In a perfect world

[Nath.]

Pour ceux qui connaissent Billy Talent, c'est donc, comme l'indique le titre, la chanson Perfect World le pilier de cette histoire.
Ce n'est pas de la poésie, juste un sentiment.
Les paroles sont traduites pour ceux ou celles qui ne maitrisent pas l'anglais.

All we shared was a mattress, and a lie, and an address
Baby I don’t need you, well baby I don’t need you
Once occupied by a goddess, now it’s a room full of boxes
She said, “it’s time to leave you” but baby I don’t need you!

Tout ce qu'on a partagé étaient un matelas, un mensonge et une adresse.
Bébé je n'ai pas besoin de toi, ouais bébé je n'ai pas besoin de toi.
Auparavant c'était une chambre occupée par une déesse, maintenant elle est plein de cartons.
Elle a dit « il est temps que je te quitte » mais bébé je n'ai pas besoin de toi !

C'est vrai, on n'avait jamais vraiment l'occasion de se voir. J'avais certaines priorités derrière lesquelles j'étais obligé de la faire passer. Mes études, mes amis qui n’étaient pas les siens, mes parties de défonces, mes soirées VIP, ou plus simplement ma vie de fils à papa me prenait la majeure partie de mon temps. Je ne pouvais pas me permettre de l'avoir tout le temps à mon bras ou de la laisser rester derrière moi. Les règles avaient été claires depuis le début. Depuis qu'on s'était mis ensemble, en fait. Depuis le jour où je l'avais considérée comme la femme de ma vie. Il faut le dire, j'étais naïf. Jeune et con. On connaît la chanson.
Un bon nombre de fois j’ai tenté de la convaincre que cette vie ne lui conviendrait pas, que mes absences répétées la lasseraient et qu’elle mettrait fin à l’ébauche de notre histoire d’amour. Mes mises en gardes se sont, une fois de plus, terminées sur le lit de la chambre luxueuse de l'hôtel où je l'avais amenée. Ça faisait quelques mois seulement qu'on se connaissait, vu qu'elle travaillait comme simple stagiaire à un poste minable dans l’immense société de mon père. Quelques mois qu'on s'échangeait de longs regards lascifs et désireux. Imaginez-vous son corps de déesse, 85(C)-55-85, de longs cheveux blonds et une peau au teint légèrement hâlé, la plus douce que je n'avais jamais touchée jusqu'alors. Elle avait vingt-deux ans, j'en avais tout juste vingt et j'étais impressionné par ses mini-shorts révélateurs. Mes amis s'en amusaient d'ailleurs sacrément et me narguaient pour toutes les fois où je les avais traités d'obsédés. Mais imaginez-vous sa beauté phénoménale et essayez de comprendre pourquoi je ne pouvais plus voir qu'elle et ses yeux bleu clair. Oserais-je le dire, et ses fesses rebondies. Et ses seins, mon dieu sa poitrine, j'aurais pu me damner pour la toucher et elle s'est offerte à moi dès que je lui ai demandé.

Je lui ai fait l'amour dans cette chambre et j'ai découvert sur son corps tout ce que je n'avais jamais pensé y trouver. L'Himalaya, les Pyrénées, les chutes du Niagara, la tour Eiffel, la Sibérie, Manhattan, l'Islande et ses geysers, les pyramides d'Egypte, Pompéi, oui, j'ai senti tout ce qu'il y a de beau à voir sur les lignes de ses courbes et j'ai su que je ne pourrais plus me passer d'elle. Même si ma vie continuait, il y avait quelque chose de différent. Quelque chose qui valait bien tous mes détours, mes tours du monde en trente jours. Trente shows. Quelque part où rentrer. Ses hanches, ses jambes, ses pieds, ses mains, ses yeux, ses seins. Ses poignets, ses reins, sa nuque, ses chevilles, ses doigts. Tout. Tout. Je ne voyais qu'elle. C'est pour cela qu'un mois plus tard, nous emménagions déjà ensemble à New York. Amoureux fou, je l'étais. Et je croyais, idiot, qu'elle l'était aussi.

In a perfect world, her face would not exist
In a perfect world, a broken heart is fixed
In a perfect world, I’d see no therapist
In a perfect world, this wouldn’t make me sick

Dans un monde parfait, son visage n'existerait pas.
Dans un monde parfait, un coeur brisé se réparerait.
Dans un monde parfait, je n'irais pas voir un psy.
Dans un monde parfait, ça ne me rendrait pas malade.

Ça fait trois mois qu'elle a rompu et pourtant j'ai l'impression que c'était hier. La boule coincée dans ma gorge ne semble pas vouloir désenfler. Je vois notre vie à deux partout sur les murs et ça me gave, ça me gave. Je n'ai pas encore eu la force de jeter tous les souvenirs qui traînent par-ci par-là. Tout ce qu'on a pu acheter ensemble, tout ce qu'on a aimé ensemble. Les films qu'on a regardés, les photos qu'on a prises, les sourires qu'on s'est échangés. Ça me hante, ça me hante, ça me saoule et je m'y enivre. Il y a son odeur dans les coussins posés sur le canapé et quelques restes de ses produits de beauté dans la salle de bain, ses céréales spécial K dans le placard de la cuisine – je trouve ça dégueulasse -, un de ses foulards qu'elle a sans doute oublié sur le portemanteau de l'entrée. Ça me gave, vraiment, ça me gave. J'ai son existence sur le bout des lèvres et ce n'est pas l'envie de la vomir qui me manque mais je n'y arrive pas, je ne veux pas.
« Je pense qu’il est temps que je te quitte. »
J'ignore pourquoi mais ses mots ne veulent pas me quitter, eux.

I never got the whole story, not ‘till after she left me
Baby I don’t need you, well baby I don’t need you
Word on the street is she fucked him, while we were playing in Cleveland
Well baby I don’t need you, you’re fading in my rearview

Je n'ai jamais eu le fin mot de l'histoire, même après qu'elle m'ait quitté.
Bébé je n'ai pas besoin de toi, ouais bébé je n'ai pas besoin de toi.
La rumeur dit qu'elle baisait avec lui pendant qu'on jouait à Cleveland.
Bébé je n'ai pas besoin de toi, tu t'effaces dans mon rétroviseur.

Depuis qu'elle est partie, les langues se sont déliées. C'est mon meilleur ami qui est venu me parler en premier. Il avait l'air gêné et désolé, il m'a dit « maintenant que c'est fini tu sais, je me sens soulagé ». Tout ça pour m'avouer qu'elle lui avait fait des avances, et qu’il n’avait, bien entendu, pas été capable de la repousser. Mais ce n’était arrivé qu’une fois ! Ou peut-être deux, il ne se rappelait pas très bien. Mais certainement pas plus, il pouvait me le jurer. Il ne fallait surtout pas que j'aille croire ce que d'autres pourraient me dire, je lui faisais confiance, pas vrai ? Je n'ai même pas trouvé la force de lui crier de dégager de notre, non, de mon appartement. Ça se dit un ami et ça vous pique votre copine dès que vous tournez le dos ? Je l'ai haï, dans un premier temps. Et j'ai fini par comprendre que je m'étais fait enculer jusqu'à la garde. Pardonnez-moi l'expression mais c'est bien ma situation. C'était peut-être surtout quand mon père est venu avec son air de je-suis-le-roi-du-monde pour me dire que mon ex était une belle chaudasse. Que soit disant, à chaque fois qu'on effectuait un voyage quelconque, elle s'amusait à aller coucher avec le premier venu. Ça aurait pu passer pour de la détresse, à bien y regarder. « Mais c'était juste une salope. ». Jolie conclusion, papa.

Je pensais que tourner la page serait plus facile que cela. Qu'il suffirait de mettre un pied devant l'autre, que le reste se ferait automatiquement. Non, je n'imaginais pas qu'elle me laisserait aussi seul et désœuvré sans elle. Que nos corps à corps me laisseraient un goût si amer en bouche et l'envie irrémédiable de retrouver l'intense folie de ses cris. Que nos cœur à cœur me laisseraient ce besoin stupide de pleurer alors que je n'ai plus de larmes. Que je me sentirais aussi perdu. Voilà, perdu. Notre histoire se déverse sur les lignes de mes mains sans que je n'y comprenne rien. Je ne peux pas supporter l'idée de me dire que tout n'était que mensonge. Qu'elle ne m'attendait pas sagement à la maison, qu'elle ne dépendait pas de moi, qu'elle... qu'elle ne m'aimait pas. Je voudrait tant que tout soit différent.

In a perfect world, her face would not exist
In a perfect world, a broken heart is fixed
In a perfect world, I’d see no therapist
In a perfect world, this wouldn’t make me sick

Dans un monde parfait, son visage n'existerait pas.
Dans un monde parfait, un coeur brisé se réparerait.
Dans un monde parfait, je n'irais pas voir un psy.
Dans un monde parfait, ça ne me rendrait pas malade.

Je me fais suivre par un psy depuis trois semaines. Deux séances par mois pendant un an. Soit deux fois douze fois soixante dix huit dollars. Mille huit cent soixante douze dollars de connerie. Je suis une véritable mine d'or pour ce charlatan. Je sais que ça ne m'aidera pas mais au moins, ça rassure tout le monde. « Tu comprends, tu nous inquiètes. » Ouais, ouais. Tout ça parce que vous êtes tous passés sur la fille dont j'étais dingue. Dingue. Dingue. Dingue. Dingue !

Oui, dans un monde parfait, je n'en serais pas rendu à cet état végétatif et désespéré. Mais figurez-vous que j'ai les pieds ancrés dans la réalité.

She pulls the trigger until the gun goes click!
She pulls the trigger until the gun goes click!
In a perfect world, her face would not exist
In a perfect world, this wouldn’t make me SICK!

Elle appuie sur la gâchette jusqu'à ce que le révolver tire !
Elle appuie sur la gâchette jusqu'à ce que le révolver tire !
Dans un monde parfait, son visage n'existerait pas.
Dans un monde parfait, ça ne me rendrait pas MALADE !

Je n'en peux plus, tout simplement. Plus. Je regarde à gauche, j'imagine sa main me guider. J'essaie à droite, je vois le bout de son décolleté. Je ferme les yeux et je crève de sa trahison. Des mots auxquels j'aurais voulu croire, jusqu'au bout. Qu'on me montre du doigt, je n'en ai plus rien à balancer, je voudrais juste qu'elle vienne s'expliquer. Pour que je lui rie au nez. Je ne peux pas lui pardonner, non, je ne peux pas lui pardonner d'avoir ruiné toute la confiance que je ne pourrai plus jamais accorder, à aucune femme. Je la hais d'avoir détruit ce que j'avais construit. Quelques mois pour vingt ans et tout a changé. Je ne me reconnais plus dans le miroir, je ne vois plus celui que j'étais et celui que je suis devenu me débecte.

Laissez-moi revenir en arrière, et je ne tomberai plus jamais amoureux d'elle.

Control-Alt-Deleted
Control-Alt-Deleted
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Reset my memory!

Contrôle-Alt-Supprimer
Contrôle-Alt-Supprimer
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Effacez ma mémoire !

Je voudrais comprendre ce qu'elle m'a fait, de quel charme elle a pu user pour me rendre aussi dépendant de sa chair. Je voudrais replonger en elle pour oublier qu'il y a un lendemain, un lendemain où elle se moque ouvertement de mes rêves de gamin. Et où elle brise en claquant des doigts tout ce qui me donne envie de me lever chaque matin.
« Jamais, ô grand jamais je n’aurais pu t’aimer…
_ Pardon ?
_ Je pense qu’il est temps que je te quitte. »
J'aimerais pouvoir dire que ce n'est qu'une erreur de parcours. Mais ses paroles ne quittent plus mon âme et ma rancœur me grignote le cerveau. Ma tumeur s'appelle Salope, elle a vingt trois ans à présent, des cheveux blonds comme les blés et des mensurations parfaites. Ma tumeur m'a rongé, je suis presque mort. J'agonise, regardez j'agonise de toute cette connerie. Effacez ma mémoire, effacez ces mois où je pensais toucher le bonheur. Ce n'est pas tant ce que je ressens maintenant qui est douloureux, c'est de savoir que pendant si longtemps j'ai considéré comme réel un amour mensonger. Une fourbe duperie. « Une sacrée salope, ta blondasse. » Une salope qui m'a pourri jusqu'à la moelle de mon envie d'elle.

In a perfect world
In a perfect world

Dans un monde parfait.
Dans un monde parfait.

Elle m'a tué et mon sang dégouline sur les murs. Je ne comprends pas cette folie qui me ronge. Pourquoi un être si débectant a pu m’inspirer des sentiments si forts ? Personne ne le sait aussi bien que moi mais c'est sa main qui a appuyé sur la détente, c'est à cause d'elle que mon monde s'écroule. Elle m'a tué et je dessine des formes abracadabrantesques avec les morceaux épars de tout ce qu'il reste de moi. Elle m'a tué et l'air que je respire m'étouffe. Je m'étrangle à trop me souvenir. Je suffoque à trop savoir ce qu'elle m'a fait. J'agonise à trop me rappeler la foi sans borne que j'avais pour elle.

Elle m'a tué, putain.
Elle m'a tué.

[...]
She pulls the trigger until the gun goes…

[...]
Elle appuie sur la gâchette jusqu'à ce que le revolver...

[mentor]

Imaginez-vous son corps de déesse, 85(C)-55-85

c'est pas de l'écriture en creux, ça
;-)

[Nath.]

Chacun son style

[mentor]

Chacun son style

je t'en prie, y a pas de quoi

[Nath.]

En réalité, mon message ne s'est pas envoyé correctement et seule la première ligne a été enregistrée ;-) .
Preuve, il n'y avait pas de point à la fin de ma phrase =) .
Le fait qu'on ne puisse pas éditer est vraiment... embêtant.

[Yali]

Le fait qu'on ne puisse pas éditer est vraiment... embêtant.

En même temps, ça prouve juste que les éditeurs ont pas tort de pas confier leur métier à n'importe qui, me semble.

[mentor]

En réalité, mon message ne s'est pas envoyé correctement et seule la première ligne a été enregistrée ;-) .
Preuve, il n'y avait pas de point à la fin de ma phrase =).

c'est pas une preuve, j'en mets jamais ! :-))
c'est une preuve : t'en mets partout :-)))

[Nath.]

Yali, au risque de passer pour un demeuré... Je n'ai pas compris.

Si je suis ton court raisonnement, mentor, c'est donc une preuve =) !

[mentor]

mais moi je ne demande toujours qu'à croire ce qu'on me dit, a priori
mais faudrait pas que je m'aperçoive plus tard qu'on ma grugé ;-)

pour la fonction EDITER, c'est pas plus mal comme ça, ça oblige les membres à bien réfléchir leur message avant de le balancer
et puis, s'il y a vraiment un blèm, tu le dis et un gentil modérateur intervient, au hasard : moi ;-)

[Nath.]

D'accord, môssieur ;-) .

[Lehnerd]

Salut.
Après les deux premières lignes de ton texte je me suis dis "aaaaargh" 3 verbes "être", deux fois "avoir". "Qu'est ce qu'ils ont tous à n'utiliser que ça?"

Mais bon, j'ai continué.

A la description de ton personnage féminin (surtout le passage du short) je me suis dis "ptain on dirait une pouff, le narrateur est bien un mec pour en être aussi dingue".

Mais bon j'ai continué.

Lorsque j'ai vu qu'effectivement c'était une fille pas vraiment sérieuse j'étais contente.

Lorsque j'ai vu le narrateur si triste je me suis dis "ptain on a loupé quelque chose"

En conclusion, tu m'as fait deux fois continuer alors que j'aurais pu m'arrêter (et je m'arrête facilement) c'est donc qu'il y a un truc dans l'écriture qui accroche. J'ai lu et j'ai senti la fraicheur, la naïveté d'un narrateur de 20 ans mais encore ado...mais à force de s'en prendre plein la gueule il finirait adulte quand même.

Bref j'ai bien aimé.

[Nath.]

Merci.
Je dois avouer que je n'ai absolument pas cherché à lui donner une forme un peu plus "correcte".
Il y a des fois où, à force de travailler un texte, on en ôte les sentiments qu'on y avait mis.
C'est dommage.
Mais je le ferai pour le prochain ;-)

[lemon a]

Bon j'ai lu en transversal comme on dit. Du fait de la psychologie du perso principal qui me paraît, comment dire ?- pas du tout crédible ni cohérente ni bien amené. On ne sent pas la transition fils à papa qui ne renonce pas à sa liberté du début et cette espèce d'addiction pour la fille + les paroles de la chansons je les ai pas lu...(je trouve ca gnangan les textes liés à des chansons ou à des images..)

Le positif c'est la narration, la façon d'écrire. Pas parfait mais le rythme est correct, naturel, en place et le style (85-60-85) plutôt à mon goût, contemporain, équilibré. On tombe jamais dans la vulgarité gratuite ou dans le langage oral tout en restant assez cash, assez fluide.... C'est ce que j'aime. J'estime juste qu'il faut serrer un peu les boulons : tu te laisses parfois aller à des énumérations un peu gratuites, répétitives, complaisantes. Il manque encore un coup de ciseau.

[Lucy]

Pas loin de Lemon a en ce qui concerne mon ressenti. J'ai buggué sur les " chutes du Niagara " et les " geysers " : j'ai hésité entre l'incontinence et ces images faciles dans certains films post apocalyptiques du genre la bouteille de champagne si je me fais bien comprendre... ^^

Bref, un trait un peu naïf. J'ai lu sans déplaisir, cependant. Plutôt branchée par les chansons qui stimulent mon écriture, je n'ai cependant pas lu les paroles insérées dans ton texte. S'inspirer n'est pas forcément tout coller la chanson dans ton écrit ( il est tard, et je m'exprime de plus en plus mal. Je n'ai quand même bu que du Canada dry. Et rien d'autre ! ^^ ) cela plombe l'ensemble. Une petite citation aurait suffit.

J'ai écouté la chanson, cependant. Pas mon trip, désolée !

[Sahkti]

Des chansons plates pareilles, ça doit s'écrire en 5 minutes, non? Pas top en tout cas :-(

Je me suis ennuyée, vraiment. Ce narrateur passe son temps à geindre, à se contempler le nombril, à trouver belle une femme uniquement parce qu'il peut se refléter dans son regard. Déjà, viter les mensurations dans le descriptif me paraît assez réducteur, mais bon... Aucune empathie pour ce personnage, donc, ce qui fait que je n'accroche pas. D'autant plus que le reste du récit me paraît assez fade, convenu et sans grand intérêt à mes yeux.
Pas bon public je suis, désolée !

[†ShAWn†]

Désolée, je ne suis pas douée pour faire la critique d'un texte alors je vais me contenter de dire quelques mots.
J'ai beaucoup aimé ton texte et ton style d'écriture. J'ai tout de suite accroché. ça me rappelle un roman que j'ai lu il y a quelques temps mais je ne parviens pas à me souvenir du quel il s'agissait.

Bonne continuation et vivement le prochain texte!

[mentor]

Bon j'ai lu en transversal comme on dit.

on dit pas : "en diagonale" ?

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