Le passé
+2
Aoshi
Kali Lorca
6 participants
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Le passé
Monde inondé de bonheur,
De tant de couleurs.
Temps bercé d’amour,
Où tout demeure toujours.
Là où les amoureux roucoulent,
Où il y a tant de foule,
Où rien ne s’oublie,
D’où personne ne fuit.
Tant de jours,
D’amour du toujours.
Les souvenirs du bonheur passé,
Avec les heures transfigurées.
Un monde éternel,
A peine irréel.
Le passé tant aimé,
Jamais fatigué.
Des bleus, des verts,
Les couleurs d’hivers.
Les ciels d’automne,
Le vent qui fredonne.
L’amertume défigurée,
Les murs de la vie éventrés,
La douleur saccagée,
Les sanglots étouffés.
Le monde du passé,
Où tout est transformé.
Le monde des rêves,
Où c’est la trêve.
Pas de regrets,
Juste des sourires toujours vrais.
Un temps où rien ne fait peur,
Où tout demeure.
Cet autre monde où tout revit,
Où rien ne se finit.
Là où tout semble évident,
Où rien n’est étouffant.
Monde trop doux,
Où rien n’est redouté,
Où tout est vérité,
Où on est nous
Là où la brume n’a pas de place,
Où le désespoir s’efface
Là où rien n’est frêle,
Où la beauté est immortelle.
Le passé comme hymne de vie,
Où rien ne s’évanouie.
Tel un conte,
Où rien ne compte …
Lourd et long ... je sais. C'est un de mes premiers poèmes. Mais bon n'hésitez pas à critiquer, je suis preneur de tout pour avancer.
Et dsl pour les FAUTES !!
De tant de couleurs.
Temps bercé d’amour,
Où tout demeure toujours.
Là où les amoureux roucoulent,
Où il y a tant de foule,
Où rien ne s’oublie,
D’où personne ne fuit.
Tant de jours,
D’amour du toujours.
Les souvenirs du bonheur passé,
Avec les heures transfigurées.
Un monde éternel,
A peine irréel.
Le passé tant aimé,
Jamais fatigué.
Des bleus, des verts,
Les couleurs d’hivers.
Les ciels d’automne,
Le vent qui fredonne.
L’amertume défigurée,
Les murs de la vie éventrés,
La douleur saccagée,
Les sanglots étouffés.
Le monde du passé,
Où tout est transformé.
Le monde des rêves,
Où c’est la trêve.
Pas de regrets,
Juste des sourires toujours vrais.
Un temps où rien ne fait peur,
Où tout demeure.
Cet autre monde où tout revit,
Où rien ne se finit.
Là où tout semble évident,
Où rien n’est étouffant.
Monde trop doux,
Où rien n’est redouté,
Où tout est vérité,
Où on est nous
Là où la brume n’a pas de place,
Où le désespoir s’efface
Là où rien n’est frêle,
Où la beauté est immortelle.
Le passé comme hymne de vie,
Où rien ne s’évanouie.
Tel un conte,
Où rien ne compte …
Lourd et long ... je sais. C'est un de mes premiers poèmes. Mais bon n'hésitez pas à critiquer, je suis preneur de tout pour avancer.
Et dsl pour les FAUTES !!
Kali Lorca- Nombre de messages : 188
Age : 33
Date d'inscription : 29/11/2008
Re: Le passé
Sympathique, mais avec quelques défauts perfectionnables.
Tout d'abord, l'irrespect des règles de versification est assez choquant et risqué quand on n'a pas trop l'expérience de la poésie. Passer d'un vers de trois syllabes à un de neuf syllabes dans la même strophe, ça casse le rythme et donne une impression d'irrégularité.
Ensuite, les termes utilisés sont parfois redondants, fades quand on sait à quelle point la langue française est variée. Je ne saurai vraiment expliqué mon ressenti, mais j'ai trouvé que les mots n'étaient pas assez puissants, assez explicites. Certes, "bonheur" et "amour" sont des mots magnifiques, mais ils perdent de leur saveur lorsqu'ils sont trop/mal utilisés. Le problème de ton poème, c'est qu'on ne comprend pas vraiment de quoi tu parles. Je pense que d'un côté, c'est voulu, mais trop vague pour que des images se forment dans notre esprit.
Pour finir, évite de changer ta façon d'agencer les rimes en cours de poème. La strophe qui débute par "Monde trop doux" est en ABBA alors que tous les autres sont en ABAB. Ca fait tâche et encore une fois, casse le rythme du poème.
A part tous ces défauts, j'ai bien aimé. Tu as du potentiel. La strophe "Des bleus, des verts,/Les couleurs d’hivers./Les ciels d’automne,/Le vent qui fredonne" m'a ému par sa simplicité et la justesse de ses images.
Bonne continuation. =)
Tout d'abord, l'irrespect des règles de versification est assez choquant et risqué quand on n'a pas trop l'expérience de la poésie. Passer d'un vers de trois syllabes à un de neuf syllabes dans la même strophe, ça casse le rythme et donne une impression d'irrégularité.
Ensuite, les termes utilisés sont parfois redondants, fades quand on sait à quelle point la langue française est variée. Je ne saurai vraiment expliqué mon ressenti, mais j'ai trouvé que les mots n'étaient pas assez puissants, assez explicites. Certes, "bonheur" et "amour" sont des mots magnifiques, mais ils perdent de leur saveur lorsqu'ils sont trop/mal utilisés. Le problème de ton poème, c'est qu'on ne comprend pas vraiment de quoi tu parles. Je pense que d'un côté, c'est voulu, mais trop vague pour que des images se forment dans notre esprit.
Pour finir, évite de changer ta façon d'agencer les rimes en cours de poème. La strophe qui débute par "Monde trop doux" est en ABBA alors que tous les autres sont en ABAB. Ca fait tâche et encore une fois, casse le rythme du poème.
A part tous ces défauts, j'ai bien aimé. Tu as du potentiel. La strophe "Des bleus, des verts,/Les couleurs d’hivers./Les ciels d’automne,/Le vent qui fredonne" m'a ému par sa simplicité et la justesse de ses images.
Bonne continuation. =)
Re: Le passé
D'accord avec Aoshi. J'ajoute que tous ces vers commençant par "Où" ajoutent, pour moi, à ce sentiment de maladresse.
("Où rien ne s'évanouit.")
("Où rien ne s'évanouit.")
Invité- Invité
Re: Le passé
Beaucoup de maladresses que Aoshi a déjà très largement soulignées...Mais ce qui m'a surtout marquée, c'est cette rime qui revient deux fois (ou plus, je n'ai pas compté) entre amour/toujours: c'est très convenu et cela donne un côté un peu banal au poème...Sur le thème du passé j'ai déjà lu mieux (oui je sais, saint Lorca^^: Impressions et paysages, je te conseille ce recueil si tu ne le connais pas déjà) et puis les phrase courtes ne permettent pas de faire passer l'émotion...Dommage, c'était un beau sujet, mais il y a bien plus à dire et à nous faire ressentir.
Amicalement,
Ruin.
Amicalement,
Ruin.
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
Age : 34
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: Le passé
On ressent un peu trop la recherche systématique de la rime.
Parfois elle n'est pas nécessaire, la musique peut être ailleurs.
Parfois elle n'est pas nécessaire, la musique peut être ailleurs.
Roz-gingembre- Nombre de messages : 1044
Age : 61
Date d'inscription : 14/11/2008
Re: Le passé
Aoshi a déjà dit beaucoup, je ne répéterai pas.
Simplement que je déplore une fois de plus que tu te laisses enfermer dans un moule pour du tout cuit, tant au niveau des rimes très scolaires que du fond, maintes fois vu et auquel tu n'apportes guère de nouveauté.
As-tu essayé d'autres formes d'écriture pour exprimer tes émotions?
Simplement que je déplore une fois de plus que tu te laisses enfermer dans un moule pour du tout cuit, tant au niveau des rimes très scolaires que du fond, maintes fois vu et auquel tu n'apportes guère de nouveauté.
As-tu essayé d'autres formes d'écriture pour exprimer tes émotions?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Le passé
j'ai du mal avec les textes qui riment pour rimer, ça fait gateau après le repas de Noël, ça fait envie à la devanture du patissier mais une fois sur la table...
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