La prophétie du roi Liche Chapitre 1: la rencontre

"La Ville des sorciers". C'est une bien étrange cité humaine où les écoles les plus prestigieuses forment les magiciens et les sorciers les plus doués et les plus… fortunés. Les gens y sont souriant et heureux même après se qu'il s'est passé, il y a 10 ans. Les marchands parlent à leurs clients, les gens marchent dans le marché sans trop se bousculer. Partout les marchands ventent la qualité de leurs produits et de leurs prix bas défiant toutes concurrences. Lorsque l'on me donnait un coup d'épaule, on s'excusait. Les gens empestent la joie et la bonne humeur. Ont-ils oubliés la guerre aussi facilement que le visage des personnes qu'ils croisent? Un marchand m’a proposé une rapière un peu abimée pour un prix misérable, mais j’ais fais comme à mon habitude, je suis passais sans lui accorder attention. Pour éviter toute cette foule, je me suis engouffré dans une ruelle mal famée. J’ai réajusté mon capuchon tout en continuent de marcher.
-Dis donc, pourquoi es-ce que tu portes un capuchon par un temps si radieux?
Je me suis retourné et vis deux brigands armés. Je me suis remis à marcher plus vivement, mais deux autres m’ont barrés la route et ont sortis chacun une épée. Leur chef a sorti un cimeterre.
-C'est pas bien de ne pas répondre quand quelqu'un te parle. Donne-nous ta bourse ou on t'égorge vif.
A ces mots, j’ai pivoté tout en sortant ma bourse.
-Maintenant tu viens me la donner comme un gentil garçon.
Tout ses comparses se sont esclaffés et m’ont montrés du doigt. J’ai marché jusqu'à leur chef, il m’a tendu la main en disent:
-Donne.
Je lui ai lancé de toutes mes forces. Pour le rattraper, il dut baisser sa garde. Alors je lui ai expédié un coup de poing en pleine face, j’ai récupéré mon bien et j’ai dégainé mon katana ainsi que mon kama (faucille japonaise dont la lame est moins inclinée).

-Où vas-tu ?
-J’en ai marre, je ne veux pas aller à Hoqwen !
-C’est la plus grande école de sorcellerie, c’est un privilège d’y aller…
-Mais je ne veux pas y aller !
-Tu iras là-bas un point c’est tout !
-Non papa !
-Tant que tu seras sous mon toit, tu feras ce que je t’ordonnerai de faire !
-Puisque c’est comme ça, je fais mes affaires !
-Natalia !
-Laisse chérie, elle ne pourra pas tenir une semaine. Laisse la faire.

Je suis sorti très vite de la ruelle en laissant mes agresseurs inconscients. J’ai regardé autour de moi et vis que des soldats dirigeaient vers moi en m'interpellent. Alors j’ai pris peur et je me suis mis à courir dans la foule. Comme prévu, ils m’ont suivi en continuant de m'appeler. J’ai bousculé tous ceux qui me gênaient, renversant tout objets susceptibles de les ralentir tout en cherchant une échappatoire. Même avec tout cela, ils gagnaient du terrain. Alors j’ai courus vers un poteau situé près d'une maison, j’ai sauté en m'appuyant contre le mur; puis j’ai rebondis contre le poteau pour atteindre le toit. Les soldats étaient abasourdis, mais ils reprirent leurs esprits et coururent à ma poursuite. J’ai sauté de maison en maison jusqu'à la forêt pour mis engouffré.

Une heure plus tard, une jeune femme de vingt ans environ est sortit d’une des maisons d’un quartier riche. Elle avait des cheveux rouges feu et des yeux bleus ciel. Elle était vêtue d’une tunique blanche sans manches et d’un pantalon taille blanc. Elle avait mit son sac sur le dos et descendu la rue en marchant la tête haute. Elle marchait en s’appuyant sur un bâton, qui devait faire sa taille, avec une tête de faucon sculptée. Après avoir marché durant des heures dans la forêt d’Akandrie, Natalia avait décidée de s’arrêter pour la nuit. En enfilant sa cape, elle avait distingué une faible lumière provenant d’entre les buissons. Une personne vêtue d’une cape de voyage était assise sur un tronc d’arbre, devant un feu de camp. A sa carrure c’était un homme.

-Cette course m'a ouvert l'appétit. Rien de tel qu'un bon lièvre pour me caler le bide, me suis-je dis à moi-même. Une fois le feu allumé, je me suis assis sur un tronc d’arbre mort, mais j’ai eu une sensation comme si quelqu’un m’observait. Je me suis lentement dirigé vers mon arc puis rapidement, je m’en suis emparé ainsi que d’une flèche et j’ai tiré dans l’ombre. La flèche s’est plantée dans un arbre en emportant la cape de l’observateur.
-Non mais ne ça va pas ? Vous avez failli me tuer !
C’était une voix féminine.
-Qui êtes-vous ?
-Je suis Natalia, dit-elle en arrachant la flèche.
-Vous êtes de quelle race ?
-Humaine !
-Oups. Pardon. Je croyais que vous étiez…enfin bon.
Natalia est sortit de l’ombre et j’en eus le souffle coupé rien qu’en la voyant. Ses cheveux luisaient à la lumière du feu ainsi que ses yeux d’un bleu profond. Son visage si lisse… comme celui d’une elfe.
-Vous… vous êtes seul ?
-Pourquoi cette question, avait-elle aboyée.
-Euh… pour rien…
Folle de rage, elle est partit en donnant un coup de pied dans une motte de terre vers la forêt noire et profonde.
-Euh…mademoiselle ?
-Quoi encore !!
-Il ne faut pas s’aventurer dans la forêt la nuit.
-Et pourquoi ça ?!
-Il y a des shymats qui y rodent toutes les nuits.
Elle s’est retournée vers moi, prête à m’engueuler de nouveau. Mais un cri déchirant d’une créature se faisant dévorer par des charognards a retentit dans la nuit. Il a résonné pendant une dizaine de secondes. Puis il s’est éteint à grand renfort d’hurlement victorieux provenant des charognards. Le visage de la jeune femme s’est changé. Elle a prit un air presque désolé et a demandée timidement :
-Euh…je peux rester avec vous ?
-Bien sûr, lui répondis-je tout en lui désignant une place près du feu.
Je me suis assis tranquillement sur le tronc et embroché le lièvre avant de le suspendre au-dessus du foyer.
Après un long silence, la jeune femme m’a lancée :
-Comment vous appelez-vous ?
-Néo.
-Moi, c’est Natalia Nayla. Heu… Néo ?
-Oui ?
-Ca ne te gène pas si je te tutoie ?
-Pas du tout.
J’ai pris mon kama et piqué dans la carcasse pour vérifier si elle était assez cuite.
-Je sais que ce n’est pas mes oignons mais est-ce que je peux te poser une question ?
Voyant que je ne répondais pas, elle m’a demandée :
-Pourquoi est-ce que tu caches ton visage avec ton capuchon ?
-Tu as raison Natalia, ce n’est pas tes oignons. Tout ce que je peux te dire c'est que si tu le voyais, tu prendrais tes jambes à ton cou.
Après avoir retiré la carcasse du feu, elle dit:
-C'est une blessure de guerre?
-Non, j'ai ça depuis ma naissance.
Puis elle a préférée ne pas insister. Je lui ai tendu une moitié de lièvre qu'elle a acceptée aussitôt. Elle l’a mangée rapidement avec les doigts comme si elle n’avait pas mangée depuis trois jours. Alors que moi, je l’ai mangé tranquillement tout en observant la jeune femme. Le silence qui suivit fut interrompu par un cri perçant qui fit trembler la jeune femme.
-C'était quoi?!
-Un shymat, lui répondis-je calmement. On ne risque rien tant que le feu est allumé.
-T'es un rodeur?
-On peut dire ça comme ça.
Il y eut un moment de silence:
-Et toi, je paris que tu es une pyromancienne.
-Comment le sais-tu?
-Tes cheveux.
Quand nous avons fini de manger, elle m’a questionnée:
-Ca fait longtemps que tu vis seul?
-Assez oui.
-Combien?
-Sept ans.
-Sept ans! Et bien…, je n'aurais pas dit autant en te voyant.
-Et toi tu m'as l'air de fuir quelqu'un. Tu parles pour sympathiser et ainsi me demander si tu peux voyager avec moi, je me trompe?
Elle a baissée la tête:
-Je fuis mes parents.
Puis elle l’a relevée et repris avec force:
-Ils veulent que je fasse les mêmes études qu'eux! Ceux sont des mages assez influents au Sénat magique, alors ils veulent que j’aille dans le meilleur lycée de magie ! Mais moi, je ne veux pas ! Tout ce que je veux c’est voyager et découvrir le monde ! Voir d’autres villages, découvrir de nouveaux horizons ! J’en rêve depuis que je suis petite !
-Mais es-tu prête à risquer ta vie pour cela, lui ais-je demandé en la regardant droit dans les yeux.
Elle a eu un moment d’hésitation avant de répondre :
-Je suis prête !
-Dans ce cas, je vais voir se que je peux faire mais pour l'instant il faut dormir.
Elle a défait ses affaires et s’ais mise dans sa fourrure de couchage. Elle devait se demander comment j’avais su mais une fois couchée, elle s’est endormit tout de suite. Une fois qu'elle fut endormie, mon cerveau fut bombardé de questions:
*Dois-je accepter? Vais-je la laisser seule? Et si elle rentrait chez elle! Non impossible, elle est encore en colère contre ses parents. Ca fait trop longtemps que je suis seul mais, si elle m'accompagne, elle sera en danger en permanence. Et si je lui révélai ma véritable identité,…non il ne faut surtout pas que je le fasse, elle pourrait me griller sur place. Et puis elle est si belle… Que dois-je faire merde!! Je pense qu'il vaudrait mieux pour elle qu'elle parte,… mais non! Elle ne doit pas savoir comment se débrouiller seule dans une forêt. Ha moins que… Si je lui apprenais à se débrouiller seul ? Comme ça, elle restera quelques temps et après elle pourra partir sans souci. Mais bon, on verra ça demain selon son humeur.

Le lendemain matin, la pyromancienne s’était réveillée de bonne humeur mais elle était toujours aussi remontée contre ses parents:
-Non, je n'y retournerai pas!
-Alors,…
J’ai réfléchis longtemps, pour enfin conclure:
-Ok, tu peux venir mais à trois conditions: premièrement, tu devras faire tout ce que je te dirai; deuxièmement, tu restes près de moi et pour finir n'essaye pas de voir mon visage. C’est compris?
-Compris, dit-elle avec enthousiasme.
Je me suis retourné, me mis en tailleur, posé mes mains sur mes genoux et j’ai fermé les yeux. Natalia a sentit une douce odeur de framboise mélangée à un parfum de céréale. Quand elle vit qu'il y avait un bol au-dessus des braises, elle s'en approcha en demandent:
-Qu’est-ce que c’est ce truc pâteux?
-Ce truc pâteux comme tu dis est une bouillie de céréales accompagnée de framboises et c'est très nourrissant.
Elle a prit le bol sans se brûler les doigts et goûta:
-Natalia, on part dès que tu auras fini.
Entre deux bouchées, elle m’a demandée:
-Tu fais quoi?
-Je médite.

-Alors?
-Il est passé par ici il y a trois jours environ.
Un des elfes s'accroupit pour examiner les cendres.
-Il l’a éteint avec du sable qui doit venir de la rivière.
-C'est bien lui, regarder les empreintes.
-Apparemment il nous fait tourner en rond.
-Il sait qu'il est suivit.
-Vous allez me retrouver sa trace, compris!
Les quatre elfes s'empressèrent de trouver d'autres empreintes.

*Ils savent.
Je me suis levé et j’ais lancé à Natalia:
-Dépêche-toi de finir de manger.
-Pourquoi?
-Fais ce que je te dis, lui répondu-je d'un ton ferme.
Quelques minutes plus tard, quand nous étions enfin prêts:
-Pars devant, je te rejoindrai plus tard. Va vers le nord, quand tu auras fais quatre cent pas; tu te dirigeras vers l'ouest et normalement tu arriveras à une rivière situé dans une cuvette. Tu m'y attendras, d'accords?
-Euh…d'accord.
Quand elle fut partie, j’ai effacé ses empreintes avec une branche sur tout le parcours que je lui avais indiqué. Ils ne devaient pas savoir que j'étais accompagné, elle était déjà assez en danger comme cela.

Pendant que je balayais le sol, j’ai entendu un cri strident puis le cri d’une jeune fille. C'était celui de Natalia. Je me suis mis à courir le plus vite possible, zigzaguant entre les arbres et les racines. Lorsque je suis arrivé à la rivière, j’ai vu un shymat. C’est un nécrophage et anthropophage. Bien sûr, il a une musculature imposante ainsi que d'énormes pattes avant mais il chasse rarement. Ses pattes arrière sont plus petites comme sa partie postérieure. Il a la peau noire et possède une plaque osseuse qui recouvre sa tête et forme une ligne jusqu'au bout de la queue en passent au-dessus de la colonne vertébrale. Sa mâchoire est pourvue de deux grandes canines, à la mâchoire inférieure, dirigées vers le haut. Et il doit faire un mètre soixante-dix au garrot sur deux mètres et demi de long. Il était en haut de la pente et il observait Natalia qui était en contrebas, inconsciente. J’ai pris mon kama puis je l’ai lancé sur le prédateur qui allait bondir sur sa proie. Lorsqu'il l’a reçu dans le flan, il s’est tourné vers moi et s’est mis à me charger, tête baissée. Quand il est arrivé au contacte, je l'ai esquivé pendant qu'il relevait la tête pour m'embrocher. C'est alors qu'en m’écartant, j’ai dégainé mon katana et je lui ai entaillé la patte arrière droite. La bête s'est écroulée quand elle a voulut s'arrêter. J’ai courus vers elle pendant qu’elle essayait de se relever. Je l'ai achevé en plantent mon épée dans sa tête. Après avoir retiré mes armes de la carcasse encore chaude, j’ai descendu la pente menant à la rivière en glissent puis j’ai couru vers Natalia tout en l'appellent. Au moment où je l’ai prise dans mes bras, elle a reprit connaissance. Avant qu'elle n’eu le temps d'ouvrir les yeux, je les lui ai caché avec ma main gauche:
-Garde les yeux fermés.
-T'en as mis du temps, dit-elle faiblement.
-Je sais, je sais, mais dis-moi où es-ce que tu as mal, lui demanda-je calmement pour la rassurer.
-Au bras et à la cheville droite…
Elle avait trois griffures peu profondes au bras droit. Je l’ai soulevé de terre puis posé au bord de l’eau de façon à se que ses pieds trempent dans l'eau. J'ai examiné sa cheville qui n'était qui n’avait que légèrement gonflée. Après lui avoir retiré sa chaussure droite et mis sa cheville dans l'eau fraîche, j’ai constaté que son épaule était comme démise. Quand je la lui ai touché, elle a serrée les dents tout en gémissent.
- Ton épaule est déboitée.
J’ai pris un bout de tissu propre dans mon sac, je l’ai enroulé et lui ai mis dans la bouche.
-Quand je te le dirai, tu le mords de toutes tes forces.
Je me suis mis en position:
-Prête?
Elle fit oui de la tête.
-Alors vas-y.
A ce moment là, je lui ai replacé l'épaule d'un coup sec. Natalia a poussée un cri qui fut étouffé par le tissu. Tout en lui mettant le bras en écharpe, je lui ai demandé:
-Que s'est-il passé?
-Je t'attendais là où tu m'as dis et j'ai entendu une branche se casser… Alors je me suis retournée pour voir ce que c'était, puis j'ai entendu ce cri. Et…après…je crois que le shymat m'a poussé en me griffent,…c'est tout ce dont je me rappel. Mais tu es blessé!
-Quoi?
-Ton bras! Tu saignes!
-Ce n'est rien, juste une égratignure.

Après avoir pansé ses blessures, j’ai préparé un feu pour le campement. J’ai chauffé mon épée au rouge puis me l'a suis appliqué sur la plaie. Au contacte de la lame, j’ai serré les dents.
-Je ne sais pas comment tu fais pour faire ça.
J’ai mis un peu d'eau sur un bout de tissu et me le suis mis autour du bras.
-Faire quoi?
-Ca, dit-elle en désignent la blessure de la tête.
-J'ai l'habitude.
Après ça, elle n'a pas arrêtée de m'observer de toute la soirée depuis le tronc où elle était assise. Ca m’a mis mal à l’aise. Je n’avais pas l’habitude que l’on m’observe ainsi. J’avais l’impression que je la fascinais.

Pendant plusieurs jours, nous avons marchés au rythme de Natalia et en plus je lui ai porté ses affaires. Ca faisait des années que je n'avais plus fais cela, depuis le moment où j'étais avec Tara et Félinedra enfin,…je préfère ne plus y penser. Au bout de plusieurs jours, nous avons fait demi-tour vers la rivière tout en effaçant nos traces. Puis une fois arrivée, sachant que l’on avait de l’avance, nous en avons profités pour se reposer. Natalia s’était assez bien remise de ses blessures, c’est pourquoi lorsqu'elle me vit pêcher :
-Tu fais comment pour les attraper ?
J’ai décoché une flèche qui a touchée un poisson qui était en surface.
-La plus part du temps, je pêche à l’arc mais je les attrape aussi à la main.
-Tu peux me montrer s’il-te-plait ?
Je lui ai fait signe de s’approcher, se qu’elle a fait et quand j’ai vu un poisson venir, je lui ai sauté dessus sans lui laisser la moindre chance de s’enfuir.
-Vas-y maintenant.
-Quoi ! Mais je ne vais jamais y arriver!
-Mais si viens.
Elle s’est remontée les manches ainsi que son pantalon, s’est mise en position juste à coté de moi et lorsqu’elle a vu un poisson, elle a bondit pour l’attraper mais il s’est enfuit en la faisant tomber à l’eau. A ce moment là, je ne sais pas pourquoi, j’ai éclaté de rire.
-C’est pas drôle Néo !
-Je sais mais je ne peux pas arrêter, ais-je répondu encore les larmes aux yeux.
Natalia s’est relevée et a pouffée de rire à son tour.
Ca m’a fait un bien fou, ça faisait très longtemps que je n’avais pas ris ainsi. Le soir même, l’atmosphère était beaucoup plus détendue que d’habitude. Nous avons parlés de tout et de rien, en évitent certains sujets assez délicats:
-Néo, je voudrais savoir,…où habitent tes parents ?
A ces mots mon visage s’ais durcit.
-Je…je préfère ne pas en parler.
Elle s’est tut et a continuée de manger.
-Et sinon,…tu apprenais quoi à l’école ?
-Et bien, on apprenait des sorts, comment faire des potions, comment déjouer et poser des pièges magiques, et…plein d’autres choses. Pourquoi ?
-Oh, juste comme ça.
Depuis qu’elle était avec moi, j’étais moins sous pression et moins nerveux qu’avant. Je me sentais plus léger, j’avais enfin quelqu’un avec qui parler. Rien qu'à la voir, ça me détendais.
-Néo, je vais me laver à la rivière. Es-ce que tu peux…
-…Je vais aller monter les tentes, lui dis-je en marchant très vite vers la clairière où nous nous étions établis.
J’ai déplié sa tente, vérifié si quelqu'un était présent… Personne. Alors, j’ai désigné la toile du doigt ainsi que les piques de l’autre main. La tente s’est soulevée, les piques en bois se sont placés sous la toile et les pieux se sont plantés dans le sol pour tendre la toile. J’ai fais de même avec la mienne puis j’ai préparé un tas de branchage. Natalia est arrivée en serviette, je me suis retourné pour me mettre dos à elle. Elle s'est assise près du tas de brindille et a claquée des doigts pour enflammer le tout. Depuis qu’elle est là, c’est elle qui allume le feu. C’est plus pratique un sort que deux cailloux.
-Merci Néo.
-Mais il n'y a pas de quoi, ai-je balbutié.

Sans me retourner, j’ais pris mes affaires et je suis descendu à la rivière.

Lorsque Natalia eu finit de se sécher, une idée lui a traversée l’esprit. Cela faisait deux semaines que l’on voyageait ensemble.
*Et si j'allai voir à quoi il ressemble. Non, il me l'a interdit et en plus, ça ne se fait pas… A moins que si je reste tapi sur le sol, il ne me verra pas. Non, s'il me la dit, c'est qu'il a une bonne raison. Mais pourquoi me le cacher, on voyage ensemble quand même! Je préfère en avoir le cœur net.
Elle a marchée silencieusement vers la rivière puis a continuée à plat ventre jusqu'à pouvoir me voir. Elle a attendu cinq minutes comme ça, puis lorsque je me suis retourné, elle ne vit pas mon visage. Je n'avais pas d'oeil, ni de bouche, ni de nez ; bref pas de visage. Horrifié, elle a reculée et buttée contre quelque chose.
-Tu peux me dire se que tu fais là ?
Elle a levée la tête et a sursautée en me voyant au-dessus d'elle. Natalia s’est mise debout, a regardée du coté de la rivière et ne vit personne. Je me suis mis juste à coté d'elle et j’ais regardé dans la même direction.
-Tu regardes quoi?
Elle est restée bouche bée.
-Mais, tu étais…, avait-elle dit.
J’ai fais demi-tour et marché vers le campement en lui lançant:
-Tu viens, le repas est prêt.
Elle m’a emboîtée le pas et s’est assise près du feu. J’ai pris un grand récipient, y ais versé de l’eau ainsi que des légumes et un morceau de viande et ais mis le tout au-dessus du feu. Natalia était gênée d’avoir essayait de savoir à quoi je ressemblais. Elle était toute rouge et regardait le sol pour éviter de croiser mon regard. Quand le couvercle du récipient a commencé à danser, elle m’a demandée :
-Pourquoi es-ce que tu es dans cette forêt ?
-Je suis venu chercher quelque chose qui m’est très précieux, répondis-je en regardant la cuisson.
-Heu… Excuse-moi pour tout à l’heure.
-Ce n’est pas grave, mais ne recommence plus. D’accords ?
Elle m’a répondu d’un signe de tête.

Deux jours plus tard, nous nous sommes fait surprendre par une grosse averse et nous avons dut courir jusqu’à une grotte inoccupée. On était trempés jusqu’aux os. Une fois nos vêtements suspendus par un sort de Natalia, je me suis mis dans l’ombre, presque au fond de la grotte. Dans les ténèbres…
-Ah, punaise, quelle pluie!
Elle s'est assise près de l’entrer après avoir préparé un petit feu pour sécher nos vêtements. Puis d'un seul coup, elle s’est levée et a cherchée quelque chose du regard. Comme si elle avait perdu quelque chose.
-T'es où?
-Ici.
Soulagée, elle s’est rassise et a contemplée le foyer qui dansait avec le rythme du vent pendant un moment.
-Natalia?
-Oui?
-Je… je te remercie de m'accompagner.
-Ca serait plutôt à moi de te remercier.
-Je voulais dire malgré ce que je te fais subir.
Elle s’est mise à rougir tout en souriant. Ce sourire, le même que celui de ma mère. Sur le coup, je me suis rappelé d'elle, de mon frère, de mon père. Tant de souvenirs qui étaient les seuls que j’avais d'eux.
-Ca va Néo?
J’ai repris mon souffle et ais continué:
-Pourquoi est-ce que tu veux absolument savoir qui je suis ?
-Et bien… On voyage ensemble… Et puis…
-Tu es très curieuse. Je n’aime pas parler de moi. Même de me souvenir…
-Ils sont si horrible que ça ?
-Non. Ils sont plutôt douloureux. Rien que ton sourire. Cela me rappelle ma mère… Elle est… Ils sont tous…
J'ai eu un blocage. Ma gorge était serrée, plus aucuns mots n’arrivaient à sortir de cette bouche qui tremblait sous les émotions enfouis depuis des années.
-Ils sont …morts, demanda-t-elle.
Je me suis recroquevillé et me suis mis à pleurer à chaudes larmes. Natalia, bouleversée, est restée figé un court instant puis, elle est venue s'asseoir à côté de moi et après quelques hésitations, elle m’a prit dans ses bras pour me consoler ce qui fut une grosse erreur. J’aurais dus la repousser. Quand j’ai relevé la tête et nous avons croisés nos regards, elle vit mes yeux. Jaune avec la pupille semblable à celle des félins. Elle a prit peur, et s’est jetée en arrière pour se mettre en retrait. J’ai mis mes bras devant le visage pour me protéger d’une éventuelle attaque. Nous somme restés ainsi pendant un moment puis comme elle ne faisait rien, je me suis levé, pris mes armes et les vêtements que je portais et, sortis le plus vite possible de la grotte. Natalia m’a suivit du regard et s’est retournée vers l'entrée. J’ai continué de courir ainsi jusqu'à la rivière. En un seul bond, je suis passé par-dessus la rivière puis, j’ai zigzagué entre les arbres à une vitesse hallucinante pour, enfin, me refugier dans un arbre. Je n’ai pas dormis de toute la nuit.

Une semaine passa durant laquelle j’ai mangé, dormis et me suis déplacé peu. Le remord et la tristesse.
*Je n'aurais jamais dû faire ça. Je n'aurais pas dû accepter… Rien que le fait qu'elle m'accompagne, la preuve: maintenant elle sait qui je suis… Elle me grillera si elle me voit. Et dire qu'avec elle, je me sentais mieux. Félindra et Tara avaient raison… On ne peut que fuir… Tout le monde est contre nous… Il faut que j’aille quelque part où personne ne pourra me trouver… Plus personne ne doit mourir à cause de moi… Plus personne !
Soudain un buisson s’est mit à bouger. J’ai grimpé dans l’arbre le plus proche d'un bond et j’ai bandé mon arc. Une voix est sortit d’entre les arbustes, c'était elle.
*Comment a-t-elle fait pour me retrouver?! Même les elfes n'arrivent pas à suivre ma trace! Elle veut vraiment me tuer ou quoi ?!
-Néo! Où es –tu?! Néo !
Dans sa voix, je n’ai perçu aucune envie de tuer, elle me cherchait pour me parler. Mais pourquoi ? Pourquoi voulait-elle me parler malgré ma race ? Elle s'est engagée dans une clairière non loin de là et a continuée de m’appeler. Je n’ai pas pus bouger, j'étais comme paralysé et ne sachant quoi faire, je suis demeuré silencieux devant cette scène. Je fus tiré de mes pensées par la sensation d’une présence étrangère, non plusieurs.
*Des elfes! Merde, elle est en danger!
Avant même d'avoir le temps de bouger, elle fut encerclée par une vingtaine d'archer elfes.
-Main en l'air sale psyco, hurla l’un d'eux.
Elle a ripostée:
-Je suis une humaine ! Je suis une alliée !
-Alors pourquoi l’appelles-tu?
-Appeler qui?
-Ne fais pas l'innocente, tu appelais le psyco, je me trompe?
Ils se sont rapprochés d'elle puis se sont mis en position de tir.
-On ne doit pas savoir que nous sommes à sa recherche ! Abattez-la !
A cet instant, j’ai sauté depuis l'arbre pour atterrir derrière Natalia. Je l’ai poussé en avant pour qu’elle tombe à plat ventre sur le sol. Au même moment, les elfes ont fait chanter leurs arcs. J’ai levé les bras et les flèches ont ralentis jusqu'à s'arrêter à deux mètres de nous.
-Impressionnent, quel réflexe, tu m'étonnes pour un psyco.
J’ai relevé la tête et vis celui qui devait être leur chef s'avancer.
-Je me présente: Maître Leos d'Akandrie. Tu dois être Néo Sivan, n'est-ce pas?
Voyant que je ne lui répondais pas, il a poursuivit:
-Tu nous as donné du fil à retordre, tu sais. Mais bon, assez parlé, capturez-les!
Quatre elfes nous ont sautés dessus, deux sur chacun. En deux en trois mouvements, je les ai projetés à terre et fis de même avec les deux autres.
-Celui qui touche à un cheveu d'elle, je le tue! Comprit ?!
-Oh, que d'héroïsme, ça me rappelle quelqu'un, je crois…Ah oui, ton père.
J’ai pivoté vers Léos. Quand j'allai lui sauter à la gorge, plusieurs d'entre eux m’ont barrés la route. Je m’énervai de plus en plus jusqu'à un point que je n'avais jamais atteins.
*Alors c'est lui ?! C’est lui qui l’a tué ?! Je vais lui faire la peau à ce batard !!
Une image m’ai revenu en mémoire puis un son, celui de la voix de Leos. A ce moment là, ma chemise s’est déchirée, laissent apparaître une grande plaque osseuse sur mon corps. Puis mon pantalon fit de même et après ma tête s’est recouverte d'une épaisse plaque d'os. Je me suis mis en position de combat, déterminé à tous les tuer. Mon corps était intégralement recouvert de plaques osseuses, comme si je portais une armure. Un elfe s’est mis à me charger, épée en avant. Je la lui ai prise et lui ai donné un coup de poing tel qu'il fut assommé sur le coup. Trois autres ont essayés d'immobiliser Natalia pendant que l’autre faisait « diversion ». C'est alors que j’ai cassé la nuque du premier, cassé le bras ainsi que la tête du deuxième et, envoyé le troisième contre un arbre et lui ai lancé des épines en os pour l’embrocher vivant contre le tronc. Puis, j’ai mis tout les autres k.o. sauf Léos qui aller recevoir une correction très spéciale. Il s'est avancé et m'a attaqué, j’ai paré son arme avec mon bras et lui ai donné un coup au visage, puis un dans le ventre, puis un autre, puis un autre, jusqu'à ce qu'il se soit écroulé sous la douleur et au moment où j'allai lui éclater, au sens "propre" du terme, la tête d'un coup de poing, Natalia m’a retenu le bras. Son regard exprimait de la terreur mais aussi de la pitié. Lorsqu’elle a croisée mon regard plein de haine, j’ai lu sur son visage qu’elle avait peur que je ne la blesse elle aussi. Je me suis levé tout fixant le visage de Léos et partis en prennent mes armes au passage. Ce n’est que dix minutes plus tard que je me suis rendu compte de se que j’avais fais.
*Mais qu’est-ce que j’ais fais ?! Ce n’est pas moi ! Pourquoi ai-je fuis Natalia ?! Je la sauve et je fuis comme un voleur ! Qu’est-ce qu’il m’arrive ?! Je… je les ais tous tué ! Pourquoi ?
Plus ma colère diminuait, plus mon armure rentrait sous ma peau, ce qui était assez douloureux. Après ça, je me suis encore plus enfoncé dans la solitude. Ce sentiment d’être rejeté par tout le monde, ne plus voir personne, ne plus avoir personne a qui parler. Je ne veux plus revivre ça, mais le déroulement des choses a fait que j’en suis arrivé là. Ce poids sur mes épaules était beaucoup trop lourd.

Plus tard, je l’ai réentendu m’appeler. Au début, je n’ai pas réagis mais ce désir d’être avec quelqu’un me fit descendre de ma cachette. Puis le doute m’envahis :
*Comment va-t-elle réagir ? Que va-t-elle faire ? Je ne devrais pas rester à découvert ! Elle va me cramer !
Mais trop tard, elle m'avait déjà vu.

-Néo?
Je n’ai pas bronché. Je n'osais même pas bouger.
-Euh…Je voudrais m'excuser…enfin, pour…la dernière.
J’ai levé à pêne la tête:
*Elle veut s'excuser ?! Mais… pourquoi ? Je suis un psyco pourtant…
-Je ne voulais pas te blesser… On m’a dit tellement de chose horrible sur les tiens…
*Je…je n'arrive pas à parler. Je ne sais pas quoi lui dire.
-Je n'aurais pas dû faire ça… Tu t’es occupé de moi… Tu m’as appris à survivre seul… Tu m’as sauvé la vie et moi…
*Merde, elle commence à pleurer, que dois-je faire? Je ne peux toujours pas bouger.
Elle s’est jetée dans mes bras tout en sanglotant. Ne sachant quoi faire, je suis resté figé puis, je l’ai entouré de mes bras.
-Je te demande pardon Natalia.
Elle s'est écartée, essuyée ses larmes et dit:
-Non, ce n'est pas à toi de le dire. Je…je n'aurais pas dû me comporter ainsi.

Le soir venu, je suis resté assis par terre sans rien dire, à fixer le vide. Natalia, n'aillant rien trouvé d'autre, était en train de préparer des légumes cuit à la vapeur. Au bout d'un moment, elle m’a parlée.
-Merci de m'avoir sauvée l'autre jour, j'ais crus que j'allais mourir… Je trouve que tu te bats bien, c'était…
-Que t'on dit tes parents au sujet des miens, l'avais-je interrompu.
-Et bien…ils m'ont dit que ta race faisait partit des races maléfiques et dangereuses… On m’a même dit que les psycos aiment manipuler les gens avec leurs pouvoirs mentaux.
-Ils ne t'ont rien dit d'autre?
-Euh, non.
-Es-ce qu'ils t'ont dit qu'il existe des psycos albinos?
-Non.
-Les psycos albinos sont les elfes noirs pour les elfes. Ils sont voués au Mal et alliés des morts- vivants, ce sont eux qui font tout ce qu'on nous reproche. Ils tuent, pillent, manipulent et veulent tout contrôler. Nous sommes étrangers à tout cela. Nous, les psycos nous sommes pacifiques. Nous ne voulons pas la guerre avec les autres races, au contraire. C'est pour cela que lorsque les elfes, les humains et les nains se sont ralliés pour nous détruire que nous n'avons pas réagis en conséquence. Nous nous sommes enfuis. Mais ça ne leurs as pas suffi, il a fallu qu'ils détruisent les villages, qu'ils massacrent la population, qu'ils nous tuent tous pour qu'il n'y ais plus de "menace". Mon village a été mit à feu et à sang, mon…
Je me suis retenu de pleurer pendant quelques secondes, le temps d'atténuer ma peine et poursuivis:
-Mon père est mort dans mes bras et ma mère à couvert ma fuite. Je ne sais pas si mon frère est encore en vie. Je n'avais que douze ans ce jour-là. Je n'ais rien pus faire.
Je me suis recroquevillé:
-Je n'ais rien pus faire… je n'ais rien pus faire…
Puis, j’ai fondu en larme. Natalia instinctivement m’a réconfortée:
-Ce n'est pas ta faute, ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient pour te protéger.
Elle m’a prit dans ses bras pendant plusieurs minutes et ce jusqu'à ce que je me sois calmé :
-Ce que je suis venu chercher, c’était l’épée de ma mère… Elle était dans les cendres de la maison…
J'étais complètement crevé mais, j’ai été réveillé en plein milieu de la nuit par un cauchemar que je n'avais plus fait depuis longtemps.

Désolé, je crois que pour un premier texte sur le site, c'est un peu trop. En même temps, le tout fait 10 pages. Ce n'est que le brouillon, donc si vous pouviez me donner votre avis sur ce premier chapitre, ça serai sympa^^.

Eh bien, en toute franchise, j'ai trouvé l'ensemble assez indigeste, d'une part parce que je n'aime guère la fantasy, les elfes, les sorciers et tout le bataclan, d'autre part parce que ce texte souffre de beaucoup de maladresses et de fautes de langue assez balèzes. Cela dit, il y a de la vigueur, une recherche dans le vocabulaire et sans doute, après de la relecture et du travail, les amateurs du genre pourraient-ils s'y retrouver.

Attention entre autres à des passages apparemment mal maîtrisés du passé au présent.

Il y aurait trop à faire pour tout signaler, mais voilà ce que j'ai relevé sur le début du texte :
"Les gens y sont souriants et heureux même après ce qu'il s'est passé"
"Les marchands parlent à leurs clients, les gens marchent dans le marché sans trop se bousculer. Partout les marchands vantent la qualité de leurs produits et de leurs prix bas défiant toute concurrence." ("toute concurrence" est au singulier dans l'expression, pas au pluriel ; il y a un troisième "marchand" pas loin en-dessous, ça se voit)
"Ont-ils oublié la guerre" (pas d'"s" à la fin d'"oublié")
"une rapière un peu abîmée pour un prix misérable, mais j’ai fait comme à mon habitude, je suis passé sans lui accorder attention." (pas d'"s" à la fin de "j'ai")
"tout en continuant de marcher"
"pourquoi est-ce qu"
"Je me suis retourné et vis" : le passé composé suivi immédiatement du passé simple, ça fait vraiment très bizarre ; je pense qu'il vaut mieux choisir un temps
"deux autres m’ont barré la route et ont sorti chacun une épée" (pas d'"s" à la fin de "barré" et de "sorti")
"Tous ses comparses se sont esclaffé et m’ont montré du doigt" (pas d'"s" à la fin d'"esclaffé" et "montré")

Etc. Vous voyez l'idée...

Je n'ai pas le temps de tout corriger la semaine, je n'ai que le week-end et encore. Je fais se que je peux, en orthographe et grammaire aussi. En plus, ce n'est qu'un brouillon, pas une version définitive^^.

Eh bien, entre le brouillon et la version définitive-arrêtée, qu'effectivement il n'est pas forcément intéressant de montrer sur un site si vous voulez tenir compte des remarques qu'on vous fait pour modifier le texte, je pense qu'il ne serait pas inutile de prévoir une version "dégrossie", relue, où vous auriez rectifié l'essentiel des erreurs de langue, des problèmes de temps, les répétitions les plus voyantes. Ainsi, soulagés de ces considérations qui, je vous assure, peuvent sérieusement plomber un texte, vos lecteurs pourraient s'intéresser de plus près à ce qui constitue vraiment l'histoire.

Je sais mais j'ai très peu de temps à y consacrer donc j'ai mis trop de chose pour prendre de l'avance. Désolé mais je suis très pressé donc je regarderai les commentaires qui seront laissés et je corrigerai et répondrai en conséquence.

pas le temps non plus

Néo Sivan a écrit:Je n'ai pas le temps de tout corriger la semaine, je n'ai que le week-end et encore. Je fais se que je peux, en orthographe et grammaire aussi. En plus, ce n'est qu'un brouillon, pas une version définitive^^.

peut-être, peut-être, mais avec le correcteur de Word, même s'il en laisse passer, ou sur le site bonpatron.com tu pourrais en éviter pas mal des fautes, dommage

Sinon, se que l'on peut faire, c'est de supprimer le texte et je le reposte, relu, corrigé et surtout en plusieurs parties (une partie part week-end, ça va?).

Néo et Matrix
La ruelle, l'école... comme H.P.
Je sais, pas simple de sortir de certaines références, surtout lorsqu'elles inspirent, mais là, c'est un peu trop à mon goût. Ça ne doit pourtant pas être impossible de parler de petit sorcier dans l'ère post-Rowling, non?
D'entrée de jeu, cette inspiration handicape ton texte et fausse ma lecture, je l'avoue.
Ensuite, ton écriture que je trouve personnellement plutôt maladroite. Syntaxe, conjugaison, orthographe... beaucoup de faiblesse dans tout cela, sans compter cette lourdeur permanente dans le récit. Tu narres tout en long et en large, en posant chaque verbe là où il ne faut pas, en augmentant la pression par des temps passés qui n'arrangent rien.
Allège, à tout prix, sans quoi cela ne peut qu'être difficile à lire et apprécier.

J'ai eu du mal également avec toutes les maladresses et le passé composé. De plus tout est raconté comme un relevé de banque ; un énoncé d'évènements lâchés en vrac sans que tu sois parvenu à y insuffler de la vie (impression personnelle).

Contrairement à Socque je suis un très grand amateur de Fantasy mais cela ne m'a pas empêché de trouver le texte un peu indigeste. Aux références citées par Sahkti j'ajouterai le titre : prophétie du Roi Liche qui renvoie au jeu World of Warcraft, ainsi que certains stéréotypes comme le rôdeur et la pyromancienne.

Il y a néanmoins de la matière et une réelle motivation. J'envie ta faculté à te lancer dans le tas car je n'y arrive pas encore personnellement.

Un début prometteur gâché par de nombreuses fautes d'orthogrphe et de grammaire.
Tu devrais faire un tout sur les sites consacrés à la fantasy pour présenter ton texte (corrigé) Il y a par exemple fantasyblog.fr.

J'ai lu le texte et apprécié l'histoire, mais comme les autres ont dit, les fautes d'orthographes, grammaires et autres rendent la lecture plus lourde et moins agréable, du moins, selon moi.

Merci pour vos commentaires. Je sais pour les fautes, je ne suis pas vraiment bon pour corriger mes fautes. Le titre, c'est juste un pour donner un nom à mon histoire. Je n'en ai pas encore trouvé. Mais il y a quelques petites précisions que je vais apporter:
-Premièrement, le texte est un premier jet.
-Deuxièmement, le prénom de Néo, je l'ais pris car je l'aime bien. Pas pour Matrix.
-Troisièmement, de tout se que j'ais écris, la seul "réel" référence, c'est Néo.
-Quatrièmement, preso, je n'ais pas vu beaucoup de magicienne dans les films, en plus pyromancienne. J'ais pris la classe rôdeur, parce que j'aime cette classe, et la classe pyromancienne car j'aime la magie du feu.

P.S: Excusez moi pour être aussi direct mais, cette histoire j'y tiens beaucoup et j'ais essayé d'être le plus original possible (et surtout de ne pas rentrer dans les stéréotypes).

L’intention :
Écrire, ce n’est pas balancer des mots à la volée pour son seul plaisir, c’est exprimer le monde avec originalité et justesse, en considérant toujours que l’important n’est pas l’émetteur, mais bien le récepteur. Lorsque nous publions, ici comme ailleurs, que nous soyons amateurs ou que nous fassions parti des auteurs édités, il nous faut garder à l’esprit cette idée simple : que le lecteur est la destination ultime de nos écrits, la fin du voyage, celui d’un sentiment, d’une idée, d’un concept… Aussi, par respect pour les caboches dans lesquelles nous résiderons un temps, par respect pour ceux qui prêtent vie à nos lignes, qui les commenteront ou pas, ne soyons pas plus mièvres qu’ils le sont, pas moins cultivés et mettons y les formes : orthographe, syntaxe et ponctuation correct.

Avertissement
Par goût et parce que d’autres forums sont spécialisés : nous ne publions pas certaines littératures de genre comme : l’héroic fantaisie, le sentimentalisme style Harlequin, l’érotisme, la science fiction (pas confondre avec anticipation), la littérature jeunesse et celle dénonçant le mal être de l’adolescence. Et seront également retirés sans avertissement de ce forum, les textes inachevés (extraits de roman), les écrits commis à la va-vite, ceux encombrés de fautes d'orthographes et/ou de français, les poésies aux rimes faciles et au sujet bateau.

- TEST -

Euh, grieg, c'est vrai que vous ne publiez pas certaines littératures de genre comme l'héroïc fantasy ou bien ça ne dérange pas trop si vous voyez quelques textes du genre sur le forum?

Écriture a écrit:Euh, grieg, c'est vrai que vous ne publiez pas certaines littératures de genre comme l'héroïc fantasy ou bien ça ne dérange pas trop si vous voyez quelques textes du genre sur le forum?

Nous évitons, par goût et parce qu'il existe quantité de forums spécialisés.

Mouais, je me disais aussi qu'il y en avait pas beaucoup, mais si je comprends bien vous en laisser tout de meme passer quelques uns?

scusez de ce second post, mais je m'en sentais obliger.

Grieg, ai-je le droit de dire que les autres forums d'écritures ne sont pas vraiment du niveau de celui-ci et que je prefere publier mes textes, peu importe le genre, sur ce forum?