Quelque part sur le sable

l'image du début est grandiose,

le sable comme un tapis volant, j'adore !!!

Beaucoup aimé le premier quatrain. Pour la suite, j'ai été gênée par ces pétales que tu mets au féminin...
Il y a un certain charme dans ton texte bien qu'il ne me paraisse pas tout à fait abouti ( en particulier ce " discute tout en riant" que je trouve lourd.)
Bienvenue ici, Camel.

L'identité de ce poème se révèle à la photo de profil ! On y devine la personnalité d'une plume, enfumé par la littérature :). Je remarque que le début se distingue du reste du poème offrant à travers ces rafales ( j'aurais d'ailleurs préféré voir "les", à la place de "des" ) le sable chaud sur cette cour d'Orient.
"Calices invétérés d'éternelles
Pétales"
cette partie là, malgré la mélodie inspiratrice de ses termes gêne un peu le sens du poème si je puis me permettre, et le "souillées" est trop pesant.

J'aime assez l'irrégularité de la longueur des vers, sauf à la dernière strophe qui aurait profité de cette rigueur pour finir en beauté, à mon sens.

et pour finir aussi, "repart sur le vent", c'est ça qui est très bon, pour moi.

J'ai été séduite par l'exotisme de ce poème.

C'est très simple et très agréable. J'ai aimé ces amoureux perdus dans la terre, et puis ce vent, toutes ces images presque naïves, mais très justes, et ça me touche