Le vingt-huit février deux mille vingt deux ( SA FIN )

Nous définissons notre terre aux mots qui la composent. Y a t-il intention ? Nul ne semble s'en préoccuper. On disserte sur la remontée de force, des bûches , de la fraîcheur de la nuit, avilie, entre table et fenêtre.
Je n'ai jamais tourné les pages par hasard évaluant les plaisirs auxquels il faut croire-ou se soustraire-je me dis:
gênant et las comme une révolte contre l'éternel...

Des gestes pèsent le pur.

Une note rédactionnelle indique: " My name is Mr Smith " ( loin des lignes concrètes, j'étais -dit-on- parti en vacances...)
Les larmes, la valise vide (à vérifier), l'argent oisif, ma part d'Hérem moi aussi.Il faut...
Il faudra écrire très vite. Non sans humour mais glaçante, la table des lois me rappelle à l'os brisé, le futur;les années grandiront mais je doute que je puisse vivre avec elles ou alors à quatre pattes comme un chien.

Mener une vie plantureuse m'avait dit le voisin.

Non Non et Non , je suis le chemin des morts.
L'article UN.
Béréchit, Cinecitta, une grande fête familiale, la lettre interdite de l'alphabet.  

Pourquoi suis-je moi ? Parce que j'ouvre trop grand mes yeux. Et nul arrangement ne sera possible avec le ciel.

" Boire. Sexualité erratique. Prisme. Echec de la volonté."

Le corps humain est une substance livide. Se procurer un espoir et étudier l'intelligence. La disgrâce, lieu de conflits en caractères de plomb...ni augure ni questionnement.

L'objet de la fin . SA FIN.

4 ans c'est long mais si court , pour une fin semble inexorable , alors qu'à chaque jour suffit sa peine