Quelle nuit !

Ce texte n'a pour moi aucun intérêt, je n'y ai rien trouvé qui puisse attirer mon attention, ni l'histoire, ni le style, ni les personnages.

De plus, je serais curieuse de savoir ce qu'il fait en poésie, à moins que ce soit une erreur ?

Passages glauques mais cependant émouvants.
Il y a du sordide derrière des mots mais de la vie aussi.

Je n'ai pas réussi à suivre le fil de ton histoire.
Il, elle...et puis je...faut s'accrocher dès le début.
La scène du bar...où nous mènes tu ?
Et puis l'amie...elle sert à quoi ?

Trop confus pour moi.
Quelle nuit !!!

Définitivement, c'est de la prose qui s'est trompée de lit, de nid ou de nuit (lol)
Quelle nuit confuse et cauchemardesque! Je préfère mes propres nuits même si parfois l'insomnie me guette...

Phylisse a écrit:Ce texte n'a pour moi aucun intérêt, je n'y ai rien trouvé qui puisse attirer mon attention, ni l'histoire, ni le style, ni les personnages.

De plus, je serais curieuse de savoir ce qu'il fait en poésie, à moins que ce soit une erreur ?

La poésie pour moi ne s'oppose pas à la prose : elle exprime l'impondérable.

La prose est au service du récit, qu'il soit de fiction ou non.

Maryse a écrit:Passages glauques mais cependant émouvants.
Il y a du sordide derrière des mots mais de la vie aussi.

C'est en effet ce que la vie peut avoir de sordide que je tente d'exprimer ici : le "Hide en moi".
Comme dans Apolinaire, Bataille, Lautréamont, Sade, et bien d'autres.
Je cherche ce sentiment au fond de nous que les grecs appelaient Aïdos et qui semble avoir mystérieusement disparu. Moi même en ais-je pour cette pauvre personne qui ne sait même plus si il est homme ou femme ? C'est la question que je pose : je suis plus fasciné qu'autre chose, comme par un serpent.
En quoi je suis extrêmement content et flatté de trouver au moins une personne que cela émeut.

Iloa Mys a écrit:Je n'ai pas réussi à suivre le fil de ton histoire.
Il, elle...et puis je...faut s'accrocher dès le début.
La scène du bar...où nous mènes tu ?
Et puis l'amie...elle sert à quoi ?

Trop confus pour moi.
Quelle nuit !!!

Il ne s'agit pas d'une histoire mais d'un poème.
Quelle nuit confuse en effet.

gaeli a écrit:Définitivement, c'est de la prose qui s'est trompée de lit, de nid ou de nuit (lol)
Quelle nuit confuse et cauchemardesque! Je préfère mes propres nuits même si parfois l'insomnie me guette...

Moi aussi je préfère mes propres nuits, car je dors comme un loir.