Appel à textes ?

AUTANT POUR MOI, j'ai trouvé !
Si cela tient toujours, je veux bien échanger.

D'accord, M-arjolaine ! Voici donc nos trios respectifs :
socque : mélancolie - gris anthracite - bruit régulier du râteau dans le gravier
M-arjolaine : inquiétude - mauve pâle - craquement de l’œuf dur sur un comptoir d’étain pour l’homme qui a faim

C'est vrai que l'inquiétude mauve pâle est plus stimulante que la mélanciolie gris anthracite, mais cela m'aurait vraiment ennuyée de me retrouver avec "mon" bruit...

"mélancolie"

Bonne idée cet "exo de l'été" !

Bon on va tenter...quoique je n'ai jamais entendu des arbres grincer :-))))
et ai - je seulement l'idée de ce que peut-être la plénitude ?
Bleu gris ? Heureusement je connais, la couleur des yeux de ma fille la plus jeune.
On va frictionner fictionner fusionner tout ça on verra bien.

La plénitude, c'est quand Mouloud va à l'école. Je ti jure.
(pardon)

Tant que j'y pense : ce serait bien si les participants potentiels qui veulent se désister se signalaient, afin de permettre aux éventuels nouveaux volontaires de se joindre à la fête... Ainsi, Rêvelin (deuil - rose clair - grincement d’une porte qui s’ouvre) ne pense pas pouvoir écrire son texte, ce qui libère son trio.

Et n'oubliez pas la deuxième contrainte, celle du mot dont on ne connaît pas le sens ! Je la trouve marrante, j'espère qu'elle sera prise en compte...

Voui. Fatigué? dis-moi, j'ai bien interprété ici :

Rien de très étonnant ; votre mission, si vous l'acceptez, sera d'écrire et de publier d'ici le premier septembre un texte expliquant pourquoi, pour l'entité mise en scène, l'émotion du trio (qui fait )face à votre pseudonyme // ?

C'est un peu nouille comme question, mais j'assume.

Oui, c'est ça. C'est vrai, la formulation est ambiguë, la question n'a rien de nouille !

Merci et bravo, socque, de votre appel à textes.

Le doute pourpre me botte bien.

Juste une toute petite remarque de presque rien, pour celui sur la bobinette de qui « écherra » le trio "deuil - rose clair - grincement d’une porte qui s’ouvre" Si c'est la couleur que j'avais proposée, c'était plutôt le rose chair. Ce n'est pas que je sois absolument attachée à cette couleur, mais cela peut inspirer quelqu'un. Mais, de toute façon, le deuil rose clair a de quoi en botter pas mal.

Bien à vous.

Aire_Azul-Púrpura. (Ya pas idée de se trouver un pseudo pareil. Bien fait pour moi.)

Ah, désolée, j'avais mal lu (ma vue baisse) ! Donc, on reprend : le trio "deuil - rose chair - grincement d’une porte qui s’ouvre" est disponible pour qui veut.

Merci Socque ! Très bonne idée cet appel à texte ! :-)

socque a écrit: Rien de très étonnant ; votre mission, si vous l'acceptez, sera d'écrire et de publier d'ici le premier septembre un texte expliquant pourquoi, pour l'entité mise en scène, l'émotion du trio face à votre pseudonyme reste indissolublement associée à la couleur et au bruit du même trio.

Ben... je n'ai pas tout compris ! C'est la chaleur... L'entité ?... l'émotion du trio... reste indissolublement associée à la couleur et au bruit du même trio ?

En français basique, ça donne quoi ?
Merci de votre réponse !

Vous choisissez un personnage (j'ai utilisé le mot "entité" pour indiquer que ce personnage pouvait être n'importe qui ou quoi, du nouveau-né à la planète), et écrivez un texte qui raconte pourquoi, pour ce personnage, l'émotion indiquée dans le trio d'éléments en face de votre pseudonyme reste associée, de manière indélébile, à la couleur et au bruit indiqués dans le même trio d'éléments.

Pour vous, par exemple :
dusha : peur du vide - bleu roi - claquements de talons sur un parquet

il s'agit de trouver des circonstances à la suite desquelles, pour quelqu'un, homme, femme, enfant, animal, extra-terrestre, ville, peuple, planète (à votre guise), la couleur bleu roi et le claquement de talons sur un parquet évoquent la peur du vide.

Arielle : mélancolie - gris - craquement de la neige un peu dure sous les pieds

ça devrait pouvoir coller et rafraîchir mon été. Merci socque, une chouette idée !

socque a écrit:Le trio "deuil - rose chair - grincement d’une porte qui s’ouvre" est disponible pour qui veut.

Je viens d'avoir connaissance de l'appel à textes. Si le trio ci-dessus n'a pas encore été réattribué, je suis preneuse !

OK. Je récapipate.

alex : attente - violet - papier cigarette qui se consume quand on prend une bouffée de tabac
Gobu : claustrophobie - violet - gloussement de l’eau dans les gouttières pendant l’orage
abstract : colère - vert fluo - accroche de ma main calleuse sur tes bas de soie
pandaworks : crise d'angoisse - vert-de-gris - bruit de la circulation automobile
Charles : déni - vert citron - vibrato (buzzer) d’un vieux réveil à pile
Chako Noir : désir - vert amande - glouglou d’un grand cru dans un verre de cristal de Bohême
Halicante : deuil - rose chair - grincement d’une porte qui s’ouvre
Aire__Azul : doute - pourpre - battement des essuie-glace sur le pare-brise
Lyra will : espièglerie - outremer - grondement des vagues par jour de tempête
Sahkti : extase - orange profond - chaudière qui se remet en route
Pili : fatigue - ocre - branche qui craque
Yali : hésitation - mordoré dégoulinant - froissement du papier journal
M-arjolaine : inquiétude - mauve pâle - craquement de l’œuf dur sur un comptoir d’étain pour l’homme qui a faim
bertrand-môgendre : jalousie - mauve grisé - taille-haie du voisin
demi-lune : lassitude - magenta - pénible alarme du réveil-matin
socque : mélancolie - gris anthracite - bruit régulier du râteau dans le gravier
Arielle : mélancolie - gris - craquement de la neige un peu dure sous les pieds
Jérémie : orgasme - cramoisi - raffut des oiseaux qui s’affairent dans les frondaisons
coline Dé : panique - chocolat - égouttement d’un robinet
isa : paranoïa - bronze - roulis sur une pierre à briquet
dusha : peur du vide - bleu roi - claquements de talons sur un parquet
elea : plaisir - bleu roi - alarme RATP : lorsque les portes du métro se referment
Rebecca : plénitude - bleu gris - grincement des arbres par grand vent
Ratz19 : tendresse - blanc cassé - eau qui bout

Votre mission, si vous l'acceptez, sera d'écrire et de publier d'ici le premier septembre un texte expliquant pourquoi, pour l'entité mise en scène, l'émotion du trio face à votre pseudonyme reste indissolublement associée à la couleur et au bruit du même trio. En prose, je propose une longueur minimale de dix mille signes, espaces comprises, histoire qu'il y en ait une (d'histoire), et, s'il y en a qui choisissent l'écriture en vers, un minimum de mille cinq cents signes espaces comprises.

Une deuxième contrainte : chacun introduit dans le texte un mot qu'il aime bien mais dont il connaît mal, ou pas du tout, le sens. Le mot pourra être employé dans son sens véritable, vérifié dans le dictionnaire, ou dans son sens intuité/deviné/imaginé/fantasmé.

Vous pouvez procéder à des échanges de trios entre vous, ou bien, si vous pensez finalement ne pas participer à l'appel à texte, libérer votre trio qui pourra être pris par quelqu'un d'autre.

Je propose aussi que les textes soient publiés sous le titre général "Exo de l'été".

socque a écrit:Votre mission, si vous l'acceptez, sera d'écrire et de publier d'ici le premier septembre un texte expliquant pourquoi, pour l'entité mise en scène, l'émotion du trio face à votre pseudonyme reste indissolublement associée à la couleur et au bruit du même trio. En prose, je propose une longueur minimale de dix mille signes, espaces comprises, histoire qu'il y en ait une (d'histoire), et, s'il y en a qui choisissent l'écriture en vers, un minimum de mille cinq cents signes espaces comprises.

Une deuxième contrainte : chacun introduit dans le texte un mot qu'il aime bien mais dont il connaît mal, ou pas du tout, le sens. Le mot pourra être employé dans son sens véritable, vérifié dans le dictionnaire, ou dans son sens intuité/deviné/imaginé/fantasmé.

Très bien, merci !

(Heureusement que les messages ne s'autodétruisent pas dans cinq secondes en faisant pschhht !)

Rebecca a écrit:Bon on va tenter...quoique je n'ai jamais entendu des arbres grincer :-))))

Ah bon ?
Moi qui habite à 100m de la forêt d'Ardenne, je peux te dire que le bruit est sinistre, une longue plainte, les fibres étirées craquent, grincent comme une porte qui s'ouvre lentement... ça nous fait mal jusque dans les os ! :o)

socque a écrit:Vous choisissez un personnage (j'ai utilisé le mot "entité" pour indiquer que ce personnage pouvait être n'importe qui ou quoi, du nouveau-né à la planète), et écrivez un texte qui raconte pourquoi, pour ce personnage, l'émotion indiquée dans le trio d'éléments en face de votre pseudonyme reste associée, de manière indélébile, à la couleur et au bruit indiqués dans le même trio d'éléments.

Pour vous, par exemple :
dusha : peur du vide - bleu roi - claquements de talons sur un parquet

il s'agit de trouver des circonstances à la suite desquelles, pour quelqu'un, homme, femme, enfant, animal, extra-terrestre, ville, peuple, planète (à votre guise), la couleur bleu roi et le claquement de talons sur un parquet évoquent la peur du vide.

Yes ! J'ai tout compris cette fois, socque ! Merci.

(t'es plus douée que moi...)

Ha si, c'est bon là, j'avais loupé l'exemple donné par socque, c'est clair et limpide maintenant, merci !

elea : plaisir - bleu roi - alarme RATP : lorsque les portes du métro se referment

Merci pour ce challenge intéressant socque, votre idée est géniale !

Pourquoi ne posterions-nous pas cet exo en Times, pour se défaire cette satanée "mise en page internet" que nous utilisons tel le bouc avec la pierre à sel ? Qu'en pensez-vous ?

Ceux qui veulent, pourquoi pas ? Moi, honnêtement, je m'en fiche et n'ai pas envie de quitter l'option par défaut.

dusha a écrit:

Rebecca a écrit:Bon on va tenter...quoique je n'ai jamais entendu des arbres grincer :-))))

Ah bon ?
Moi qui habite à 100m de la forêt d'Ardenne, je peux te dire que le bruit est sinistre, une longue plainte, les fibres étirées craquent, grincent comme une porte qui s'ouvre lentement... ça nous fait mal jusque dans les os ! :o)

Ah oui ?

J'aimerai bien entendre ça ...le seul jour où j'ai entendu des fibres étirées craquer ya pas eu de grincement...mais un boum . Un pin est tombé sur la maison !!!! C'était pendant la fameuse tempête du siècle ! Véridique ! Du reste des dizaines de pins enchevêtrés recouvraient les rues le lendemain matin et j'ai du emprunter la machette de mon mari ( véridique bis) pour aller chercher une cabine téléphonique en état de marche ...mission qui s'est révélé impossible ... toutes les lignes étaient à terre et je n'avais pas de mobile à l'époque... Une vision d'apocalypse . Loin trés loin de la plénitude je suppose quoique...j'avais trouvé ça trés rigolo...
Enfin il se passait quelque chose dans ce quartier endormi qui s'appelait Le Parc...et qu'on aurait pu appeler ensuite "La Savane" plus d'arbre et le sable de la plage remonté jusque là.....

Bon va falloir que j'invente quelque chose.
Merci socque pour ce triturage de cervelle programmé...Moi qui comptait me la couler douce alanguie nonchalemment sur ma serviette de plage à me repaitre du dernier best seller gonflant au milieu des radios hurlantes des gosses braillards des lolitas cagneuses et des joueurs de ballon maladroits (hum tous ces adjectifs ne sont ils point redondants? )...

Rebecca, le pin et tous les résineux sont des bois tendres, fragiles. Donc, ils cassent rapidement.

Chez nous, les chênes, les hêtres, les charmes et les bouleaux dominent. Ces bois sont durs et se plaignent, gémissent, on a mal pour eux... Il y a pas mal de résineux, mais plantés par l'homme, ils sont groupés et assez loin de la maison.

Merci dusha de tes explications...Je cogite :-)))

Bonsoir !
L'exercice a l'air vraiment bien, si désistement il y a, je serais bien intéresser pour participer

Je pense que si tu souhaites vraiment participer, on peut te donner des contraintes à toi aussi !

L'ennui, c'est que les contraintes résultent d'un brassage des trios donnés à l'origine... L'idéal, comme dit Alaska, serait qu'un désistement intervînt.

Mais si vous avez vraiment envie et que personne ne se signale comme renonçant à son trio, je veux bien vous en concocter un ; l'inconvénient est qu'il sera issu de mon seul subconscient et non de plusieurs mélangés.

Il y a celui de rêvelin qui s'est désisté !
"Rose chair-deuil-grincement de porte "

Halicante s'en est emparé !

Ah je n'avais pas vu. Et comme je sèche lamentablement sur mon sujet, j'avais commencé à réfléchir à celui là au cas où me serait venue une idée lumineuse !
Mais ce ne fut pas le cas.

La contrainte de bruit pour alaska: le bruit du mât des bateaux sous la brise, dans le port

Pour les deux autres contraintes, voir avec les autres :-)

Oui, bonne idée que différentes personnes proposent les éléments à Alaska ! Pour la couleur, j'aurai : blond platine.

Pour le sentiment : l'amertume.

OK, alors, Alaska, si vous êtes toujours partant(e, pardon, j'ai pas vérifié dans vos messages), vous pouvez vous lancer dans l'exo avec ce trio :
amertume - blond platine - bruit du mât des bateaux sous la brise, dans le port

Sinon, ce serait sympa de signaler que vous ne tentez pas l'aventure, ainsi, si quelqu'un d'autre veut s'y mettre, il y aura ce trio de disponible.

Je suis partante, merci pour ce trio intéressant

Parfait. Vous avez vu l'objet de l'exo et les autres contraintes ? (Ne pas oublier, notamment, le mot dont vous ne connaissez pas le sens.)