Mon roman en ligne (Restochuan)
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Mon roman en ligne (Restochuan)
Je suis rentré chez moi, comme dans un rêve.
– Y aurait-il du mérite à y venir ?
Tout est clair, gai, lumineux.
Mais enfin que comptez-vous faire avec la part d’Alcmène qui n’est pas Amphitryon ?
Gorchkov allait et venait continuellement avant le dîner.
Tout en parlant ainsi, ils étaient arrivés devant les guichets du Louvre donnant accès à la place du Carrousel
Au moment où M. adams prononçait ce nom, la porte du cabinet de travail s’ouvrit avec un tel fracas que le mannequin d’osier en fut soulevé et alla choir aux pieds étonnés du militaire. Une fille parut, roussotte, louchon, sans front, et dont la robuste laideur, trempée de jeunesse et de force, reluisait. Ses joues rondes et ses bras nus avaient l’éclat du vermillon triomphal. Elle se campa devant M. adams et, brandissant la pelle au charbon, cria :
Je me rendis aux Arcades en compagnie de Matrena.
Pokrovski était un jeune homme pauvre, extrêmement pauvre.
Faites-le pour moi.
Il fallut se résoudre à vendre également la petite maison que mon père avait achetée sur la rive droite six mois après notre installation à Saint-Pétersbourg.
Adieu maintenant, adieu.
Le premier seigneur de la cour, celui en lequel le roi et la reine avaient placé toute leur confiance, celui qu’ils avaient chargé de défendre, contre la nation entière, leurs droits et peut-être aussi leurs existences, celui-là avait parlé de lui confier une mission !
Elle ne s’ouvrira pas…
vivre vivre oui, douce espèrance
– Oui ! les fédérés bretons ! répéta le jeune garçon
Vous connaissez pas ça, citoyenne ?…
On éclata de rire
Les gens ont commencé à se montrer curieux et à poser des questions.
Je vous dis adieu pour la dernière fois, mon inestimable ami, mon bienfaiteur, vous qui avez été pour moi comme un père ! Ne vous laissez pas accabler par mon départ, vivez heureux ; souvenez-vous de moi, et que la bénédiction divine soit avec vous ! Je penserai à vous souvent, très souvent, et je vous mentionnerai dans mes prières.
Aussi je me borne à vous assurer de mon attachement, de mon amour et de mon respect, et je demeure, ma très honorée, ma très chère Varvara Alexéievna, votre très humble serviteur, Makar DIÉVOUCHKINE.
* * * * * 20 mai.
vivre vivre oui, douce espèrance
On leur donne des gâteaux !… Ils peuvent y toucher !… Ils mangent ! ils mangent !…
Ne vous tourmentez pas ; gardez bon espoir, ma petite mère.
Ménagez vos ressources, Makar Alexéievitch, croyez-moi.
Il est tout de même agréable de se rendre justice à soi-même de temps à autre.
Les gens se lèvent, marchent, font du bruit.
Vous feriez mieux de ne pas entrer là où on ne vous a pas invitée.
Il était si bouleversé, le malheureux, et ne pouvait tenir deux minutes en place.
Je vous envoie un livre contenant des nouvelles diverses.
Car dans mon appartement tout le monde, sans exception, est au courant de cette histoire et on y montre votre fenêtre du doigt.
Il y a deux domestiques en tout dans la maison : Thérèse et Faldoni, le serviteur de la logeuse.
Où prendre cet argent ? Je réfléchis longuement sans trouver de solution.
Fédora entra à ce moment.
– On dit que c’est des méchantes gens… qui veulent la mort du peuple, et que le seul moyen de sauver le peuple, c’est d’emprisonner le roi et la reine
Ces visiteurs amenaient en général des disputes, des cris, des scènes.
– La patrie fait sagement de jeter à pleines mains des lis sur les blessures de la guerre. Puis discrètement, en silence, d’un regard rapide, elle étudie la plaie.
– Y aurait-il du mérite à y venir ?
Tout est clair, gai, lumineux.
Mais enfin que comptez-vous faire avec la part d’Alcmène qui n’est pas Amphitryon ?
Gorchkov allait et venait continuellement avant le dîner.
Tout en parlant ainsi, ils étaient arrivés devant les guichets du Louvre donnant accès à la place du Carrousel
Au moment où M. adams prononçait ce nom, la porte du cabinet de travail s’ouvrit avec un tel fracas que le mannequin d’osier en fut soulevé et alla choir aux pieds étonnés du militaire. Une fille parut, roussotte, louchon, sans front, et dont la robuste laideur, trempée de jeunesse et de force, reluisait. Ses joues rondes et ses bras nus avaient l’éclat du vermillon triomphal. Elle se campa devant M. adams et, brandissant la pelle au charbon, cria :
Je me rendis aux Arcades en compagnie de Matrena.
Pokrovski était un jeune homme pauvre, extrêmement pauvre.
Faites-le pour moi.
Il fallut se résoudre à vendre également la petite maison que mon père avait achetée sur la rive droite six mois après notre installation à Saint-Pétersbourg.
Adieu maintenant, adieu.
Le premier seigneur de la cour, celui en lequel le roi et la reine avaient placé toute leur confiance, celui qu’ils avaient chargé de défendre, contre la nation entière, leurs droits et peut-être aussi leurs existences, celui-là avait parlé de lui confier une mission !
Elle ne s’ouvrira pas…
vivre vivre oui, douce espèrance
– Oui ! les fédérés bretons ! répéta le jeune garçon
Vous connaissez pas ça, citoyenne ?…
On éclata de rire
Les gens ont commencé à se montrer curieux et à poser des questions.
Je vous dis adieu pour la dernière fois, mon inestimable ami, mon bienfaiteur, vous qui avez été pour moi comme un père ! Ne vous laissez pas accabler par mon départ, vivez heureux ; souvenez-vous de moi, et que la bénédiction divine soit avec vous ! Je penserai à vous souvent, très souvent, et je vous mentionnerai dans mes prières.
Aussi je me borne à vous assurer de mon attachement, de mon amour et de mon respect, et je demeure, ma très honorée, ma très chère Varvara Alexéievna, votre très humble serviteur, Makar DIÉVOUCHKINE.
* * * * * 20 mai.
vivre vivre oui, douce espèrance
On leur donne des gâteaux !… Ils peuvent y toucher !… Ils mangent ! ils mangent !…
Ne vous tourmentez pas ; gardez bon espoir, ma petite mère.
Ménagez vos ressources, Makar Alexéievitch, croyez-moi.
Il est tout de même agréable de se rendre justice à soi-même de temps à autre.
Les gens se lèvent, marchent, font du bruit.
Vous feriez mieux de ne pas entrer là où on ne vous a pas invitée.
Il était si bouleversé, le malheureux, et ne pouvait tenir deux minutes en place.
Je vous envoie un livre contenant des nouvelles diverses.
Car dans mon appartement tout le monde, sans exception, est au courant de cette histoire et on y montre votre fenêtre du doigt.
Il y a deux domestiques en tout dans la maison : Thérèse et Faldoni, le serviteur de la logeuse.
Où prendre cet argent ? Je réfléchis longuement sans trouver de solution.
Fédora entra à ce moment.
– On dit que c’est des méchantes gens… qui veulent la mort du peuple, et que le seul moyen de sauver le peuple, c’est d’emprisonner le roi et la reine
Ces visiteurs amenaient en général des disputes, des cris, des scènes.
– La patrie fait sagement de jeter à pleines mains des lis sur les blessures de la guerre. Puis discrètement, en silence, d’un regard rapide, elle étudie la plaie.
jameline07- Nombre de messages : 40
Age : 43
Date d'inscription : 31/05/2008
Re: Mon roman en ligne (Restochuan)
Tout cela n'est pas très clair. Mélange de personnages, de lieux, de situations, sans que jamais un contexte puisse être défini ou une ambiance posée. Le lecteur ne peut s'accrocher à rien et cela ne s'apparente pas, à mes yeux, à du roman.
En ce qui concerne l'écriture, le style, je trouve tout cela brouillon et un brin bâclé, désolée.
En ce qui concerne l'écriture, le style, je trouve tout cela brouillon et un brin bâclé, désolée.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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