Coupe cou à l'art beau
+5
boc21fr
lillith
mentor
abstract
Jerry Golay
9 participants
Page 1 sur 1
Coupe cou à l'art beau
Coupe Cou à l’art beau
Cet après-midi, d’un passage à néant, en relevant la tête d’une étude à la B.U, j’ai vu, à la table d’en face, qu’une fille de ma classe que j’aime le plus s’était assise de façon à ce que je la voit. Oui ce fut aussi intense qu’intentionnel qu’elle n’eût pas choisi cette place au hasard, parmi les fort nombreuses tables disponibles en ce beau début d’après-midi, en plus des confortables sofas disposés prêt des rayons bd__ car elle en lisait une qui entre certes dans le cadre de nos cours et, me prétexta-t-elle, elle fut curieuse de comparer un de ses dessin animés préférés de son enfance, Little Nemo, avec les premières bande dessinées du nom (1904-1915, bande dessinée U.S, strictement rien à voir avec le poisson). Elle m’avoua préférer le dessin animé et je lui ai fait remarquer que cela tenait probablement du fait que les dessins sont médiocres en bd d’époque, souvent à cause du travail bâclé des coloristes qui déforment, par manque d’expérience dans le coup de rouleau à colorié, les expressions les plus exactement travaillées durant des heures. Pour les cinéphiles comme moi cela revient à détester un screener lorsque le même film vu en bonne qualité d’image et de son serait excellent.__ en fin de compte elle n’étudiait pas vraiment et j’ai tout de suite tilté là une sorte d’approche, une marche lente, un premier pas au compte goutte. Et ça n’aurait rimé à rien de ne pas saisir l’occasion d’accélérer la manœuvre, j’aurai été très con de rester le cul vissé sur ma chaise en niant l’évidence.
Voila pourquoi, tandis qu’après une joyeuse heure de boulot je m’apprêtais à prendre une pause, je n’ai pas manqué de la saluer.
Du fait que nous sommes dans la même classe l’abordage fut forcément simplifié, mais j’ose croire que cela serait revenu au même dans le cas contraire : Notre attraction est naturelle et fusionnelle. Je l’ai gentiment prise à parti sur sa lecture, sans cacher ma surprise de l’avoir si prêt de moi. Notre étreinte réciproque teintée de réserve, nous traitant l’un et l’autre dignement, distraitement et avec distraction, nous conduit à prendre l’air, se réunir ensuite à la même table puis à la raccompagner à son cour avant que je reprenne ma route. (Hormis les cours principaux, notre classe se divise en cinq groupes d’environ vingt élèves.)
Bref j’en viens au problème : Je me méfie extrêmement des filles en amour ou en amitié, car elles m’agacent. J’ai pris son adresse « Hem een scene » dont la partie principal se compose ainsi :
« enaxor ».
De retour chez moi je cherche ce qu’il peut se cacher derrière cet intitulé, et évidemment il s’agit de son prénom inversé : enaxor = Roxane.
Je retourne son prénom en palindrome vertical et j’obtiens : « auexoj » (retournez votre feuille vous obtenez « Roxane. »
Attention : avec auexoj je déduis deux mots : « au » et « exoj », ce qui ne veut rien dire. On peut en fait discerner deux mots connus « au » et « ex », qui l’un à côté de l’autre ne signifie rien, en plus d’un troisième mot « oj », qui ne veut toujours rien dire. Donc : « au » + « ex » + « oj ».
Si on remonte aux sources, la diphtongue [oj] n’existe pas en latin. [j] vaut . [oj] est une diphtongue grecque simplifiée en [o]. De même que le premier mot « au » est une diphtongue latine provenant du [o] fermé. Je vois immédiatement le schéma ainsi simplifié :
« o ex o »
J’en pense : « ô, ex, ô !!! » avec l’intonation qu’il faut.
Alors soit je barre mathématiquement les semblables « ô » et « ô » pour ne garder que « ex », soit je prend en compte le fait que les deux « ô » forment comme deux yeux aux sourcils perplexes au milieu du mot « ex » : ô ex ô
Mais, dans les deux cas, Roxane ressemble en tout point à la seule fille que je considère comme mon ex, Aurore, et d’ailleurs en poussant encore plus loin la paranoïa, cette fille est aussi physiquement que mentalement similaire à mon ex. Et qu’est-ce que Roxane si ce n’est le même nombre de lettre que le prénom Aurore ?!
Jean Baptiste Clément.
[i][i]
Jerry Golay- Nombre de messages : 13
Age : 37
Date d'inscription : 08/10/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
[j]vaut [i]* en latin.
Jerry Golay- Nombre de messages : 13
Age : 37
Date d'inscription : 08/10/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
Quel étrange texte ! A la fois empli de naïveté et d'une forme d'érudition...
Je trouve l'expression maladroite en ceci que parfois elle assène (ha"l abordage", un grand moment de lecture !) plutôt que de laisser deviner ; d'autres fois elle est complètement obscure.
Par ailleurs les transitions laissent à désirer, ce passage en est un bel exemple : je me méfie extrêmement des filles en amour ou en amitié, car elles m’agacent. J’ai pris son adresse « Hem een scene » dont la partie principal se compose ainsi :
« enaxor ».
Par ailleurs, c'est bourré de fautes d'orthographe, socque n'est hélas pas là pour les relever et je n'ai pas sa constance, son énergie pour le faire.
Une suite est-elle prévue au texte ? La fin le laisserait penser....
Je trouve l'expression maladroite en ceci que parfois elle assène (ha"l abordage", un grand moment de lecture !) plutôt que de laisser deviner ; d'autres fois elle est complètement obscure.
Par ailleurs les transitions laissent à désirer, ce passage en est un bel exemple : je me méfie extrêmement des filles en amour ou en amitié, car elles m’agacent. J’ai pris son adresse « Hem een scene » dont la partie principal se compose ainsi :
« enaxor ».
Par ailleurs, c'est bourré de fautes d'orthographe, socque n'est hélas pas là pour les relever et je n'ai pas sa constance, son énergie pour le faire.
Une suite est-elle prévue au texte ? La fin le laisserait penser....
Invité- Invité
Re: Coupe cou à l'art beau
J’ai trouvé l’ensemble assez indigeste, il y a un peu de tout là-dedans et je n’ai pas compris où l’auteur voulait m’emmener. C’est quoi ? Un cours sur la bande dessinée, une histoire d’amour, un jeu de piste ? Désolée, je ne vous ai pas suivi.
abstract- Nombre de messages : 1127
Age : 54
Date d'inscription : 10/02/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
quel charabia !
juste ça :
Notre étreinte réciproque teintée de réserve, nous traitant l’un et l’autre dignement, distraitement et avec distraction
c'est l'exemple type de celui qui s'écoute écrire et qui fait du lourd
désolé mais c'est inmangeable
juste ça :
Notre étreinte réciproque teintée de réserve, nous traitant l’un et l’autre dignement, distraitement et avec distraction
c'est l'exemple type de celui qui s'écoute écrire et qui fait du lourd
désolé mais c'est inmangeable
Re: Coupe cou à l'art beau
Oui Easter Island,
A l’abordage est un grand thème (Baudelaire exprime tellement bien son attraction pour une inconnue dans A Une Passante qu’il ne l’aborde pas). Je prends l’écriture très au sérieux et ici rien n’est au hasard sauf les fautes d’orthographe. Le fond prévaut la forme n’est-ce pas !
Ici la forme « indigeste », « étrange », « qui assène […] au lieu de laisser deviner ; d’autre fois elle est complètement obscure. » J’écris peu car j’ai la manie de ne pas vouloir détacher le réel du genre fantastique : le genre fantastique est mon genre favori mais je ne peux écrire de fiction, parce que j’attache de l’importance au réel. Pour moi, le réel est déjà assez bizarre comme ça. On peut puiser toute sorte de matière fantastique à partir du réel, et puis le fantastique n’est qu’une exagération du réel, car même le plus inventif des trucs fantastiques se base forcément sur notre réel qu’on exagère, qu’on pousse plus loin.
Et oui, la vie nous jette des transitions sans rapports qui nous surprennent toujours.
« Bref j’en viens au problème : Je me méfie extrêmement des filles en amour ou en amitié, car elles m’agacent. J’ai pris son adresse « Hem een scene » dont la partie principal se compose ainsi :
« enaxor ». »
-> Ici la transaction n’est pas si anodine. Les filles m’agacent, je m’en méfie, donc je prend son adresse AiméeSaine pour prendre une distance, comme une fuite pour lui parler de plus loin par la suite.
Et le problème s’exprime ainsi : Je me méfie de notre attirance réciproque, et puis je me met à analyser son adresse AiméeSaine par folle précaution, et voila que cela réveille au final un point sensible : cette fille serait-elle la copie de la seule fille que j’ai aimé et si oui, je me retrouve face à une fille qui me serait à nouveau destinée, __ idée poussiéreuse ou phénomène mystique ?
Cela s’est produit aujourd’hui, tout est vrai. En fait, je joue avec tout ça, mais en même temps c’est très crédible pour moi, j’aime me faire flipper. Et forcément plus la chose est dangereuse pour mon existence plus je me dois d’y prendre garde. Les délires rejoignent le réel, et cela constitue un défi pour l’état mental, qui pourrait tout à fait basculer et pourrir ma vie réellement.
Il est vrai que j’étais saoul en déchiffrant son adresse AiméeSaine, et à partir de là je me suis tapé un délire qui me plait et qui me fait tellement peur à la fois que j’ai envie d’écrire pour m’en souvenir : taper mes pensées et raisonnements fous, aussi vacillants que le réel et tout aussi crédibles que lui. Je tape ma life, je fais partager mes pensées, donc oui c’est assez étranges comme tout enchaînement de pensées humaines.
Please Enjoy.
La suite ? j’en sais rien… Roxane = Aurore en tout point, et c’est ma chance ou une illusion ?
Je me méfie de la suite. Le réel le dira, et donc je l’écrirai peut-être.
___
Quand à l'autre version du immangeable à savoir la stylistique des mots qui se ressemblent et s'imbriquent, j'avoue que je teste, et que ça me semble assez indigeste aussi. A suivre.
A l’abordage est un grand thème (Baudelaire exprime tellement bien son attraction pour une inconnue dans A Une Passante qu’il ne l’aborde pas). Je prends l’écriture très au sérieux et ici rien n’est au hasard sauf les fautes d’orthographe. Le fond prévaut la forme n’est-ce pas !
Ici la forme « indigeste », « étrange », « qui assène […] au lieu de laisser deviner ; d’autre fois elle est complètement obscure. » J’écris peu car j’ai la manie de ne pas vouloir détacher le réel du genre fantastique : le genre fantastique est mon genre favori mais je ne peux écrire de fiction, parce que j’attache de l’importance au réel. Pour moi, le réel est déjà assez bizarre comme ça. On peut puiser toute sorte de matière fantastique à partir du réel, et puis le fantastique n’est qu’une exagération du réel, car même le plus inventif des trucs fantastiques se base forcément sur notre réel qu’on exagère, qu’on pousse plus loin.
Et oui, la vie nous jette des transitions sans rapports qui nous surprennent toujours.
« Bref j’en viens au problème : Je me méfie extrêmement des filles en amour ou en amitié, car elles m’agacent. J’ai pris son adresse « Hem een scene » dont la partie principal se compose ainsi :
« enaxor ». »
-> Ici la transaction n’est pas si anodine. Les filles m’agacent, je m’en méfie, donc je prend son adresse AiméeSaine pour prendre une distance, comme une fuite pour lui parler de plus loin par la suite.
Et le problème s’exprime ainsi : Je me méfie de notre attirance réciproque, et puis je me met à analyser son adresse AiméeSaine par folle précaution, et voila que cela réveille au final un point sensible : cette fille serait-elle la copie de la seule fille que j’ai aimé et si oui, je me retrouve face à une fille qui me serait à nouveau destinée, __ idée poussiéreuse ou phénomène mystique ?
Cela s’est produit aujourd’hui, tout est vrai. En fait, je joue avec tout ça, mais en même temps c’est très crédible pour moi, j’aime me faire flipper. Et forcément plus la chose est dangereuse pour mon existence plus je me dois d’y prendre garde. Les délires rejoignent le réel, et cela constitue un défi pour l’état mental, qui pourrait tout à fait basculer et pourrir ma vie réellement.
Il est vrai que j’étais saoul en déchiffrant son adresse AiméeSaine, et à partir de là je me suis tapé un délire qui me plait et qui me fait tellement peur à la fois que j’ai envie d’écrire pour m’en souvenir : taper mes pensées et raisonnements fous, aussi vacillants que le réel et tout aussi crédibles que lui. Je tape ma life, je fais partager mes pensées, donc oui c’est assez étranges comme tout enchaînement de pensées humaines.
Please Enjoy.
La suite ? j’en sais rien… Roxane = Aurore en tout point, et c’est ma chance ou une illusion ?
Je me méfie de la suite. Le réel le dira, et donc je l’écrirai peut-être.
___
Quand à l'autre version du immangeable à savoir la stylistique des mots qui se ressemblent et s'imbriquent, j'avoue que je teste, et que ça me semble assez indigeste aussi. A suivre.
Jerry Golay- Nombre de messages : 13
Age : 37
Date d'inscription : 08/10/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
et alors là, quand est obligé de venir s'expliquer en détails par un message aussi long que le texte, c'est que vraiment, c'est pas passé !
Re: Coupe cou à l'art beau
Et puis " Coupe cou à l'art beau" dit bien que c'est indigeste.
Jerry Golay- Nombre de messages : 13
Age : 37
Date d'inscription : 08/10/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
tiens, je vais t'en ajouter une louchée : si tu venais un peu te présenter ici ?
https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t4887-360.htm#179827
et si tu commençais à commenter un peu les autres textes ?
ça se fait ici, tu sais ?
c'est même le but du site : l'échange, et l'apprentissage, VE n'est pas qu'une "vitrine"
;-)
https://vosecrits.1fr1.net/conversations-atelier-f4/presentez-vous-ici-t4887-360.htm#179827
et si tu commençais à commenter un peu les autres textes ?
ça se fait ici, tu sais ?
c'est même le but du site : l'échange, et l'apprentissage, VE n'est pas qu'une "vitrine"
;-)
Re: Coupe cou à l'art beau
Oui, je te remercie.
Jerry Golay- Nombre de messages : 13
Age : 37
Date d'inscription : 08/10/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
Ton écriture me semble assez caractéristique des dégâts que peut faire l'institution universitaire sur les capacités créatrices... A mon humble avis, tu devrai prendre en compte une première chose, avant de soumettre des textes à la lecture : pour qui écris-tu? Pour un lecteur ou pour toi même? S'il s'agit de la deuxième possibilité, laisse tomber...
Si l'écriture peut-être une bonne thérapie, la littérature est un partage et un acte créateur à destination d'un public... je sais que de nombreux contemporains très encensés écrivent sur leur nombril et ces circonvolutions mais, de moins point de vue, ces gens là ne font que du marketing et mériterai de finir, comme le non regretté nouveau roman, dans les oubliette de la littérature...
Bref, crée, lâche toi, oublie les sages leçons universitaires... (sauf pour l'orthographe...) et là tu produira certainement des trucs de qualité...
Si l'écriture peut-être une bonne thérapie, la littérature est un partage et un acte créateur à destination d'un public... je sais que de nombreux contemporains très encensés écrivent sur leur nombril et ces circonvolutions mais, de moins point de vue, ces gens là ne font que du marketing et mériterai de finir, comme le non regretté nouveau roman, dans les oubliette de la littérature...
Bref, crée, lâche toi, oublie les sages leçons universitaires... (sauf pour l'orthographe...) et là tu produira certainement des trucs de qualité...
Re: Coupe cou à l'art beau
Ah la vache la méchante prise de tête...
L'exercice, à défaut d'avoir du charme, a toutefois un intérêt évident.
Toutefois, là où nous avons dorénavant besoin que l'auteur nous donne envie de poursuivre notre lecture, nous prenne par la main, nous intrigue, nous autres pauvres lecteurs, nous sommes ici dans l'obligation de prendre le temps de gouter froidement le caractère expérimental de votre jeu littéraire.
Effectivement...c'est un peu...raide.
Au plaisir de vous relire...
L'exercice, à défaut d'avoir du charme, a toutefois un intérêt évident.
Toutefois, là où nous avons dorénavant besoin que l'auteur nous donne envie de poursuivre notre lecture, nous prenne par la main, nous intrigue, nous autres pauvres lecteurs, nous sommes ici dans l'obligation de prendre le temps de gouter froidement le caractère expérimental de votre jeu littéraire.
Effectivement...c'est un peu...raide.
Au plaisir de vous relire...
boc21fr- Nombre de messages : 4770
Age : 53
Localisation : Grugeons, ville de culture...de vin rouge et de moutarde
Date d'inscription : 03/01/2008
Re: Coupe cou à l'art beau
Merci à vous. Hartelijk Dank.
Jerry Golay- Nombre de messages : 13
Age : 37
Date d'inscription : 08/10/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
Encore un détail sur le fonctionnement de VE :Jerry Golay a écrit:Merci à vous. Hartelijk Dank.
Merci de répondre aux commentaires ici
https://vosecrits.1fr1.net/forum-vos-ecrits-prose-f1/reponses-aux-commentaires-prose-t5329-200.htm#bottom
cela évitera de faire vous-même remonter votre texte en haut de page au détriment de ceux des autres !
La Modération
.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Re: Coupe cou à l'art beau
Ben ça m'a plutot interessé dans la première moitié. Originale tout en restant lisible. j'apprécie la précision sur l'histoire des coloristes et la comparaison avec les screeners.
Seulement l'histoire ne se poursuit pas. Donc décrochage au deux tiers du texte puis lecture en transversale. Dommage.
Grosse branlette sur l'explication dans les commentaires.. Voilà qui augmente le passif.
Seulement l'histoire ne se poursuit pas. Donc décrochage au deux tiers du texte puis lecture en transversale. Dommage.
Grosse branlette sur l'explication dans les commentaires.. Voilà qui augmente le passif.
Re: Coupe cou à l'art beau
Il faudrait quand même faire un effort, les lecteurs... Vous n'avez jamais rien lu de plus obscur en vous pâmant cepandant parce que quelques plus lettrés que vous avaient compris ?
C'est un texte d'étudiant amoureux... voilà comment je le comprends, et ça me suffit.
C'est un texte d'étudiant amoureux... voilà comment je le comprends, et ça me suffit.
Plotine- Nombre de messages : 1962
Age : 81
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
chacun peut bien dire s'il a compris ou s'il n'a rien capté sans être obligé de se justifier, Plotine,
100 lecteurs, 100 lectures
non ?
100 lecteurs, 100 lectures
non ?
Re: Coupe cou à l'art beau
Ce qui me gène surtout dans ce texte, c'est qu'il me rappelle mes cours à la fac... aussi barbant...Plotine a écrit:Il faudrait quand même faire un effort, les lecteurs... Vous n'avez jamais rien lu de plus obscur en vous pâmant cepandant parce que quelques plus lettrés que vous avaient compris ?
C'est un texte d'étudiant amoureux... voilà comment je le comprends, et ça me suffit.
Re: Coupe cou à l'art beau
drôle de texte en effet. Il faudrait le reprendre pour paufiner la musique, l'écriture est très heurtée :
Triple "que" triple "en" et double possessif, ce sont beaucoup de fautes de style qui me rendent ce texte pas trop agréable à découvrir. Cependant bienvenue sur le Forum, à vous lire bientôt.Cet après-midi, d’un passage à néant, en relevant la tête d’une étude à la B.U, j’ai vu, à la table d’en face, qu’une fille de ma classe que j’aime le plus s’était assise de façon à ce que je la voit. Oui ce fut aussi intense qu’intentionnel qu’elle n’eût pas choisi cette place au hasard, parmi les fort nombreuses tables disponibles en ce beau début d’après-midi, en plus des confortables sofas disposés prêt des rayons bd__ car elle en lisait une qui entre certes dans le cadre de nos cours et, me prétexta-t-elle, elle fut curieuse de comparer un de ses dessin animés préférés de son enfance,
Invité- Invité
Re: Coupe cou à l'art beau
Mea culpa mais c'est que, parfois, j'ai l'impression que tout le monde s'aligne inconsciemment.mentor a écrit:chacun peut bien dire s'il a compris ou s'il n'a rien capté sans être obligé de se justifier, Plotine,
100 lecteurs, 100 lectures
non ?
Plotine- Nombre de messages : 1962
Age : 81
Date d'inscription : 01/08/2009
Re: Coupe cou à l'art beau
Pas mal d'erreurs de concordances des temps, me semble-t-il, parfois très visibles dans les phrases à rallonge qui mêlent allègrement passé et présent.
J'ai trouvé que ça ne menait pas très loin, surtout après un début aussi laborieux. L'exercice sur les lettres était-il la finalité du texte ou bien est-ce venu plus tard, un peu par hasard? Il me semble que ça tombe à plat par rapport au reste.
Reste qui paraît pourtant intéressant dans le jeu mené sur les mots et les idées, sur la naissance d'une confusion savamment entretenue mais qui me paraît non maitrîsée (enfin, pas totalement) par son auteur, qui s'égare de ci de là sans pour autant ouvrir de nouvelles pistes de réflexion, ce qui est un peu dommage.
La forme est ici au service du fond, l'inverse est également vrai, toutefois le déséquilibre est palpable.
J'ai trouvé que ça ne menait pas très loin, surtout après un début aussi laborieux. L'exercice sur les lettres était-il la finalité du texte ou bien est-ce venu plus tard, un peu par hasard? Il me semble que ça tombe à plat par rapport au reste.
Reste qui paraît pourtant intéressant dans le jeu mené sur les mots et les idées, sur la naissance d'une confusion savamment entretenue mais qui me paraît non maitrîsée (enfin, pas totalement) par son auteur, qui s'égare de ci de là sans pour autant ouvrir de nouvelles pistes de réflexion, ce qui est un peu dommage.
La forme est ici au service du fond, l'inverse est également vrai, toutefois le déséquilibre est palpable.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Sujets similaires
» La coupe
» NOS contrepèteries originales
» Coupé au montage
» un beau mariage
» Que c'est beau, c'est beau la vie
» NOS contrepèteries originales
» Coupé au montage
» un beau mariage
» Que c'est beau, c'est beau la vie
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|