pardon pour les fautes d'orthographes
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pardon pour les fautes d'orthographes
De ma fenêtre y a des plante, je ne sais pas qui s’est qui les a foutu là mais quelle futilité ces plantes. Mais attention s’est pas moi le fautif je vous l’assure, a sa que dieu m’en soit témoin je le jure, à chaque tentative elle me pique, elle fane ou encore mieux et sa vous en conviendrait, ô comble de l’incorrection, un pétale quelconque ne supportant pas mon regard choisie la légère liberté d’une brise aimante plutôt que ma naïve admiration. A sa je peux vous le dire je les aime pas les fleurs. Tout autant que ces tableaux d’artistes dégénérés qui, lorgné a longueur de journée par ces abrutis béant beuglant bouche grande ouverte expirant des rond de fumé invisible sont là, penaud, droit comme des « i » ce grattant la tête et menton en feintant d’y comprendre quelque chose dans ce fouillis de couleur et de formes, alors sa… SA, sa me fait rire, non mais sans blague, pourtant si il y a bien un être qui a de la sensibilité sur cette terre s’est bien moi. Avez-vous déjà pensé à ces pauvres murs nus de musé banal, à qui ont avait fait croire alors enfant, une famille en leurs corps, et qui, mois après mois sur leurs torses de marbre se voit confier des cadres de plus en plus lourds, à qui promesse d’un cœur de chair avait était fait et qui, aujourd’hui et à tout jamais transformé en pierre. A sa on y pense pas mais pour les esquisses d’un artiste spleenétique y a du monde. En tous cas je peux vous le dire l’art moi j’y adhère pas je crois même bien que s’est pire que les livres. Olala, mon dieu les livres pourquoi sa existe encore mes amis vivons dans notre temps que diable, laissons les couvertures les reliures et les papiers a nos aïeux s’il vous plait, maudissons le passé et embrassons l’avenir, a bas les Baudelaire, Apollinaire et les Rabelais nourrissez votre esprit avec de délicieuses séries télévisées. A ces lecteurs et cet air si intellectuel qui leurs son propres, je crois bien que je les hais aussi.
A vrais dire je crois que je les hais tous, toute cette phone et flore qui pullule dans les villes dans les champs sous l’eau dans l’espace, et qui ont pour simple plaisir, la joie des autres.
Par contre, voyez-vous, si il y a une chose que j’aime par-dessus tout, s’est le soir après avoir posé mais lunette a même le sol, l’haleine encore noyé dans l’odeur de ma dernière clope, les paupières mis closes je me mets a aimer l’idée qui y a plein de gens qui ne pensent pas comme moi
< Désolé, mais Sahkti a raison, VE ne peut pas accepter des textes aussi pleins de fautes. Même dans le soi-disant titre il y en a une.
Alors tu te débrouilles pour corriger au maximum (correcteur Word, site bonpatron.com ou relecture par des proches), et tu postes à nouveau. Puis on supprimera le présent fil.
EN attendant, ce texte ne sera pas encodé au catalogue (merci Sahkti ! ;-)
Nos excuses aux premiers commentateurs !
La Modération >
.
A vrais dire je crois que je les hais tous, toute cette phone et flore qui pullule dans les villes dans les champs sous l’eau dans l’espace, et qui ont pour simple plaisir, la joie des autres.
Par contre, voyez-vous, si il y a une chose que j’aime par-dessus tout, s’est le soir après avoir posé mais lunette a même le sol, l’haleine encore noyé dans l’odeur de ma dernière clope, les paupières mis closes je me mets a aimer l’idée qui y a plein de gens qui ne pensent pas comme moi
< Désolé, mais Sahkti a raison, VE ne peut pas accepter des textes aussi pleins de fautes. Même dans le soi-disant titre il y en a une.
Alors tu te débrouilles pour corriger au maximum (correcteur Word, site bonpatron.com ou relecture par des proches), et tu postes à nouveau. Puis on supprimera le présent fil.
EN attendant, ce texte ne sera pas encodé au catalogue (merci Sahkti ! ;-)
Nos excuses aux premiers commentateurs !
La Modération >
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c'toi- Nombre de messages : 1
Age : 34
Date d'inscription : 25/09/2009
Re: pardon pour les fautes d'orthographes
1) Merci de donner un titre à ce texte, sinon je devrai en inventer un pour le répertorier au catalogue du site
2) un petit mot ici serait sympa:
http://www.vosecrits.com/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t4887.htm
3) merci également de lire la charte en page Une du site qui dit : Nous ne publions pas les textes inachevés, les écrits commis à la va-vite, ceux trop tournés vers le pathos, et ceux encombrés de fautes d'orthographe et/ou de français.
C'est un peu simple de poster comme ça, en disant je sais que c'est bourré de fautes, je suis désolé mais voilà. Il est possible, soit de se faire relire par quelqu'un, soit d'utiliser un correcteur en ligne genre bonpatron.com
2) un petit mot ici serait sympa:
http://www.vosecrits.com/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t4887.htm
3) merci également de lire la charte en page Une du site qui dit : Nous ne publions pas les textes inachevés, les écrits commis à la va-vite, ceux trop tournés vers le pathos, et ceux encombrés de fautes d'orthographe et/ou de français.
C'est un peu simple de poster comme ça, en disant je sais que c'est bourré de fautes, je suis désolé mais voilà. Il est possible, soit de se faire relire par quelqu'un, soit d'utiliser un correcteur en ligne genre bonpatron.com
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: pardon pour les fautes d'orthographes
je me mets a aimer l’idée qui y a plein de gens qui ne pensent pas comme moi
ça c'est sûr ! Rien que pour te faire plaisir.
Sérieusement... c'est une plaisanterie ?
ça c'est sûr ! Rien que pour te faire plaisir.
Sérieusement... c'est une plaisanterie ?
Invité- Invité
Re: pardon pour les fautes d'orthographes
Pour ma part, ma lecture s'arrêtera là, parce que vraiment, c'est bourré de fautes et pénible à lire :-((
Rien ne t'interdit de (faire) corriger ton texte puis le reposter dans ce même fil. Merci à toi.
Rien ne t'interdit de (faire) corriger ton texte puis le reposter dans ce même fil. Merci à toi.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: pardon pour les fautes d'orthographes
Ha moi, j'aime particulièrement
toute cette phone et flore qui pullule dans les villes
Ce phone me fait prendre conscience de l'avance des jeunes sur leur temps :-))
toute cette phone et flore qui pullule dans les villes
Ce phone me fait prendre conscience de l'avance des jeunes sur leur temps :-))
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: pardon pour les fautes d'orthographes
Un titre qui interpelle ... je pense que les modérateurs vont te demander d'en changer !
Tu es tout pardonné pour les fautes, mais c'est plus difficile de pardonner le texte ; les fautes affectent la lecture, surtout les confusions entre " c'est " et " s'est " et " ça " et " sa ".
Certaines phrases me laissent l'impression d'être une retranscription brute du langage parlé, la première en est un bel exemple :
C'est dommage car ça pourrait être pas mal. Je trouve ça drôle d'écrire ce genre d'avis ici, tu es à contre-courant, et en plus je partage quelques avis du narrateur ( pas tous ! ). Cependant, l'effet tombe à plat à cause du manque de maîtrise. À mon avis, ce genre de textes courts ne peuvent pas se permettre de comporter trop de fautes de français, le fond ne peut pas excuser la forme sur une si petite distance.
Tu es tout pardonné pour les fautes, mais c'est plus difficile de pardonner le texte ; les fautes affectent la lecture, surtout les confusions entre " c'est " et " s'est " et " ça " et " sa ".
Certaines phrases me laissent l'impression d'être une retranscription brute du langage parlé, la première en est un bel exemple :
Impossible d'être constructif ici : je ne pourrais pas te dire ce qui me dérange dans ce type de phrases, mais elles me laissent l'impression d'être incorrectes. Il manque peut-être un truc avant le " mais ".De ma fenêtre y a des plante, je ne sais pas qui s’est qui les a foutu là mais quelle futilité ces plantes.
C'est dommage car ça pourrait être pas mal. Je trouve ça drôle d'écrire ce genre d'avis ici, tu es à contre-courant, et en plus je partage quelques avis du narrateur ( pas tous ! ). Cependant, l'effet tombe à plat à cause du manque de maîtrise. À mon avis, ce genre de textes courts ne peuvent pas se permettre de comporter trop de fautes de français, le fond ne peut pas excuser la forme sur une si petite distance.
The mec bidon- Nombre de messages : 554
Age : 33
Localisation : Caché
Date d'inscription : 17/05/2009
Correction du texte de c'toi
Puisque le sujet a été verrouillé, je place ici mon commentaire et les corrections du texte, parce que je pense qu'ils peuvent éventuellement être utiles à c'toi s'il cherche à améliorer son orthographe.
Une idée marrante : les pauvres murs de musée qui n'ont pas eu l'avenir promis ; mais, en toute franchise, votre texte est quasiment illisible à cause des fautes de langue. Alors, pour vous éviter la prochaine fois d'avoir à vous excuser, je les corrige ci-dessous avec des indications qui vous permettront, j'espère, de faire des progrès sous ce rapport.
De (vu le sens, plus loin, il vaudrait mieux préciser je crois "Sur l'appui de", par exemple) ma fenêtre y a des plantes[b], je ne sais pas qui [b]c’est qui les a foutues (qui a foutu quoi ? "les", mis pour les plantes, complément d'objet direct du verbe placé avant lui ; dans ce cas, le participe passé s'accorde avec le complément du verbe) là mais quelle futilité ces plantes. Mais attention c’est (regardez dans une grammaire pour la différence entre démonstratif et possessif) pas moi le fautif je vous l’assure, ah ça que dieu m’en soit témoin je le jure, à chaque tentative elle me pique, elle fane ou encore mieux et ça vous en conviendrez, ô comble de l’incorrection, un pétale quelconque ne supportant pas mon regard choisit la légère liberté d’une brise aimante plutôt que ma naïve admiration. Ah ça je peux vous le dire je les aime pas les fleurs. Tout autant que ces tableaux d’artistes dégénérés qui, lorgnés (ce sont les tableaux qui sont lorgnés) à longueur de journée par ces abrutis béant beuglant bouche grande ouverte expirant des ronds de fumée invisibles (ce sont les ronds de fumée qui sont invisibles) sont là, penaud( les abrutis sont penauds), droits (idem) comme des « i » se grattant la tête et menton en feignant d’y comprendre quelque chose dans ce fouillis de couleurs et de formes, alors ça… ÇA, ça me fait rire, non mais sans blague, pourtant si il y a bien un être qui a de la sensibilité sur cette terre c’est bien moi. Avez-vous déjà pensé à ces pauvres murs nus de musée banal, à qui on (et non "ont") avait fait croire alors enfants (ce sont les murs qui sont alors des enfants), une famille en leurs corps, et qui, mois après mois sur leurs torses de marbre se voient (ce sont les murs qui se voient ; au fait, qu'est-ce qu'on leur avait fait croire ? Ce n'est indiqué nulle part) confier des cadres de plus en plus lourds, à qui promesse d’un cœur de chair avait été fait et qui, aujourd’hui et à tout jamais transformés (ce sont les murs qui sont transformés ; une fois qu'ils sont transformés, aujourd'hui, que leur arrive-t-il ? Il manque un verbe à mon avis) en pierre. À ça on y pense pas mais pour les esquisses d’un artiste spleenétique y a du monde. En tous cas je peux vous le dire l’art moi j’y adhère pas je crois même bien que c’est pire que les livres. Oh là là, mon dieu les livres pourquoi ça existe encore mes amis vivons dans notre temps que diable, laissons les couvertures les reliures et les papiers à nos aïeux s’il vous plaît, maudissons le passé et embrassons l’avenir, à bas les Baudelaire, Apollinaire et les Rabelais nourrissez votre esprit avec de délicieuses séries télévisées. À ces lecteurs et cet air si intellectuel qui leur (et non "leurs", ici il s'agit du pronom personnel, invariable, et non de l'adjectif possessif)[b] son[b]t propres, je crois bien que je les hais aussi.
À vrai (et non "vrais") dire je crois que je les hais tous, toute cette faune et flore qui pullulent (car ce sont la faune et la flore qui pullulent : deux éléments distincts, verbe conjugué au pluriel) dans les villes dans les champs sous l’eau dans l’espace, et qui ont pour simple plaisir, la joie des autres.
Par contre, voyez-vous, si il y a une chose que j’aime par-dessus tout, s’est le soir après avoir posé mais lunette a même le sol, l’haleine encore noyé dans l’odeur de ma dernière clope, les paupières mis closes je me mets a aimer l’idée qui y a plein de gens qui ne pensent pas comme moi
Une idée marrante : les pauvres murs de musée qui n'ont pas eu l'avenir promis ; mais, en toute franchise, votre texte est quasiment illisible à cause des fautes de langue. Alors, pour vous éviter la prochaine fois d'avoir à vous excuser, je les corrige ci-dessous avec des indications qui vous permettront, j'espère, de faire des progrès sous ce rapport.
De (vu le sens, plus loin, il vaudrait mieux préciser je crois "Sur l'appui de", par exemple) ma fenêtre y a des plantes[b], je ne sais pas qui [b]c’est qui les a foutues (qui a foutu quoi ? "les", mis pour les plantes, complément d'objet direct du verbe placé avant lui ; dans ce cas, le participe passé s'accorde avec le complément du verbe) là mais quelle futilité ces plantes. Mais attention c’est (regardez dans une grammaire pour la différence entre démonstratif et possessif) pas moi le fautif je vous l’assure, ah ça que dieu m’en soit témoin je le jure, à chaque tentative elle me pique, elle fane ou encore mieux et ça vous en conviendrez, ô comble de l’incorrection, un pétale quelconque ne supportant pas mon regard choisit la légère liberté d’une brise aimante plutôt que ma naïve admiration. Ah ça je peux vous le dire je les aime pas les fleurs. Tout autant que ces tableaux d’artistes dégénérés qui, lorgnés (ce sont les tableaux qui sont lorgnés) à longueur de journée par ces abrutis béant beuglant bouche grande ouverte expirant des ronds de fumée invisibles (ce sont les ronds de fumée qui sont invisibles) sont là, penaud( les abrutis sont penauds), droits (idem) comme des « i » se grattant la tête et menton en feignant d’y comprendre quelque chose dans ce fouillis de couleurs et de formes, alors ça… ÇA, ça me fait rire, non mais sans blague, pourtant si il y a bien un être qui a de la sensibilité sur cette terre c’est bien moi. Avez-vous déjà pensé à ces pauvres murs nus de musée banal, à qui on (et non "ont") avait fait croire alors enfants (ce sont les murs qui sont alors des enfants), une famille en leurs corps, et qui, mois après mois sur leurs torses de marbre se voient (ce sont les murs qui se voient ; au fait, qu'est-ce qu'on leur avait fait croire ? Ce n'est indiqué nulle part) confier des cadres de plus en plus lourds, à qui promesse d’un cœur de chair avait été fait et qui, aujourd’hui et à tout jamais transformés (ce sont les murs qui sont transformés ; une fois qu'ils sont transformés, aujourd'hui, que leur arrive-t-il ? Il manque un verbe à mon avis) en pierre. À ça on y pense pas mais pour les esquisses d’un artiste spleenétique y a du monde. En tous cas je peux vous le dire l’art moi j’y adhère pas je crois même bien que c’est pire que les livres. Oh là là, mon dieu les livres pourquoi ça existe encore mes amis vivons dans notre temps que diable, laissons les couvertures les reliures et les papiers à nos aïeux s’il vous plaît, maudissons le passé et embrassons l’avenir, à bas les Baudelaire, Apollinaire et les Rabelais nourrissez votre esprit avec de délicieuses séries télévisées. À ces lecteurs et cet air si intellectuel qui leur (et non "leurs", ici il s'agit du pronom personnel, invariable, et non de l'adjectif possessif)[b] son[b]t propres, je crois bien que je les hais aussi.
À vrai (et non "vrais") dire je crois que je les hais tous, toute cette faune et flore qui pullulent (car ce sont la faune et la flore qui pullulent : deux éléments distincts, verbe conjugué au pluriel) dans les villes dans les champs sous l’eau dans l’espace, et qui ont pour simple plaisir, la joie des autres.
Par contre, voyez-vous, si il y a une chose que j’aime par-dessus tout, s’est le soir après avoir posé mais lunette a même le sol, l’haleine encore noyé dans l’odeur de ma dernière clope, les paupières mis closes je me mets a aimer l’idée qui y a plein de gens qui ne pensent pas comme moi
Invité- Invité
Re: pardon pour les fautes d'orthographes
Franchement, admiration pour Socque devant la somme de travail, ça me rappelle les heures de correction de copies.
Tiens, je pars en courant.
Tiens, je pars en courant.
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
Re: pardon pour les fautes d'orthographes
Ah bravo opiniâtre et courageuse socque ,fleuve fécond charriant au loin les termes abscons , les détritus variés , et déposant pour autopsie les cadavres exquis de nos textes avariés....
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
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