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Le couloir

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Le couloir Empty Le couloir

Message  la chevre Mer 15 Juil 2009 - 21:59

Voila je viens de fermer la porte vers un bel avenir. Peut être pas parfait mais en tout cas je pense qu’il aurait été bien. J’aurais sûrement continuer mes études, m’amuser avec mes amis. D’ailleurs mes amis sont là juste derrière la porte, je peut les voir à travers une sorte de petite fenêtre qui se situe au milieu de la porte. Je ne les entend pas mais je peut les voir gesticuler, taper sur le mur, je les vois aussi bouger les lèvres j’imagine qu’ils crient. Ce qu’ils disent? Sûrement « pourquoi as-tu fais ça? Reviens avec nous » et d’autres choses de ce genre. Il n’y a qu’une personne qui ne fait pas tout ça c’est mon meilleur ami que je peux apercevoir derrière les autres. Il ne bouge pas, j’ai même l’impression qu’il me sourit. Il me connaît mieux que les autres et il sait que je suis têtu et impulsif. Ces deux traits de caractère ne donnent souvent pas de bonnes choses, aujourd’hui confirme cela. Je fini par prendre mon courage a demain et je me retourne pour ne plus regarder mes amis. Devant moi ce profil enfin mon nouvelle avenir.

Je ne vois qu’un couloir qui semble ne pas avoir de fin. Il n’y a pas de lumière mais le couloir n’est pas complètement dans la pénombre comme quand on se ballade par une nuit de pleine lune. Mais il n’y a aucune fenêtre donc ce n’est pas la lumière de la lune et je ne sais pas d’où vient cette luminosité. En tout cas elle rend les zones de noirs complets encore plus sombre qu’elles ne sont. En essayant de regarder vers l’horizon j’arrive a apercevoir une porte éclairée; c’est le but que je dois atteindre. Je suis seul et je dois avancer dans ce couloir alors que je ne sais pas ce qu’il se cache dans l’ombre. Je vais faire mon premier pas.

Ça y est je viens enfin de faire mon premier pas, j’ai l’impression que quand j’ai posé mon pied par terre le bruit a résonné dans toute la pièce. J’ai eu tellement peur que je n’ai pas eu le courage d’en faire un deuxième d’affilé. J’ai attendu. Attendre quoi? Peut être de voir quelque chose apparaître ou tout simplement de me faire tuer. Cette dernière pensée m’a paralysé. Je souffle doucement pour retrouver un peu de courage, enfin si il m’en reste. Je ne sais pas combien de temps se sont passés depuis ce premier pas mais j’ai l’impression d’avoir attendu des heures. On dit que c’est toujours de faire le premier pas qui est le plus dur, j’espère que ce dicton est vrai.

Le deuxième pas est tout a fait semblable au premier pas, il a résonné dans toute la pièce et je me suis figé. L’angoisse commence à monter de plus en plus, si j’avais su que c’était aussi compliqué je ne l’aurais pas fait. Et pourtant il le fallait, il faut que je pense au but à atteindre. Je continue les autres pas lentement mais sûrement, le calme dans ma tête commence à revenir. Je suis prêt d’une zone d’ombre et…

J’ai cru attendre un bruit je me suis assis très vite dans l’ombre pour ne pas être vu. J’essaye de ne pas respirer pour pouvoir entendre ce qui se trame mais je n’entends que le bruit de mon cœur qui bat dans ma tête. C’est un boum boum abrutissant, je n’arrive pas à me concentrer. Il faut que je me calme, reprendre mon souffle, respirer lentement. Ça ne marche pas le bruit empire. J’essaye de respirer mais j’ai l’impression de m’étouffer a chaque bouffé. Ma vue commence à se faire trouble, je ferme les yeux pour me concentrer. Allez ce n’est pas le moment de craqué. Il faut que je pense au but à atteindre.

Elle est la femme de ma vie, pourtant elle ne le sait même pas et a vrai dire on est a peine ami, juste des connaissances. Mais quand on est partis sans elle pour sauver notre propre vie, toute mes pensées sont allés vers elle. Je ne me suis même pas dit « ouf, enfin sauf ». Je me suis dit « mince, elle est resté là bas ». Je faisais que de me retourner alors quand j’ai vu la porte j’ai compris que c’était une aubaine pour me séparer d’eux. Maintenant je suis resté il faut que je la sauve.

De penser a tout ça m’a fait oublier mon malaise. Je me suis levé, mes jambes sont fébriles mais j’arrive quand même à marcher. La porte me semble de plus en plus loin, elle a l’air inaccessible mais il faut continuer. Pour elle, toujours pour elle.

Voila un bout de temps que j’avance pas à pas vers mon but. Plus j’avance, plus j’entends un bruit venant de la porte. Un bruit horrible, indescriptible un mélange entre le grésillement des flammes, le souffle du vent et le cliquetis de deux lames de fer. Ce son vibre dans tout mon corps, il me fait pensé qu’il lui arrivé des choses atroces.

Je me suis mis a pleuré. Le son, mes mauvaises pensées et les ombres qui me faisaient de plus en plus peur ont fini par me faire pleurer. Au début, j’ai essayé de retenir mes larmes mais je n’ai pas pu les arrêter, elles ont fini par sortir et pour être franc cela m’a soulageait. Chaque larme contenait un peu de mon angoisse, de mon stress, de ma peur et de ma fragilité. Elles étaient fines et coulaient a flot comme une cascade de tristesse. Depuis que je pleure je n’ai plus bougé, je ne m’inquiète même plus de me faire repérer, je me suis fait a l’idée que les monstres dans les coins sombres sortent tout droit de mon imagination. Mais le grondement d’une voix puissante me ramène à la réalité.

La vois est derrière moi et s’approche de plus en plus. En plus de cette énorme voix, je peux entendre des pas. Si mes pas résonnaient dans la salle, les siens la faisait complètement tremblé. Ce n’est pas un être un Homme qui peut faire ça, il y a donc un monstre derrière moi. Je me suis mis à courir à en perdre haleine pour ne pas être repéré.

Les murs vibrent, le sol aussi comme si j’étais au milieu d’un tremblement de terre. La voix du monstre, ces pas, les miens, le bruit derrière la porte me donnent un mal à la tête qui devient insupportable alors je me suis à crier pour ne plus entendre tous ces sons. Je cours de plus en plus vite, je devais être à 10 mètres de la porte.

10 mètres.

Le pied du monstre tape tellement fort sur le sol que j’ai décollé du sol.

9 mètres.

Les murs autours de moi se fissurent.

8 mètres.

Un rayon de la lumière venant de la porte me brûle la rétine.

7 mètres.

Je vois enfin la poignée de la porte. Elle est rouge sang.

6 mètres.

Quelque chose coule de la porte et a failli me faire glisser.

5 mètres.

Le poignet semble dégoulinante, d’ici elle n’a pas l’air d’être solide.

4 mètres.

Je sens le souffle du monstre juste au dessus de mon épaule.

3 mètres.

Quelque chose m’a touché, je ne sais pas si c’est le monstre ou juste le liquide gluant qui coule du plafond et des murs. J’ai couru encore plus vite.

2 mètres.

Pourquoi je n’y ai pas pensé le liquide qui coule n’est autre que du sang.

1 mètre.

Dans mon dos je sens comme une lame, dans quelques secondes elle m’aura sûrement transpercé. Je plonge sur la poignée pour pouvoir l’atteindre.

0 mètre.

La lame s’est enfonçait profondément dans ma chair. Je suis tombé à quelques centimètres de la poignée. Ma vue se trouble, mon corps se fait lourd mais je fais quand même un effort surhumain pour l’atteindre. J’arrive à la saisir, je m’appuie dessus. J’espère que je l’ai sauvé, qu’elle sera heureuse, qu’elle trouvera quelqu'un qui prendra soin d'elle. En tournant la poignet je me demande juste une chose.

Est ce que tout est fini?
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Le couloir Empty Re: Le couloir

Message  Invité Mer 15 Juil 2009 - 22:39

Désolée, je n'ai pas eu la patience en cette heure tardive de lire votre texte au-delà des premières lignes, parce qu'il comporte trop d'erreurs de langue que je vous indique ci-dessous :
"Voilà je viens de fermer la porte vers un bel avenir. Peut-être pas parfait mais en tout cas je pense qu’il aurait été bien. J’aurais sûrement continué mes études, m’amuser ("je me serais amusé" ; vous êtes obligé, conjuguant un verbe avec l'auxiliaire "être" après celui avec l'auxiliaire "avoir", de signaler le changement d'auxiliaire) avec mes amis. D’ailleurs mes amis sont là juste derrière la porte, je peux les voir à travers une sorte de petite fenêtre qui se situe au milieu de la porte. Je ne les entends pas mais je peux les voir gesticuler, taper sur le mur, je les vois aussi bouger les lèvres j’imagine qu’ils crient."

Un tel début est décourageant pour le lecteur, il donne l'impression que vous n'avez pas fait attention à ce que vous écriviez. C'est dommage de vous "fusiller" de la sorte...
Sur le fond, ce début est intrigant, cela dit, pourrait me donner envie de connaître la suite. Je reprendrai demain votre texte en essayant de mieux lui donner sa chance.

Bienvenue sur Vos Ecrits en tout cas !

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Message  Invité Jeu 16 Juil 2009 - 7:40

L'idée n'est pas mauvaise à mon avis ; ce qui la dessert, outre les trop nombreuses fautes d'orthographe et les maladresses dans l'expression, c'est une écriture plutôt plate et surtout un déroulement qui m'a semblé - je n'ai pas lu dans le détail - haché, sans liant : "premier pas, deuxième pas, arrêt, je repars..."

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Message  Invité Jeu 16 Juil 2009 - 8:22

Bon, désolée, à la relecture du matin je n'ai pu aller au bout, d'une part à cause des trop nombreuses erreurs de langue qui rendent le texte vraiment pénible à lire, d'autre part parce que l'histoire se traîne trop pour moi : un pas, deux pas, un monstre, 9 mètres, 8 mètres, etc. A un moment, je me dis : "Qu'il le bouffe, le monstre, à la fin !" et je n'ai plus envie de connaître la conclusion.

Surtout que cet avis négatif ne vous décourage pas, j'espère vous lire bientôt.

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Message  silene82 Jeu 16 Juil 2009 - 8:41

Les filles sont passées avant moi, mais j'aurais dit pareil.
Faut pas s'affoler, jeune homme(?). On apprend à écrire, sauf quelques rares génies, qui eux, ont appris dans le ventre de leur maman, qui leur lisait, avec un résonateur placé sur sa cavité abdominale, afin que vibrât le liquide amniotique, des choses propres à éveiller la culture et le goût, la Philosophie dans le Boudoir, les Sermons de Bossuet, tous les bons plans.
C'est donc laborieux et pesant, et de surcroît truffé de fautes -je n'ai pas dit farçi: le truffage persille agréablement, quand le farcissage remplit jusqu'à l'écoeurement.- Rien qui ne se puisse surmonter. Si à votre âge on se met à écrire au lieu de se livrer aux divertissements de son âge, extorsion de fonds au bac à sable, maquereautage de mémés post-post- ménop' pour satyres pas dégoûtés, torture d'enfants atteints de myopathie, c'est qu'il y a au moins une pulsion. Reste à l'organiser et en faire quelque chose.
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Le couloir Empty Re: Le couloir

Message  la chevre Jeu 16 Juil 2009 - 10:33

Merci tout d'abord d'avoir lu le texte (ou au moins une partie). Pour les fautes de français je sais que j'en fais beaucoup (tout le temps 0 en dictée) et je dirais même que 5 fautes en 4 lignes chez moi c'est plutôt une bonne moyenne.
Pour le rythme saccadé, c'est fait exprès, c'est pour l'ambiance mais faut croire que ce n'est pas réussi.
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Le couloir Empty Re: Le couloir

Message  Sahkti Lun 3 Aoû 2009 - 12:52

Attention à l'ortho, ça vaudrait la peine de te faire relire ou de passer ton texte au correcteur en ligne avant de poster.

J'ai été dérangée par le point de vue adopté dans le texte. Le narrateur nous raconte son histoire, sa vie, mais de telle sorte que c'est comme si il la découvrait lui-même, qu'il devrait s'en convaincre ou s'épater, difficile à dire. Ce point de vue intérieur/extérieur n'est pas inintéressant en soi, loin de là, mais traité de la sorte, il m'a paru plutôt maladroit.

Et puis tout cela se traîne un peu en longueur avec au bout d'un temps, l'envie de lui fiche un pied aux fesses pour qu'il avance un peu et arrête de geindre; c'est très (trop) plaintif pour moi.

Cela s'améliore quelque peu avec la fin, cette scène de poursuite chronométrée en quelque sorte, mais pas suffisant à mes yeux pour récupérer le reste du texte.
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