On ne connait jamais
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On ne connait jamais
On ne connaît jamais la réelle intensité du souffle
Lorsque peureux on s’enroule dans les voilages
Aux fenêtres camouflées de doubles rideaux
Pourtant il est là au creux des mains
Quand on les laisse s’échapper par l’entrebâillement du volet
Elles seules savent dessiner toutes les couleurs
Celles de toutes les saisons réunies sur une même palette
Certains n’y verraient qu’une teinte sombre et uniforme
Mais nous savons baisser les paupières
Sur les montagnes fluctuantes
Et là
La lune vient irradier tous les murs gris
Qui se transforment alors en forêt luxuriante
Où il nous faudra avancer en silence
Pour capter tous les messages de l’humus
Qui croîtront devenant ces trains
Ces routes
Ces sentiers ouverts sur l’océan qui n’attend que nous
Pour recréer les marées
Si tout le monde nous croit mort
Ne révelons pas notre secret
Cette vie au-delà des grands murs
Là où l’horloge attend
Que nous choisissions l’heure
Où il nous plaît de poser nos ouvrages
Ce ne sont pas les poissons qui révèleront
Au monde ce bonheur d’avoir su conserser
L’aurore à nos côtés
Et la promesse du jour toujours à venir
Lorsque peureux on s’enroule dans les voilages
Aux fenêtres camouflées de doubles rideaux
Pourtant il est là au creux des mains
Quand on les laisse s’échapper par l’entrebâillement du volet
Elles seules savent dessiner toutes les couleurs
Celles de toutes les saisons réunies sur une même palette
Certains n’y verraient qu’une teinte sombre et uniforme
Mais nous savons baisser les paupières
Sur les montagnes fluctuantes
Et là
La lune vient irradier tous les murs gris
Qui se transforment alors en forêt luxuriante
Où il nous faudra avancer en silence
Pour capter tous les messages de l’humus
Qui croîtront devenant ces trains
Ces routes
Ces sentiers ouverts sur l’océan qui n’attend que nous
Pour recréer les marées
Si tout le monde nous croit mort
Ne révelons pas notre secret
Cette vie au-delà des grands murs
Là où l’horloge attend
Que nous choisissions l’heure
Où il nous plaît de poser nos ouvrages
Ce ne sont pas les poissons qui révèleront
Au monde ce bonheur d’avoir su conserser
L’aurore à nos côtés
Et la promesse du jour toujours à venir
Invité- Invité
Re: On ne connait jamais
bonjour éclaircie,
au-début je suis votre souffle
et tout à coup ....on les laisse...elles seules.... (les couleurs ,?? )
qui croîtront est très dur à prononcer (et c'est qui quoi le sujet ????)
...
(de temps en temps, je me laisse aller, comme vous, au brouillon de la poésie en roue libre,
après, je repatouille, pour espérer emmener le lecteur dans mon image inaire ... )
j'espère que mes critiques mathématiques
ne vous blesseront pas
amitié
au-début je suis votre souffle
et tout à coup ....on les laisse...elles seules.... (les couleurs ,?? )
qui croîtront est très dur à prononcer (et c'est qui quoi le sujet ????)
...
(de temps en temps, je me laisse aller, comme vous, au brouillon de la poésie en roue libre,
après, je repatouille, pour espérer emmener le lecteur dans mon image inaire ... )
j'espère que mes critiques mathématiques
ne vous blesseront pas
amitié
Re: On ne connait jamais
Je me suis perdue dans la recherche des sujets :
mais ensuite :
Du coup je suis passée un peu à côté... L'ensemble m'a paru brouillon et pas tout à fait à la hauteur de tes productions antérieures.
Mais re-bienvenue, il y avait longtemps que tu n'étais pas venue...
OK, c'est le soufflePourtant il est là au creux des mains
mais ensuite :
Qui ou quoi ?Quand on les laisse s’échapper
?Elles seules savent dessiner toutes les couleurs
Du coup je suis passée un peu à côté... L'ensemble m'a paru brouillon et pas tout à fait à la hauteur de tes productions antérieures.
Mais re-bienvenue, il y avait longtemps que tu n'étais pas venue...
Invité- Invité
Re: On ne connait jamais
j'aime bien
un peu brouillon oui, mais des images, du souffle, et un propos qu'on déplie, comme à la taille d'une robe un ruban pudique
un peu brouillon oui, mais des images, du souffle, et un propos qu'on déplie, comme à la taille d'une robe un ruban pudique
Calvin- Nombre de messages : 530
Age : 35
Date d'inscription : 22/05/2010
Re: On ne connait jamais
Peut-être que "il" c'est le souffle et "les", "elles" les mains ?
Moi je trouve ces couleurs chamarrées et bigarrées des quatre saisons à travers la fenêtre, très chatoyantes. Et j'ai perçu le souffle de Vivaldi.
J'aime bien aussi les messages de l'humus et des poissons pour que le coq chante encore ou à nouveau
Moi je trouve ces couleurs chamarrées et bigarrées des quatre saisons à travers la fenêtre, très chatoyantes. Et j'ai perçu le souffle de Vivaldi.
J'aime bien aussi les messages de l'humus et des poissons pour que le coq chante encore ou à nouveau
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