Le vent et la dune

Trois milliards de grains de sable
Trois milliards de gifles...

Il était une minute...

La dune ondule,
Courbes défaites
Modelées par la brise...

Devant ce spectacle
Une pensée murmure:
"Rien d'extraordinaire."

le Pila , un jour, au loin c'est certain, et la nature a tous les droits
reste a l'humain un signe a son destin
belle évocation

Merci So-Back d'avoir déposé votre ressenti et apprécié ce tout petit poème

Au début de ma lecture, je me suis dit que j'allais être frustrée par la taille restreinte du texte, mais je trouve que la fin clôture bienl'ensemble qui ne gagnerait pas forcément à être plus long finalement!

Bonjour Isa,

Moi non plus je ne vois pas plus long, car il n'y a rien à dire de plus sur un instant d'une minute.
Merci Isa.
Je tiens à préciser que je n'aime pas laissé sombrer mon poème dans les méandres sans avoir à remercier les commentateurs. Alors désolée pour cette remontée et pour l'éviter je remercie par avance mes futurs commentateurs...s'il y a.

Je trouve le texte intéressant... et inabouti.
D'une part un côté auberge espagnole à mon goût excessif. Non que je souhaite des explications, mais un peu plus d'images, peut-être, pour me prendre la main.
Un petit manque de musicalité ici ou là, "spectacle" est dur à avaler, par exemple.
Je vous lirai à nouveau, en tout cas.

comme un petit poème d'extrême orient

le vent qui se lève
et le sable ratissé
s'envole en poème