Les murs
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Les murs
Les murs ont repoussé la raison, parmi les cris, celui de l’indigent au faciès inquiétant, celui que l’on nomme l’autre, si lointain si différent et pourtant si proche.
l’Indifférence à revêtu son habit de scène, ici et là s’échangent des regards méfiants, et le bruit de l’horloge s’égare dans une contemplation irréelle, où chaque son produit des angoisses nouvelles
on ne sait plus si dehors meurt de routine fade, ou si l’écho a perdu sa capacité sonore .
Avec une avidité accrue les langues se délient comme des lianes indomptables, pressées de raconter ce quotidien devenu âpre au qu’en-dira t-on.
Jamais depuis for longtemps la tension palpable n’a été si prégnante, alors que rien ne justifie cet état de faits, peut-être que le climat se détériore à moins que cela soi dû à une régression mentale dont l’amplitude n’a pas encore été quantifiée, comment interpréter cette causalité déroutante par ses aspects inconnus jusqu’à pas très longtemps encore.
Verra t-on l’aurore se parer de mots nouveaux afin d’enrayer la suspicion ambiante , et quand bien même ,si tel était le cas , serions-nous en mesure de le quantifier, de le mesurer, l’analyser sans parti pris, rien n’est moins sûr depuis que le temps s’est figé avec la certitude de s’ancrer dans le temps,
les murs ont pris possession des corps, inconsciemment l’armure charnelle a pris le pouvoir, un seul rêve vous manque et tout est matière à douter
nos vies s’emmurent , l’horizon se restreint , mais attend en vain un mur à escalader
l’Indifférence à revêtu son habit de scène, ici et là s’échangent des regards méfiants, et le bruit de l’horloge s’égare dans une contemplation irréelle, où chaque son produit des angoisses nouvelles
on ne sait plus si dehors meurt de routine fade, ou si l’écho a perdu sa capacité sonore .
Avec une avidité accrue les langues se délient comme des lianes indomptables, pressées de raconter ce quotidien devenu âpre au qu’en-dira t-on.
Jamais depuis for longtemps la tension palpable n’a été si prégnante, alors que rien ne justifie cet état de faits, peut-être que le climat se détériore à moins que cela soi dû à une régression mentale dont l’amplitude n’a pas encore été quantifiée, comment interpréter cette causalité déroutante par ses aspects inconnus jusqu’à pas très longtemps encore.
Verra t-on l’aurore se parer de mots nouveaux afin d’enrayer la suspicion ambiante , et quand bien même ,si tel était le cas , serions-nous en mesure de le quantifier, de le mesurer, l’analyser sans parti pris, rien n’est moins sûr depuis que le temps s’est figé avec la certitude de s’ancrer dans le temps,
les murs ont pris possession des corps, inconsciemment l’armure charnelle a pris le pouvoir, un seul rêve vous manque et tout est matière à douter
nos vies s’emmurent , l’horizon se restreint , mais attend en vain un mur à escalader
So-Back- Nombre de messages : 3652
Age : 100
Date d'inscription : 04/04/2014
Re: Les murs
les murs tombent
les jours succedent aux jours
l'habitude se maquille
les mots inventent
des visages dévisagent
une odeur joue son va-tout
un regard s'habitue
des larmes éphémères
des néons par ci par là
en vitrine l'attente
ailleurs des murs se lézardent
des vies circulent
l'heure à sonné
les jours succedent aux jours
l'habitude se maquille
les mots inventent
des visages dévisagent
une odeur joue son va-tout
un regard s'habitue
des larmes éphémères
des néons par ci par là
en vitrine l'attente
ailleurs des murs se lézardent
des vies circulent
l'heure à sonné
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