Les jeunes tourments
+2
Rebecca
Sergei
6 participants
Page 1 sur 1
Les jeunes tourments
Jamais ces volutes fantomatiques ne m'ont inspiré tant d'effroi. Ces gerbes opaques et blanches qui s'étalaient allègrement sur cette surface, pareille à un lac noir que les remontées vaseuses diapraient sombrement, semblaient virevolter dans leur mouvance immobile.
Sur ce tableau de jais, ces trainées de craie s'enroulant en tourbillons, Maelströms de l'enfance, trombes silencieuses de la peur, constituaient la représentation artistique et parfaite du monde hostile et scabreux qu'était pour moi l'école primaire. Il y régnait cette insécurité onirique, ce jaillissement du monde qui m'entourait, d'autant plus énorme et turbulent du fait que j'étais loin de ma mère.
Ces trainées pâles que l'eau de l'éponge n'avait su qu'étaler enveloppaient la salle de classe d'une atmosphère inquiétante, prélude à l'entrée de la maîtresse messianique, dernier symbole de la maternité dans ces terres lugubres. Mais pourtant, face à la multitude des enfants, elle devenait la mère de chacun, et en cela mère elle devenait moins... Je remédiais à cela en feintant l'ignorance du point virgule, qui me valait un intérêt tout particulier de sa part pendant quelques fugaces minutes.
Mais bien vite la nuée puérile reprenait ses droits, me piétinait de ses rires, m'écrasait de sa joie sadique. Cette assemblée, si semblable à moi mais qui me paraissait si différente, allait de pair avec le parfum de linoléum humide propre aux écoles primaires. Et ces yeux brillants, nombreux et angéliques, qui pouvait subitement prendre l'aspect de la cruauté aveugle lorsqu'un insecte affolé se débattait sous leur joug, tétanisaient, tiraillaient mon estomac, sollicitaient une douleur tacitement occultée.
Et lorsqu'enfin je quittais les méandres de l'éducation de la peur, j'accueillais sereinement l'odeur du foyer perdu de 8h00 à 16h30. Mais avec la nuit tombante les fantômes karstiques du tableau noir retombaient dans mon petit univers, et l'angoisse du lendemain me hantait déjà.
Sur ce tableau de jais, ces trainées de craie s'enroulant en tourbillons, Maelströms de l'enfance, trombes silencieuses de la peur, constituaient la représentation artistique et parfaite du monde hostile et scabreux qu'était pour moi l'école primaire. Il y régnait cette insécurité onirique, ce jaillissement du monde qui m'entourait, d'autant plus énorme et turbulent du fait que j'étais loin de ma mère.
Ces trainées pâles que l'eau de l'éponge n'avait su qu'étaler enveloppaient la salle de classe d'une atmosphère inquiétante, prélude à l'entrée de la maîtresse messianique, dernier symbole de la maternité dans ces terres lugubres. Mais pourtant, face à la multitude des enfants, elle devenait la mère de chacun, et en cela mère elle devenait moins... Je remédiais à cela en feintant l'ignorance du point virgule, qui me valait un intérêt tout particulier de sa part pendant quelques fugaces minutes.
Mais bien vite la nuée puérile reprenait ses droits, me piétinait de ses rires, m'écrasait de sa joie sadique. Cette assemblée, si semblable à moi mais qui me paraissait si différente, allait de pair avec le parfum de linoléum humide propre aux écoles primaires. Et ces yeux brillants, nombreux et angéliques, qui pouvait subitement prendre l'aspect de la cruauté aveugle lorsqu'un insecte affolé se débattait sous leur joug, tétanisaient, tiraillaient mon estomac, sollicitaient une douleur tacitement occultée.
Et lorsqu'enfin je quittais les méandres de l'éducation de la peur, j'accueillais sereinement l'odeur du foyer perdu de 8h00 à 16h30. Mais avec la nuit tombante les fantômes karstiques du tableau noir retombaient dans mon petit univers, et l'angoisse du lendemain me hantait déjà.
Sergei- Nombre de messages : 315
Age : 109
Date d'inscription : 22/09/2008
Re: Les jeunes tourments
Petite faute repérée après coup. Excusez-moi.
qui pouvaient subitement prendre l'aspect
qui pouvaient subitement prendre l'aspect
Sergei- Nombre de messages : 315
Age : 109
Date d'inscription : 22/09/2008
Re: Les jeunes tourments
Vraiment, excusez-moi. Je pense même qu'il doit en rester...
en feintant > en feignant
en feintant > en feignant
Sergei- Nombre de messages : 315
Age : 109
Date d'inscription : 22/09/2008
Re: Les jeunes tourments
Jamais ces volutes fantomatiques ne m'ont inspiré tant d'effroi (quelque chose là d’anachronique , ces volutes ont été vues ailleurs en un lieu où elles n’inspiraient pas d’effroi ?). Ces gerbes opaques et blanches qui s'étalaient allègrement sur cette surface, pareille à un lac noir que les remontées vaseuses diapraient sombrement, semblaient virevolter dans leur mouvance immobile.
Sur ce tableau de jais, ces trainées de craie s'enroulant en tourbillons, Maelströms de l'enfance, trombes silencieuses de la peur, constituaient la représentation artistique et parfaite du monde hostile et scabreux qu'était pour moi l'école primaire. Il y régnait cette insécurité onirique, ce jaillissement du monde ( curieux un jaillissement qui règne) qui m'entourait, d'autant plus énorme et turbulent du fait que j'étais loin de ma mère.
Ces trainées pâles que l'eau de l'éponge n'avait su qu'étaler enveloppaient la salle de classe d'une atmosphère inquiétante, prélude à l'entrée de la maîtresse messianique, dernier symbole de la maternité dans ces terres lugubres. Mais(à supprimer) pourtant, face à la multitude des enfants, elle devenait la mère de chacun, et en cela mère elle devenait moins... Je remédiais à cela en feignant l'ignorance du point virgule, qui me valait un intérêt tout particulier de sa part pendant quelques fugaces minutes.
Mais bien vite la nuée puérile reprenait ses droits, me piétinait de ses rires, m'écrasait de sa joie sadique. Cette assemblée, si semblable à moi mais qui me paraissait si différente, allait de pair ("je l’associais "non ? C’est étonnant une assemblée qui va de pair avec un parfum) avec le parfum de linoléum humide propre aux écoles primaires. Et (à supprimer)ces yeux brillants, nombreux et angéliques, qui pouvaient subitement prendre l'aspect de la cruauté aveugle lorsqu'un insecte affolé se débattait sous leur joug, tétanisaient, tiraillaient mon estomac, sollicitaient une douleur tacitement occultée.
Et (à supprimer)lorsqu'enfin je quittais les méandres de l'éducation de la peur, j'accueillais sereinement l'odeur du foyer perdu de 8h00 à 16h30. Mais (cependant)avec la nuit tombante les fantômes karstiques du tableau noir retombaient dans mon petit univers, et l'angoisse du lendemain me hantait déjà.
Voici quelques corrections que je propose pour un texte qui aurait plus de poids si allégé et éclairci. Selon moi bien sur.
Sur ce tableau de jais, ces trainées de craie s'enroulant en tourbillons, Maelströms de l'enfance, trombes silencieuses de la peur, constituaient la représentation artistique et parfaite du monde hostile et scabreux qu'était pour moi l'école primaire. Il y régnait cette insécurité onirique, ce jaillissement du monde ( curieux un jaillissement qui règne) qui m'entourait, d'autant plus énorme et turbulent du fait que j'étais loin de ma mère.
Ces trainées pâles que l'eau de l'éponge n'avait su qu'étaler enveloppaient la salle de classe d'une atmosphère inquiétante, prélude à l'entrée de la maîtresse messianique, dernier symbole de la maternité dans ces terres lugubres. Mais(à supprimer) pourtant, face à la multitude des enfants, elle devenait la mère de chacun, et en cela mère elle devenait moins... Je remédiais à cela en feignant l'ignorance du point virgule, qui me valait un intérêt tout particulier de sa part pendant quelques fugaces minutes.
Mais bien vite la nuée puérile reprenait ses droits, me piétinait de ses rires, m'écrasait de sa joie sadique. Cette assemblée, si semblable à moi mais qui me paraissait si différente, allait de pair ("je l’associais "non ? C’est étonnant une assemblée qui va de pair avec un parfum) avec le parfum de linoléum humide propre aux écoles primaires. Et (à supprimer)ces yeux brillants, nombreux et angéliques, qui pouvaient subitement prendre l'aspect de la cruauté aveugle lorsqu'un insecte affolé se débattait sous leur joug, tétanisaient, tiraillaient mon estomac, sollicitaient une douleur tacitement occultée.
Et (à supprimer)lorsqu'enfin je quittais les méandres de l'éducation de la peur, j'accueillais sereinement l'odeur du foyer perdu de 8h00 à 16h30. Mais (cependant)avec la nuit tombante les fantômes karstiques du tableau noir retombaient dans mon petit univers, et l'angoisse du lendemain me hantait déjà.
Voici quelques corrections que je propose pour un texte qui aurait plus de poids si allégé et éclairci. Selon moi bien sur.
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Les jeunes tourments
Sur les deux premiers paragraphes, le texte me paraît lourd, je pense notamment à cette phrase : "Ces gerbes opaques et blanches qui s'étalaient allègrement sur cette surface, pareille à un lac noir que les remontées vaseuses diapraient sombrement, semblaient virevolter dans leur mouvance immobile (je relève ça, parce que, pour moi, c'est de l'oxymore facile)."
Ensuite, j'aime cette description sombre et impressionnante du mal-être enfantin, tragique en ce qu'il n'a pas de remède...
Ensuite, j'aime cette description sombre et impressionnante du mal-être enfantin, tragique en ce qu'il n'a pas de remède...
Invité- Invité
Re: Les jeunes tourments
Sergeï, je préfère quand tu es toi que quand tu écris à la manière de.
Un style ampoulé qui ne recueille pas mes faveurs, même si je lui reconnais ici une qualité certaine.
J'ai buté sur ceci, pas parfaitement clair, à la première lecture, par rapport à ce qui précède : Je remédiais à cela en feintant l'ignorance du point virgule, qui me valait un intérêt tout particulier de sa part pendant quelques fugaces minutes.
Un style ampoulé qui ne recueille pas mes faveurs, même si je lui reconnais ici une qualité certaine.
J'ai buté sur ceci, pas parfaitement clair, à la première lecture, par rapport à ce qui précède : Je remédiais à cela en feintant l'ignorance du point virgule, qui me valait un intérêt tout particulier de sa part pendant quelques fugaces minutes.
Invité- Invité
Re: Les jeunes tourments
J'aime beaucoup. Tu dépeins bien cet état d'esprit. C'est triste et touchant.
Re: Les jeunes tourments
Bien vu ! Que de mauvais souvenirs liés à l'enfance, aux dimanches annonçant les débuts de semaine scolaire, aux matins embrumés le nez dans le bol de chocolat ( " Ça passe pas ! Ça passe pas ! ), aux maux de ventre à répétition, aux...Et lorsqu'enfin je quittais les méandres de l'éducation de la peur, j'accueillais sereinement l'odeur du foyer perdu de 8h00 à 16h30. Mais avec la nuit tombante les fantômes karstiques du tableau noir retombaient dans mon petit univers, et l'angoisse du lendemain me hantait déjà.
Quelle horreur, quand on y pense ! Tu traites ce sujet de manière originale. J'ai le cafard. -_-
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Les jeunes tourments
Bien vu ! Que de mauvais souvenirs liés à l'enfance, aux dimanches annonçant les débuts de semaine scolaire, aux matins embrumés le nez dans le bol de chocolat ( " Ça passe pas ! Ça passe pas ! ), aux maux de ventre à répétition, aux...Et lorsqu'enfin je quittais les méandres de l'éducation de la peur, j'accueillais sereinement l'odeur du foyer perdu de 8h00 à 16h30. Mais avec la nuit tombante les fantômes karstiques du tableau noir retombaient dans mon petit univers, et l'angoisse du lendemain me hantait déjà.
Quelle horreur, quand on y pense ! Tu traites ce sujet de manière originale. J'ai le cafard. -_-
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Les jeunes tourments
Désolée pour le double post, c'était pas voulu. Lap top est fâché ! Modération, s'il vous plaît...
Lucy- Nombre de messages : 3411
Age : 47
Date d'inscription : 31/03/2008
Re: Les jeunes tourments
"l'entrée de la maîtresse messianique, dernier symbole de la maternité dans ces terres lugubres. Mais pourtant, face à la multitude des enfants, elle devenait la mère de chacun, et en cela mère elle devenait moins"
C'est là que se fourvoie le narrateur...la maîtresse d'école n'est pas et n'a pas à être un symbole de la maternité...c'est même une fonction dite paternelle qu'elle est censée assumer et incarner...elle est celle qui permet à l'enfant de quitter "l'utérus" "les jupes maternelles" pour s'ouvrir au monde et découvrir qu'il peut exister en dehors d'une relation mère enfant, dans une relation qui n'est pas a priori basée sur l'affectif (bien qu'évidemment aucune relation humaine ne se situe en dehors de l'affectif) mais pour l'un sur le désir de transmettre savoirs faire , savoirs être et pour l'autre désir de grandir et de se développer.
L'école est un des lieux où l'on peut découvrir à la fois son individualité, son autonomie, sa capacité de réflexion et entrer dans une communauté élargie, celle de ses pairs et celles d'autres adultes.
Cela est possible quand l'enfant n'est pas enfermé dans une relation fusionnelle névrotique avec sa mère....
Bon je sais ce n'est pas une critique littéraire ...c'est juste une réflexion que cette histoire fait surgir , maîtresse d'école que je suis
Bien sur, ta description d'un enfant en souffrance est trés touchante car elle parle à tout le monde. L'école peut être un lieu d'angoisse aussi, d'humiliation, de peur , de compétition. Il y a encore beaucoup de choses à améliorer (et on n'y va pas là)
C'est là que se fourvoie le narrateur...la maîtresse d'école n'est pas et n'a pas à être un symbole de la maternité...c'est même une fonction dite paternelle qu'elle est censée assumer et incarner...elle est celle qui permet à l'enfant de quitter "l'utérus" "les jupes maternelles" pour s'ouvrir au monde et découvrir qu'il peut exister en dehors d'une relation mère enfant, dans une relation qui n'est pas a priori basée sur l'affectif (bien qu'évidemment aucune relation humaine ne se situe en dehors de l'affectif) mais pour l'un sur le désir de transmettre savoirs faire , savoirs être et pour l'autre désir de grandir et de se développer.
L'école est un des lieux où l'on peut découvrir à la fois son individualité, son autonomie, sa capacité de réflexion et entrer dans une communauté élargie, celle de ses pairs et celles d'autres adultes.
Cela est possible quand l'enfant n'est pas enfermé dans une relation fusionnelle névrotique avec sa mère....
Bon je sais ce n'est pas une critique littéraire ...c'est juste une réflexion que cette histoire fait surgir , maîtresse d'école que je suis
Bien sur, ta description d'un enfant en souffrance est trés touchante car elle parle à tout le monde. L'école peut être un lieu d'angoisse aussi, d'humiliation, de peur , de compétition. Il y a encore beaucoup de choses à améliorer (et on n'y va pas là)
Rebecca- Nombre de messages : 12502
Age : 65
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Les jeunes tourments
Rebeccas, ton commentaire m'intéresses parce qe j'ai eu un peu la même réaction que toi. Puis je me suis dit que Sergeï avait peut-être bien voulu dire que la maîtresse était aussi sa mère et vice versa... La lecture du texte est aussi plausible à cette lumière.
Invité- Invité
Re: Les jeunes tourments
Pas réussi à entrer pleinement dans le texte, désolée, même si le propos m'interpelle. J'ai trouvé qu'il était dilué dans beaucoup d'effets pas tout le temps réussis. Je pense aussi que le format nuit à l'ensemble, c'est trop court pour réellement permettre à cette langue ample de se délier comme elle le devrait. Du coup, c'est dense et ça donne un effet presque prétentieux alors qu'en fait, sur du plus long, je crois que ça passerait beaucoup mieux car il y aurait davantage d'espace pour laisser respirer les mots.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Laisse aller, c'est une valse.
Hello,
Un texte qui gagnerait, à ma première impression, à être moins ramassé, et peut-être aussi plus simple dans ses formulations. Il y a là quelque chose qui donne le sentiment d'une "envie de briller", je ne sais pas, c'est juste ma réaction. Plus de simplicité, prendre son temps, laisser les choses filer plus en souplesse...
Sur le fond, il y a matière à explorer plus longuement les méandres des angoisses enfantines. Maintenant, l'école primaire et l'école maternelle sont différentes et comme l'indique le nom de la seconde, la première n'a pas vocation de faire la transition entre éducation et contact avec la mère. La maternelle scolarise, socialise, montre les rudiments dans une ambiance qui s'efforce ( plus ou moins ) de créer un climat affectif et direct, dans un rapport qui se veut rassurant. La primaire, c'est finie la rigolade. Déjà, il y a tout à coup la pression du "savoir lire et écrire", et rien que ça, c'est un morceau que tous n'avalent pas facilement. Il y en a même qui, au collège, n'ont toujours pas acquis le minimum qu'on attend d'eux. Bref, il y a de quoi dire ( j'espère ne m'attirer les foudres de personne, c'était pas le but ).
Bonne continuation... A suivre.
Ubik.
Un texte qui gagnerait, à ma première impression, à être moins ramassé, et peut-être aussi plus simple dans ses formulations. Il y a là quelque chose qui donne le sentiment d'une "envie de briller", je ne sais pas, c'est juste ma réaction. Plus de simplicité, prendre son temps, laisser les choses filer plus en souplesse...
Sur le fond, il y a matière à explorer plus longuement les méandres des angoisses enfantines. Maintenant, l'école primaire et l'école maternelle sont différentes et comme l'indique le nom de la seconde, la première n'a pas vocation de faire la transition entre éducation et contact avec la mère. La maternelle scolarise, socialise, montre les rudiments dans une ambiance qui s'efforce ( plus ou moins ) de créer un climat affectif et direct, dans un rapport qui se veut rassurant. La primaire, c'est finie la rigolade. Déjà, il y a tout à coup la pression du "savoir lire et écrire", et rien que ça, c'est un morceau que tous n'avalent pas facilement. Il y en a même qui, au collège, n'ont toujours pas acquis le minimum qu'on attend d'eux. Bref, il y a de quoi dire ( j'espère ne m'attirer les foudres de personne, c'était pas le but ).
Bonne continuation... A suivre.
Ubik.
Sujets similaires
» Supplique des jeunes morts trop jeunes
» Graine de terroriste
» A l'attention des jeunes parents (nouvelle : partie 1)
» A l'attention des jeunes parents - Il était une fois
» Projet d'édition 1 - A l'attention des jeunes parents
» Graine de terroriste
» A l'attention des jeunes parents (nouvelle : partie 1)
» A l'attention des jeunes parents - Il était une fois
» Projet d'édition 1 - A l'attention des jeunes parents
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum