Exo du jeudi 21 septembre

faudrait une récap contraintes

ah ben oui Mentor :-) disons culotte

Bluewitch a écrit:C'est agrafe, non?

C'est où on veut !

Sahkti a écrit:hum... pensais que ça passerait au bleu :-(((

Filoute ! ;-)
(tout est bleu chez toi ?)

Yali a écrit:Tout le monde à donné (me la joue arrêt curé)

Pierre aime arrêt curé

(suis naze j'ai prévenu !)

Krystelle a écrit:

Yali a écrit:Tout le monde à donné (me la joue arrêt curé)

Pierre aime arrêt curé

(suis naze j'ai prévenu !)

non. ça me fait marrer moi

Joli Christelle :-)


Hum soyons serieux

Titre et theme : Machine à laver
Mots :
Brouette
Tambour
Delicatesse
Plombier
Massage
Etagère
Agraphe
Œuf
Culotte

Rendu des copies à 22h40

Krystelle a écrit:Pierre aime arrêt curé

(suis naze j'ai prévenu !)

c'est une blague atomique ?

mentor a écrit:

Krystelle a écrit:Pierre aime arrêt curé

(suis naze j'ai prévenu !)

c'est une blague atomique ?

Nobel années…

ok, ça marche !

mentor a écrit:

Krystelle a écrit:Pierre aime arrêt curé

(suis naze j'ai prévenu !)

c'est une blague atomique ?

Merci Mentor !
Je l'avais pas comprise !
C'est moi qui suis naze pour de vrai...
Elle est géniale !

Te souviens-tu de notre première nuit d'amour
Lorsque, ivres et heureux, cachés sous une brouette,
Nos soupirs résonnaient comme roulements de tambour.
Tes mains voltigeaient en mille et unes pirouettes
Se battant avec agrafes, honorant mon dos,
Et tes lèvres se perdaient en délicatesses.
Puis le temps a passé, culotte au repos,
Nos massages ont perdu leur jolie hardiesse.
La machine à essorer les sentiments,
Celle qui jamais n'a besoin de plombier,
A transformé nos coeurs en oeuf de cent ans.
Alors sur l'étagère nous avons déposé
Nos baisers, nos sourires, la lessive du bonheur,
Nous sommes passés en mode économique
Remplissant nos poches de télé couleur,
Oubliant un amour devenu achromatique.

Pfffff. Le réveil et déjà les contraintes qui commencent. Tiens comme c'est curieux, un petit mot agraphé sur le journal. La liste des douzes travaux d'Yvette. Me prennent vraiment pour une bonne à tout faire, les deux fruits de ma chair. Et c'est qu'elle a bon dos la bonne mere.
Pour laver leur linge, heureusement qu'elle encore de cette terre la ménagère de plus de 50 ans….Cinthia qui passé son temps dans son appartement universitaire, ne revenant que pour me refourguer ses petites culottes, témoins de ses ébats hebdomadaires. Quant à mon fils Franck, il est parti loger dans une maison avec des potes. Le jour où il s'assumera celui-là….
Ces enfants indignes ne pensent même pas que je suis en délicatesse avec mes chevilles. Et en plus, ils m'en ont laissé des brouettes les mioches. J'allume la radio, histoire de me détendre et v'la t'y pas que Souchon attaque sa scie : l'amour à la machine. C'est sûrement là que mes moutards ont caché l'amour qu'ils me portent. Après Souchon, Miossec m'annonce que "la mélancolie c'est communiste, tout le monde y a droit de temp en temps" . Bon, j'éteins, vont me mettre le cafard les chanteurs français.
Je branche alors la machine à rêver. Je préfère rejoindre Victor, celui-là au moins fidèle au poste! Je peux compter sur lui.
Quand je pense qu'après cette lessive, je devrai tout ranger dans les etageres. Ils ne me remercieront pas. Pensez-vous, c'est normal. C'est inscrit sur mon front, ma mission sur cette terre.
Je prie parfois pour que le tambour de ma machine à gaver – c'est le nom que je lui ai donné - appréciez le double sens - rende l'âme. Et qu'une fois au moins, la vie se montre généreuse et fasse entrer un ténébreux plombier. Il aurait les traits de Victor. Evidemment, je vous l'ai dit, on peut toujours compter sur lui! Mais bon, le plombier du coin, c'est pas Hollywwood. C'est Marcel le bien nommé qui se promène tout suant, avec son eternel singlet. La clope au bec toujours, l'haleine avinée en bonus et une façon bien à lui de ne pas prendre de pincettes avec la politesse. Il ne marche pas sur des oeufs, lui. C'est pas Marcel qui me prodiguera les massages experts dont j'ai le plus grand besoin.
Pffff, allez Yvette, encore un petit effort! Dernière manne.

- Dis m'man, elle est où ma chemise pour sortir. Me dit pas que tu ne l'as pas encore lavée. Fait chier à la fin, on ne peut jamais compter sur toi. J'y vais comment, moi, au bal.
- Tu t'habilles comme tu veux, rien à foutre! Tu prends ta machine à rouler des mécaniques et tu fous le camps d'ici…
.

Nathalie est devant la télé.
Poivre d’Arvor ramène une mèche fantôme en arrière. Le mur d’images derrière lui est animé d’une vie propre. Le cadreur fait un plan serré sur l’un des écrans : une scène d’horreur, habituelle à 20h10. À Baghdad, à Kaboul, peu importe. Toujours est-il que ça pète. Que des trucs indéterminés jonchent le sol défoncé. Que le correspondant local a un gilet pare-balles. Bref, que du banal.
Nathalie soupire. Zappe sur « Voyages ».
Cocotiers penchés sur sable blanc, voilier de luxe en partance pour la Désirade, un autre monde.
Elle pose la zapette, se lève. Direction la buanderie. Trivial.
Le programme télé de la Une, okay, c’est bien joli, mais le programme 5 de son Arthur Martin, c’est autrement grave !
D’habitude : cinq marches à descendre. Ce soir ? quatre et demi seulement ! La dernière est presque sous l’eau… Hurlement de désespoir, remontée des marches sans canne, cri :
- Guyyyyyyyyyyyyy !! Descends vite ! Tout a débordé !
L’intéressé (si peu) abandonne l’exercice littéraire en cours sur Internet en bougonnant. Rejoint sa lingère préférée :
- C’est pourquoi ?
- Le sous-sol est noyé ! La machine a dû s’ouvrir !
- Classiiiiique ! Bouge pas Nath, ne touche à rien. D’abord couper le fusible.
Il est fort ce Guy, non ? Moi je trouve… Recherche de la lampe de poche, coupure au tableau électrique, bottes caoutchouc, descente des marches avec canne. Spectacle de désolation.
- Heureusement que j’ai mis le congélo sur 4 agglos ! marmonne l’électricien-égoutier-plombier amateur.
- Qu’est-ce que tu dis ?
- Rien. Juste que je vois flotter une petite culotte. Ouh ! Va falloir en évacuer des brouettes de saletés après ça ! J’ai bien fait de pas monter les étagères du bas trop bas. Celles du haut sont trop haut du coup. Mais on s’en fout !
- Qu’est-ce que tu dis ?
- Euh, qu’il faudra refaire ta lessive chérie !
Il cueille la culotte avec délicatesse, en la tenant par une agrafe. En profite pour récupérer un œuf qui passait par là, au fil de la boue.
Quelques mètres de plus et le responsable du délit est là. Bien planté sur ses agglos, il trône au-dessus de son œuvre d’un soir. Alors que des roulements de tambour annoncent un nouveau conflit ici et qu’un séisme de magnitude 8 a secoué le Tanganistan là bas, monsieur Arthur Martin se permet de tomber malade, d’avoir des nausées au point de régurgiter tout ce qui aurait dû servir à soulager Nathalie de travaux pénibles. Salaud ! Et un soir à une heure où tout dépanneur aussi serviable soit-il ne daignera pas se déplacer. Sympa !
- Avec tout ça, quand ça va être dégagé et sec, je sens qu’il va me falloir encore 10 séances de massages pour atténuer mon épicondylite ! Zut de zut !
- Qu’est-ce que tu dis ?
- Je t’aime ! Remets le fusible, Nath ! J’ai débranché ! Voilà, j’ai débouché aussi l’ouverture du puits perdu. Encore obstrué, comme par hasard, et cette fois c’est par des noyaux de cerises ! Va comprendre !
- Qu’est-ce que tu dis ?
- J’ai envie d’un clafoutis !
.

.
Les mots on devrait pouvoir les passer à la machine à laver. A trente, à quarante, à soixante ou même les faire bouillir.
Piocher dans l’étagère, balancer un sac de mots sales dans le tambour, faire tourner, laver, sécher, essorer. Etendre avec délicatesse des noms propres, des participes passés, des adjectifs délavés, des mots-lessives ou mal-rincés.
Sur le fil :
Une brouette pimpante, qui traînerait plus sa casserole japonaise.
Une agraphe qu’aurait perdu son « f » au rinçage.
Un œuf poché
Un massage-chaussette
Un plombier poil au nez
Tout ce que vous voudrez.

Pardon mais là, j'étais super fatiguée !

Ai eu Zou au téléphone, sa réunion s'est éternisée et elle en est sortie super crevée...

Un plombier qui répare
Un tambour en costard
Une nympho qui attrape
Le nigaud par la grappe.

Délicatesse, massage,
Elle lui passe le message.
Une main sur l’étagère,
Elle entame l’adultère.

Les agrafes détachées,
La culotte arrachée,
Kamasutra dix sept,
Position de la brouette.

Bon sang, pour c’scénario,
Faut au moins Pacino,
Pour vendre au plus de dix neuf,
C’dvd pour tête d’œuf !

PS : excusez mon mari, il est fatigué. Il a un gros rhume et un peu de fièvre. En plus, il a du faire l'exercice en mangeant !
signé : Mme Charles

:-))))))))))))))

Vais me coucher. Vous lirai demain.
Bonne nuit à tous

La machine avaler

J’habite un chouette appartement que je partage avec Sybille. On colocotte*.Elle est charmante Sybille quoiqu’un peu dyslexique. Surtout quand elle est en colère et là, pour le coup, elle l’est.
— Y’a pas faut qu’on appelle le blond pied, la machine avaler bédocle !
— Ah
— C’est le tambour, il est tout rouillé.
— Ah
— Je déconne pas. Mes petites culottes ne sont plus blanches mais beiges !
— T’exagère pas un peu ?
Et, ni une ni deux, vlà qu’elle se retourne, se penche, soulève sa jupe et me montre son cul. Culotté son cul, mais quand même. Mignon aussi, très.
— Ben, t’appelles ça blanc, toi ?
— Argh ! je fais. Mouais… blanc cassé je dirais, limite coquile d’œuf, mais beige non, je suis formol !
— Formel, elle dit
— Oui c’est ce que j’ai dit
— Non, t’as dit formol. Un lapsus, de toute envidence, ajoute-telle insidieusement.
— Eh toi, Lady lexique, ça va hein !
— Oh Môssieur a toujours le mot, lui ! En attendant qu’est-ce qu’on fait pour la machine avaler ?
— Tu la gobes et tu l’avales. Laisse-moi travailler.
— Ah c’est fin, plein de délicatesse.
Elle boude, pose son joli petit cul par terre. « T’es vraiment trop toi ! T’es qu’un cale son !»
— Eh !
— …
— Eh ! Sybille !
— …
— Tu me remontres ta petite culotte ! Je crois que j’ai pas bien vu tout à l’heure…
— T’es lourd, Jo, t’agrafe ton cas, t’en fait des brouettes…
Mais.
Mais … les filles son servatiles et la dyslexie contagieuse.
Elle se lève. Elle fait :
— D’accord, mais dans la chambre alors !
— Où tu veux Crinpesse !
Je cours je vole elle est déjà sur le lit, je n’ai plus toute ma tête je ne sais plus qui je suis ni dans quel état j’erre.

Sahkti : Sahkti poétise ! J’aime bien, surtout quand l y a cet humour limite salace que tu manies bien ! Bravo pour avoir choisi cette difficulté ! Tu avais décidé à l’avance de faire dans la poésie ou ça t’est venu en voyant les mots imposés ??

Nothingman : pas mal du tout ce monologue de la ménagère de 50 ans qui se tape les corvées pour des enfants peu reconnaissants, et qui attend son prochain prince charmant avec désabusement. Plein d’humour aussi. Oui, j’ai apprécié « la machine à gaver » !! ;-)

Krystelle : pardonnée, c’est trop mignon, même si c’est en queue de poisson sur la fin !

Charles : la famille Charles est ma foi très douée pour la poésie olé-olé !! :-))) Ca doit être la fièvre ! Des hallucinations, ça aide, la preuve ! Savoureux, Charles !

Kilis : une « brouette » de jeux de mots tout en « délicatesse », j’adore ! Entre toi et Lyra, vous êtes assez douées je dois dire pour cet exercice. Et ça me plaît toujours.


Vais me coucher aussi, je faiblis.
Commentaires des prochains : demain.

Bonne nuit et merci Yali !

Y'a du pas beau dans les tuyaux
Vivre, c'est bricoler dans l'incurable (Cioran)



- C'est qui ?

C'est le plombier. Oui, j'suis plombier, c'est dire si j'en vois, des choses pas nettes.

Y a du pas beau dans les tuyaux.
Du marron dans les canalisations.

Elle m'ouvre, et je sais que l'instant d'avant, elle s'ennuyait dans son lit, allongée comme un oeuf sur sa machine à larver, téléphonant à une amie en se comptant les doigts de pieds. Manquait le gros orteil, caché sous le drap défraichi.

- C'est par là !
- Je sais, je lui réponds, je sais, je vois la mare.
- La machine...
- Je sais.
- Je vous laisse ?
- Comme vous voulez.

Finalement elle reste, dans l'entrebaillement de la porte, une main posée sur son épaule comme pour se faire un massage, ou comme pour imaginer qu'un autre la console. C'est qu'une machine madame. Au pire un tambour percé. C'est comme ça la nature, tout se déglingue à force.

Je fais de la place pour poser ma boîte à outil, je ramasse une de ses petites culottes qui trempe dans le jus, la pose sur l'étagère, question de délicatesse.

Y a du pas beau dans les tuyaux.
Du marron dans les canalisations.

- Vous voulez une serpillère ?
- Pas tout de suite faut que j'arrête la fuite.
- Je vais la chercher pour tout à l'heure.

Je me retrouve un instant seule avec "elle". Allez titine, je vais te colmater ça. T'inquiète pas. Un coup de clé, un joint, et on en parle plus. Non, t'inquiète pas, ça fera pas mal. Les gens me prendraient pour un fou. Pourtant, les machines ont une âme, même une sensualité. Pour la génération citadine, la brouette japonaise est passée de mode, connotation trop rurale, alors ils fantasment de le faire sur leur machine à laver, du plaisir à cinq cents tours minute, séchage compris.

Elle revient, serpillière à la main et son gros orteil qui trempe dans la mouise, et je ne lui fais pas remarquer, parce que j'ai l'impression qu'elle va pleurer.

Y a du pas beau dans les tuyaux.
Du marron dans les canalisations.

- C'est réparé. Y faut encore laver tout ça, c'est un peu de travail, mais c'est bon, c'est réparé. Bon ben... Je vais y aller.
- Vous ... Vous voulez rester ? Un peu ?
- Ben...
- Mais pas pour ça ! Enfin je voulais dire... Non, c'est pas ce que vous croyez, c'est pas pour ça ! Juste ... Enfin j'aimerais bien parler à quelqu'un. Si ça vous ennuie pas.
- Ben ... C'est pas pour dire, madame, vous êtes vraiment mignonne ! Mais je sais pas bricoler les âmes. Je peux juste m'occuper de l'agrafe de votre soutien-gorge si vous voulez.

La minute d'après, je me retrouve sur le pallier, la joue en feu. Une heure après, elle m'a rappelé et nous faisons l'amour. C'est pas logique, c'est comme ça : dans la vie, on sait jamais trop se qui passe dans les tuyaux.

j'étais pas bien brillant
le rhume m'a rattrapé
maintenant je suis lessivé
je vais allé me coucher
et me laver les dents

ce virus est soudain
je vous commenterai demain

et vous souhaite les amis
à tous une bonne nuit!

Il y en a qui sont au botté des penaltys.... hop hop hop!

100% coton

— Celle-ci ?
— Plutôt celle-là.
— Ou l’autre ?
Une machine à laver, j’en ai jamais acheté, « on en a jamais acheté » devrais-je dire, alors forcément on regarde ça un peu comme si on se prenait au sérieux tous les deux. Sauf que, bien sûr, on a pas les moyens de s’en payer une vraie de vraie, pas les moyens d’entrer dans un grand magasin genre super-luxe, genre showroom de la machine à laver, de héler un plombier surdiplômé et serviable à souhait, nu sous salopette et muscles saillants sous bretelles de ladite salopette. Et étranger, ça va de soi.
Le plombier Polonais
— Arthur Martin, c’est pas du lavage, c’est du massage M’sieur Dame. Ça vous brasse le linge tout en délicatesse, tout en finesse, tenez c’est bien simple vous pourriez y laver des œufs.
Elle
— C’est combien ?
Moi
— Qu’importe, on la prend ! Vous l’avez en rouge Ferrari ?
Le plombier Polonais
— En rouge quoi ?
Moi
— Comme les voitures Italiennes…
Le plombier Polonais
— C’est la seule que j’ai, puis il est pas si mal le blanc Skoda
Elle
— En même temps, on est chez Emaüs mon amour…
Le polonais
— À peine 80 € et des brouettes, et garantie 15 jours !
Moi
— 15 jours c’est tout . Vous l’auriez pas en jaune ?
Le polak
— Faut bien laisser le numéro dessus hein, sinon on sait plus. Pour la garantie j’veux dire
Elle
— Le numéro collé là ?
Moi
— Et en vert, vous auriez pas la même en vert, c’est pour aller avec les étagères.
Elle
— Laquelle d’étiquette, y’en a plein ?
Moi
— En même temps, on est chez Emaüs mon amour…
L’abbé Pierre avec l’accent polak
— Ça nous aide vous savez…
Elle
— On la prend !
L’abbé Pierre avec l’accent polak, mal rasé et ventre débordant d’un tee-shirt estampillé « Ne perdez pas votre vie à la gagner »
— Vous la charge dans la voiture ?
Moi
— Et en orange ?
Elle, toute sourire.
— T’es bête ! Volontiers Monsieur.
L’abbé Pierre avec l’accent polak, mal rasé, toujours ventre débordant d’un tee-shirt estampillé « Ne perdez pas votre vie à la gagner » tout sourire aussi, s’adressant à elle puis à moi
— C’est avec plaisir. Sinon j’ai des vestes en cuir. 4€50 pièce.
Moi
— Vous en avez des rouges Ferrari ?

Plus tard, machine à laver blanc Skoda chargée au cul d’une bagnole qu’est loin de ressembler à une Ferrari. Plus tard, blouson d’aviateur pur cuir, noire comme la nuit à 4€50 dans les bras, les yeux agrafés sur son joli petit cul, je me suis demandé quelle petite culotte elle portait, une avec dentelles, une sans ? Je me suis demandé quelle culotte inaugurerait l’acquisition tambour battant.
Plus tard, la petite culotte a volé, quelque part loin de la machine à laver, loin des showroom mais, pas très loin des 90 degrés.

Chouette exo!

Bonne nuit tout le monde !

Sympa cet exo :-)
Merci à tous, merci à Zou qui a proposé le jeu et à Yali qui l'a remplacé !

Bonne nuit toutes et tous

Sorry, j'ai dû vous planter là hier soir, j'ai expédié le truc

mentor a écrit:Sahkti : Sahkti poétise ! J’aime bien, surtout quand l y a cet humour limite salace que tu manies bien ! Bravo pour avoir choisi cette difficulté ! Tu avais décidé à l’avance de faire dans la poésie ou ça t’est venu en voyant les mots imposés ??

Je n'avais pas du tout pensé à ça, mais un imprévu costaud a fait que je disposais de moins de dix minutes, alors quand c'est comme ça, la poésie est venue toute seule

Suite de mes commentaires rapides :

Loupbleu : du tout bon dans le tendre. Tendre plombier et gentille cliente. N’empêche qu’il a trompé la machine avec une vraie fille ! ;-) J’aime beaucoup !

Charles 2 : encore quelques vers avant d’aller dormir, tu n’as pas oublié d’avaler un Eféralgan avec ton dernier vers ?! ;-)

Yali : comme tu aimes à dire : « c’est la vie ! ». Oui, une jolie tranche de vie, comme en vrai, chez Emmaüs et tout et tout. Dialogues bien enlevés, tout est très réaliste. J’aime beaucoup.

Ouf, tout lu !
Ca fait plaisir d'avoir été un peu + nombreux que d'habitude tout en déplorant vivement l'absence de Zou, force majeure, et de quelques autres qui nous MANQUENT !

Sahkti a écrit:

mentor a écrit:Sahkti : Sahkti poétise ! J’aime bien, surtout quand l y a cet humour limite salace que tu manies bien ! Bravo pour avoir choisi cette difficulté ! Tu avais décidé à l’avance de faire dans la poésie ou ça t’est venu en voyant les mots imposés ??

Je n'avais pas du tout pensé à ça, mais un imprévu costaud a fait que je disposais de moins de dix minutes, alors quand c'est comme ça, la poésie est venue toute seule

Ah ben ! Si les "imprévus" ne sont pas trop désagréables, faut t'en trouver d'autres ! :-))

Encore navrée pour hier soir, sortie épuisée de plus de 4 H de réunion à 22 H passés. Je viens de vous lire en vitesse (essorage 1400 tours minutes !). Bien ris avec certains et émues par d'autres. Vous avez encore été très bons ;-)

Sahkti : Sympa la métaphore filée ! Avec humour tu joues des clichés amoureux. Tout cela en rime et en moins d’une demie heure !



Nothingman : Un regard plutôt désabusé sur la ménagère au foyer. Ça aurait sans doute être plus cynique et cinglant mais le texte fait sourire.



Mentor : Un épisode épique raconté avec un humour qui aurait mérité d’être un peu allégé. J’aime bien le coté décalé du dialogue (et de la phrase finale).



Charles : M’enfin !!! Culotté ce petit poème, mais drôle !



Kilis : Une kyrielle de jeux de mots dont quelques uns sont vraiment bien vus. Le tout glissé dans un texte qui respire l’humour et la tendresse.



Yali : Quand tu revisites le quotidien, il revêt une dimension tellement tendre, poétique que ça en devient quasi magique.



Loup : Un très bon début, avec une atmosphère comme tu sais les poser et des personnages vraiment attachants. J’ai un peu moins accroché à la seconde partie, à partir du moment où le plombier reste seul avec la machine à laver, je trouve que le texte s’essouffle, perd de sa subtilité

Et Blue ? Elle est passée où Blue ?

Mince j'ai fait un truc, sais pas trop quoi, juste avant d'envoyer mes commentaires, ça m'a tout déréglé. Du coup, le cadre de mes posts quand je rédige est tout bleu, tout bizarre. Et en haut du cadre j'ai plus les outils comme d'hab, mais les outils de word...
Et mes commentaires sont tout espacés.
Help !

Krystelle a écrit:Mince j'ai fait un truc, sais pas trop quoi, juste avant d'envoyer mes commentaires, ça m'a tout déréglé. Du coup, le cadre de mes posts quand je rédige est tout bleu, tout bizarre. Et en haut du cadre j'ai plus les outils comme d'hab, mais les outils de word...
Et mes commentaires sont tout espacés.
Help !

erreur fatale, general failure, your hard disk is crashing grave, your best solution : reset and re-démarrage !
:-)))

Quoi en même temps c'est pas mal :

• je peux faire une mise en page avec des puces
  

1. et même avec des numéros
   

tu te retrouves avec les droits d'un admin, ma parole ! moi j'ai rien de tout ça !
le crie pas trop haut, Loup n'est pas loin :-))

Test :

• avec des puces, dis-tu ? ;-)