Débats, billevesées et causette (Des babils & co)

Pas pour l'exo ?

Je crains bien que si !
Je n'arrive à rien...

Bah coline on va poster plusieurs semaines vu que certains en ont fait plusieurs
tu as encore du temps devant toi

Oui, surtout qu'il faut du temps pour s'approprier les textes et parvenir à les remanier
Il faut laisser reposer, et si ça ne marche pas, attendre la petite envie d’écrire qui pointe le bout de sa plume

Hop

je vais lire dormir
demain est un grand et beau jour
(j'adore le Lundi :-))

Discutez bien, ne soyez surtout pas sages avant d'aller dormir !

Bon lundi
(J'aimerai bien être passage avant d'aller dormir
rhoooo)

Bonne nuit Vénérables Exoteurs

Itou, Reb
Je vous poutouille tous

Quelle bande de drôles de dames nous faisons...
Merci Elea (on va pouvoir se coucouter un de ces jours, alors ?), Croisic (mmmh, vanille-melon, ça doit être fin et doux...) Coline-copine, et puis notre charlie: Mentor ! (pas de coup de bûche, m'enfin, un coup de bec de mouette rieuse sur le crâne, c'est bien suffisant !)
Coline, tu ne peux pas déclarer forfait, tu n'as pas de partenaire pour t'énerver sur cet exo !
J'attends de vous lire...

nan je le ménage, j'y tiens trop !

moi je reste éveillée jusqu'à 00h01

et hop !

C'est le couuuup d'pluuum' finaaaal... ;-)

Moi j'ai pas commencé!
Mais j'ai pleuré pour la énième fois devant "beignets de tomate verte"

bon et maintenant j'ai ri :0)


Bonne nuit Janis, bonne nuit tous

Bon si t'as ri tant mieux !

j'ai ri aussi

mais

BONUIT !

c'est déjà demain

car si tu ris
je ris aussi

allez je la remets, je l'aime trop

polgara a écrit:salutations VE,
boc21fr, mon avatar a vu le tien et n'a qu'une envie bondir dans ton profil, je ne comprends pas pourquoi....
je vous souhaite un réveil doux, un petit déjeuner caféiné ou théiné, néanmoins tartiné et confituré, maison naturellement.
et puis je vous poutouille du matin. (juste pour que cela me ramène des papouilles et grattouille pour l'avatar).
A plus tard !

Ah...
Tu dois être -relativement- nouvelle ici (moins de 3 ans).
Laisse moi te narrer, en guise de bref retour sur ce site que j'affectionne particulièrement, une petite histoire vraie.
Il était une fois, à Grugeons notre ville, dans une charmante petite maison, l'employé sans âge d'une société éphémère travaillant en sous traitance pour GDF (vous noterez qu'ils n'osent plus envoyer leurs propres employés, cette histoire vous révelera pourquoi) qui eut la mauvaise idée de venir controler le chiffre inscrit sur notre compteur. Sans prendre rendez-vous.
Il commit la folie de me réveiller, vers onze heures du matin, inconscient à la fois de mes moeurs nocturnes comme de la nature du démon qui les partage avec moi.
Je me levais péniblement, lentement, hébêté et aveuglé par la lueur du jour à l'ouverture de la porte de ma chambre, avant de descendre, prudement, en aveugle l'escalier en me tenant à la rampe...
Lorsque je le fis entrer, enfin, ne serais-ce que pour le récompenser de sa patience, je savais confusément que je ne serais pas en mesure d'assurer sa sécurité.
Nul fauve ne s'était précipité entre nos jambes avant d'attaquer sournoisement par derrière, lascérant les guibolles de l'envahisseur tandis que l'ouvrais la porte.
Le tueur au poil d'ébène ne s'était pas non plus laissé lourdement tomber de la bibliothèque sur le dos du pauvre sous-traitant, avant de le massacrer de ses pattes arrières.
L'inconnu était entré dans le salon...indemne.
Pas un bruit, pas un feulement, rien : le silence...
Et moi qui finissait de m'éveiller en regardant en tous sens, partout, fébrile et encore affecté par le sommeil, dans toutes ses planques, sur tous ses postes d'observations et d'attaque.
-Vo't compteur est surement à la cave qu'il me dit l'autre inconscient, se méprenant manifestement sur l'objet de mes anxieuses recherches.
Comme si je ne le savais pas me suis-je permis de penser.
Mais lui il ignorait tout, le pauvre : il vivait dans l'ignorance du fait que cette demeure est en réalité l'antre d'un fauve meutrier, strictement interdit de sortie après avoir acculé dans son propre garage un militaire de carrière épouvanté, reculant devant l'inexorable progression d'un démon avançant le corps de travers, hérissé, grondant et feulant.
Aussi ais-je enfermé ce visiteur chez moi en refermant la porte d'entrée. Le fauve ne pouvait pas sortir, il ne devait pas sortir, à aucun prix.
De la cuisine, nous déscendions l'escalier de la cave, je venais d'allumer la lumière lorsque je me suis subitement rappelé : le fléau de mes jambes, l'Attila félin, lorsqu'il bat en retraite, a coutume soit de foncer à l'étage, soit de se terrer dans la cave.
J'aurais du songer, en cet instant, au fait que je n'ai pas entendu la tornade destructrice conditionée en chat monter les escaliers en une cavalcade frénétique lorsque le quidam sonna.
Je me refusais à penser l'évidence et remettais tous mes espoirs sur cette folle idée : le digne employé d'une société travaillant en sous-traitance de GDF avait au moins une chance sur deux de sortir de chez moi sans aucune lacération.
-Ah j'le vois me dit l'employé en se dirigeant vers le compteur.
Il voit quoi me demandais-je stupidement.
Ce que je vis, pour ma part, lorsqu'il se dirigea vers le compteur, c'était surtout la litière du démon, qui se trouvait maladroitement juste en dessous.
Non pas que je craignais d'apercevoir mon fauve en train d'y faire ses besoins, ça non :
D'une part, dès que le l'inconnu eut seulement effleuré la porte d'entrée, il devait-être entré en mode furtif, se préparant à appliquer les techniques de guérilla enseignées par dame nature en milieu domestique.
Ensuite, lorsqu'il fait ses besoins dans cette litière couverte, l'ensemble tremble, remue, dans un pataques évoquant les derniers stades de l'essorage chez une machine à laver au tambour branlant et fatigué.
Ma subite terreur était d'un tout autre ordre : le démon a toujours impitoyablement attaqué quiconque ose s'approcher de ce lieu visiblement sacré entre tous à ses yeux.
Aurais-je osé interpeller le controlleur des compteurs en lui avouant "attention à mon chat il est dangereux quand on s'approche de sa litière" ?
Je ne le saurais jamais :
A peine cette pensée s'était-elle enfuie que l'humain était négligemment sur le compteur, lui accordant toute son attention.
Le compteur fut à l'humain ce que l'humain fut au félin : à lui aussi, le fauve accorda tout son proffesionalisme, toute sa concentration de tueur né.
Il ne cracha pas, ne feula pas : il était entièrement, totalement silencieux, calme...
L'individu n'avait pas la dignité d'un rival potentiel, ne représentait pas même l'ombre d'une menace : il était une sorte de souris géante envoyée en holocauste par son maitre pour son amusement.
Il ne menacerait pas cette chose à deux pattes, il ne préviendrait pas, ne tenterait pas de l'impressioner ou de le faire fuir : il allait le déchiqueter, tout simplement.
Je le vis, posté dans l'ombre, sur le dessus métallique de la chaudière, fixer l'inconnu de ses yeux verts, tendre tous les muscles de son corps afin de ne pas rater son saut.
Il dandinait du train arrière, signe qu'il allait sauter sur une table à quelques centimètres de sa proie et ensuite...
Noooon ! hurlais-je en sachant que seuls des cris violents ou de l'eau en pleine tronche pouvaient impressioner ce fauve jusqu'à le détourner de son attaque.
J'étais pour l'heure, notoirement dépourvu d'eau.
L'employé tourna la tête dans ma direction mais la ramena bien vite vers le monstre qui se réceptionait sur la table à sa hauteur, se rata et fila en un éclair par l'escalier, hérissé cette fois de tout son long.
-Qu'est ce que c'était que ça ? articula distinctement et clairement le noble employé en état de choc sans parvenir à réprimer un tremblement.
-Mais qu'est-ce que c'était que ça ? Reprit-il encore plus distinctement sur un ton qui gagnait en assurance.
-Ce n'est rien mentis-je, ce n'est que mon chat.
-Je sais ce que c'est qu'un chat répondit l'employé en me fixant de ses yeux fous avant de regarder l'escaclier par lequel la bête s'était enfuie : et ça, ce n'était pas un chat renchérit l'employé qui reprenait confiance à la simple idée que je me payais sa tête.
-Mais si je vous assure, c'est vraiment mon chat, vous pourrez le voir là haut en remontant.Tout s'est passé trop vite, mais je vous assure ce n'est qu'un chat affirmais-je sincèrement.
Comme il ne bougeait pas, ne dit plus un mot, je suivis son regard empli d'espérance vers la porte de sortie de ma cave. Celle qui menait directement au jardin.
Sa seule chance, son sémame pour quitter au plus vite cette maison de fous où vivait il ne savait quoi.
Et qui plus est un "il ne savait quoi" qui avait essayé de le bouffer.
J'ouvris la porte en entendant le monstre feuler du haut de l'escalier menant à ma cuisine.
L'individu s'éclipsa avec une lenteur et une dignité que je n'aurais jamais cru possibles dans de telles circonstances.
Je suivis ce brave dans le jardin en refermant rapidement la porte derrière moi.
-Bon ben j'ai tout c'kil m'faut eut l'extrème dignité de prononcer le digne employé d'une société travaillant en sous traitance de GDF, tout en me montrant l'appareil qui lui servait à établir ses relevés.
Il était pleinement redevenu lui-même.
Sa conscience épouvantée avait-elle censuré ce terrible évênement, ne serais qu'afin de lui permettre de trouver en lui un indicible courage ?
Celui d'entrer chez d'autres propriétaires et affronter autant de nouveaux combats ?
Je ne le sus jamais, car de cet homme, je n'entendis plus parler.

Voila voila, tu sais désormais à quoi t'attendre si tu veux vraiment "plonger" dans ce dangereux profil (qui repose paisiblement à mes cotés en ce moment même).
Si tu veux vraiment passer pou un p'tit dej et un poutou du matin, nous prendrons l'un et l'autre au jardin.
Quelque soit la saison et la température extérieure.
Désolé pour les fautes, mais je suis trop fatigué pour me relire ou passer au correcteur.
Bon après tout nous sommes dans le topic conversations.
Bonne journée à toi !

Lyra will a écrit:Moi j'ai pas commencé!
Mais j'ai pleuré pour la énième fois devant "beignets de tomate verte"

ah moi aussi j'adore ce film, vu maintes fois

bon, floraison d'exos en ce 1er octobre et lecture à foison

bonne journée !

hello les plumes ! c'est lundi, il en faut bien un pour s'approcher plus vite du WE.


tu sais Boc, mon gros toutou court souvent après les chats, ce qui est assez logique. 40 kilos de muscles enrobés qui stoppent net quand les félins se rebiffent, se retournent et fixement lui feulent à la moustache. S'en suit alors un inversement de la course et c’est un pachyderme apeuré que je retrouve collé entre mes jambes. ce qui inexorablement me fait fuir à toutes jambes, puisqu'étant allergique à ces félins poilus, je les évite soigneusement. (je ne suis pas si nouvelle que ça, juste nouvelle inscrite mais cela fait fort longtemps que je erre en fantôme sur VE ;-) )

Que les exos déjà postés sont merveilleusement passionnants à lire !
note pour ma pomme : ne jamais découvrir les exercices des autres avant de poster les siens...

A plus tard, poutouilles à qui n'en veut.

Bonjour les courageux.

Boc21fr, c'est bien de te lire. Ce texte est particulièrement bien tourné.
Tu as du punch.

Un poème que j'avais mal posté n'a fait aucune émotion , personne ne l'avait commenté pourtant ... je ne parlai que de la nature.

on a tous un problème à résoudre avec la nature

La nature a bon dos , moi je suis naturel , une création de la nature ...

Salut Boc, cela faisait (trop) longtemps !
Ton monstre sévit toujours ? Tu habites toujours chez lui ? ;-))

Bonjours, les zouzous !

Bonjour tout le monde !

yeah yo bonjour!

une vertèbre de déplacée encore... j'ai l'impression d'être incandescente !

coline Dé a écrit:Salut Boc, cela faisait (trop) longtemps !
Ton monstre sévit toujours ? Tu habites toujours chez lui ? ;-))

Bonjours, les zouzous !

Oui coline, je suis souvent enfermé avec ce terrible monstre.
Et pour longtemps, la légendaire longévité des chats ne le disputant qu'à celle des teigneux, qu'en est-il des chats particulièrement agressifs et psychopathes ?
Parfois je crains d'avoir plusieurs vies et que ce fauve ne me poursuive dans celle-ci comme dans ses neufs autres.

Bonjour à toi Bertrand !
Merci pour tes encouragements ;o)

Bonjour et bonne journée à tous !

Lyra personne ne t'a dit que dormir sur un pot de nutella pouvait avoir de grâves conséquences ?

C'est ça, c'est ton chat qui t'avait kidnappé :o)
bon retour par minous m'sieur Boc!

ahah!
coucou boc :0)

Coucou ici
Je cours encore
Vous êtes ma halte-relais
Bien que je ne sache pas très bien ce que je relaie

coucou la jeunesse ! et marine, ça fait plaisir

je cours aussi (mais moins vite)
et je dis

ayaaah

ouche !

pour me donner des forces
lyra c'est quoi cette vertèbre ? un parachutiste, un porteur de valise, une dame avec pleins d'outils ? une nana qu'a piqué ta robe ?

:)))
Tu vas bien Janis ?

ouép !

et toi ?

Bonjour tout le monde

Il est l'heuuuure !!!

L'heure de quoi déjà ?
ahhh
euh
non
mais
ohhh
l'heure de
de de de
de me réveiller
ça doit être ça
ou bien l'heure de vous dire bonsoir ? :-)

Voilà, comme grace à Eva, je peux prendre des photos et que je sais maintenant les mettre sur mon ordinateur, vous allez avoir droit à une avalanche de nouveaux avatars, je vous préviens.
N'est-ce pas que je suis angélique ? Quoique, si vous regardez bien, je lui ai fait de discrètes petites cornes ( un ange cornu, ça me va bien !)

Demain, je vous mettrai l'ange gardien de mon homme : lui, pas de cornes, et les yeux clos, béatitude...