensables dans des lieux incroyables
Des femmes à la beauté inconcevable
Qui restent immuable face aux agressions du temps
Elles ont toutes les yeux bleus
Comme un ciel d'été à la première heure du jour
Simplement habillé, cheveux longs, pieds nus,
Nous relatons nos histoires d'amour
Quelquefois au bord de mer
A la rencontre de cette mystérieuse femme
Au cheveu blonds ballottés par le vent et qui me sourit
Sur d'anciennes planches de bois d'un embarcadère
Nous restons là. Avant-bras posés sur le garde-corps
Attendant le lever de soleil sans dire un mot
Quand enfin je me retourne vers elle pour lui dire que je l'aime
Je me retrouve seul, face à la mer
Le vent marin fouettant mon visage
Je peux être dans un sous-sol
Faiblement éclairé par les rayons de la lune
S'infiltrant par une piètre fenêtre
Accompagné d'une jeune fille à la robe rouge
Sans sous-vêtements et aux pieds nues
En contact avec le béton glacé
Pleurant toutes les larmes de son corps
Dans ce sinistre endroit
Je peux être en haut d'un colline
Où elle porte une robe à fleure colorée
Qui contraste avec une ville monochromatique
Cette fois-ci brune, je la regarde avec désir
Elle me parle de son enfance joyeuse,
De sa famille et de ce que nous deviendrons.
Nous savons tout deux que ce ne sont que de vaines paroles
Et que d'ici demain elle sera partie
En train, comme des milliers d'autres
Et qu'elle ne reviendra jamais
Je veux la convaincre mais un convoi arrive
Je lui donne un dernier baiser
En regardant les croix s'approcher
J'espère qu'elle à prise l'escalier menant au paradis
Car regardant à travers les arbres
Je ne vois qu'une fumée noirâtre
Venant de l'endroit où tous ont été emmenés
Mais à chaque fois lorsque vient l'heure de nous quitter
J'aperçois de petits nuages de larmes
dans ses yeux couleur ciel d'été.
Je ne sais pas comment les décrire, mes rêves
Certains me diront qu'ils sont naïf et mièvres
Moi je les vois doux, tristes, puissants et remplis d'espoir
Mais mis à par moi qui peux savoir
Ce que je vois et ressens, dans toutes ces histoires ?
Des choses impensables dans des lieux incroyables
Des femmes à la beauté inconcevable
Qui restent immuable face aux agressions du temps
Elles ont toutes les yeux bleus
Comme un ciel d'été à la première heure du jour
Simplement habillé, cheveux longs, pieds nus,
Nous relatons nos histoires d'amour
Quelquefois au bord de mer
A la rencontre de cette mystérieuse femme
Au cheveu blonds ballottés par le vent et qui me sourit
Sur d'anciennes planches de bois d'un embarcadère
Nous restons là. Avant-bras posés sur le garde-corps
Attendant le lever de soleil sans dire un mot
Quand enfin je me retourne vers elle pour lui dire que je l'aime
Je me retrouve seul, face à la mer
Le vent marin fouettant mon visage
Je peux être dans un sous-sol
Faiblement éclairé par les rayons de la lune
S'infiltrant par une piètre fenêtre
Accompagné d'une jeune fille à la robe rouge
Sans sous-vêtements et aux pieds nues
En contact avec le béton glacé
Pleurant toutes les larmes de son corps
Dans ce sinistre endroit
Je peux être en haut d'un colline
Où elle porte une robe à fleure colorée
Qui contraste avec une ville monochromatique
Cette fois-ci brune, je la regarde avec désir
Elle me parle de son enfance joyeuse,
De sa famille et de ce que nous deviendrons.
Nous savons tout deux que ce ne sont que de vaines paroles
Et que d'ici demain elle sera partie
En train, comme des milliers d'autres
Et qu'elle ne reviendra jamais
Je veux la convaincre mais un convoi arrive
Je lui donne un dernier baiser
En regardant les croix s'approcher
J'espère qu'elle à prise l'escalier menant au paradis
Car regardant à travers les arbres
Je ne vois qu'une fumée noirâtre
Venant de l'endroit où tous ont été emmenés
Mais à chaque fois lorsque vient l'heure de nous quitter
J'aperçois de petits nuages de larmes
dans ses yeux couleur ciel d'été.
(N'étant pas ce que nous pouvons appeler un fan des forums j'admets avoir eu du mal à trouver la bonne rubrique. Si toutefois celle-ci n'étant pas la bonne, je m'en excuse.)
Stafan,
stafan- Nombre de messages : 7
Age : 32
Date d'inscription : 02/11/2012
Re: Rêves infinis et réalité cruelle
bonsoir Stafan et bienvenue,
Il y a beaucoup trop de fautes : orthographe, ponctuation, temps, lourdeur, faute d'inattention peut-être, aussi : « Attendant le lever de soleil »
Pourquoi l'avoir centrer ? Il n'y a pas de justification, et perso... pfff,
Un conseil : relis ton texte avant de le coller, et fait "prévisualiser" avant de le poster, paroles de pucelle !
Bref, tu ne m'as pas embarquée dans tes rêves, et j'en suis restée à la réalité cruelle... sniff, sniff,
Il y a beaucoup trop de fautes : orthographe, ponctuation, temps, lourdeur, faute d'inattention peut-être, aussi : « Attendant le lever de soleil »
Pourquoi l'avoir centrer ? Il n'y a pas de justification, et perso... pfff,
Un conseil : relis ton texte avant de le coller, et fait "prévisualiser" avant de le poster, paroles de pucelle !
Bref, tu ne m'as pas embarquée dans tes rêves, et j'en suis restée à la réalité cruelle... sniff, sniff,
Pussicat- Nombre de messages : 4841
Age : 56
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Rêves infinis et réalité cruelle
Étant donné que je ne peux pas modifier le message cela sera très difficile de me corriger.
Après une relecture j'ai effectivement vu quelques fautes (grammaires) et j'en suis désoler.
Pour ce qui est de la ponctuation je l'avais auparavant posté sur un autre site (après quelques modifications) et ça n'a pas donné le résultat escompté sur vosecrits.com (le texte étant parfaitement compréhensible sans virgule ni point grâce à la mise en page).
Les "temps et lourdeur" viennent donc de là, de la ponctuation.
Comment puis-je faire pour modifier ce texte ?
PS: Mis à part les fautes qui sont entièrement de ... ma faute, aurais-tu d'autres conseils pour m'améliorer ?
< Comme vous l'indique très judicieusement Pussicat ci-dessous, prière à l'avenir de bien vouloir intervenir ICI pour réagir fréquemment aux commentaires, cela afin d'éviter de faire remonter ou maintenir vous-même votre texte en haut de page au détriment de ceux des autres auteurs.
Les textes ré-écrits ou corrigés peuvent bien sûr être postés ici même à la suite du premier.
La fonction EDITER est inhibée sur VOS ECRITS pour des raisons très compréhensibles de cohérence des commentaires ultérieurs des lecteurs.
Pour vos réactions, vous pouvez poster ici à condition de regrouper vos réponse après plusieurs commentaires (au moins 3 ou 4).
Merci.
La Modération >
.
Après une relecture j'ai effectivement vu quelques fautes (grammaires) et j'en suis désoler.
Pour ce qui est de la ponctuation je l'avais auparavant posté sur un autre site (après quelques modifications) et ça n'a pas donné le résultat escompté sur vosecrits.com (le texte étant parfaitement compréhensible sans virgule ni point grâce à la mise en page).
Les "temps et lourdeur" viennent donc de là, de la ponctuation.
Comment puis-je faire pour modifier ce texte ?
PS: Mis à part les fautes qui sont entièrement de ... ma faute, aurais-tu d'autres conseils pour m'améliorer ?
< Comme vous l'indique très judicieusement Pussicat ci-dessous, prière à l'avenir de bien vouloir intervenir ICI pour réagir fréquemment aux commentaires, cela afin d'éviter de faire remonter ou maintenir vous-même votre texte en haut de page au détriment de ceux des autres auteurs.
Les textes ré-écrits ou corrigés peuvent bien sûr être postés ici même à la suite du premier.
La fonction EDITER est inhibée sur VOS ECRITS pour des raisons très compréhensibles de cohérence des commentaires ultérieurs des lecteurs.
Pour vos réactions, vous pouvez poster ici à condition de regrouper vos réponse après plusieurs commentaires (au moins 3 ou 4).
Merci.
La Modération >
.
stafan- Nombre de messages : 7
Age : 32
Date d'inscription : 02/11/2012
Re: Rêves infinis et réalité cruelle
Commencez par poster vos commentaires sur le fil : "Discussions autour de nos textes" / section Poésie !
Pussicat- Nombre de messages : 4841
Age : 56
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Rêves infinis et réalité cruelle
Stafan, bienvenue au club,tu as du potentiel et une jolie marge de progression
Tu peux poster ton texte corrigé sur ce même fil
c'est d'ailleurs le principe de ce forum qui se veut atelier d'écriture
un conseil
ton poème est un peu longuet
tu peux en faire des petits, plus faciles à corriger
Tu peux poster ton texte corrigé sur ce même fil
c'est d'ailleurs le principe de ce forum qui se veut atelier d'écriture
un conseil
ton poème est un peu longuet
tu peux en faire des petits, plus faciles à corriger
Invité- Invité
Re: Rêves infinis et réalité cruelle
Désoler de ma longue absence.
Grâce aux commentaires constructif de Pussicat, j'ai modifié quelques petites choses.
Le texte n'est plus centré. Avec l'ajout de ponctuation (nombreux points et virgules), diminution des "temps,lourdeur", je l'espère. Pour l'orthographe, j'ai fais ce qui me sautais aux yeux. Et comme il en reste certainement encore beaucoup trop je m'en excuse d'avance, encore une fois.
J'en profite pour répondre à Tizef que, pour ma part, ce texte n'est pas "découpable" en plusieurs morceaux. Si vous le lisez et le comprenez comme je l'ai écris, vous penserez pareil. Dans le cas contraire, ce serais totalement de ma faute.
Voici donc ce texte. J'en attends vos critiques avec impatience !
Rêves infinis et réalité cruelle.
Je ne sais pas comment les décrire, mes rêves. Certains me diront qu'ils sont naïfs et mièvres.
Moi je les vois doux, tristes, puissants et remplis d'espoir. Mais mis à part moi, qui peut savoir, ce que je vois et ressens, dans toutes ces histoires ?
Des choses impensables, dans des lieux incroyables ! Des femmes à la beauté inconcevable, restant immuables face aux agressions du temps. Elles ont, curieusement, toutes les yeux bleus.
Comme un ciel d'été à la première heure du jour. Se retrouvant simplement habillées, cheveux longs et pieds nus. La plupart du temps nous relatons nos histoires d'amour.
Quelquefois au bord de mer. A la rencontre de cette mystérieuse femme, souriante et aux cheveux ballotés par le vent. Sur d'anciennes planches de bois d'un embarcadère, nous restons là, avant-bras posés sur le garde-corps à attendre le lever du soleil, sans dire un mot.
Quand enfin je me retourne vers elle, pour lui dire que je l'aime, je me retrouve seul.
Seul face à la mer, seul avec ce vent marin qui fouette mon visage.
Je peux être dans un sous-sol.
Faiblement éclairé, par les rayons de la lune s'infiltrant par une piètre fenêtre.
Accompagné d'une jeune fille à la robe rouge, sans sous-vêtements, et aux pieds nues en contact avec le béton glacé. Elle se retrouve ici, avec moi, pleurant toutes les larmes de son corps dans ce sinistre endroit.
Je peux être en haut d'un colline.
Où elle porte une robe à fleure colorée contrastant avec une ville monochromatique.
Cette fois-ci brune, je la regarde avec désir.
Elle me parle de son enfance joyeuse, de sa famille, de ce que nous deviendrons.
Nous savons tout deux que ce ne sont que de vaines paroles.
Et que d'ici demain, elle sera partie, en train, comme des milliers d'autres.
Elle ne reviendra jamais.
Je veux la convaincre mais un convoi arrive. Je lui donne un dernier baiser, en regardant les croix s'approcher.
J'espère qu'elle à pris l'escalier menant au paradis.
Car regardant à travers les arbres, je ne vois qu'une fumée noirâtre.
Venant de l'endroit où tous ont été emmenés.
Mais à chaque fois lorsque vient l'heure de nous quitter.
J'aperçois de petits nuages de larmes, dans ses yeux couleur ciel d'été.
PS: Pour mes prochains textes, si ceux-ci s'améliorent et que je continue d'en écrire. Ils seront plus court.
J'en ai déjà commencer un mais j'attends vos aides et corrections pour les intégrer à mon prochain récit.
< Comme vous l'indique très judicieusement Pussicat ci-dessus, prière à l'avenir de bien vouloir intervenir ICI pour réagir fréquemment aux commentaires, cela afin d'éviter de faire remonter ou maintenir vous-même votre texte en haut de page au détriment de ceux des autres auteurs.
Les textes ré-écrits ou corrigés peuvent bien sûr être postés ici même à la suite du premier.
La fonction EDITER est inhibée sur VOS ECRITS pour des raisons très compréhensibles de cohérence des commentaires ultérieurs des lecteurs.
Pour vos réactions, vous pouvez poster ici à condition de regrouper vos réponses après plusieurs commentaires, au moins 4 ou 5.
Par ailleurs, vous devez faire un gros effort pour l'orthographe ! Relisez svp attentivement le texte de notre page d'accueil à ce sujet... Utilisez le correcteur de Word, utilisez le site www.bonpatron.com , faites-vous lire et relire par des connaissances, etc, mais faites un effort svp.
Merci.
La Modération >
.
Grâce aux commentaires constructif de Pussicat, j'ai modifié quelques petites choses.
Le texte n'est plus centré. Avec l'ajout de ponctuation (nombreux points et virgules), diminution des "temps,lourdeur", je l'espère. Pour l'orthographe, j'ai fais ce qui me sautais aux yeux. Et comme il en reste certainement encore beaucoup trop je m'en excuse d'avance, encore une fois.
J'en profite pour répondre à Tizef que, pour ma part, ce texte n'est pas "découpable" en plusieurs morceaux. Si vous le lisez et le comprenez comme je l'ai écris, vous penserez pareil. Dans le cas contraire, ce serais totalement de ma faute.
Voici donc ce texte. J'en attends vos critiques avec impatience !
Rêves infinis et réalité cruelle.
Je ne sais pas comment les décrire, mes rêves. Certains me diront qu'ils sont naïfs et mièvres.
Moi je les vois doux, tristes, puissants et remplis d'espoir. Mais mis à part moi, qui peut savoir, ce que je vois et ressens, dans toutes ces histoires ?
Des choses impensables, dans des lieux incroyables ! Des femmes à la beauté inconcevable, restant immuables face aux agressions du temps. Elles ont, curieusement, toutes les yeux bleus.
Comme un ciel d'été à la première heure du jour. Se retrouvant simplement habillées, cheveux longs et pieds nus. La plupart du temps nous relatons nos histoires d'amour.
Quelquefois au bord de mer. A la rencontre de cette mystérieuse femme, souriante et aux cheveux ballotés par le vent. Sur d'anciennes planches de bois d'un embarcadère, nous restons là, avant-bras posés sur le garde-corps à attendre le lever du soleil, sans dire un mot.
Quand enfin je me retourne vers elle, pour lui dire que je l'aime, je me retrouve seul.
Seul face à la mer, seul avec ce vent marin qui fouette mon visage.
Je peux être dans un sous-sol.
Faiblement éclairé, par les rayons de la lune s'infiltrant par une piètre fenêtre.
Accompagné d'une jeune fille à la robe rouge, sans sous-vêtements, et aux pieds nues en contact avec le béton glacé. Elle se retrouve ici, avec moi, pleurant toutes les larmes de son corps dans ce sinistre endroit.
Je peux être en haut d'un colline.
Où elle porte une robe à fleure colorée contrastant avec une ville monochromatique.
Cette fois-ci brune, je la regarde avec désir.
Elle me parle de son enfance joyeuse, de sa famille, de ce que nous deviendrons.
Nous savons tout deux que ce ne sont que de vaines paroles.
Et que d'ici demain, elle sera partie, en train, comme des milliers d'autres.
Elle ne reviendra jamais.
Je veux la convaincre mais un convoi arrive. Je lui donne un dernier baiser, en regardant les croix s'approcher.
J'espère qu'elle à pris l'escalier menant au paradis.
Car regardant à travers les arbres, je ne vois qu'une fumée noirâtre.
Venant de l'endroit où tous ont été emmenés.
Mais à chaque fois lorsque vient l'heure de nous quitter.
J'aperçois de petits nuages de larmes, dans ses yeux couleur ciel d'été.
PS: Pour mes prochains textes, si ceux-ci s'améliorent et que je continue d'en écrire. Ils seront plus court.
J'en ai déjà commencer un mais j'attends vos aides et corrections pour les intégrer à mon prochain récit.
< Comme vous l'indique très judicieusement Pussicat ci-dessus, prière à l'avenir de bien vouloir intervenir ICI pour réagir fréquemment aux commentaires, cela afin d'éviter de faire remonter ou maintenir vous-même votre texte en haut de page au détriment de ceux des autres auteurs.
Les textes ré-écrits ou corrigés peuvent bien sûr être postés ici même à la suite du premier.
La fonction EDITER est inhibée sur VOS ECRITS pour des raisons très compréhensibles de cohérence des commentaires ultérieurs des lecteurs.
Pour vos réactions, vous pouvez poster ici à condition de regrouper vos réponses après plusieurs commentaires, au moins 4 ou 5.
Par ailleurs, vous devez faire un gros effort pour l'orthographe ! Relisez svp attentivement le texte de notre page d'accueil à ce sujet... Utilisez le correcteur de Word, utilisez le site www.bonpatron.com , faites-vous lire et relire par des connaissances, etc, mais faites un effort svp.
Merci.
La Modération >
.
stafan- Nombre de messages : 7
Age : 32
Date d'inscription : 02/11/2012
Re: Rêves infinis et réalité cruelle
Stafan, tu as fait un gros effort pour corriger ton texte. Je ne vois que deux fautes encore :
aux pieds nues en contact avec le béton glacé (aux pieds nus)
une robe à fleure colorée(à fleurs)
et une virgule à supprimer, qui peut savoir, ce que je vois et ressens, pas de virgule après savoir.
Dans le PS, une virgule après écrire et non un point, puis Ils seront plus court(courts)
et enfin J'en ai déjà commencer un (commencé).
Pour le fond, c'est gentil mais je ne trouve pas grand intérêt à l'exposition de ces rêves. Cela vient sans doute de la façon dont ils sont exprimés.
Le seul passage qui m'a touchée c'est l'évocation du convoi qui arrive, des croix qui approchent et la fumée au loin...
Il faut continuer à écrire, lire aussi de bons auteurs pour améliorer ta syntaxe, ton style et ton orthographe, mais il y a là un potentiel visible.
Bon courage. A te lire encore.
aux pieds nues en contact avec le béton glacé (aux pieds nus)
une robe à fleure colorée(à fleurs)
et une virgule à supprimer, qui peut savoir, ce que je vois et ressens, pas de virgule après savoir.
Dans le PS, une virgule après écrire et non un point, puis Ils seront plus court(courts)
et enfin J'en ai déjà commencer un (commencé).
Pour le fond, c'est gentil mais je ne trouve pas grand intérêt à l'exposition de ces rêves. Cela vient sans doute de la façon dont ils sont exprimés.
Le seul passage qui m'a touchée c'est l'évocation du convoi qui arrive, des croix qui approchent et la fumée au loin...
Il faut continuer à écrire, lire aussi de bons auteurs pour améliorer ta syntaxe, ton style et ton orthographe, mais il y a là un potentiel visible.
Bon courage. A te lire encore.
Invité- Invité
Re: Rêves infinis et réalité cruelle
Je voudrais ajouter que je verrais mieux ce texte section "prose" et non "poésie".
Ce ne sont pas des vers, ni classiques ni libérés. A mon sens c'est de la prose.
Ce ne sont pas des vers, ni classiques ni libérés. A mon sens c'est de la prose.
Invité- Invité
Re: Rêves infinis et réalité cruelle
Tout comme embellie, je pense que ce texte est fait pour être posté en section "prose" et non en "poésie", rien ne le justifie.
Ensuite QUI rêve ?
Toi, je ?
Un personnage ?
Qui est-il ?
Il y aurait un intérêt à lire ces "rêves" si le personnage était installé, avait une épaisseur extérieure aux rêves, ou, si tu le faisais sortir du sommeil, des rêves, pour le faire revenir à une réalité et nous embarquer dans un voyage de correspondances entre rêves et réalité vécue. C'est mon sentiment : les inclure dans un projet, une histoire.
En revanche, si c'est toi-je, je ne vois aucun intérêt pour le lecteur à lire ces rêves.
Mais c'est un avis parmi tant d'autres...
à bientôt de te lire
Ensuite QUI rêve ?
Toi, je ?
Un personnage ?
Qui est-il ?
Il y aurait un intérêt à lire ces "rêves" si le personnage était installé, avait une épaisseur extérieure aux rêves, ou, si tu le faisais sortir du sommeil, des rêves, pour le faire revenir à une réalité et nous embarquer dans un voyage de correspondances entre rêves et réalité vécue. C'est mon sentiment : les inclure dans un projet, une histoire.
En revanche, si c'est toi-je, je ne vois aucun intérêt pour le lecteur à lire ces rêves.
Mais c'est un avis parmi tant d'autres...
à bientôt de te lire
Pussicat- Nombre de messages : 4841
Age : 56
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|