Mon monde à moi...

Je suis désolée pour les fautes!

-Aujourd'hui,nous allons travaillez les molécules .Et je voudrais que...
Un soupir sonore coupa la fin de la tirade de Mr.Coupet le professeur de biologie de la classe de 3ème.Le soupir fut émis suffisamment fort pour que toute l'attention se focalise sur son auteur.

Son auteur...une jeune fille d'environs 14 ans. Habillés d'un haut de cuir noir-laissant apparaître son ventre au plein jour aux manches longues, elle portait,un pantalon de la même matière et de la même couleur,accompagnés de bottes. Des griffures de cuir sombre couraient le long de son flan. Une chevelure blonde encadrer un visage parfait aux d'un vert qui attirait irrévocablement l'attention.
-Un problème?s'enquit Mr.Coupet. Sachez qui si il y en a un,il sera extrêmement mal vus de la par de ce collège.
Il réfléchit un instant avant de reprendre:
-Vous êtes nouvelle n'est ce pas?Offrez nous votre identité je vous pris.
Malgré l'envie de l'envoyer balader la jeune fille lui répondit:
-Laura Mil'Ouzi!
Elle continua a contre cœur:
-Et non, il n'y a pas de problème.
Le professeur hocha la tête et reprit son cours comme si rien ne s'était passé. L'heure parut interminable aux yeux de Laura.
Elle habitait un quartier de banlieue en Bretagne à Brest assez mal famés avec son son frère Alex . Sa mère et son père avaient disparus quelques années plus tôt et personne ne les jamais retrouver.
La famille dans laquelle ils avaient placer partaient en voyage tous les quatre matins. Madame et Monsieur Swinte n'avait pas d'enfants,et pour payer les factures quand ils étaient en voyage le couple envoyer tous les mois de l'argent au voisins. Il avaient râler au début mais on cesser quand Monsieur Swinte avait sortit de sa poche une liasse de billet bien garnie. En effet,alors que l'année dernière monsieur Swinte était un homme seul et à la rue,il avait trouvés dans une poubelle un homme. Un homme qui soit disant se cacher pour échapper à la police,pour cause un cambriolage de banque. Il avait donnés le sac de billet à Monsieur Swinte qui avait promis de le lui rendre quand le situation se calmerais. Il lui avait donné son adresse et le cambrioleur n'a jamais revu la couleur de l'argent. Voilà pourquoi,Monsieur Swinte voyager beaucoup laissant derrière lui les deux enfants qu'ils avaient adopter. Ce qui fait que le frère et la sœur se débrouiller seul sans sans plaindre. A vrai dire,ils adoraient être autonome.
A la sonnerie,Alex se glissa près de sa sœur pour lui murmurer à l'oreille:
-Pas mal,tu aurais pus l'envoyer balader,je sais quel effort sa ta demander.
Ils se dévisagèrent un instant puis éclatèrent de rire.
-Tu rigoles,je me serais fais virée,se justifia Laura.
-Alex!
Le jeune homme se retourna,sa bande d'amis l'attendaient dehors.
Contrairement a sa sœur,lui adorait être entouré et avoir des amis.
-Désolé,s'excusa t' il ,j'y vais!
Laura le rassura d'un sourire et le regarda s'éloigné.
Il avait hériter des même yeux vert , de sa mère car son père avait les yeux bleu. Lui était brun et bien battit et elle blonde et fine. Tous deux avait très vite appris a se défendre dans les quartier mal famés,combien de fois Laura c'est elle fait coincée dans une ruelle et combien de fois c'est t'elle battus pour défendre sa peau. Elle rêvait d'aventure et de nouveauté et tout se qu'elle avait c'était un bahut avec des filles qui parlées de garçons et de beautée. Rien que sentir et de voir tout leurs bijoux,parfum,maquillages,...lui donné la nausée. Son frère lui lançait souvent des boutades à se sujet. Le collège dans lequel ils étaient plutôt moche. Avec la peinture marron fissurait de partout laissant apparaître le béton, le collège n'inspirait pas la joie de vivre. Le...
-Ravie de faire ta connaissance!
La voix féminine la fit se retourner brusquement. Une jeune fille se trouvait la, les bras croisés et léger sourire flottait sur ces lèvres colorer de rouge qui luisaient au soleil. Laura sentit la nausée lui montait a la gorge.
« Comment fait tu pour porter se truc visqueux sur les lèvres »faillit lui dire Laura,mais elle était trop dégouter pour le lui dire elle savait que si elle en parlait elle rejetterait immédiatement son petit déjeuner.
-Je suis Lucie,continua t' elle,et nous sommes dans la même classe.
Elle nota son étonnement,mais ne s'en formalisa pas.
-Ce n'est pas grave si tu ne m'as pas remarqué,tu veux venir avec nous?
-Nous?répéta Laura.
-Oui, nous, regarde!
Elle montrait du plat de la main un petit groupe de filles. A vrai dire,il y en avait deux.
-Allez viens!insista Lucie.
-Je ne...commença Laura.
Déjà elle était entrainée par le bras en direction des deux filles .Elle soupira mais le lui abandonna.

Alors, comme vous êtes désolée pour les fautes d'orthographe, je pense que vous aurez à cœur d'étudier celles que je vais vous signaler dans votre texte, afin de vous améliorer pour la suite.

Je commence par quelques indications typographiques :
- les signes de ponctuation (virgules, point, points-virgules etc.) sont suivis d'un espace dans le texte,
- les dialogues sont introduits non par un tiret ("-") mais par un cadratin "—" (ou demi-cadratin, je ne suis pas sûre de la dénomination exacte).

Je donne ci-dessous le texte corrigé avec des indications qui devraient vous permettre d'éviter en partie ces erreurs à l'avenir. Parce qu'il y en a énormément, à tel point que votre texte en est difficilement lisible, dans les deux sens du terme : c'est complexe à comprendre et voir le français aussi malmené fait mal.

Bienvenue sur VE !

— Aujourd'hui, nous allons travailler (dites-vous : "nous allons vendre" ; le verbe est donc à l'infinitif) les molécules. Et je voudrais que...
Un soupir sonore coupa la fin de la tirade de Mr. Coupet le professeur de biologie de la classe de 3ème. Le soupir fut émis suffisamment fort pour que toute l'attention se focalise sur son auteur.

Son auteur... une jeune fille d'environ (sans "s" à la fin) 14 ans. Habillée (c'est la jeune fille qui est habillée) d'un haut de cuir noir -laissant apparaître son ventre au plein jour aux manches longues (formulation peu claire), elle portait,un pantalon (Il vaut mieux recommencer une phrase ici : ". Elle portait un pantalon") de la même matière et de la même couleur, (ajouter de préférence une précision ici, par exemple : "le tout accompagné") accompagnés de bottes. Des griffures de cuir sombre couraient le long de son flanc. Une chevelure blonde encadrait (pareil, dites-vous : "Une chevelure blonde vendait", il s'agit d'un imparfait) un visage parfait aux (ici, ajouter "yeux", je suppose) d'un vert qui attirait irrévocablement l'attention.
— Un problème ? s'enquit Mr. Coupet. Sachez que s'il y en a un, il sera extrêmement mal vu (sans "s" à la fin, c'est le problème qui sera mal vu) de la part de ce collège.
Il réfléchit un instant avant de reprendre:
— Vous êtes nouvelle n'est-ce pas ? Offrez-nous votre identité je vous prie.
Malgré l'envie de l'envoyer balader la jeune fille lui répondit:
— Laura Mil'Ouzi !
Elle continua à contre-cœur:
— Et non, il n'y a pas de problème.
Le professeur hocha la tête et reprit son cours comme si rien ne s'était passé. L'heure parut interminable aux yeux de Laura.
Elle habitait un quartier de banlieue en Bretagne à Brest assez mal famé (sans "s" à la fin) avec son son frère Alex. Sa mère et son père avaient disparu (sans "s" à la fin, le participe passé ne s'accorde pas quand il est utilisé avec avoir, sauf s'il y a un complément d'objet direct placé devant) quelques années plus tôt et personne ne les avait jamais retrouvés (ici le participe passé s'accorde parce que le complément d'objet direct est placé avant).
La famille dans laquelle ils avaient été placés (même remarque que précédemment) partait (au singulier, c'est la famille qui partait) en voyage tous les quatre matins. Madame et Monsieur Swinte n'avaient (au pluriel, c'est M. et Mme. qui n'avaient pas) pas d'enfants, et pour payer les factures quand ils étaient en voyage le couple envoyait (dites-vous "le couple vendait", le verbe est donc à l'imparfait) tous les mois de l'argent aux voisins. Il avaient râlé (dites-vous "ils avaient vendu", il s'agit donc d'un participe passé) au début mais avaient cessé quand Monsieur Swinte avait sorti (le participe passé de "sortir", c'est "sorti") de sa poche une liasse de billets (il y a plusieurs billets dans une liasse) bien garnie. En effet, alors que l'année dernière monsieur Swinte était un homme seul et à la rue, il avait trouvé (sans "s" à la fin, ici le participe passé ne s'accorde pas parce que le complément d'objet direct est placé après ; M. Swinte a trouvé quoi ? un homme) dans une poubelle un homme. Un homme qui soi-disant se cachait ("un homme qui vendait", le verbe est à l'imparfait) pour échapper à la police, pour cause un cambriolage de banque. Il avait donné (le participe passé ne s'accorde pas, il avait donné quoi ? le sac) le sac de billet (il y a plusieurs billets dans le sac, du moins je l'espère pour M. Swinte) à Monsieur Swinte qui avait promis de le lui rendre quand le situation se calmerait. Il lui avait donné son adresse et le cambrioleur n'a jamais revu la couleur de l'argent. Voilà pourquoi Monsieur Swinte voyageait (pour la concordance des temps, il faut mettre le verbe à l'imparfait) beaucoup laissant derrière lui les deux enfants qu'ils avaient adoptés (ici le complément d'objet direct est placé avant le verbe, ils avaient adopté quoi ? les enfants, donc le participe passé s'accorde). Ce qui fait que le frère et la sœur se débrouillaient (les enfants vendaient, le verbe est à l'imparfait) seuls (ils sont deux à être seuls, je sais c'est bizarre) sans s'en plaindre. A vrai dire, ils adoraient être autonomes (ce sont "ils" qui sont autonomes).
A la sonnerie, Alex se glissa près de sa sœur pour lui murmurer à l'oreille:
— Pas mal, tu aurais pu (sans "s" à la fin) l'envoyer balader, je sais quel effort ça t'a demandé.
Ils se dévisagèrent un instant puis éclatèrent de rire.
— Tu rigoles, je me serais fait virer, se justifia Laura.
— Alex !
Le jeune homme se retourna, sa bande d'amis l'attendait (au singulier, c'est la bande qui attend) dehors.
Contrairement à sa sœur, lui adorait être entouré et avoir des amis.
— Désolé, s'excusa-t-il, j'y vais !
Laura le rassura d'un sourire et le regarda s'éloigner (le regarda vendre, le verbe est à l'infinitif).
Il avait hérité (le verbe est au passé composé, il faut mettre la forme du participe passé) des même yeux verts (ce sont les yeux qui sont verts), de sa mère car son père avait les yeux bleus (ce sont les yeux qui sont bleus). Lui était brun et bien bâti et elle blonde et fine. Tous deux avaient (ils sont deux qui avaient) très vite appris à se défendre dans les quartiers (il y a plusieurs quartiers) mal famés, combien de fois Laura s'était-elle fait coincer dans une ruelle et combien de fois s'était-elle battue pour défendre sa peau. Elle rêvait d'aventure et de nouveauté et tout ce qu'elle avait c'était un bahut avec des filles qui parlaient (des filles qui vendaient, le verbe est à l'imparfait) de garçons et de beauté (sans "e" à la fin). Rien que de sentir et de voir tous leurs bijoux, parfums, maquillages,... lui donnait la nausée. Son frère lui lançait souvent des boutades à ce sujet. Le collège dans lequel ils se trouvaient était plutôt moche. Avec la peinture marron fissurée (avec la peinture lamentable, "fissurée" tient ici lieu d'adjectif, c'est un participe passé employé comme adjectif) de partout laissant apparaître le béton, le collège n'inspirait pas la joie de vivre. Le...
— Ravie de faire ta connaissance !
La voix féminine la fit se retourner brusquement. Une jeune fille se trouvait là, les bras croisés, un léger sourire flottait sur ses (ce sont les lèvres de la jeune fille) lèvres colorées (comme plus haut, on a ici un participe passé employé comme adjectif) de rouge qui luisaient au soleil. Laura sentit la nausée lui monter (Laura sentit la nausée lui vendre des moules, le verbe est à l'infinitif) à la gorge.
« Comment fais-tu pour porter ce truc visqueux sur les lèvres » faillit lui dire Laura, mais elle était trop dégoûtée (participe passé employé comme adjectif) pour le lui dire, elle savait que si elle en parlait elle rejetterait immédiatement son petit déjeuner.
— Je suis Lucie, continua-t-elle, et nous sommes dans la même classe.
Elle nota son étonnement, mais ne s'en formalisa pas.
— Ce n'est pas grave si tu ne m'as pas remarqué (ici le participe passé s'accorde car le complément d'objet direct est placé avant, tu n'as pas remarqué quoi ? moi), tu veux venir avec nous ?
— Nous ? répéta Laura.
— Oui, nous, regarde !
Elle montrait du plat de la main un petit groupe de filles. A vrai dire, il y en avait deux.
— Allez viens ! insista Lucie.
— Je ne... commença Laura.
Déjà elle était entraînée par le bras en direction des deux filles. Elle soupira mais le lui abandonna.

Merci,désolée pour les fautes.J'ai donnée mon texte à ma prof de français,et elle m'aide à corriger.

Astal a écrit:Merci,désolée pour les fautes.J'ai donnée mon texte à ma prof de français,et elle m'aide à corriger.

ça c'est dur pour socque ! ;-) lui dire ça alors qu'elle vient de passer 20 mn à jouer à la prof de français :-))

Peut-être auriez-vous dû attendre la correction de votre prof. pour poster, ainsi vous auriez eu davantage de chances d'obtenir des commentaires sur le texte lui-même. Moi je n'en ferai aucun, je vous répète que pour moi c'est très difficile à lire en l'état.

un bon début d'aventure pour ces 2 jeunes gens livrés à eux-mêmes
tu as réussi à les rendre à peu près sympathiques, et ça c'est bien
on sent aussi que ça te plait d'écrire, mais effectivement tu as un long chemin pour pouvoir rendre orthographe et grammaire potables
courage, il n'y a que le travail qui paie dans ce domaine
ben... j'attends la suite, tranquillement ;-)

Ce n'est pas grave,et de toute façon,il est trop tard!
Mais je vous remerçit quand même,je suis consciente que j'assassine la conjugaison à chaque ligne et que je déprime tous les fans d'orthographe.

Astal a écrit:Ce n'est pas grave,et de toute façon,il est trop tard!
Mais je vous remerçit quand même,je suis consciente que j'assassine la conjugaison à chaque ligne et que je déprime tous les fans d'orthographe.

ça me déprime pas, moi, ça m'accable ;-)

Pour ce qui est de la correction de ma prof,elle m'a dit qu'elle allait lire mon histoire et me dire à peu près ce qui allé ou pas.Elle n'aurait pas fait une correction écrite,mais plutôt oral.

Astal a écrit:Pour ce qui est de la correction de ma prof,elle m'a dit qu'elle allait lire mon histoire et me dire à peu près ce qui allé ou pas.Elle n'aurait pas fait une correction écrite,mais plutôt oral.

c'est chouette d'avoir des rapports comme ça avec sa prof

Il y a que moi dans mon collège(elle me l'a dit)qui fait sa.Et je trouve sa dommage d'être justement la seul.Mais bon...je ne suis pas là pour juger.
Et merci encore ainsi que désolée pour les fautes.

Tu voudrais pas nous le reposter corrigé avant de nous donner la suite ?
Là je saurais rien te dire, je bloque trop sur les hurlements grammaticaux ^^

La suite va être dure,je ne l'ai pas encore faites,mais d'accord pour recopier mon texte corriger...quand j'aurais un peu plus de temps que maintenant.
D'accord?

Ah, moi je suis tout à fait d'accord :-)

Astal a écrit:La suite va être dure,je ne l'ai pas encore faites,mais d'accord pour recopier mon texte corriger...quand j'aurais un peu plus de temps que maintenant.
D'accord?

d'accord aussi !

mais en attendant, relis bien toutes les remarques de socque, il y a plein de renseignements intéressants

Ce qui serait sympa aussi (et un bon exercice), ce serait de vous efforcer de faire moins de fautes dans vos commentaires, pas seulement dans vos textes. Cela ne peut qu'améliorer la qualité de votre français.

En relisant, je me rends compte que j'ai mal corrigé un truc :

"— Ce n'est pas grave si tu ne m'as pas remarquée (ici le participe passé s'accorde car le complément d'objet direct est placé avant, tu n'as pas remarqué quoi ? moi, et comme il s'agit d'une fille, il faut mettre au féminin)"

Merci pour votre aide,et je ferais des efforts,merci socque pour vos commentaires.Votre aide m'a apportée plus que vous ne pouvais l'imaginer.
Merci et à bientôt!
PS:Attention aux fautes!

Astal a écrit:Pour ce qui est de la correction de ma prof,elle m'a dit qu'elle allait lire mon histoire et me dire à peu près ce qui allé ou pas.Elle n'aurait pas fait une correction écrite,mais plutôt oral.

Qu'est-ce qu'elle a dit la prof?