Comment écrivez-vous ?

En français. Enfin j'essaye.

en me demandant à quoi ça rime d'écrire écho avec le show de chocolat et pas avec le cot de écot ...entre autres petites questions perfides qui me donnent chaud

Avec des fautes.

mé cent cons pleqses

Frédéric Prunier a écrit:Avec des fautes.

non ?!!!
:-)))))) (le sourire de la fin de journée)

comment écrivez-vous ?
A cette question Umberto Ecco répond dans son dernier livre : - De gauche à droite
Ce qui pourrait est une réplique acceptable tant les avis peuvent être variables et individuelles, ensuite il y' a la parfois la part du secret professionnel.En ce qui me concerne je pars d'un germe que je développe dans le sens des idées que je veux transmettre.

Quand ? Selon mes temps libres, sans contraintes.
Où ? en partie pendant mes heures de travail et à domicile où je dispose de la chambre vacante de mon fils, en déplacement professionnel ailleurs.
Avec quoi ? L'ordi portable avec qui j'ai commencé à écrire.
Qu'est-ce qui est indispensable ? Le temps, Le calme, et la décision de m'asseoir pour me mettre à écrire.
Qu'est-ce qui est rédhibitoire ? La conversation avec ma compagne
Quelles petites manies ? Je m'enferme, J'ignore les appels téléphoniques, depuis peu je mets une musique de fond.

jamais je ne m'étais aventurée sur ce fil... je le découvre... comment écrivez-vous ?... comment écrivez-vous ?... comment écrivez-vous ?... Quand ? ... Quand je peux... le soir, souvent... dans la nuit... dans le silence... Où ?... Où je peux, chez moi le plus souvent, à mon bureau, ou dans le salon, sur le canapé, le pc sur les genoux comme ce soir, devant la télévision, le son coupé, les images défilent, je fais des pauses, je monte le son, j'écoute, je regarde, je coupe, je continue... Avec quoi ?... avec mes mains, ma tête, mon corps tout entier... avant je noircissais des feuilles, des cahiers que je conserve, aujourd'hui je tape sur un clavier... Qu'est-ce qui est indispensable ?... un déclic, une odeur, une ombre, un souvenir, une lecture, un dialogue, un off... et par dessus tout le temps, j'ai besoin de temps... Qu'est-ce qui est rédhibitoire ?... moi... la relecture couperet du lendemain alors que je pense que tout est en place... une journée trop cool... Quelles petites manies ?... qui n'a pas de petites manies... la cigarette... l'alcool... je n'écris jamais les poumons vides et l'haleine fraîche.

j'ai oublié : comment écrivez-vous ? je suis une besogneuse, je ne sais pas m'asseoir et taper sans m'arrêter une heure, deux heures, trois heures... je suis une besogneuse... exception faite de textes qui sortent d'un seul jet et que je ne retravaille pas, d'ailleurs j'ai remarque que je ne savais pas à ce moment là ce me motivait, pourquoi j'écrivais et comment les mots faisaient pour sortir aussi facilement... c'est comme si tout était déjà en forme, il ne me restait plus qu'à taper, ce qui m'est arriver récemment avec le petit texte posté dans fragments sans relecture, d'ailleurs je l'ai écrit en tapant sur la touche "répondre" en direct... et lorsque j'ai voulu le transformer, il n'était plus le même... la force du premier jet, j'y crois... mais il est rare chez moi... je suis une besogneuse... le texte "Au-dessus, elle vole" cela faisait une dizaine d'années que je le travaillais.

Bakary a écrit:A cette question Umberto Ecco répond dans son dernier livre : - De gauche à droite

pour la petite histoire, j'ai une amie qui sait écrire de droite à gauche et à l'envers de surcroît, de manière parfaitement lisible et à belle vitesse... ça m'impressionne.

pour la petite histoire, j'ai une amie qui sait écrire de droite à gauche et à l'envers de surcroît, de manière parfaitement lisible et à belle vitesse... ça m'impressionne.

Alors, dorénavant, tu en connais deux!   :))
Et même trois si tu comptes Léonard De Vinci qui utilisait ce subterfuge pour coder ses inventions.

Sinon, je mais-crie, je m'hais cris, j'ai cris, je m'écrie: pourquoi? , jet-cri ...et je ne sais pas quand j'écris. Pour l'instant.

Comment, comment ? Il me semble que j'ai dû répondre à la question un jour.

Disons que j'écris à la verticale en positionnant les onomatopées les unes sur les autres, toujours par rapport au zéro qui constitue la partie centrale.


arrêtez de déconner, ce fil est sérieux...

J'ai trouvé ce vieux fil de chez vous, parmi d'autres.
Envie d'y répondre :

Furtivement, à l'ancienne.
Comme des kilomètres de carnet de voyages qu'on ne donnerait pas à lire.
Là sont les mots qui glissent à la Clairefontaine, avec ce bruit sauvage de l'intime liberté.
Réglures Seyès, Critérium pointe HB, 0,5 ou 0,7 ça dépend.
On peut gommer, ou raturer.
Les cahiers à spirales sont très ergonomiques.

De temps en temps j'emprunte un clavier, qui changera peut-être ma vie si j'en hérite.
C'est bien possible, 
on verra ça.

Pascal-Claude Perrault a écrit:
Disons que j'écris à la verticale en positionnant les onomatopées les unes sur les autres, toujours par rapport au zéro qui constitue la partie centrale.

les batisseurs modernes, avec leur niveau à bulle. je sais pas comment vous faites, pour placer le zéro. ça me dépasse.