Petit exo rapide si vous avez 5 minutes

Tout est dans le titre. Sauf le temps, peut-être vers les dix minutes en fait.

Je vous donne un texte court, et vous me dites où ça se passe, et qui sont les personnages principaux. Le texte fait une page et deux lignes sur Word.

Chapitre I

J’avais payé une fortune pour y être. Et j’aurais pu payer plus. J’avais économisé des années durant, et ajouté cet argent à l’héritage de mon grand-père ultra riche. Et aujourd’hui, je me rendais compte que pour ce qu’était cette croisière, le prix n’avait que peu d’importance.

Jules m’appela. Pour le repas. C’était l’un de mes moments préférés. Je courus le rejoindre. Mes cheveux volaient au gré du vent. Je respirai un bon coup. Comme à son habitude, mon petit ami me raccompagna dans notre chambre. C’était là que nous mangions, loin de l’agitation.

Après le repas, il était souvent déjà l’heure d’aller se coucher. Mais je voulais profiter du grand champ ondulant sous le vent de l’océan. Il n’y avait pas nuage, notre éclairage était la lumière de la Lune, que la coque reflétait à la surface de l’eau. Un océan de vide. Sans ennui.

J’allais ensuite à la salle que j’avais réservée, m’habillai en pyjamas, et me mit au lit. Jules fit de même, Comment pouvais-je deviner ? Je passai, encore une fois, une bonne nuit, dans le lit le plus douillet qu’il m’ait été donné de tester. Tout était merveilleux.

Chapitre II

Tant de luxe, tant de grandeur ! On m’avait prévenue que si je venais ici, je ne pourrais jamais m’habituer à la vie normale. Mais c’était mon rêve, depuis toujours. Depuis que j’avais entendu parler de ce bâtiment.

La vie, ma vie, ne prenait de sens qu’avec les quelques jours que je passai ici en compagnie de Jules. Je jurai en moi-même que retourné sur terre, je combattrais la pauvreté. C’était bien l’argent que j’avais donné qui m’avait fait exister.

Je regardai par le hublot : la vision était immense. Là-bas, au loin, se trouvait la terre. Elle avait l’air si perdue, au milieu de ce désert ! Je ne me rendais plus compte que c’éait moi qui étais seule. Je m’imaginais au centre du monde.

J’étais seule, seule avec Jules. Mais il ne parlait pas. Une longue conversation avec lui était inimaginable. J’étais donc seule dans mon esprit, devant un paysage magnifique. Que j’admirais. Ne dit-on pas « la planète bleue » ? C’est on ne peut plus vrai.

Chapitre III

Aujourd’hui je suis descendue. A l’extérieur. En combinaison, bien sûr, pour ne pas prendre froid, mais c’était interdit. On me récupéra en vitesse. Je risquais de me faire broyer. J’étais un trop gros client pour qu’on me laissât aller au gé des courants, au gré du vent.

La nourriture dans un vaisseau est toujours infecte. Sur ce point mon Jules est d’accord avec moi, je le lis sur son visage. Mais j’avais la tête ailleurs : je repensais au moment ultime, où la gravité avait presque disparu, ce matin, quand j’étais descendue.

Quand je m’étais retournée, j’avais pu lire, en lettres capitales, sur le navire, ce nom qui marquerais ma vie d’un trait noir, « Le Titanic ».

Il est de toi ce texte Framhal?

Pourquoi tu ne veux que notre réponse sur la devinette des personnages principaux et du lieu? pas de commentaires?
Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris.

Tiens ton plan a l'air d'avoir loupé pour ton exo de français toi !!!! à priori personne n'a voulu t'aider, dommage c'était bien tenté !!!

L'avais pas vu celui-là ! (j'étais en vacances, hein... ;-))
Ben j'ai pas trop capté. Peux difficillement réagir.
Pour moi, je vois bien "l'héroïne" richissime qui se serait payée un voyage spatial hors de prix, comme ça se fait maintenant, point.
Je vois mal qui ou ce que pourrait être son Jules, si silencieux.
Et pour le "Titanic", je ne fais pas le rapprochement non plus.
Bref : JE SECHE !
:-(