Un jour tu ris, un jour tu pleures ! un jour tu vis...
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Un jour tu ris, un jour tu pleures ! un jour tu vis...
Un jour tu ris, un jour tu pleures ! un jour tu vis, un jour tu meurs !
I
On naît pour mourir, l'homme le sait et n'y croît plus
Et avance vers un monde que la brume a revêtue
C'est le diable, Belzebuth, le sheitan qui nous tue
Et nous pousse à enlacer les vices en surplus.
Le ciel nous appelle, la blancheur est descendu
Et les prophètes y sont mort, mais on convaincu
Récupères cette âme au diable que tu as vendu
Appelle le ciel, soit sûr d'être entendu...
II
C'est un bal plein d'ange que l'existence a remplit
Car quand le coeur s'arrête, un nuage accueillit
Le paradis sur terre, un mirage de la vie
Oubliant et jetant tout ses êtres incompris...
Condamnés à l'écoute du silence infini
Des corps sans âme, esprits entre quatre planches nourries
Et rongées par les larmes de la famille triste qui
Espère que l'enfant seul se plaît dans l'autre vie...
III
On dit que les meilleurs partent les premiers au ciel
Rayés de la feuille comme la lueur d'une l'étincelle
Le feu de la vie brûle la douceur du miel
D'une âme partie loin, pour un voyage éternel
Loin de l'enfer du monde, du fantastique carrousel...
Une étoile vient de naître, elle déploie ses blanches ailes
Quand le ciel nous pleure dessus, la pluie nous rappelle
Que les anges partis disent que la vie est belle...
I
On naît pour mourir, l'homme le sait et n'y croît plus
Et avance vers un monde que la brume a revêtue
C'est le diable, Belzebuth, le sheitan qui nous tue
Et nous pousse à enlacer les vices en surplus.
Le ciel nous appelle, la blancheur est descendu
Et les prophètes y sont mort, mais on convaincu
Récupères cette âme au diable que tu as vendu
Appelle le ciel, soit sûr d'être entendu...
II
C'est un bal plein d'ange que l'existence a remplit
Car quand le coeur s'arrête, un nuage accueillit
Le paradis sur terre, un mirage de la vie
Oubliant et jetant tout ses êtres incompris...
Condamnés à l'écoute du silence infini
Des corps sans âme, esprits entre quatre planches nourries
Et rongées par les larmes de la famille triste qui
Espère que l'enfant seul se plaît dans l'autre vie...
III
On dit que les meilleurs partent les premiers au ciel
Rayés de la feuille comme la lueur d'une l'étincelle
Le feu de la vie brûle la douceur du miel
D'une âme partie loin, pour un voyage éternel
Loin de l'enfer du monde, du fantastique carrousel...
Une étoile vient de naître, elle déploie ses blanches ailes
Quand le ciel nous pleure dessus, la pluie nous rappelle
Que les anges partis disent que la vie est belle...
Lunatiic- Nombre de messages : 422
Age : 34
Localisation : Champigny (94), Banlieue Sud de Paris
Date d'inscription : 06/07/2007
Re: Un jour tu ris, un jour tu pleures ! un jour tu vis...
La vie, la mort, les rires, les larmes, le fond est louable parcequ'il préoccupe tout être humain, mais la forme...
Tu as voulu, à tout prix, jouer avec les rimes, en u, 1ère strophe, en i 2ème et en el 3ème, mais je ne trouve pas cette originalité bien réussie.
Il est des phrases que je ne comprends pas bien, comme : "le feu de la vie brûle la douceur du miel d'une âme partie loin"
Je relève, hélas, beaucoup de fautes:
n'y croit plus
Je connais satan, mais n'ai pas trouvé sheitan dans mon dico
la blancheur est descendue
mais ont convaincu
récupère cette âme que tu as vendue
un bal plein d'anges que l'existence a remplie
Quand le coeur s'arrête un nuage accueille (concordance des temps)
Oubliant et jetant tous ces êtres incompris
entre quatre planches pourries, je suppose...
d'une étincelle, et non d'une l'étincelle
Il n'est pas très agréable de lire un poème truffé de fautes.
Tu as voulu, à tout prix, jouer avec les rimes, en u, 1ère strophe, en i 2ème et en el 3ème, mais je ne trouve pas cette originalité bien réussie.
Il est des phrases que je ne comprends pas bien, comme : "le feu de la vie brûle la douceur du miel d'une âme partie loin"
Je relève, hélas, beaucoup de fautes:
n'y croit plus
Je connais satan, mais n'ai pas trouvé sheitan dans mon dico
la blancheur est descendue
mais ont convaincu
récupère cette âme que tu as vendue
un bal plein d'anges que l'existence a remplie
Quand le coeur s'arrête un nuage accueille (concordance des temps)
Oubliant et jetant tous ces êtres incompris
entre quatre planches pourries, je suppose...
d'une étincelle, et non d'une l'étincelle
Il n'est pas très agréable de lire un poème truffé de fautes.
Invité- Invité
Re: Un jour tu ris, un jour tu pleures ! un jour tu vis...
Gaffe à Belzebuth, aux vices de forme qu'il t'inspire et aux niaiseries qu'il te suggère !
Re: Un jour tu ris, un jour tu pleures ! un jour tu vis...
Je ne pourrais mieux dire qu'Arielle. Déjà, pour les erreurs de langue :
"l'homme le sait et n'y croit (s'il ne croît plus, ça veut dire qu'il ne grandit plus) plus"
"un monde que la brume a revêtu (et non "revêtue" ; la brume a revêtu quoi ? "que", mis pour "le monde" ; le participe passé du verbe conjugué avec l'auxiliaire "avoir" s'accorde avec le complément d'objet direct quand celui-ci est situé avant le verbe ; c'est le cas ici, le participe s'accorde avec le monde)"
"la blancheur est descendue
Et les prophètes y sont morts (ce sont les prohètes qui sont morts), mais ont convaincu
Récupère (et non "Récupères", l'impératif des verbes du premier groupe ne comporte pas de "s" à la fin) cette âme au diable que tu as vendue (tu as vendu quoi ? "que", mis pour l'âme ; comme plus haut, le participe passé du verbe conjugué avec "avoir" s'accorde avec le complément d'objet direct placé avant, ici l'âme)
Appelle le ciel, sois sûr"
"C'est un bal plein d'anges (s'il est plein d'anges, il doit y en avoir plusieurs) que l'existence a rempli (je suppose que l'existence a rempli le bal ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s'accorde avec le complément d'objet direct qi celui-ci est placé avant le verbe ; ici, le bal)
Car quand le cœur s'arrête, un nuage accueille (texte au présent)"
"esprits entre quatre planches pourries (j'ai l'impression)"
"Une étoile vient de naître, elle déploie ses blanches ailes" : pas d'erreur, mais les ailes d'une étoile, il faut m'expliquer ; l'image, pour moi, est grotesque, mêlant incongrûment et de manière me semble-t-il non maîtrisée les domaines céleste et animal
"l'homme le sait et n'y croit (s'il ne croît plus, ça veut dire qu'il ne grandit plus) plus"
"un monde que la brume a revêtu (et non "revêtue" ; la brume a revêtu quoi ? "que", mis pour "le monde" ; le participe passé du verbe conjugué avec l'auxiliaire "avoir" s'accorde avec le complément d'objet direct quand celui-ci est situé avant le verbe ; c'est le cas ici, le participe s'accorde avec le monde)"
"la blancheur est descendue
Et les prophètes y sont morts (ce sont les prohètes qui sont morts), mais ont convaincu
Récupère (et non "Récupères", l'impératif des verbes du premier groupe ne comporte pas de "s" à la fin) cette âme au diable que tu as vendue (tu as vendu quoi ? "que", mis pour l'âme ; comme plus haut, le participe passé du verbe conjugué avec "avoir" s'accorde avec le complément d'objet direct placé avant, ici l'âme)
Appelle le ciel, sois sûr"
"C'est un bal plein d'anges (s'il est plein d'anges, il doit y en avoir plusieurs) que l'existence a rempli (je suppose que l'existence a rempli le bal ; le participe passé du verbe conjugué avec avoir s'accorde avec le complément d'objet direct qi celui-ci est placé avant le verbe ; ici, le bal)
Car quand le cœur s'arrête, un nuage accueille (texte au présent)"
"esprits entre quatre planches pourries (j'ai l'impression)"
"Une étoile vient de naître, elle déploie ses blanches ailes" : pas d'erreur, mais les ailes d'une étoile, il faut m'expliquer ; l'image, pour moi, est grotesque, mêlant incongrûment et de manière me semble-t-il non maîtrisée les domaines céleste et animal
Invité- Invité
Re: Un jour tu ris, un jour tu pleures ! un jour tu vis...
Hello Lunatiic de retour! Cela faisait longtemps que je ne t'avais lu. Attention à ton orthographe; ça s'est amélioré par rapport à avant mais ça n'est pas encore ça :-)
Un sujet qui te tient à coeur, ce n'est pas la première fois que je te vois le décliner en poésie. Un texte qui sonne très musical, je me suis surprise à la fredonner.
Attentin aux rimes que tu emploies, parfois très simples, parfois très (trop) visibles; on finit par ne plus voir qu'elles et c'est dommage.
Un sujet qui te tient à coeur, ce n'est pas la première fois que je te vois le décliner en poésie. Un texte qui sonne très musical, je me suis surprise à la fredonner.
Attentin aux rimes que tu emploies, parfois très simples, parfois très (trop) visibles; on finit par ne plus voir qu'elles et c'est dommage.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
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