Lit quid

Les effluves de ton fleuve
d'eau douce aux galets polies
m'arrêtent et je m'abreuve
A la frontière de ton lit

Les algues folles me chatouillent la narine
Elles bordent de grosses moules
Comme un tissu aux reflets d'aigue-marine
Qui attire bien des foules

Et se renouvelle selon les courants

J'aime bien cette forme brève. Elle nous laisse libre de nous arrêter. Ça change de certains textes interminables et tentaculaires.

Je n'ai pas pu m'empêcher d'y voir une évocation érotique, que je pense volontaire. Du coup, mon avis est mitigé. J'avais aimé la lecture maritime au premier degré, le second niveau de lecture me déduit moins. Mais je me trompe peut-être.

*séduit

tres vulgaire. la dame aux effluves et aux grosses moules qui attirent bien des foules appréciera.

Je suis le commentaire de Loreena Ruin... limite, franchement limite... manque la fritte.