Suis-je si mauvais que cela ?
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Suis-je si mauvais que cela ?
Mon premier texte sur ce site... en espérant que vous apprécierez !
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Peut-être que je n’ai pas d’amis. Peut-être que je n’ai pas de mains. Mais je cours plus vite que tout être humain sur Terre. Tout être vivant, devrais-je dire. Une fois que je suis lancé, impossible de mettre un terme à ma course sans que je le décide. Les courants, certes, me donnent la vie mais leur utilité s’arrête là. Mon aérodynamisme optimal confère à mon périple une apparence légère, fluide, gaie, comme une flèche parfaitement lâchée d’un arc particulièrement haut de gamme. Quand je pense que je suis considéré par les êtres vivants comme un fléau, un effet désagréable sur leur peau, un destructeur de maisons, un faucheur d’existence, ma peine est immense. Je n’ai aucun moyen de m’excuser du tempérament lunatique dont je fais preuve, et du caractère incontrôlable de mes colères qui déciment parfois leurs terres. Mais lorsque mon collègue le Soleil est en pleine forme et les assaille du tranchant de sa chaleur, ils me supplient de les laisser écouter mon sifflement et pleurent de joie lorsque, ma bonté atteignant son paroxysme, je décide d’effleurer du bout de mon doigt inexistant leur peau endolorie. Lorsque je permets à leurs splendides albatros de ne pas rester bloqués au beau milieu de l’océan infini. Lorsque mon absence se fait tellement ressentir qu’on m’appelle au secours pour empêcher la cruelle Faucheuse d’arracher la vie des plus affaiblis. Lorsque ma prétention me fait prendre le dessus sur mes collègues les Nuages et donne à leur lieu de vie un calme serein et protecteur. Lorsque ma vigueur débarrasse pour un temps leur atmosphère de la pollution qu’ils créent.
Suis-je si mauvais que cela ?
Peut-être que je n’ai pas d’amis. Peut-être que je n’ai pas de mains. Mais je vogue plus gracieusement que tout dauphin sur Terre. Tout animal marin, devrais-je dire. J’arpente à ma guise la planète, visitant toutes les contrées qui ont osé entretenir une relation pacifique avec moi. Quand je pense qu’on me traite de meurtrière, d’assassin, de beauté sournoise, de prédatrice, ma peine est immense. Je n’ai aucun moyen de m’excuser du tempérament lunatique dont je fais preuve, et du caractère incontrôlable de mes colères qui déciment parfois leurs terres. Mais mes déhanchements ravissent les êtres humains qui ont le privilège d’entrer dans mon hypnotique danse. La fraîcheur de ma chair résigne les moins courageux, qui ne font qu’assister au spectacle, mais lorsque mon collègue le Soleil est en pleine forme et draine la moindre particule liquide de leur corps, ils me supplient de les laisser fusionner avec ma matière enivrante, et de les laisser nager dans mes cellules foisonnant de candeur et de pureté. Parfois, on me cloisonne dans des habitacles pourvus de parois transparentes pour étancher la soif des êtres grâce à mon potentiel régénérateur. Je me retrouve alors dans les méandres de leur corps, et supporte sans jamais broncher les textures douteuses de leurs organes, les odeurs pestilentielles de certaines particules inconnues et l’incessant balancement qu’ils me font endurer. Et j’aimerais aussi rappeler que lorsqu’on me mélange à des substances si toxiques qu’elles me tuent et altèrent totalement mes bienfaits, je ne me plains jamais et fais de mon mieux pour qu’on sente ma présence.
Suis-je si mauvaise que cela ?
Peut-être que nous n’avons pas d’amis. Peut-être que nous n’avons pas de mains. Mais nous volons plus librement que tout avion sur Terre. Tout être volant, devrions-nous dire. Nous naviguons dans les airs à une hauteur démesurée, côtoyant les albatros et les dirigeables, et flânant entre les monts, les déserts et la banquise. Notre compère le Vent nous presse parfois, mais ne prend jamais trop de place. Quand nous pensons qu’on ne cesse de se plaindre de nous, qu’on nous voit comme des criminels, des ennemis, des intrus encombrants, des puissants ravageurs, des créateurs de misère, des forces funestes et sanglantes, notre peine est immense. Nous n’avons aucun moyen de nous excuser du tempérament lunatique dont nous faisons preuve, et du caractère incontrôlable de nos colères qui déciment parfois leurs terres. Les hommes se plaignent de notre lourdeur et de la laideur écrasante qui recouvrent leurs paysages lorsque nous nous montrons, mais ils nous bénissent lorsque notre collègue le Soleil sévit dans l’étendue trop azure qui les fait suffoquer horriblement. Ils prient pour que notre ombre apparaisse quelques heures. L’eau salvatrice que nous apportons à leurs plantes ne leur déplaît pas non plus, et c’est grâce à notre soutien indispensable que les pelouses, les rosiers, les acacias, les œillets, les tulipes, les champs et les forêts donnent autant de couleur à leur vie. Et n’est-ce pas nous qui ravissons l’imagination des enfants lorsque ceux-ci prennent le temps de contempler nos formes ? N’est-ce pas en nous qu’ils aiment apercevoir des animaux, des formes, des objets inventés, qui leur font oublier la dureté du quotidien ?
Sommes-nous si mauvais que cela ?
Je n’ai pas d’amis. Je n’ai pas de mains. Mais je règne sur la Terre plus indéniablement que tout président. Tout être humain, devrais-je dire. Je passe mon temps à répandre ma chaleur indestructible, et me prélasse d’observer les humains profiter de la source de vie qui réside en moi. Oh oui ! Ils ont intérêt d’en profiter, car quand je m’éteindrai, ils s’éteindront avec moi. J’espère quand même les allumer le plus longtemps possible. Quand je pense qu’on me traite d’éblouissement fatal, de pyromane impitoyable, d’arracheur de fortune, d’amplificateur de pollution, de nuisible sans foi, ma peine est immense. Je n’ai aucun moyen d’excuser le tempérament lunatique dont font preuve mes compères le Vent, l’Eau et les Nuages, et du caractère incontrôlable de leurs colères qui déciment parfois la terre que je m’obstine à protéger. S’ils avaient la moindre idée du mal que je me donne pour continuer tous les jours à les rendre heureux et plein d’entrain. Il m’est impossible de contrôler le désastre que crée parfois la puissance de mes rayons, et je m’en excuse. Je leur donne la possibilité de se marier avec l’eau sans mourir frigorifié, je repousse ardemment les nuages tentant de s’introduire sur mon territoire, je tente d’atténuer l’entrain désagréable du vent en brillant plus intensément. Et c’est aussi moi qui permets à leur peau d’arborer cette teinte mate et bronzée durant l’été. Certes, je n’y parviens pas tout le temps, mais je promets que j’essaie. Je dois tout de même m’occuper de sept autres planètes, donc j’estime que j’ai plus de mérite que mes compères. Cependant, c’est moi qui m’attrape tous les torts. En fin de compte, j’ai la plus mauvaise place. La bonté finit toujours par nous retomber dessus, et je n’échappe pas à la règle. Voilà le remerciement que j’en ai : le mépris des autres éléments.
Je ne suis pas mauvais. Je pâtis seulement de la mauvaise foi des autres.
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Peut-être que je n’ai pas d’amis. Peut-être que je n’ai pas de mains. Mais je cours plus vite que tout être humain sur Terre. Tout être vivant, devrais-je dire. Une fois que je suis lancé, impossible de mettre un terme à ma course sans que je le décide. Les courants, certes, me donnent la vie mais leur utilité s’arrête là. Mon aérodynamisme optimal confère à mon périple une apparence légère, fluide, gaie, comme une flèche parfaitement lâchée d’un arc particulièrement haut de gamme. Quand je pense que je suis considéré par les êtres vivants comme un fléau, un effet désagréable sur leur peau, un destructeur de maisons, un faucheur d’existence, ma peine est immense. Je n’ai aucun moyen de m’excuser du tempérament lunatique dont je fais preuve, et du caractère incontrôlable de mes colères qui déciment parfois leurs terres. Mais lorsque mon collègue le Soleil est en pleine forme et les assaille du tranchant de sa chaleur, ils me supplient de les laisser écouter mon sifflement et pleurent de joie lorsque, ma bonté atteignant son paroxysme, je décide d’effleurer du bout de mon doigt inexistant leur peau endolorie. Lorsque je permets à leurs splendides albatros de ne pas rester bloqués au beau milieu de l’océan infini. Lorsque mon absence se fait tellement ressentir qu’on m’appelle au secours pour empêcher la cruelle Faucheuse d’arracher la vie des plus affaiblis. Lorsque ma prétention me fait prendre le dessus sur mes collègues les Nuages et donne à leur lieu de vie un calme serein et protecteur. Lorsque ma vigueur débarrasse pour un temps leur atmosphère de la pollution qu’ils créent.
Suis-je si mauvais que cela ?
Peut-être que je n’ai pas d’amis. Peut-être que je n’ai pas de mains. Mais je vogue plus gracieusement que tout dauphin sur Terre. Tout animal marin, devrais-je dire. J’arpente à ma guise la planète, visitant toutes les contrées qui ont osé entretenir une relation pacifique avec moi. Quand je pense qu’on me traite de meurtrière, d’assassin, de beauté sournoise, de prédatrice, ma peine est immense. Je n’ai aucun moyen de m’excuser du tempérament lunatique dont je fais preuve, et du caractère incontrôlable de mes colères qui déciment parfois leurs terres. Mais mes déhanchements ravissent les êtres humains qui ont le privilège d’entrer dans mon hypnotique danse. La fraîcheur de ma chair résigne les moins courageux, qui ne font qu’assister au spectacle, mais lorsque mon collègue le Soleil est en pleine forme et draine la moindre particule liquide de leur corps, ils me supplient de les laisser fusionner avec ma matière enivrante, et de les laisser nager dans mes cellules foisonnant de candeur et de pureté. Parfois, on me cloisonne dans des habitacles pourvus de parois transparentes pour étancher la soif des êtres grâce à mon potentiel régénérateur. Je me retrouve alors dans les méandres de leur corps, et supporte sans jamais broncher les textures douteuses de leurs organes, les odeurs pestilentielles de certaines particules inconnues et l’incessant balancement qu’ils me font endurer. Et j’aimerais aussi rappeler que lorsqu’on me mélange à des substances si toxiques qu’elles me tuent et altèrent totalement mes bienfaits, je ne me plains jamais et fais de mon mieux pour qu’on sente ma présence.
Suis-je si mauvaise que cela ?
Peut-être que nous n’avons pas d’amis. Peut-être que nous n’avons pas de mains. Mais nous volons plus librement que tout avion sur Terre. Tout être volant, devrions-nous dire. Nous naviguons dans les airs à une hauteur démesurée, côtoyant les albatros et les dirigeables, et flânant entre les monts, les déserts et la banquise. Notre compère le Vent nous presse parfois, mais ne prend jamais trop de place. Quand nous pensons qu’on ne cesse de se plaindre de nous, qu’on nous voit comme des criminels, des ennemis, des intrus encombrants, des puissants ravageurs, des créateurs de misère, des forces funestes et sanglantes, notre peine est immense. Nous n’avons aucun moyen de nous excuser du tempérament lunatique dont nous faisons preuve, et du caractère incontrôlable de nos colères qui déciment parfois leurs terres. Les hommes se plaignent de notre lourdeur et de la laideur écrasante qui recouvrent leurs paysages lorsque nous nous montrons, mais ils nous bénissent lorsque notre collègue le Soleil sévit dans l’étendue trop azure qui les fait suffoquer horriblement. Ils prient pour que notre ombre apparaisse quelques heures. L’eau salvatrice que nous apportons à leurs plantes ne leur déplaît pas non plus, et c’est grâce à notre soutien indispensable que les pelouses, les rosiers, les acacias, les œillets, les tulipes, les champs et les forêts donnent autant de couleur à leur vie. Et n’est-ce pas nous qui ravissons l’imagination des enfants lorsque ceux-ci prennent le temps de contempler nos formes ? N’est-ce pas en nous qu’ils aiment apercevoir des animaux, des formes, des objets inventés, qui leur font oublier la dureté du quotidien ?
Sommes-nous si mauvais que cela ?
Je n’ai pas d’amis. Je n’ai pas de mains. Mais je règne sur la Terre plus indéniablement que tout président. Tout être humain, devrais-je dire. Je passe mon temps à répandre ma chaleur indestructible, et me prélasse d’observer les humains profiter de la source de vie qui réside en moi. Oh oui ! Ils ont intérêt d’en profiter, car quand je m’éteindrai, ils s’éteindront avec moi. J’espère quand même les allumer le plus longtemps possible. Quand je pense qu’on me traite d’éblouissement fatal, de pyromane impitoyable, d’arracheur de fortune, d’amplificateur de pollution, de nuisible sans foi, ma peine est immense. Je n’ai aucun moyen d’excuser le tempérament lunatique dont font preuve mes compères le Vent, l’Eau et les Nuages, et du caractère incontrôlable de leurs colères qui déciment parfois la terre que je m’obstine à protéger. S’ils avaient la moindre idée du mal que je me donne pour continuer tous les jours à les rendre heureux et plein d’entrain. Il m’est impossible de contrôler le désastre que crée parfois la puissance de mes rayons, et je m’en excuse. Je leur donne la possibilité de se marier avec l’eau sans mourir frigorifié, je repousse ardemment les nuages tentant de s’introduire sur mon territoire, je tente d’atténuer l’entrain désagréable du vent en brillant plus intensément. Et c’est aussi moi qui permets à leur peau d’arborer cette teinte mate et bronzée durant l’été. Certes, je n’y parviens pas tout le temps, mais je promets que j’essaie. Je dois tout de même m’occuper de sept autres planètes, donc j’estime que j’ai plus de mérite que mes compères. Cependant, c’est moi qui m’attrape tous les torts. En fin de compte, j’ai la plus mauvaise place. La bonté finit toujours par nous retomber dessus, et je n’échappe pas à la règle. Voilà le remerciement que j’en ai : le mépris des autres éléments.
Je ne suis pas mauvais. Je pâtis seulement de la mauvaise foi des autres.
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
C'est divertissant, c'est bien écrit, avec parfois des lourdeurs mais ça m'a beaucoup plu.
Une remarque sur l'utilisation du verbe ici, qui me semble erronée, puisque le verbe est normalement pronominal. L'emploi transitif est peu courant, et ce n'est probablement pas ce à quoi tu pensais.
Benvenue à toi.
Une remarque sur l'utilisation du verbe ici, qui me semble erronée, puisque le verbe est normalement pronominal. L'emploi transitif est peu courant, et ce n'est probablement pas ce à quoi tu pensais.
La fraîcheur de ma chair résigne les moins courageux
Benvenue à toi.
Invité- Invité
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
Dans la phrase finale, pour continuer dans l'esprit plaintif/revendicatif du Soleil, pourquoi ne pas dire "je suis victime de.." au lieu de "je pâtis de" ?
Invité- Invité
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
J'ai été complètement soufflée ;-)! Des termes techniques et dynamiques qui mettent le tout en valeur. J'ai juste été interloqué par la mise en parallèle "amis/mains" au début de chaque paragraphe...c'est assez déstabilisant, surtout à la première lecture.
Bienvenue sur VE!
Ruin.
Bienvenue sur VE!
Ruin.
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
Age : 35
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
Merci d'avoir commenté !
Effectivement Easter, je pensais que "résigner" s'employait mais le vrai sens de ma phrase est "la fraîcheur de ma chair rend réticent les moins courageux", seulement je n'aime pas trop cette formulation donc je vais tâcher d'en trouver une nouvelle. Pour la fin, c'est vrai que ta formulation serait utilisable, seulement si j'utilise le terme "victime", c'est qu'il y a forcément un coupable, et je ne considère pas les autres éléments comme coupable, juste de mauvaise foi, c'est pour cette raison que j'ai préféré la formulation actuelle.
A vrai dire Ruin, ces deux premières phrases me sont venues à l'esprit de manière tellement spontanée que je ne saurai vraiment les expliquer. L'utilisation du terme "mains" vient du parallèle avec les humains. Les éléments veulent montrer qu'ils ne sont pas moins puissants, qu'il n'agissent pas moins que les humains. Cette répétition du "Je n'ai pas d'amis" signifie qu'ils savent se débrouiller tous seuls, mais aussi qu'ils y ont été forcé.
Effectivement Easter, je pensais que "résigner" s'employait mais le vrai sens de ma phrase est "la fraîcheur de ma chair rend réticent les moins courageux", seulement je n'aime pas trop cette formulation donc je vais tâcher d'en trouver une nouvelle. Pour la fin, c'est vrai que ta formulation serait utilisable, seulement si j'utilise le terme "victime", c'est qu'il y a forcément un coupable, et je ne considère pas les autres éléments comme coupable, juste de mauvaise foi, c'est pour cette raison que j'ai préféré la formulation actuelle.
A vrai dire Ruin, ces deux premières phrases me sont venues à l'esprit de manière tellement spontanée que je ne saurai vraiment les expliquer. L'utilisation du terme "mains" vient du parallèle avec les humains. Les éléments veulent montrer qu'ils ne sont pas moins puissants, qu'il n'agissent pas moins que les humains. Cette répétition du "Je n'ai pas d'amis" signifie qu'ils savent se débrouiller tous seuls, mais aussi qu'ils y ont été forcé.
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
Je comprend tout à fait Aoshi, et souvent, c'est d'une phrase (ou de quelques phrases) venue(s) spontanément que naissent nos meilleurs textes...Une inspiration comme "venue d'ailleurs"...Je connais ça!
A bientôt!
Ruin.
A bientôt!
Ruin.
Loreena Ruin- Nombre de messages : 1071
Age : 35
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 05/10/2008
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
Un texte pour lequel j'ai bien accroché malgré le bruit ambiant : c'est dire !
Bien aimé.
Bien aimé.
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
Ruin c'est sûr, ça me le fait la plupart du temps. ^^
Merci Lucy ! Cela montre que j'ai réussi à captiver ton attention.
Merci Lucy ! Cela montre que j'ai réussi à captiver ton attention.
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
"capter ton attention", pas "captiver" ;-) Sinon tu dis deux fois la même chose.
(enfin je crois ^^)
(enfin je crois ^^)
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
Oui en fait je me suis emméler les pinceaux, je voulais dire "te captiver" puis j'ai pensé à "capter ton attention", et au final j'ai fait un mix des deux. ^^
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
Je viens de me tromper d'accent aussi, mais bon, ça doit être la fatigue.
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
J'aime bien.
Quelques lourdeurs, mais sinon, c'est bien écrit.
Peut-être que la structure est un peu trop répétitive.
Cela n'est qu'un avis personnel.
Quelques lourdeurs, mais sinon, c'est bien écrit.
Peut-être que la structure est un peu trop répétitive.
Cela n'est qu'un avis personnel.
mleg- Nombre de messages : 4
Age : 33
Localisation : Ariège
Date d'inscription : 07/12/2008
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
soufflé ou noyé, je ne sais pas. là j'ai du mal à me servir de mes mains pour taper mes mots. juste trois mots: continue comme ça!
Chako Noir- Nombre de messages : 5442
Age : 34
Localisation : Neverland
Date d'inscription : 08/04/2008
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
Merci beaucoup Chako Noir ! Je suis vraiment heureux que tu aies tellement apprécié ce texte.
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
L'idée me plaît, ce voyage entre une généralité énoncée pour arriver à une particularité personnelle ou l'inverse. Avec ce système en rebonds qui permet au texte d'évoluer (attention toutefois que sur un plus long format, je pense que ça s'essouflerait).
J'aime l'idée donc et la manière de l'aborder, même si je reproche quelques longueurs de ci de là. Le ton sentencieux est bien dosé, ça s'écoule avec une certaine fluidité.
Au plaisir d'encore te lire.
J'aime l'idée donc et la manière de l'aborder, même si je reproche quelques longueurs de ci de là. Le ton sentencieux est bien dosé, ça s'écoule avec une certaine fluidité.
Au plaisir d'encore te lire.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
J'ai vraiment bien aimé ton texte. Comme l'ont dit certains, ta structure de départ est un peu répétitive, mais c'est ce qui fait que le récit est tel qu'il est. ^^
Je dois t'avouer que je n'avais pas compris directement qu'il s'agissait du Vent, mais pourquoi pas ? C'est un thème comme un autre. ^^'
Bonne continuation pour ce texte, et je crois que tu as déjà un fan !
Je dois t'avouer que je n'avais pas compris directement qu'il s'agissait du Vent, mais pourquoi pas ? C'est un thème comme un autre. ^^'
Bonne continuation pour ce texte, et je crois que tu as déjà un fan !
Suis-je si mauvais que cela ?
Si c'est un premier texte, voilà un auteur très talentueux !
Une réflexion très actuelle très bien amenée.
Moi qui adore les éléments naturels, je me suis régalée.
Je reviendrais, c'est promis, me promener dans les sentiers détournés de votre imagination fertile.
Une réflexion très actuelle très bien amenée.
Moi qui adore les éléments naturels, je me suis régalée.
Je reviendrais, c'est promis, me promener dans les sentiers détournés de votre imagination fertile.
Mirelie- Nombre de messages : 45
Age : 69
Date d'inscription : 04/02/2011
Re: Suis-je si mauvais que cela ?
roulement associatif par mouvement de rondins.
ça m'ennerf'. j'aime pas les rondins.
ça m'ennerf'. j'aime pas les rondins.
hi wen- Nombre de messages : 899
Age : 27
Date d'inscription : 07/01/2011
Suis-je si mauvais ... CW.
Bonsoir,
Plutôt indigeste à mon goût ... je n'ai pas réussi à lire jusqu'au bout !
Amicalement,
midnightrambler
Plutôt indigeste à mon goût ... je n'ai pas réussi à lire jusqu'au bout !
Amicalement,
midnightrambler
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
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