Nos aphorismes et pensées insensées
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Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Ariane a écrit:La psychologie de comptoir a de bons avantages : amicale, elle ne vous déleste pas le portefeuille et ne crée pas de dépendance.
La preuve que t'es bourrée, c'est que tu dis pas que des conneries.
(entendu dans un bar à bruxelles) :0)))
Gobu- Nombre de messages : 2400
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Date d'inscription : 18/06/2007
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Une traduction houblonnière une:
Du Fu: La vue de Taishan
copyright@pw2008
Que pourrais-je bien dire du Grand Mont ?
Ses anciens duchés sont partout verdoyants
Inspirés et baignés du souffle de la création
Et des deux forces nuit comme jour
J'ouvre ma poitrine à travers les nuages ouverts
Je tend mon regard vers les oiseaux qui retournent au pays
Quand gagnerais-je sommet et tiendrai
les montagnes d'un seul regard ?
Doux fou: La vue de ta chemise.
Qu'est ce que j'pourrais bien dire des grands cons ?
Ces anciens déchets sont partout florissants
Aspirés et bercés par l'écran de télévision
Et de ces deux chaines: TF1 et M6
Je reluque ta poitrine à travers ton chemisier ouvert
Je tend mon regard vers les oiseux qui retournent à gare du nord
Quand gagnerais-je leurs sommets et tiendrai
ces deux montagnes d'une seule main?
:-)
Du Fu: La vue de Taishan
copyright@pw2008
Que pourrais-je bien dire du Grand Mont ?
Ses anciens duchés sont partout verdoyants
Inspirés et baignés du souffle de la création
Et des deux forces nuit comme jour
J'ouvre ma poitrine à travers les nuages ouverts
Je tend mon regard vers les oiseaux qui retournent au pays
Quand gagnerais-je sommet et tiendrai
les montagnes d'un seul regard ?
Doux fou: La vue de ta chemise.
Qu'est ce que j'pourrais bien dire des grands cons ?
Ces anciens déchets sont partout florissants
Aspirés et bercés par l'écran de télévision
Et de ces deux chaines: TF1 et M6
Je reluque ta poitrine à travers ton chemisier ouvert
Je tend mon regard vers les oiseux qui retournent à gare du nord
Quand gagnerais-je leurs sommets et tiendrai
ces deux montagnes d'une seule main?
:-)
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
L'écriture: un artisanat mineur.
On devrait décerner le prix Goncourt au Lecteur, pas à l'écrivain.
Oui. L'auteur ne fait lui, qu'assembler des lettres de manière à en faire des mots. Techniquement, le procédé doit être acquis vers l'âge de 6 ans . Les vrais travailleurs ce sont l'œil, le nerf optique et le cerveau du lecteur. Devenir écrivain, c'est certainement un aboutissement complet du néo-capitalisme: payez pour bosser à me lire. Devenir poète, c'est certainement un aboutissement ultime du néo-capitalisme: payez pour bosser à me lire et à me comprendre.
Ainsi, l'écrivain participe, lui aussi, à sa manière au monde rêvé tel qu'il à été pensé par nos maîtres. Alors oui, il s'est créé des costumes : la police de caractères, les couvertures, les reliures. Du boulot quand même pour l'auteur : "je vais prendre celle-là" 'tain la vache, je suis crevé...
Le lecteur, lui, exploité à utiliser son imaginaire, va encore plus loin : la texture des pages lui plaît ou non, l'odeur du livre l'interpelle, il modifie l'angle du livre pour l'accorder à sa vision. QUE des trucs à faire. Et à se procurer en payant. Il achète des lunettes quand il se fait vieux. Donner de la tune à Afflelou. Complice. Il achète une lampe de chevet. Donner de la tune à Bricorama. Et un marque page : donner de la tune au papetier. Complice. Le lecteur est tout retourné de sa lecture : il se boit 15 bières. donner de la tune à Intermarché. Complice. Il en pleure: il coupe deux hectares de forêt pour se moucher dans des kleenex en cellulose naturelle. L'écrivain est acteur de la déforestation mondiale. En plus d'être un assembleur de lettres dont le nombre est invariable dans chaque alphabet. Bah oui, quoi, faut pas trop se casser.
Camarades lecteurs, ne lisez plus. L'écriture, même de gauche, est complot de droite destiné à fragiliser les esprits populaires, les exténuer par surexploitation de l'imaginaire et à les piller de leur ressources financières.
C'est prouvé.
Arlette.
On devrait décerner le prix Goncourt au Lecteur, pas à l'écrivain.
Oui. L'auteur ne fait lui, qu'assembler des lettres de manière à en faire des mots. Techniquement, le procédé doit être acquis vers l'âge de 6 ans . Les vrais travailleurs ce sont l'œil, le nerf optique et le cerveau du lecteur. Devenir écrivain, c'est certainement un aboutissement complet du néo-capitalisme: payez pour bosser à me lire. Devenir poète, c'est certainement un aboutissement ultime du néo-capitalisme: payez pour bosser à me lire et à me comprendre.
Ainsi, l'écrivain participe, lui aussi, à sa manière au monde rêvé tel qu'il à été pensé par nos maîtres. Alors oui, il s'est créé des costumes : la police de caractères, les couvertures, les reliures. Du boulot quand même pour l'auteur : "je vais prendre celle-là" 'tain la vache, je suis crevé...
Le lecteur, lui, exploité à utiliser son imaginaire, va encore plus loin : la texture des pages lui plaît ou non, l'odeur du livre l'interpelle, il modifie l'angle du livre pour l'accorder à sa vision. QUE des trucs à faire. Et à se procurer en payant. Il achète des lunettes quand il se fait vieux. Donner de la tune à Afflelou. Complice. Il achète une lampe de chevet. Donner de la tune à Bricorama. Et un marque page : donner de la tune au papetier. Complice. Le lecteur est tout retourné de sa lecture : il se boit 15 bières. donner de la tune à Intermarché. Complice. Il en pleure: il coupe deux hectares de forêt pour se moucher dans des kleenex en cellulose naturelle. L'écrivain est acteur de la déforestation mondiale. En plus d'être un assembleur de lettres dont le nombre est invariable dans chaque alphabet. Bah oui, quoi, faut pas trop se casser.
Camarades lecteurs, ne lisez plus. L'écriture, même de gauche, est complot de droite destiné à fragiliser les esprits populaires, les exténuer par surexploitation de l'imaginaire et à les piller de leur ressources financières.
C'est prouvé.
Arlette.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Arlette se piège d'entrée de jeu, m... cf "prix Goncourt" : elle s'inscrit dans le circuit ! à partir de là, c-à-d si le principe même est défaillant, même les meilleurs arguments ne peuvent plus tenir; j'ai lu la suite Panda !pandaworks a écrit:L'écriture: un artisanat mineur.
On devrait décerner le prix Goncourt au Lecteur, pas à l'écrivain.
Oui. L'auteur ne fait lui, qu'assembler des lettres de manière à en faire des mots. Techniquement, le procédé doit être acquis vers l'âge de 6 ans . Les vrais travailleurs ce sont l'œil, le nerf optique et le cerveau du lecteur. Devenir écrivain, c'est certainement un aboutissement complet du néo-capitalisme: payez pour bosser à me lire. Devenir poète, c'est certainement un aboutissement ultime du néo-capitalisme: payez pour bosser à me lire et à me comprendre.
Ainsi, l'écrivain participe, lui aussi, à sa manière au monde rêvé tel qu'il à été pensé par nos maîtres. Alors oui, il s'est créé des costumes : la police de caractères, les couvertures, les reliures. Du boulot quand même pour l'auteur : "je vais prendre celle-là" 'tain la vache, je suis crevé...
Le lecteur, lui, exploité à utiliser son imaginaire, va encore plus loin : la texture des pages lui plaît ou non, l'odeur du livre l'interpelle, il modifie l'angle du livre pour l'accorder à sa vision. QUE des trucs à faire. Et à se procurer en payant. Il achète des lunettes quand il se fait vieux. Donner de la tune à Afflelou. Complice. Il achète une lampe de chevet. Donner de la tune à Bricorama. Et un marque page : donner de la tune au papetier. Complice. Le lecteur est tout retourné de sa lecture : il se boit 15 bières. donner de la tune à Intermarché. Complice. Il en pleure: il coupe deux hectares de forêt pour se moucher dans des kleenex en cellulose naturelle. L'écrivain est acteur de la déforestation mondiale. En plus d'être un assembleur de lettres dont le nombre est invariable dans chaque alphabet. Bah oui, quoi, faut pas trop se casser.
Camarades lecteurs, ne lisez plus. L'écriture, même de gauche, est complot de droite destiné à fragiliser les esprits populaires, les exténuer par surexploitation de l'imaginaire et à les piller de leur ressources financières.
C'est prouvé.
Arlette.
claire- Nombre de messages : 590
Age : 56
Date d'inscription : 07/05/2007
Aphorismes
APHORISMES
"Aphorisme dadaïste de mon doux phénomène" (J.Doré)
J’ai réveillé mes chimères blessées dans cette vaste prairie de sable, promesse de rouleaux d’écumes au blanc immaculé.
***
Je me suis trouvé vaincu et stupide pour quelques mots sur du papier, retrouvé dans des sommeils plein d’ignobles rimes avortées, obligé de crier la bouche ensanglantée que l’écriture m’a transformé.
***
J’ai peur que les gens me voient comme moi je les vois, aveuglés de bouteilles d’or qu’ils ne peuvent boire, affamés de beauté et de temps gagné.
***
Il ne faut pas que les villageoises partent, perdent cette sensuelle sauvageonnerie pour les trésors futiles des villes ; Pouah !!!!!
***
Mes rêves se sont rafraîchis ; tête nue sur l’herbe doucereuse, j’ai vu dans les azurs théatraux vibrer l’électricité de l’air.
***
Ma raison est morte, sans rage, sans blessures, aussi simplement qu’une rumeur musicale.
***
A l’affût d’un temps clair, je prenais les comètes pour aggraver mon regard.
***
Je me suis bâti un avenir d’oiseau radieux, fugace, précurseur, drogué de ciel.
"Aphorisme dadaïste de mon doux phénomène" (J.Doré)
J’ai réveillé mes chimères blessées dans cette vaste prairie de sable, promesse de rouleaux d’écumes au blanc immaculé.
***
Je me suis trouvé vaincu et stupide pour quelques mots sur du papier, retrouvé dans des sommeils plein d’ignobles rimes avortées, obligé de crier la bouche ensanglantée que l’écriture m’a transformé.
***
J’ai peur que les gens me voient comme moi je les vois, aveuglés de bouteilles d’or qu’ils ne peuvent boire, affamés de beauté et de temps gagné.
***
Il ne faut pas que les villageoises partent, perdent cette sensuelle sauvageonnerie pour les trésors futiles des villes ; Pouah !!!!!
***
Mes rêves se sont rafraîchis ; tête nue sur l’herbe doucereuse, j’ai vu dans les azurs théatraux vibrer l’électricité de l’air.
***
Ma raison est morte, sans rage, sans blessures, aussi simplement qu’une rumeur musicale.
***
A l’affût d’un temps clair, je prenais les comètes pour aggraver mon regard.
***
Je me suis bâti un avenir d’oiseau radieux, fugace, précurseur, drogué de ciel.
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
A l'impassible, nul n'est tenu.
Gobu- Nombre de messages : 2400
Age : 70
Date d'inscription : 18/06/2007
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Au fil des Zans, la spirale se déroule sur mon cœur tout rose. ouvert.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Pour Réussir Généralement Une Déclaration Faut Méduser Ouvertement Des Empruntés Maladifs Prétextant Sobrement Une Mauvaise Passe Pour Cacher Fébrilement La Crétinerie Réelle Farouchement Niée Par Tous
Chako Noir- Nombre de messages : 5442
Age : 34
Localisation : Neverland
Date d'inscription : 08/04/2008
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Jean Bombard est mort dans la marre.
Raymond Barre se fait vieux presque mort.
Jambon-beurre se déguste froid, avec des cornichons.
Moralité: ne faite ni aventurier ni politicien: à la fin on meurt sur le tard.
Raymond Barre se fait vieux presque mort.
Jambon-beurre se déguste froid, avec des cornichons.
Moralité: ne faite ni aventurier ni politicien: à la fin on meurt sur le tard.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Si j'essuie un refus, alors je m'enfuis, je m'en fous de ton fichu qui m'avait tant plu, sur tes épaules. Je n' essuierai pas de larmes de laine avec du feutre. Pleutre un peu je suis. Pauvre de moi.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
J'aurais aimé rester de marbre quand tu m'as cassé les burnes.
J'aurais eu moins mal.
J'aurais eu moins mal.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
pandaworks a écrit:Sacré nom d'une pipe: pipe.
50 Euros, payable d'avance.
Kilis- Nombre de messages : 6085
Age : 78
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Sacré Vin-diou: vin.
Sacré vin-doux: Dieu.
Sacré dieu Vain.
Acre vin: âcre.
Hectares de vin-Dieu.
Hector est content, acré vaindioux, les mains dans l'saindoux.
Le sang du vin, en son sein.
La vinification est satisfaisante cette année.
La satisfaction du vin bien fait: pour sa gueule.
Mais sont nez-rouge, mon dieu, à fait pâlir même les tomates, dans leur panier d'osier.
Il reste là à se pâmer, paumé dans la cave.
Bel endroit: les vignerons ne sont pas cons, à la différence du clergé.
Il touche les dessus de cire et s'endort comme ça, un Saint-Estèphe dans la main.
Sacré vin-doux: Dieu.
Sacré dieu Vain.
Acre vin: âcre.
Hectares de vin-Dieu.
Hector est content, acré vaindioux, les mains dans l'saindoux.
Le sang du vin, en son sein.
La vinification est satisfaisante cette année.
La satisfaction du vin bien fait: pour sa gueule.
Mais sont nez-rouge, mon dieu, à fait pâlir même les tomates, dans leur panier d'osier.
Il reste là à se pâmer, paumé dans la cave.
Bel endroit: les vignerons ne sont pas cons, à la différence du clergé.
Il touche les dessus de cire et s'endort comme ça, un Saint-Estèphe dans la main.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Il n'y en n'a qu'une qui susse ce que j'eus voulu dire. C'est juste?pandaworks a écrit:y'en a une qui suit.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
pandaworks a écrit:Il n'y en n'a qu'une qui susse ce que j'eus voulu dire. C'est juste?pandaworks a écrit:y'en a une qui suit.
Nan, ta formulation est incorrecte, mais on ne va pas faire la fine bouche pour une histoire de pipe ;-)
Kilis- Nombre de messages : 6085
Age : 78
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
J'ai pris une Pall-mall de contrefaçon pour m'aider à gerber.C'est pas mal.
Qu'est ce que t'en sais?
Qu'est ce que t'en sais?
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Je ne sais pas s'il est l'inventeur de cette phrase, mais aujourd'hui mon grand-oncle (91 ans aux prunes) m'a sorti, avec un petit sourire, une jolie tirade :
"Tu sais, quand j'étais jeune je sortais avec ma poule.
Aujourd'hui, je sors avec ma canne"
"Tu sais, quand j'étais jeune je sortais avec ma poule.
Aujourd'hui, je sors avec ma canne"
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Il faut parfois savoir dire ce que l'on pense et ne pas taire ce que l'on sait. On ne se fera pas moins d'ennemi dans l'un comme dans l'autre cas...
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
La vie ânonnée.
quand l'cafard s'éprend
alors
à moins
à moi
quand'cafard s'prétend
tout'l'temps
amant
collant
quand'l'cafard s'étend
vraiment
je le prend par le col de la bouteille
et je lui ment
joliment
je lui tire les oreilles
à cet âne
et lui dis:
hi-han
et demain:
pareil
ha-ha:
ça n'fait rire que moi.
.
.
quand l'cafard s'éprend
alors
à moins
à moi
quand'cafard s'prétend
tout'l'temps
amant
collant
quand'l'cafard s'étend
vraiment
je le prend par le col de la bouteille
et je lui ment
joliment
je lui tire les oreilles
à cet âne
et lui dis:
hi-han
et demain:
pareil
ha-ha:
ça n'fait rire que moi.
.
.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Nicolas à la Knesset? :-)xaba a écrit:Il faut parfois savoir dire ce que l'on pense et ne pas taire ce que l'on sait. On ne se fera pas moins d'ennemi dans l'un comme dans l'autre cas...
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Vient à point qui sait attendre, à condition de ne pas crever entre-temps.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
L'histoire du cafard te va comme un gant pour un chef comme toi.
C'est bien "torché".
C'est bien "torché".
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Pas besoin d'être médecin pour savoir que Thuram a toujours eu un coeur gros comme ça
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Avec un cœur gros comme ça, tu rames.
Il est très rare de pouvoir choisir sa taille.
Il est très rare de pouvoir choisir sa taille.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Nous vivons dans un zoo hiérarchisé. Il y a beaucoup d’espèces d’animaux, mais nous ne sommes que des animaux. On est apprivoisés, logés et nourris en échange de services, qui est l’exhibition de notre particularité d’animal. Si jamais de jeunes activistes viendront nous libérer dans la nature, nous mourrons tous faute de n’avoir jamais su être nous-mêmes.
Bunje- Nombre de messages : 215
Age : 109
Date d'inscription : 17/06/2008
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Appel à textes photo commune
Appel aux os des fosses communes
ça fait froid dans le dos
s'ils dansent, blancs,
beiges mêmes.
Jaunis.
Appel aux os des fosses communes
ça fait froid dans le dos
s'ils dansent, blancs,
beiges mêmes.
Jaunis.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
les Chiens sur le coin du feu, j'ai joué du gong avec une ogive pendue.
Dans le flot de la foule beaucoup de membres manquent.
Dans le flot de la foule beaucoup de membres manquent.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Vous commencez à me brouter avec vos histoires de gazon.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Y'a eu ce moment pas bien précis où les choses se sont précisées : ma gueule a fait le voyage dans une tuyère, aller simple. Et puisque les choses, maintenant semblent suspendues, il faudra bien un jour nous pendre par la main, puisque les semblants suspendent les choses : les vents sortis des tuyères, les soutes qui s'ouvrent en vol, les chasseurs de prime, et les turbulences infinies enfin.
Au Baccardi depuis le deuxième tiers de soirée je m'inonde d'un Tori Amos parce qu'elle chante avec douceur. Je m'embarque sur des débarcadères divers et variés.
Que faire pour remonter l'hiver avarié?
Sinon voler dans des plumes de matin calme, ratisser large dans ce qu'il y a de beau ou d'émouvant, laisser les grèves de coté et laisser les crève de coté. Le calme qui précède la tempête ne précédera rien, j'abandonne le navire à Tori Amos, à la barre à tribord. Mon taux d'abstention égale celui d'abstinence et c'est héroïque. Et je pense à l'août, aux aoutiens, aux Tahitiens, aux aoûtats, aux koalas à en rester quoi, interdit. Demain ne sera que le mauvais rêve que tout cela, hier pardonné la queue basse et aujourd'hui, je vous aimerai à l'instant. Il restera forcément des montagnes à peler, des thazars en chasse, des dauphins qui clignent de l'œil, des eaux bleues qui font du camping sauvage entre vos quatre yeux.
Pathétiques aux possibles, sympathiques aux paisibles, tolérants aux fous et aimants aux matins, dévoreurs de cieux tranquilles.
Au Baccardi depuis le deuxième tiers de soirée je m'inonde d'un Tori Amos parce qu'elle chante avec douceur. Je m'embarque sur des débarcadères divers et variés.
Que faire pour remonter l'hiver avarié?
Sinon voler dans des plumes de matin calme, ratisser large dans ce qu'il y a de beau ou d'émouvant, laisser les grèves de coté et laisser les crève de coté. Le calme qui précède la tempête ne précédera rien, j'abandonne le navire à Tori Amos, à la barre à tribord. Mon taux d'abstention égale celui d'abstinence et c'est héroïque. Et je pense à l'août, aux aoutiens, aux Tahitiens, aux aoûtats, aux koalas à en rester quoi, interdit. Demain ne sera que le mauvais rêve que tout cela, hier pardonné la queue basse et aujourd'hui, je vous aimerai à l'instant. Il restera forcément des montagnes à peler, des thazars en chasse, des dauphins qui clignent de l'œil, des eaux bleues qui font du camping sauvage entre vos quatre yeux.
Pathétiques aux possibles, sympathiques aux paisibles, tolérants aux fous et aimants aux matins, dévoreurs de cieux tranquilles.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Dans le matin ovomaltiné j'ai compté les ovules, les ogives, les bazookas et je me suis recouché car le réveil n'avait plus à sonner encore.
Invité- Invité
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Je suce des bonbons à la violette; j'aime assortir mes baisers à la couleur de tes yeux.
Zou- Nombre de messages : 5470
Age : 62
Localisation : Poupée nageuse n°165, Bergamini, Italie, 1950-1960
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Zou a écrit:Je suce des bonbons à la violette; j'aime assortir mes baisers à la couleur de tes yeux.
Joli ! Très.
Kilis- Nombre de messages : 6085
Age : 78
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: Nos aphorismes et pensées insensées
Pili a écrit:Zou a écrit:Je suce des bonbons à la violette; j'aime assortir mes baisers à la couleur de tes yeux.
Joli ! Très.
Très! Très! C'est sur mon msn entre guillemets!
Jonjon- Nombre de messages : 2908
Age : 40
Date d'inscription : 21/12/2005
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