Et si cela existait vraiment ?
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Et si cela existait vraiment ?
PROLOGUE
J'avais six ans en 1984 lorsque les premiers signes ont commencé.
Nous venions d'emménager à dix kilomètres de là où j'étais née.
Normalement la vie aurait dû être belle, ce ne fut pas le cas.
Mes parents étaient en apparence heureux.
Ils avaient acheté une charmante maison en face de la mer. Nous entendions le bruit des vagues sur le parapet de la digue.
Ma mère venait d'avoir une petite fille qui répondait au doux prénom d’Eugénie.
Un joli bébé tout rose, tout blond, tout mignon.
C’est malheureusement à cet instant que ma vie a basculé.
Je ne l’aimais pas et je pensais ne jamais l'accepter dans ma vie cet enfant.
Etais-je méchante, non je ne pense pas simplement jalouse ?
Malgré son jeune âge elle captait toute l’attention.
Elle m'avait volé mes parents.
Surtout Mon père qui était mon Dieu a l'époque. Il s éloignait.
Je pensais qu'il ne m'aimait plus, mais ce n'était pas moi le problème, c’était nous.
Cela j'allais le savoir que quelques années plus tard.
La journée j'étais une petite fille comme les autres.
Une après-midi je jouais dans le jardin quand je vis à quelques mètres de moi deux petits yeux me fixaient.
Ce regard insistant était celui de notre voisine; une vieille dame qui cultivaient carottes et poireaux.
Je soupçonnais la femme; qui devait être une sorcière de concocter; divers poisons dans l'arrière-cuisine de sa vieille maison.
Cela faisait seulement deux mois que nous avions remplacé les anciens propriétaires et nos deux animaux de compagnie étaient morts.
Nous avions dû enterrer nos chers amis dans le fond de notre jardin.
Une croix avait été plantée sur chacune des tombes que nous avions creusées sous l’œil amusé de la vielle dame.
Elle savait qu'elle me terrifiait, je n'osais plus escalader la clôture lorsque mon ballon tombait. J'avais peur qu'il m’arrive la même chose que mes compagnons.
Le début de soirée annonçait le diner, c'est à cet instant que l'angoisse montait.
La première fois, c'est arrivé une demi-heure après avoir été bordée par ma douce Maman.
J'étais endormie comme souvent en chien de fusil.
La couette était au-dessus ma tête.
Oui même avant cela j’avais peur des monstres et des sorcières comme toutes les petites filles avec beaucoup d'imagination.
Soudain une sensation d'oppression m'envahit.
Je n’arrivais plus à respirer, je sentais une présence.
Ce n'était pas une personne mais une sensation, un poids sur mes frêles épaules.
Etait-ce une crise d’angoisse, une sensation de malaise ou vraiment quelque chose ou quelqu'un ?
Je ne savais pas si Dieu existait à l'époque, mais je priais le seigneur de bien vouloir arrêter de me faire subir cela.
Pourquoi moi qu’avais-je fait de mal pour que cette chose vienne m'ennuyer pendant mon sommeil.
Je n'avais que six ans. Je n'avais pas eu le temps de faire du mal à quiconque.
Après avoir tenté de me raisonner et de penser à quelque chose de joyeux, je parvins à me calmer et m'endormir.
Toutes les nuits suivantes se passèrent ainsi pendant deux années.
Un soir en rentrant de l'école ma mère me dit :
– Ma chérie, tu ne verras plus la vieille dame d’à cote. Elle est partie, elle ne te fera plus jamais peur.
– – Elle est partie où la voisine Maman ? – Au royaume des morts …..
–
Je n’ai pas su quoi répondre à ma Maman ce jour-là mais cette parole venait de changer ma vie à tout jamais.
J'avais six ans en 1984 lorsque les premiers signes ont commencé.
Nous venions d'emménager à dix kilomètres de là où j'étais née.
Normalement la vie aurait dû être belle, ce ne fut pas le cas.
Mes parents étaient en apparence heureux.
Ils avaient acheté une charmante maison en face de la mer. Nous entendions le bruit des vagues sur le parapet de la digue.
Ma mère venait d'avoir une petite fille qui répondait au doux prénom d’Eugénie.
Un joli bébé tout rose, tout blond, tout mignon.
C’est malheureusement à cet instant que ma vie a basculé.
Je ne l’aimais pas et je pensais ne jamais l'accepter dans ma vie cet enfant.
Etais-je méchante, non je ne pense pas simplement jalouse ?
Malgré son jeune âge elle captait toute l’attention.
Elle m'avait volé mes parents.
Surtout Mon père qui était mon Dieu a l'époque. Il s éloignait.
Je pensais qu'il ne m'aimait plus, mais ce n'était pas moi le problème, c’était nous.
Cela j'allais le savoir que quelques années plus tard.
La journée j'étais une petite fille comme les autres.
Une après-midi je jouais dans le jardin quand je vis à quelques mètres de moi deux petits yeux me fixaient.
Ce regard insistant était celui de notre voisine; une vieille dame qui cultivaient carottes et poireaux.
Je soupçonnais la femme; qui devait être une sorcière de concocter; divers poisons dans l'arrière-cuisine de sa vieille maison.
Cela faisait seulement deux mois que nous avions remplacé les anciens propriétaires et nos deux animaux de compagnie étaient morts.
Nous avions dû enterrer nos chers amis dans le fond de notre jardin.
Une croix avait été plantée sur chacune des tombes que nous avions creusées sous l’œil amusé de la vielle dame.
Elle savait qu'elle me terrifiait, je n'osais plus escalader la clôture lorsque mon ballon tombait. J'avais peur qu'il m’arrive la même chose que mes compagnons.
Le début de soirée annonçait le diner, c'est à cet instant que l'angoisse montait.
La première fois, c'est arrivé une demi-heure après avoir été bordée par ma douce Maman.
J'étais endormie comme souvent en chien de fusil.
La couette était au-dessus ma tête.
Oui même avant cela j’avais peur des monstres et des sorcières comme toutes les petites filles avec beaucoup d'imagination.
Soudain une sensation d'oppression m'envahit.
Je n’arrivais plus à respirer, je sentais une présence.
Ce n'était pas une personne mais une sensation, un poids sur mes frêles épaules.
Etait-ce une crise d’angoisse, une sensation de malaise ou vraiment quelque chose ou quelqu'un ?
Je ne savais pas si Dieu existait à l'époque, mais je priais le seigneur de bien vouloir arrêter de me faire subir cela.
Pourquoi moi qu’avais-je fait de mal pour que cette chose vienne m'ennuyer pendant mon sommeil.
Je n'avais que six ans. Je n'avais pas eu le temps de faire du mal à quiconque.
Après avoir tenté de me raisonner et de penser à quelque chose de joyeux, je parvins à me calmer et m'endormir.
Toutes les nuits suivantes se passèrent ainsi pendant deux années.
Un soir en rentrant de l'école ma mère me dit :
– Ma chérie, tu ne verras plus la vieille dame d’à cote. Elle est partie, elle ne te fera plus jamais peur.
– – Elle est partie où la voisine Maman ? – Au royaume des morts …..
–
Je n’ai pas su quoi répondre à ma Maman ce jour-là mais cette parole venait de changer ma vie à tout jamais.
Cedrina- Nombre de messages : 13
Age : 46
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Et si cela existait vraiment ?
Cedrina, la publication des textes se fait au rythme de un par semaine en prose et/ou poésie (lire la page d'accueil). Votre précédent texte, Cartomanciennes, ayant été publié lundi 16 avril, celui-ci est verrouillé jusqu'au lundi 23 avril.
Merci de votre compréhension.
Modération- Nombre de messages : 1362
Age : 18
Date d'inscription : 08/11/2008
Re: Et si cela existait vraiment ?
J'attendais que le texte soit "libéré" pour te le dire :
alors là, tu vois, j'aime beaucoup mieux
la présentation, les phrases courtes, les non-dit
je pense que cela gagnerait en force en enlevant ce qui fait commentaire et coupe un peu cette montée de l'angoisse :
les adverbes, comme "malheureusement"
Etais-je méchante, non je ne pense pas simplement jalouse ?
Elle m'avait volé mes parents.
Etait-ce une crise d’angoisse, une sensation de malaise ou vraiment quelque chose ou quelqu'un ?
ça commente inutilement ce qu'on comprend fort bien
en revanche j'adore :
Cela faisait seulement deux mois que nous avions remplacé les anciens propriétaires et nos deux animaux de compagnie étaient morts.
dans l'ensemble, ça me plaît beaucoup.
(j'écris moi-même des fragments d'enfance en ce moment.)
Alors tu vois, ça valait le coup de ne pas s'arrêter aux premiers commentaires de ton premier texte !
alors là, tu vois, j'aime beaucoup mieux
la présentation, les phrases courtes, les non-dit
je pense que cela gagnerait en force en enlevant ce qui fait commentaire et coupe un peu cette montée de l'angoisse :
les adverbes, comme "malheureusement"
Etais-je méchante, non je ne pense pas simplement jalouse ?
Elle m'avait volé mes parents.
Etait-ce une crise d’angoisse, une sensation de malaise ou vraiment quelque chose ou quelqu'un ?
ça commente inutilement ce qu'on comprend fort bien
en revanche j'adore :
Cela faisait seulement deux mois que nous avions remplacé les anciens propriétaires et nos deux animaux de compagnie étaient morts.
dans l'ensemble, ça me plaît beaucoup.
(j'écris moi-même des fragments d'enfance en ce moment.)
Alors tu vois, ça valait le coup de ne pas s'arrêter aux premiers commentaires de ton premier texte !
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Et si cela existait vraiment ?
et : attends quelques com avant de répondre si le cœur t'en dit
sinon, on se cause sur "discussion autour de nos textes" qque part en dessous
sinon, on se cause sur "discussion autour de nos textes" qque part en dessous
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Et si cela existait vraiment ?
dernière chose : je n'aime pas le titre ! a failli me faire fuir
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: Et si cela existait vraiment ?
Made in Marc Lévy le titre !
Je reviendrai lire, Cedrina. Et commenter.
Je reviendrai lire, Cedrina. Et commenter.
Invité- Invité
Re: Janis
Merci beaucoup Janis ce commentaire me ravit. Pour le titre, il n est pas encore déterminé. J'attends d'avoir d'autres commentaires pour mettre le premier chapitre.
Cedrina- Nombre de messages : 13
Age : 46
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Et si cela existait vraiment ?
Je trouve ce texte pas mal du tout, il y a un fil directeur, une histoire qui tient debout et c'est agréable à lire, simple et aéré. Encore des formules un peu toutes faites comme : "une petite fille qui répondait au doux prénom d’Eugénie." et des problèmes de ponctuation, ici par exemple : " Je soupçonnais la femme; qui devait être une sorcière de concocter; divers poisons dans l'arrière-cuisine de sa vieille maison. " ("Je soupçonnais la femme qui devait être une sorcière de concocter divers poisons dans l'arrière-cuisine de sa vieille maison.")
Mais dans l'ensemble ça roule, tu tiens sûrement quelque chose ici, plus à l'aise dans la relation de souvenirs personnels que dans la pure fiction de l'autre jour, peut-être.
Mais dans l'ensemble ça roule, tu tiens sûrement quelque chose ici, plus à l'aise dans la relation de souvenirs personnels que dans la pure fiction de l'autre jour, peut-être.
Invité- Invité
Re: Et si cela existait vraiment ?
Pour le titre, j'ai dit ce que j'en pensais, ça sonne comme le bouquin de Lévy, tout sauf une référence.
Et sinon, Cedrina, il faut éviter de répondre après chaque commentaire ou commentateur, mais plutôt le faire ici : http://www.vosecrits.com/t10500-discussions-autour-de-nos-textes
Merci.
Et sinon, Cedrina, il faut éviter de répondre après chaque commentaire ou commentateur, mais plutôt le faire ici : http://www.vosecrits.com/t10500-discussions-autour-de-nos-textes
Merci.
Invité- Invité
début du chapitre 1
Chapitre I :
J'ai huit ans aujourd'hui.
Nous sommes le 22 décembre, c'est l'hiver la neige tombait à gros flocons.
Cette après-midi nous devons recevoir quelques invités pour fêter l'événement.
Je ne sais pas pourquoi ils veulent que je sois souriante.
Je n'ai pas envie d'avoir l'air joyeux.
Faire semblant à quoi ça rime.
Tous les ans c'est la même chose.
Ils arrivent à 16h00 tapante.
Les premiers arrivés sont souvent ma grand-mère, ma tante et les cousins.
Comment je peux avoir le sourire en les voyant arriver ?
Les femmes habillées de blouses noires et leurs chignons fixés sur la tête.
Les épingles pour attacher leur coiffure font que leurs cheveux ont l'air de petits hérissons marron.
Le sourire qu'elles arborent en arrivant fait craquer la commissure de leurs lèvres fines.
Elles avancent dans le couloir et je sens déjà que l'ambiance va être à son comble.
Ma grand-mère lance à mon père :
– Tu n'as toujours pas refait cette marche ? Tu sais que je n'arrive jamais à la monter ! Décidément tu ne finis jamais rien …
Mon père fait semblant de ne pas entendre et installe les autres dans la salle à manger.
Comme d'habitude les chaises ont été placées en cercle.
Cette fois-ci encore, je ne vais pas pouvoir m'échapper.
Le sujet de discussion va être autour de quoi pour mes huit ans.
Ding Dong allez encore une tante, un oncle.
Dix minutes plus tard, les derniers attendus il est 16h30.
Le rituel des fameux gâteaux peut commencer.
Éclairs au chocolat, au café, Baba aux rhums et tartes aux fraises font apparition leur apparition dans leurs plateaux d'argent.
Mes mains tremblent.
Qui va se battre encore pour un de ses fameux gâteaux ?
On dirait qu'ils n'ont pas mangé de pâtisseries depuis mes sept ans.
Un silence religieux règne dans la pièce pendant qu'ils engloutissent leur sucrerie.
Au moins quelques minutes de répit.
Juste après les hommes se lèvent.
C'est à cet instant que le cauchemar débute vraiment.
Mes oncles, mes cousins et mon père prennent place autour de la table ronde.
Le jeu de cartes au centre laisse pense qu’au moins quelques personnes passeront une bonne fin de journée.
Mais qui pense à moi ?
Personne ne m'a chanté la chanson.
À part les quelques billets que j’ai reçus, personne n'a cherché à savoir ce dont ‘il me ferait plaisir.
Une vraie famille rassemblée en cercle autour d'une matriarche sévère et endeuillée voilà ce qu'était mon univers de petite fille.
J'ai huit ans aujourd'hui.
Nous sommes le 22 décembre, c'est l'hiver la neige tombait à gros flocons.
Cette après-midi nous devons recevoir quelques invités pour fêter l'événement.
Je ne sais pas pourquoi ils veulent que je sois souriante.
Je n'ai pas envie d'avoir l'air joyeux.
Faire semblant à quoi ça rime.
Tous les ans c'est la même chose.
Ils arrivent à 16h00 tapante.
Les premiers arrivés sont souvent ma grand-mère, ma tante et les cousins.
Comment je peux avoir le sourire en les voyant arriver ?
Les femmes habillées de blouses noires et leurs chignons fixés sur la tête.
Les épingles pour attacher leur coiffure font que leurs cheveux ont l'air de petits hérissons marron.
Le sourire qu'elles arborent en arrivant fait craquer la commissure de leurs lèvres fines.
Elles avancent dans le couloir et je sens déjà que l'ambiance va être à son comble.
Ma grand-mère lance à mon père :
– Tu n'as toujours pas refait cette marche ? Tu sais que je n'arrive jamais à la monter ! Décidément tu ne finis jamais rien …
Mon père fait semblant de ne pas entendre et installe les autres dans la salle à manger.
Comme d'habitude les chaises ont été placées en cercle.
Cette fois-ci encore, je ne vais pas pouvoir m'échapper.
Le sujet de discussion va être autour de quoi pour mes huit ans.
Ding Dong allez encore une tante, un oncle.
Dix minutes plus tard, les derniers attendus il est 16h30.
Le rituel des fameux gâteaux peut commencer.
Éclairs au chocolat, au café, Baba aux rhums et tartes aux fraises font apparition leur apparition dans leurs plateaux d'argent.
Mes mains tremblent.
Qui va se battre encore pour un de ses fameux gâteaux ?
On dirait qu'ils n'ont pas mangé de pâtisseries depuis mes sept ans.
Un silence religieux règne dans la pièce pendant qu'ils engloutissent leur sucrerie.
Au moins quelques minutes de répit.
Juste après les hommes se lèvent.
C'est à cet instant que le cauchemar débute vraiment.
Mes oncles, mes cousins et mon père prennent place autour de la table ronde.
Le jeu de cartes au centre laisse pense qu’au moins quelques personnes passeront une bonne fin de journée.
Mais qui pense à moi ?
Personne ne m'a chanté la chanson.
À part les quelques billets que j’ai reçus, personne n'a cherché à savoir ce dont ‘il me ferait plaisir.
Une vraie famille rassemblée en cercle autour d'une matriarche sévère et endeuillée voilà ce qu'était mon univers de petite fille.
Cedrina- Nombre de messages : 13
Age : 46
Date d'inscription : 16/04/2012
je me suis trompée désolée
au lieu de répondre au texte j'ai cliqué sur nouveau
C'est réparé
C'est réparé
Cedrina- Nombre de messages : 13
Age : 46
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Et si cela existait vraiment ?
Bien aimé ce passage. Comme précédemment, un déroulé court, simple mais efficace, tout est dit en quelques lignes. Je me sens bien dans cette évocation des souvenirs d'enfance, la distance (la blancheur) du ton fonctionne bien à mes yeux.
Attention toutefois aux coquilles et autres erreurs de langue que je signale ci-dessous :
Nous sommes le 22 décembre, c'est l'hiver la neige tombait à gros flocons. (tombe)
Ils arrivent à 16h00 tapante. (tapantes)
Le sujet de discussion va être autour de quoi pour mes huit ans. (?)
Éclairs au chocolat, au café, Baba aux rhums (babas au rhum)
Qui va se battre encore pour un de ses fameux gâteaux ? (ces)
Un silence religieux règne dans la pièce pendant qu'ils engloutissent leur sucrerie. (leurs sucreries)
Le jeu de cartes au centre laisse pense qu’au moins quelques personnes passeront une bonne fin de journée. (penser)
À part les quelques billets que j’ai reçus, personne n'a cherché à savoir ce dont ‘il me ferait plaisir. (ce qui)
Attention toutefois aux coquilles et autres erreurs de langue que je signale ci-dessous :
Nous sommes le 22 décembre, c'est l'hiver la neige tombait à gros flocons. (tombe)
Ils arrivent à 16h00 tapante. (tapantes)
Le sujet de discussion va être autour de quoi pour mes huit ans. (?)
Éclairs au chocolat, au café, Baba aux rhums (babas au rhum)
Qui va se battre encore pour un de ses fameux gâteaux ? (ces)
Un silence religieux règne dans la pièce pendant qu'ils engloutissent leur sucrerie. (leurs sucreries)
Le jeu de cartes au centre laisse pense qu’au moins quelques personnes passeront une bonne fin de journée. (penser)
À part les quelques billets que j’ai reçus, personne n'a cherché à savoir ce dont ‘il me ferait plaisir. (ce qui)
Invité- Invité
Re: Et si cela existait vraiment ?
J’aime bien ces bribes de souvenirs d’une petite fille. Je lirai la suite, le début excite bien la curiosité je trouve, c’est accrocheur, on se demande ce qui va arriver. La scène d’anniversaire est bien dépeinte aussi, elle dit beaucoup sur cette famille et l’ambiance qui y règne.
Bienvenue !
Bienvenue !
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
Re: Et si cela existait vraiment ?
Oui, moi aussi je préfère de beaucoup ce texte au précédent ! ça coule beaucoup mieux et tu échappes beaucoup plus efficacement aux clichés.
Il y a des trouvailles que j'ai bien aimées :
Bien aimé aussi la petite réflexion qui sonne tellement juste :
Ce sont les petits détails comme ça qui font la saveur d'un texte.
Si je peux encore te donner un conseil : ne trace pas tes personnages tout en noir ou tout en rose. Cette petite fille est d'emblée assez sympathique au lecteur pour qu'on puisse voir ses défauts sans que cela lui nuise. Inversement, tu pourrais peindre les adultes de façon à ce qu'on s'aperçoive que même s'ils paraissent odieux aux yeux de l'enfant c'est parfois faux et seulement dû au fait qu'elle n'est pas au courant de tout ou ne les comprend pas.
Bonne continuation...
Il y a des trouvailles que j'ai bien aimées :
c'est drôle et très évocateur !Les épingles pour attacher leur coiffure font que leurs cheveux ont l'air de petits hérissons marron.
Bien aimé aussi la petite réflexion qui sonne tellement juste :
on dirait qu'ils n'ont pas mangé de pâtisseries depuis mes sept ans
Ce sont les petits détails comme ça qui font la saveur d'un texte.
Si je peux encore te donner un conseil : ne trace pas tes personnages tout en noir ou tout en rose. Cette petite fille est d'emblée assez sympathique au lecteur pour qu'on puisse voir ses défauts sans que cela lui nuise. Inversement, tu pourrais peindre les adultes de façon à ce qu'on s'aperçoive que même s'ils paraissent odieux aux yeux de l'enfant c'est parfois faux et seulement dû au fait qu'elle n'est pas au courant de tout ou ne les comprend pas.
Bonne continuation...
Invité- Invité
Re: Et si cela existait vraiment ?
Cedrina, j'étais venu par curiosité, presque sûr de ne pas réussir à vous lire jusqu'au bout. Puis non.
J'ai tout lu.
C'est franchement mieux. Vous faites simple et c'est plus agréable ainsi.
Ceci dit, il reste beaucoup de travail sur l'orthographe, la ponctuation (politesse indispensable du langage). Certains tirets se baladent... L'impression générale est forcément moins bonne, car ça donne l'image d'un texte peu travaillé, voire non relu.
Enfin, pensez-vous que revenir à la ligne pour presque chaque phrase soit indispensable ? Je pense, pour ma part, que je vous lirais plus facilement encore si vous faisiez de vrais paragraphes (certes point trop longs).
Respectueusement.
J'ai tout lu.
C'est franchement mieux. Vous faites simple et c'est plus agréable ainsi.
Ceci dit, il reste beaucoup de travail sur l'orthographe, la ponctuation (politesse indispensable du langage). Certains tirets se baladent... L'impression générale est forcément moins bonne, car ça donne l'image d'un texte peu travaillé, voire non relu.
Enfin, pensez-vous que revenir à la ligne pour presque chaque phrase soit indispensable ? Je pense, pour ma part, que je vous lirais plus facilement encore si vous faisiez de vrais paragraphes (certes point trop longs).
Respectueusement.
Hop-Frog- Nombre de messages : 614
Age : 36
Date d'inscription : 11/04/2012
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