Nos aphorismes et pensées insensées

Décidément Bunje, j'ai de plus en plus de mal à te suivre... Est-ce ton grand âge qui te rend si obscur?

Nous jouirons enfin
Se (nous)masturbant sur ces grattes-ciels

Et vous saurez gens d’illusions
Que le temps est arrivé
D’enterrer la contenance(continance) des autres

Le combat entre le vice et la vertu qui semble être le sujet de ton texte mérite-t-il un tel cri d'alarme?
Détends-toi Bunje, sors de ta carapace...

Décidément, l'âge est une obsession pour vous. C'est pourquoi j'ai inscrit 93 ans sur mon profil afin de ne pas influencer vos commentaires par rapport à mon âge. Enfin, cela vous affecte quand même. Fatalité quand tu nous tiens!


Par continance tu veux sans doute dire continence qui réfère à l'incontinence de l'auteur de 93 ans, saurai pu être drôle? Cependant, dans cette pensée insensée, je ne désirais pas parler de sphincter défaillant. D'autant plus que je n'ai pas 93 ans et que je n'y comprends rien encore à ce genre de problème peu ragoutant.

Et si tu référais à l'abstention des plaisirs charnels, eh bien non, c'est bien le mot contenance, comme manière de se maintenir candidement par rapport aux autres selon des modèles établis, que je voulais illustrer.

A oui j'oubliais, le combat entre le vice et la vertu. Il n'en est pas question dans ce texte. Je ne veux pas m'éterniser à expliquer ma pensée, car elle ne mérite pas, selon moi, autant d'attention.

ce genre de problème peu ragoutant

?
Ce doit, surtout, être très embêtant ou handicapant. Il y a tout un tas d'autres maux peu ragoûtants qui nous prennent à tout âge de la vie. D'une certaine façon, on a tous au moins fait un tantinet d'incontinence durant notre petite enfance.
Pour la continence, Arielle a sans doute voulu souligner l'idée d'abstinence, de privation.
Puis, l'âge n'a aucune importance en matière d'écriture. ^)^

Lucy a écrit:Puis, l'âge n'a aucune importance en matière d'écriture. ^)^

Pas vraiment d'accord... Je suis nettement plus indulgente et compréhensive lors de la lecture de ce type de texte lorsque je sais que l'auteur à 12 ou 14 ans parce que je sais qu'à cet âge on ne peut pas maîtriser totalement la langue.
Bunje préfère jouer sur l'ambiguité, c'est son choix. Pour ma part je trouve que l'écriture témoigne d'une certaine immaturité, qui n'a, par ailleurs, peut-être rien à voir avec l'âge...

Bunje a écrit:Décidément, l'âge est une obsession pour vous. C'est pourquoi j'ai inscrit 93 ans sur mon profil…

Comme rhétorique viciée, y a pas pire que tourner une permission en argument : le 1000 unième mouton du troupeau gueulait que parce que les chiffres l'emmerdaient il était le 1001, le 999 ème, mais pas le mille. Il n'eut jamais le courage d'en éliminer un ou d'en faire un histoire de compter rond. Mais dans le fond, vu que les moutons ne savent pas compter, ils s'en foutaient un peu beaucoup, regrettaient simplement que la dissidence n'ai pas assez de talent pour les convaincre qu'ils étaient , disons 1003, voire 1003 centenaires.

oui, peut-être, mais il faut prendre le commentaire comme une goutte d'eau. Je me contredis, je désamorce.

Parlant d'âge :

À quel âge peut-on aspirer à la vérité?
À quel âge peut-on être totalement à coter de la plaque?
À quel âge peut-on essayer d'en convaincre les autres?
Et à quel âge est-ce que l'on peut s'en foutre?

Désolée Bunje, il semblerait que je n'ai vraiment rien compris à ton texte. Comme je ne lui trouvais pas particulièrement de qualités poétiques je me suis attachée à lui chercher un sens… disons philosophique mais tu es trop fort pour moi et là non plus je n'ai pas pu te suivre. Tant pis, la prochaine fois je m'abstiendrai de commenter tes textes à tort et à travers. Je ferai preuve de plus de continence, en quelque sorte .

Extrait du TLF:
ContinenceB. P. métaph. ou au fig. [Gén. avec un adj. ou un compl. introd. par de indiquant le domaine où la continence se manifeste] Fait de s'abstenir (d'une activité). Continence sentimentale, verbale; continence du langage, du style, de la parole chez un écrivain. Quasi-synon. retenue, sobriété;

Bunje a écrit:oui, peut-être, mais il faut prendre le commentaire comme une goutte d'eau. Je me contredis, je désamorce.

Parlant d'âge :

À quel âge peut-on aspirer à la vérité?
À quel âge peut-on être totalement à coter de la plaque?
À quel âge peut-on essayer d'en convaincre les autres?
Et à quel âge est-ce que l'on peut s'en foutre?

À tous les âges, c'est ce qui rend cette humanité si fascinante, souvent desespérante.

CONTENANCE: A. Attitude extérieure exprimant une manière d'être voulue, précise, propre à une personne qui se surveille devant autrui. B. Souvent péj. Attitude extérieure qui correspond à une manière d'être (trop) étudiée, artificielle, pour en imposer.

Même quand ils [les personnages de Racine] ne se veulent pas de mal, ils s'en font. Par nature, par entraînement; par habitude, par exercice; par maintien, par cette contenance; par désœuvrement, le pire de tout; par attitude prise, gardée; par une attitude de cœur. Par goût acquis, gardé. Et ils finissent toujours par se vouloir du mal. Ne fût-ce que de s'en faire et de s'en être fait.
PÉGUY, Victor-Marie, Comte Hugo, 1910, p. 778.

Ne fait jamais preuve de continence ou de contenance dans tes commentaires et en échange je lirai le tout en gardant un peu de contenance dans mes commentaires. Parce que cela t'affecte visiblement.

Et puis pourquoi? Allez au diable toute cette contenance, que les émotions sortent le plus sauvagement. Au bucher cette manière bourgeoise d'être.

À tous les âges, c'est ce qui rend cette humanité si fascinante, souvent desespérante.

Tu l'as dit!

Avant tout, il faut que vous sachiez que je ne prête attention à rien dès lors que je suis en écriture. J’y suis comme d’autres sont en amour. Ainsi, j’aime me laisser bercer par l’histoire que j’écris, aime à m’y plonger à tel point que je suis capable d’en aimer le personnage principal, physiquement je veux dire. À tel point que je suis capable d’oublier le lecteur alors qu’il me fait, fait tout ce que je suis.
Allez comprendre…

Série noire mais rose:
Slurp Fiction

L'homme est en caleçon si pas slip.
mange une barbapapa huba up.
nage dans sa baignoire tuba up.
tire la barbe à son truc
comme aux bains turcs
Pas glop ni glauque
just slurp
Slurp Fiction
La petite sirène lui fait une pipe.
Déglutition.

L'homme est en costard si pas slip
mange une bananana
penchée sur la ronce de noyer
perçois
l'odeur rance du noyé dans le coffre
Pas pop ni folk
just slurp
Slurp Fiction
Les sirènes lui font peur.
Arrestation.

Slurp Fiction.

pandaworks a écrit:Série noire mais rose:
Slurp Fiction

L'homme est en caleçon si pas slip.
mange une barbapapa huba up.
nage dans sa baignoire tuba up.
tire la barbe à son truc
comme aux bains turcs
Pas glop ni glauque
just slurp
Slurp Fiction
La petite sirène lui fait une pipe.
Déglutition.

L'homme est en costard si pas slip
mange une bananana
penchée sur la ronce de noyer
perçois
l'odeur rance du noyé dans le coffre
Pas pop ni folk
just slurp
Slurp Fiction
Les sirènes lui font peur.
Arrestation.

Slurp Fiction.

J'adore :-)))

parfois, le fait de ne pas piper mot peut aussi être une source de satisfaction. on peut aimer sans comprendre. j'ai pas vraiment compris, mais j'ai vraiment aimé ^^

Depuis que je porte une prothèse dentaire, j'ai tendance à me préoccuper de plus en plus du Monde entier. Surtout aux heures des repas.

Voir des profs bronzés m'a toujours fait un drôle d'effet : on dirait presque qu'ils sont humains.

Pff, c'est juste une contenance qu'ils se donnent!

J'aime pas ce fil trop loin. Les conneries que vous y ecrivez sont plus belles que vos épreuves.

Même si j’aime à les lire, les nihilistes sont des chieurs.
En toute logique ils devraient mourir avant leurs aphorismes.

killgrieg a écrit:Même si j’aime à les lire, les nihilistes sont des chieurs.
En toute logique ils devraient mourir avant leurs aphorismes.

Oui , leur vie n'a pas d'importance.

pandaworks a écrit:

killgrieg a écrit:Même si j’aime à les lire, les nihilistes sont des chieurs.
En toute logique ils devraient mourir avant leurs aphorismes.

Oui , leur vie n'a pas d'importance.

si
elle manque seulement de logique

mais, j'aurais du mourir aussi bien plus tôt
trop tard

et, m'en fous, ce soir je vais boire

t'es en retard.

On peut se loger la logique quelque part au choix.

juqu'à temps qu'elle soit quarrée. Bien calée.

pandaworks a écrit:On peut se loger la logique quelque part au choix.

Un choix important s'il en est !

C'est lorsque l'on ne tient plus rien et que l'on regarde tout ça : quantité de mots désalignés, des textes ici et là, des personnages, des humeurs et des idées. C'est quand on tient tout ça. Qu'on voit tout ça. Et qu'on sait plus trop quoi en faire, qu'on pense à les ranger, à les organiser, que naît la petite musique. Elle dit " tu tiens quelque chose mais quelque chose ne tient à rien "
Et répondre : "Je t'aime mais ferme-là, contente-toi de me bercer"
Ce qu'elle fait

Chacun est libre de lire ce qu'il entend, qu'on se le dise, mais qu'on évite de l'écrire, car le goût n'est pas le même: il est dans les aigus, dans les égouts, dans les Haïkus, dans les Waïlis, dans les Waïlos, dans les Woolos, dans les Wolloffs, les Daffy-Ducks, les Davidoffs, à Wallis et Futuna, à l'Hotel Furama, à la table des anges et au sommet du Saint-Moncul.
Chacun est libre d'écrire ce qu'il lit, qu'on s'entende bien, mais qu'on évite de le dire, car c'est pas bien.

- Alors , t'as refais le Salon?
- Ouais c'était encore mieux que l'année dernière !
- Pourquoi ?
- On a choisi mauve pour le papier-peint !

Au Salon du livre, y'avait des sales cons qui faisaient salon autours de la bible: on les appelait les curés littéraires.
D'un coup d'un seul, t'as Nothomb en string qu'a voulu leur faire une séance de dédicace. Ça a été la curée. Comme quoi, en Gaule, la bande de prêtres au salon font de piètres preux. Putain de dieu !

génial je vais faire un mini-recueil pour pisser à la raie du salon du livre et attaquer leur participants sur le domaine qui leur est le plus cher: le froc.

Il n'acheva jamais son roman. Il se cassa le nez sur la chute.
La littérature est plus dangereuse qu'il n'y parait.

glanons du percutant

J'lavais pas vu celui-ci en frottant mes touches.

La lucidité a été inventée par un mec nommé Lucifer.
C'est un enfer ludique qui donne le don d'ubuèsquité.
Ça me parait équitable, sans monter, nous, sur de grands chevaux.

J'ai vomi mon bordeaux blanc dans une gerbe d'étoile morte.
Arôme de fruits secs: abricots.
Un produit de terroir: celui d'en dessous.
Nez de noix.
Crever sous sarments et jus des côtelettes des anciens.

Panda dixit;
"Comme quoi, en Gaule, la bande de prêtres au salon font de piètres preux. Putain de dieu !"
La gaule de la bande de prêtres fond dans de piètres putains!Comme quoi Dieu.....!

Muzzo :^^^^

L'enfance est un royaume à ciel ouvert; la vieillesse, un musée.


Le hic, c'est qu'il est un alcoool... hic !

Un peu plus tôt, un peu mi-quai.