Ça s'est passé près de chez moi

Première étape, l'idée de "Bien commun" (au sens moral) disparait (Sebastien ne s'en est toujours pas remis et moi non plus)
Deuxième étape, l'idée de "Bien commun" (au sens de propriété) disparait également (lorsque le "bien" en question est synonyme de beauté c'en est d'autant plus triste)
Troisième étape : Il nous reste la connerie, fort commune, qui dévaste le tout pour se "sentir exister" pour reprendre une formulation Sebastienne.

embellie a écrit:Je cherche en vain les motivations possibles à une agression aussi stupide

la bêtise

boc21fr a écrit:Première étape, l'idée de "Bien commun" (au sens moral) disparait (Sebastien ne s'en est toujours pas remis et moi non plus)
Deuxième étape, l'idée de "Bien commun" (au sens de propriété) disparait également (lorsque le "bien" en question est synonyme de beauté c'en est d'autant plus triste)

c'est accorder beaucoup d'intelligence aux gens qui commettent de tels actes

début de matinée bof bof ... tout d'abord, le vieux chêne à côté de ma maison a laissé tomber, d'une dizaine de mètres, un gland sur le toit de ma voiture que j'allais démarrer. Je déteste sursauter le matin et là, je me dis que la journée commence mal.

et puis, pas moyen de trouver une place de parking... après 30mn à tourner dans les rues, enfin, en voilà une ... je vais arriver tard au boulot mais bon, ça y est. et donc, je sors. machinalement, je ferme à clé et puis je fais le tour pour récupérer un truc côté passager, je vais pour ouvrir et crac, la poignée de la porte me reste dans la main ... ben oui, c'était fermé à clé ! Donc soit je prends trop de vitamines, soit les poignées de porte de voiture ne sont pas bien solides ...

t'es pas rentré chez toi de suite ? :-)

Charles a écrit: je fais le tour pour récupérer un truc côté passager, je vais pour ouvrir et crac, la poignée de la porte me reste dans la main ... ben oui, c'était fermé à clé ! Donc soit je prends trop de vitamines, soit les poignées de porte de voiture ne sont pas bien solides ...

les yeux embués de sommeil, t'aurais pas confondu avec ta poubelle ?
;-)

mentor a écrit:

Charles a écrit: je fais le tour pour récupérer un truc côté passager, je vais pour ouvrir et crac, la poignée de la porte me reste dans la main ... ben oui, c'était fermé à clé ! Donc soit je prends trop de vitamines, soit les poignées de porte de voiture ne sont pas bien solides ...

les yeux embués de sommeil, t'aurais pas confondu avec ta poubelle ?
;-)

J'ai un peu honte car Charles m'a invité à manger une fondue (:-)))) mais je ne peux m'empêcher de rire à la remarque de mentor ;-)

on avait dit tous chez moi pour la fondue Peter, donc no stress :-))

Charles a écrit:début de matinée bof bof ... tout d'abord, le vieux chêne à côté de ma maison a laissé tomber, d'une dizaine de mètres, un gland sur le toit de ma voiture que j'allais démarrer. Je déteste sursauter le matin et là, je me dis que la journée commence mal.

et puis, pas moyen de trouver une place de parking... après 30mn à tourner dans les rues, enfin, en voilà une ... je vais arriver tard au boulot mais bon, ça y est. et donc, je sors. machinalement, je ferme à clé et puis je fais le tour pour récupérer un truc côté passager, je vais pour ouvrir et crac, la poignée de la porte me reste dans la main ... ben oui, c'était fermé à clé ! Donc soit je prends trop de vitamines, soit les poignées de porte de voiture ne sont pas bien solides ...

Je dirais que l'attention accrue que tu portes à ces phénomènes assez communs indique :
1-> que tu te prends pour un gland
2-> que tu ne trouves plus ta place à ton boulot
3-> rappelle moi de ne jamais faire un bras de fer avec toi...

Evidement je déconne...
Ok je retourne me coucher

1-> que tu te prends pour un gland

Un gland qui tombe sur sa voiture, tout bon psychiatre vous parlera des effets dévastateurs d'une mère castratrice, du poids que ce gland représente dans l'inconscient de Charles... Il ne resterait pas une place pour moi dans ton lit boc21fr ?

1-> que tu te prends pour un gland

Il ne resterait pas une place pour moi dans ton lit boc21fr ?

Attends deux secondes...
Psssst Mentor, y' a Pete qui t'a retrouvé...
comment ça ta jambe ? Qu'est-ce qu'elle a ta jambe ?

boc21fr a écrit:Attends deux secondes...
Psssst Mentor, y' a Pete qui t'a retrouvé...
comment ça ta jambe ? Qu'est-ce qu'elle a ta jambe ?

Qu'est ce que tu croyais, avec tout ce qu'il y a eu entre mentor et moi, même en essayant de me fuir, je le retrouverais toujours ; et toi et ton chat n'y changeront jamais rien ;-)

boc21fr a écrit:Evidement je déconne...

évidement c'est bien creux tout ça
;-)

...C'est un espace clos, sans lumière ou presque, un couloir étroit et étouffant comme une boîte en sapin.
...C'est un jour - mais un jour entier hein, un vrai jour, pas de ceux qui se font remarquer avec leur ciel bleu ou gris ou plein de vent, un vrai jour plus long que tout ce qu'on peut imaginer.
...Ce sont des gens qui se battent.
...L'un pour l'autre, l'autre pour lui-même. A coups de n'importe quoi, de sourires, de pleurs, de cris, de silences, à coups d'yeux qui font mal, qui caressent, peut-être même qui ressuscitent.
...Il y a là des histoires que personne ne pourrait écrire.
...Des choses trop vraies pour que quiconque les croie - je le sais, j'ai essayé.

...Et on me dit par-ci que c'est la vie.
...Et me répète par-là que c'est mon métier.
...Et on me fait presque comprendre, quand on n'y connaît rien, qu'il est encore possible d'arrêter, de partir, de faire autre chose.

...Oui mais voilà, moi je dis que, et les bien-pensants le prendront comme ils le voudront, ce n'est pas un métier.

...Donnez-moi vingt-quatre heures là-bas et j'y vivrai cent vies.
...J'y rirai mille fois.
...Y pleurerai quelques autres.
...Râlerai contre la fatigue mais remercierai - remercierai qui, d'ailleurs ? - qui de droit pour ces instants de calme de néons, entre l'aube et le silence, ces moments où, au-delà de tout, je me sens vivant.

...Donnez-moi un jour là-bas pour que je reste debout malgré la capuchonnée qui m'appuie dessus. Qui pousse des râles sur mes bras nus - fait froid, ici. Qui sait se rappeler à nous en permanence, comme une odeur dont on ne se débarrasse pas, comme une alarme presque muette qui rebondit sur le carrelage jusqu'au fond des os.

...Donnez-moi tout ça et j'irai dormir en rentrant.

...Donnez-moi ça et je vivrai cent vies.

Glisse deux ou trois vies dans ma petite valise, je les distribuerai ce week-end, je vais encore croiser des regards affamés d'espoir et rien que ça me fiche la trouille, une fois de plus.

Kazar je t'aime. C'est définitif.

kazar, tu aurais pu poster ton texte dans la partie prose, c'est un petit "bijou" à part entrière
histoire de le cataloguer au lieu de le laisser s'enfermer dans ce fuseau un peu fourre-tout
vous vexez pas, les autres ! ;-)

Il me semblait bien à propos, dans "ça s'est passé près de chez moi".

Mais si tu veux le déplacer, et le nommer... je sais pas, moi... "Cent vies", ça ira tout aussi bien ;-)

kazar a écrit:Il me semblait bien à propos, dans "ça s'est passé près de chez moi".

Mais si tu veux le déplacer, et le nommer... je sais pas, moi... "Cent vies", ça ira tout aussi bien ;-)

non, ça je sais pas faire, détacher juste un post et le déplacer
le mieux est que tu le fasses toi-même
crée un nouveau sujet où tu veux avec ce titre, oui, pas mal

Oui, ce serait une bonne idée ça Matt !

Johny B, c'est le nom que j'ai presque donné au rat d'au moins deux livres que nous avons trouvé dans la trappe à rongeur installée sur le parterre de fleur. Johny B me regardait en couinant : il avait la queue coincée sous un ressort. Johny B couinait comme un porc, donc, mais avec ses yeux, Johny B me suppliait d'entrouvrir cette damnée porte juste au moins pour qu'il puisse se libérer l'organe. Je me suis exécuté, bazard, avoir la queue comme-ça coincée, j'en couine d'avance : aussi.
Fort évidemment, dégagé de l'étreinte du métal, Johny B ne me regardait plus, occupé à limer le grillage de métal à grand coup d'incisives. Il ne faisait plus un bruit mais regardait sa mort avec des yeux plissé : il essayerait jusqu'au bout, au moins avait-il quelque chose à faire en l'attendant.

Johny B blues
grumpy
clumsy
moody
Johny B blues
hungry
thirsty
dizzy
Johny B est au paradis.

Good (y)...

Johny B. good.
Facile, oui je sais mais vous me fichez le bourdon toi et Kazar avec vos histoires à retourner les sangs...

Ah ! Peter ! touché !!!

Easter(Island) a écrit:Ah ! Peter ! touché !!!

Tu n'es pas encore assez rapide petit scarabée ;-)))

Johny B. good. était facile mais bigoudi c'était vraiment pourri ! ;-)

Beau mais triste texte pandaworks...

Oui mais que voulez-vous que je fasse d'un rat de 1 kilo à 9 heures du matin, sincèrement.
Une idée m'a traversée, oui, mais nous n'avons pas l'autorisation d'avoir des animaux de compagnie dans la maison que nous louons.

Aurait-il survécu si les nombres avaient été autres ?

Assassin...

En mémoire de Johny B

Je pense surtout que c'est un problème de lieu.
Je vais rentrer. A vrai dire, je ne sais pas ce qu'il est advenu de JB.
J'éspère ne pas le trouver en arrivant.

On dirait Antoine De Caunes.

pandaworks a écrit:On dirait Antoine De Caunes.

Il a joué dans Ratboy, un succès interplanétaire en Papouasie...

D'après la légende il aurait par la suite mal tourné jusqu'à devenir un jour scélérat !

Je me permets, c'est mieux que mes commentaires !!!

pandaworks a écrit:Johny B, c'est le nom que j'ai presque donné au rat d'au moins deux livres que nous avons trouvé dans la trappe à rongeur installée sur le parterre de fleur. Johny B me regardait en couinant : il avait la queue coincée sous un ressort. Johny B couinait comme un porc, donc, mais avec ses yeux, Johny B me suppliait d'entrouvrir cette damnée porte juste au moins pour qu'il puisse se libérer l'organe. Je me suis exécuté, bazard, avoir la queue comme-ça coincée, j'en couine d'avance : aussi.
Fort évidemment, dégagé de l'étreinte du métal, Johny B ne me regardait plus, occupé à limer le grillage de métal à grand coup d'incisives. Il ne faisait plus un bruit mais regardait sa mort avec des yeux plissé : il essayerait jusqu'au bout, au moins avait-il quelque chose à faire en l'attendant.

Johny B blues
grumpy
clumsy
moody
Johny B blues
hungry
thirsty
dizzy
Johny B est au paradis.

Vos histoires peu rationnelles m'ont ratiboisée

en rat-goût, pourtant...

pas même en ragout
pas même en ravi au lit

"rond et rond petit ratapon
et carré carré, petit rat tapé ..." comme on chantait dans le foyer de l'Opérat...

J'avais mijoté, mais surtout travaillé de longues heures, sur une sorte de plan social visant à relever les bas salaires et valoriser les gens qui ont la présence d'esprit d'être performant dans leur domaine.
Y sont pas contents, les uns refusant les promotions qui leur sont proposées, les autres dédaignant les montants qui leur sont assignés.
Entre colère et abattement, je fume un clope qui ne répond à rien.
Je devrais diminuer.

Au moins, le clope n'ergote pas, puisqu'il ne répond pas... C'est un côté très sympa qu'ont les objets.

pandaworks a écrit:je fume un clope

Je ne m'y ferai jamais...