Dada - Elle m'a montré ses saints

Elle m’a montré ses saints.
La visite fut courte.
Nice.
Ses saints ( les archétypes d’un certain amour à la papa)… et son peignoir court.
Puis nous avons visionné un film en DVD. « Goto, l’île d’amour », dudit Valerian Borowczyk.
Elle me fécondait de sa main lorsque je sentis couler un liquide dans son regard :
- Ne réfléchissez pas trop fort ! Demain, nous aurons tout le temps de mourir. Et de prendre
l’ascenseur.
- …
WCZYK.

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A lire lentement, histoire de ne pas tout comprendre.

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Version pour anglophiles...débutants.

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She showed me her saints. The visit was short. Nice. Her saints (prototypes of a certain love to the dad)… and his short dressing gown. Then, we viewed a film in DVD. “Goto, the island of love”, of the aforesaid Valerian Borowczyk. She fertilized me with her hand when I felt to run a liquid in her glance:
- Do not reflect too extremely! Tomorrow, we will have all the time to die. And to take the elevator.
- …
WCZYK.

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le dadaïsme est une langue morte. très peu pour moi.

quand l'abstraction est lumineuse, je la trouve belle
quand elle est triste, elle m'ennuie

en d'autres mots,
Jean Dubuffet ou Jean Michel Baquiat ont une poésie du trait
il faudra me convaincre que vous avez cette poésie, avec des phrases que je lirais autrement que comme un collage aux effets déjà vus...


ce commentaire peut vous paraître présomptueux ou méchant
je vous jure que ce n'est pas mon intention !!!

amitié

Je l'aime bien celui là car il reste dans un degré qui m'agrée, et DADA y respire, car DADA n'est pas mort.

J'apprécie :"Elle me fécondait de sa main lorsque je sentis couler un liquide dans son regard"

C'est du grand art qui sait rester poétiquement pudique.