Désert, fils de Montagne
4 participants
Page 1 sur 1
Désert, fils de Montagne
CONTE
C’est une histoire de
famille : une famille comprenant cinq enfants issus d’une mère généreuse
et pourvoyeuse de bonheur : mère Montagne. Parmi eux, un vilain petit
canard, un faiseur d’embrouilles et de malheurs, un fils qui se démarquait pour
filer à contre-courant : Désert.
Lorsque Montagne ne pouvait
plus supporter le comportement de son fils, quand il poussait le bouchon
vraiment trop loin, elle s’exclamait haut et fort : « Fils, moi, la
montagne, je t’ai donné le jour, et toi, Désert, en remerciement, tu ne me
causes que des problèmes. Sans moi, Montagne, Désert, tu ne serais rien, et
chaque jour, par tes actions, je regrette de t’avoir mis au monde. Mon
fils, Désert, tu fais la désolation de ta mère, Montagne.»
Mère Montagne se demandait
souvent pourquoi parmi ses cinq enfants, seul, son fils Désert lui donnait tant
de fil à retordre. Pour ce qui était des autres, elle n’en retirait qu’une
entière satisfaction.
Elle avait engendré Torrent
qui dévalait ses abrupts versants, en innombrables cascades et en petites
vasques. Torrent était un être plein d’impétuosité et de vigueur. Il revêtait
sa pleine force à la fin de l’hiver et au début du printemps. Il suivait le
rythme des saisons et il apportait beaucoup de joie à Montagne. Il permettait
aux animaux sauvages de se désaltérer et il communiquait vie et joie à son
environnement. Même l’aigle et le chocard l’appréciaient, sans parler des
truites fario et des saumons argentés.
Montagne avait également
engendré Rivière. Sa fille Rivière constituait sa plus grande fierté. Elle
s’écoulait vivement au sortir de gorges profondes, se ruait en cascades
abondantes et assourdissantes, puis finissait de flâner paisiblement au cœur
d’une plaine large et fertile.
Tant d’éléments reposaient
sur l’activité de Rivière, tant d’opportunités de vie, que Montagne se gaussait
d’une fille d’une telle valeur. C’était un peu comme si Rivière avait été
promue major d’une école de grand prestige. Mère Montagne la cajolait, la
complimentait, la félicitait sans arrêt : « Que je suis fière de toi,
ma chère fille, ce n’est pas comme ton frère Désert qui ne me cause que des
problèmes, un sac de problèmes aussi inépuisables qu’infinis. »
Une autre fille de Montagne était
Forêt. Forêt qui recouvrait ses flancs orientés au Nord, Forêt qui protégeait
mère Montagne de la destruction et de la perte de sa substance. Forêt qui
fournissait abri et nourriture aux petits et aux grands animaux montagnards,
comme l’écureuil, le chevreuil, le chamois ou le renard, mais aussi à toute la
faune avicole. Forêt qui offrait aux hommes le bois pour se chauffer et
construire des abris ou des bateaux.
Le dernier fils de Montagne
se nommait Pâturage. Pâturage remplissait le paysage de beauté et de gaieté.
Par ses couleurs éclatantes, celles du vert ardent et celles des fleurs des
champs, il exaltait les yeux et reposait l’âme. Les animaux d’élevage s’y
prélassaient et se gavaient de sa riche verdure. L’homme y faisait la sieste,
tandis que la petite marmotte s’en donnait à cœur joie.
« Pourquoi, faut-il donc
que j’ai eu ce fils Désert ? », ce fils auquel Montagne ne cessait de
déclamer : « Mon fils, Désert, tu fais la désolation de ta mère,
Montagne. »
Il faut dire que Montagne disposait
d’excellentes raisons d’en vouloir à Désert. Elle lui avait permis d’exister
par des apports constants en alluvions et en minéraux aussi riches que
nombreux. Sans elle, c’était absolument certain, jamais il n’aurait existé.
Elle lui avait octroyé ses couleurs chatoyantes, allant du blanc à l’ocre pâle en passant par l’orangé
et le grenat. De part ses couleurs, on pouvait affirmer que Désert constituait
plutôt une réussite. Mais de part son action, quelle calamité !
Lorsque l’eau de Torrent et
de Rivière, après avoir traversé le territoire de Forêt et de Pâturage,
atteignait celui de Désert, elle se perdait comme si elle n’avait jamais
existé. Plus aucune plante ne montrait le bout de sa tige et ne parvenait à
tendre la moindre petite feuille. Quant à l’éventualité de l’apparition d’une
fleur, si minuscule soit-elle, cet évènement ne pouvait relever que de la plus
pure imagination !
A sa surface, la chaleur
devenait torride le jour et le froid épouvantable la nuit. Désert était
l’instigateur d’un milieu particulièrement hostile et rébarbatif.
Montagne avait beau essayer
de tendre ses pics acérés vers les cumulo-nimbus pour les capturer, les
emprisonner et les déchirer, à peine parvenait-elle à provoquer l’écoulement
d’un minuscule ruisseau au sein de Désert. Celui-ci s’empressait de l’engloutir
immédiatement et de le faire disparaître aux yeux de tous.
Calamité, voilà le nom que
Montagne aurait dû donner à son fils, Calamité et non Désert.
Et puis un jour, un évènement
survint, un évènement qui vint réconcilier Montagne et Désert.
Un jour, un petit avion survola
ce pays, et le pilote aux prises avec de grandes difficultés, fut contraint
d’atterrir en plein milieu de Désert. Il s’agissait d’un aviateur de grande
renommée.
Au centre de cette immensité,
l’aviateur fit une rencontre extraordinaire, celle d’un petit garçon, un très
jeune prince. Une profonde amitié naquit entre les deux êtres, et curieusement
les roses des sables environnantes se transformèrent immédiatement en
véritables roses, adoptant toutes les nuances du rose, du rouge, de l’orangé,
du jaune et du blanc. Un véritable tapis de roses s’étala sous les yeux de
montagne.
Par la suite, un vieux renard
se mit à parler avec le petit Prince, et à sa suite, tous les autres renards
des sables firent de même.
Une véritable révolution dans
le corps et l’âme de Désert était en train de se produire. Désert devenait
l’instigateur de la plus belle parabole qui soit.
Le regard de Montagne sur son
fils changea du tout au tout, car Désert était devenu porteur d’un message
essentiel.
Malgré l’étrangeté du
comportement habituel de son fils, Montagne cessa de lui dire : « Sans
moi, Montagne, Désert, tu ne serais rien, et chaque jour, par tes actions, je
regrette de t’avoir mis au monde. Mon fils, Désert, tu fais la désolation
de ta mère, Montagne.»
Et depuis ce jour, Montagne
se mit à aimer son fils Désert d’un amour immense et inconditionnel.
C’est une histoire de
famille : une famille comprenant cinq enfants issus d’une mère généreuse
et pourvoyeuse de bonheur : mère Montagne. Parmi eux, un vilain petit
canard, un faiseur d’embrouilles et de malheurs, un fils qui se démarquait pour
filer à contre-courant : Désert.
Lorsque Montagne ne pouvait
plus supporter le comportement de son fils, quand il poussait le bouchon
vraiment trop loin, elle s’exclamait haut et fort : « Fils, moi, la
montagne, je t’ai donné le jour, et toi, Désert, en remerciement, tu ne me
causes que des problèmes. Sans moi, Montagne, Désert, tu ne serais rien, et
chaque jour, par tes actions, je regrette de t’avoir mis au monde. Mon
fils, Désert, tu fais la désolation de ta mère, Montagne.»
Mère Montagne se demandait
souvent pourquoi parmi ses cinq enfants, seul, son fils Désert lui donnait tant
de fil à retordre. Pour ce qui était des autres, elle n’en retirait qu’une
entière satisfaction.
Elle avait engendré Torrent
qui dévalait ses abrupts versants, en innombrables cascades et en petites
vasques. Torrent était un être plein d’impétuosité et de vigueur. Il revêtait
sa pleine force à la fin de l’hiver et au début du printemps. Il suivait le
rythme des saisons et il apportait beaucoup de joie à Montagne. Il permettait
aux animaux sauvages de se désaltérer et il communiquait vie et joie à son
environnement. Même l’aigle et le chocard l’appréciaient, sans parler des
truites fario et des saumons argentés.
Montagne avait également
engendré Rivière. Sa fille Rivière constituait sa plus grande fierté. Elle
s’écoulait vivement au sortir de gorges profondes, se ruait en cascades
abondantes et assourdissantes, puis finissait de flâner paisiblement au cœur
d’une plaine large et fertile.
Tant d’éléments reposaient
sur l’activité de Rivière, tant d’opportunités de vie, que Montagne se gaussait
d’une fille d’une telle valeur. C’était un peu comme si Rivière avait été
promue major d’une école de grand prestige. Mère Montagne la cajolait, la
complimentait, la félicitait sans arrêt : « Que je suis fière de toi,
ma chère fille, ce n’est pas comme ton frère Désert qui ne me cause que des
problèmes, un sac de problèmes aussi inépuisables qu’infinis. »
Une autre fille de Montagne était
Forêt. Forêt qui recouvrait ses flancs orientés au Nord, Forêt qui protégeait
mère Montagne de la destruction et de la perte de sa substance. Forêt qui
fournissait abri et nourriture aux petits et aux grands animaux montagnards,
comme l’écureuil, le chevreuil, le chamois ou le renard, mais aussi à toute la
faune avicole. Forêt qui offrait aux hommes le bois pour se chauffer et
construire des abris ou des bateaux.
Le dernier fils de Montagne
se nommait Pâturage. Pâturage remplissait le paysage de beauté et de gaieté.
Par ses couleurs éclatantes, celles du vert ardent et celles des fleurs des
champs, il exaltait les yeux et reposait l’âme. Les animaux d’élevage s’y
prélassaient et se gavaient de sa riche verdure. L’homme y faisait la sieste,
tandis que la petite marmotte s’en donnait à cœur joie.
« Pourquoi, faut-il donc
que j’ai eu ce fils Désert ? », ce fils auquel Montagne ne cessait de
déclamer : « Mon fils, Désert, tu fais la désolation de ta mère,
Montagne. »
Il faut dire que Montagne disposait
d’excellentes raisons d’en vouloir à Désert. Elle lui avait permis d’exister
par des apports constants en alluvions et en minéraux aussi riches que
nombreux. Sans elle, c’était absolument certain, jamais il n’aurait existé.
Elle lui avait octroyé ses couleurs chatoyantes, allant du blanc à l’ocre pâle en passant par l’orangé
et le grenat. De part ses couleurs, on pouvait affirmer que Désert constituait
plutôt une réussite. Mais de part son action, quelle calamité !
Lorsque l’eau de Torrent et
de Rivière, après avoir traversé le territoire de Forêt et de Pâturage,
atteignait celui de Désert, elle se perdait comme si elle n’avait jamais
existé. Plus aucune plante ne montrait le bout de sa tige et ne parvenait à
tendre la moindre petite feuille. Quant à l’éventualité de l’apparition d’une
fleur, si minuscule soit-elle, cet évènement ne pouvait relever que de la plus
pure imagination !
A sa surface, la chaleur
devenait torride le jour et le froid épouvantable la nuit. Désert était
l’instigateur d’un milieu particulièrement hostile et rébarbatif.
Montagne avait beau essayer
de tendre ses pics acérés vers les cumulo-nimbus pour les capturer, les
emprisonner et les déchirer, à peine parvenait-elle à provoquer l’écoulement
d’un minuscule ruisseau au sein de Désert. Celui-ci s’empressait de l’engloutir
immédiatement et de le faire disparaître aux yeux de tous.
Calamité, voilà le nom que
Montagne aurait dû donner à son fils, Calamité et non Désert.
Et puis un jour, un évènement
survint, un évènement qui vint réconcilier Montagne et Désert.
Un jour, un petit avion survola
ce pays, et le pilote aux prises avec de grandes difficultés, fut contraint
d’atterrir en plein milieu de Désert. Il s’agissait d’un aviateur de grande
renommée.
Au centre de cette immensité,
l’aviateur fit une rencontre extraordinaire, celle d’un petit garçon, un très
jeune prince. Une profonde amitié naquit entre les deux êtres, et curieusement
les roses des sables environnantes se transformèrent immédiatement en
véritables roses, adoptant toutes les nuances du rose, du rouge, de l’orangé,
du jaune et du blanc. Un véritable tapis de roses s’étala sous les yeux de
montagne.
Par la suite, un vieux renard
se mit à parler avec le petit Prince, et à sa suite, tous les autres renards
des sables firent de même.
Une véritable révolution dans
le corps et l’âme de Désert était en train de se produire. Désert devenait
l’instigateur de la plus belle parabole qui soit.
Le regard de Montagne sur son
fils changea du tout au tout, car Désert était devenu porteur d’un message
essentiel.
Malgré l’étrangeté du
comportement habituel de son fils, Montagne cessa de lui dire : « Sans
moi, Montagne, Désert, tu ne serais rien, et chaque jour, par tes actions, je
regrette de t’avoir mis au monde. Mon fils, Désert, tu fais la désolation
de ta mère, Montagne.»
Et depuis ce jour, Montagne
se mit à aimer son fils Désert d’un amour immense et inconditionnel.
Mirelie- Nombre de messages : 45
Age : 69
Date d'inscription : 04/02/2011
Re: Désert, fils de Montagne
J’ai du mal à lire les contes, parce que j’en ai tellement lu petite qu’il y a à la fois une lassitude et en même temps une sorte de comparaison inévitable. Ici, en outre, le conte s’associe au petit Prince, je trouve ça audacieux.
Le résultat ne m’a pas convaincue, j’ai souri à l’idée, intéressante et originale. Mais la narration est un peu convenue et linéaire pour moi. Peut-être qu’il me manque un peu de folie dans le récit pour accrocher vraiment.
J'ai apprécié l'écriture en revanche, soignée et avec le ton qu'il faut selon moi pour un conte.
Le résultat ne m’a pas convaincue, j’ai souri à l’idée, intéressante et originale. Mais la narration est un peu convenue et linéaire pour moi. Peut-être qu’il me manque un peu de folie dans le récit pour accrocher vraiment.
J'ai apprécié l'écriture en revanche, soignée et avec le ton qu'il faut selon moi pour un conte.
elea- Nombre de messages : 4894
Age : 51
Localisation : Au bout de mes doigts
Date d'inscription : 09/04/2010
Re: Désert, fils de Montagne
Mirelie, le problème avec ton texte, je crois, c'est qu'il est fait pour être dit et non pas lu.
Des phrases comme :
L'idée est très sympa et audacieuse, mais le traitement fait un peu laborieux
Des phrases comme :
peuvent probablement passer très bien à l'oral, mais écrites, toutes ces répétitions de désert et de montagne plombent la lecture. Et quinze virgules en trois phrases, ça fait beaucoup...Fils, moi, la
montagne, je t’ai donné le jour, et toi, Désert, en remerciement, tu ne me
causes que des problèmes. Sans moi, Montagne, Désert, tu ne serais rien, et
chaque jour, par tes actions, je regrette de t’avoir mis au monde. Mon
fils, Désert, tu fais la désolation de ta mère, Montagne.»
L'idée est très sympa et audacieuse, mais le traitement fait un peu laborieux
Invité- Invité
Re: Désert, fils de Montagne
Sympa l'intervention du Petit Prince, sinon c'est vrai que c'est un peu plat, long et linéaire. Et puis j'ai l'impression que l'hostilité de Montagne pour Désert est quand même pas mal martelée. Coline a raison : un texte à faire vivre plutôt qu'à lire.
Invité- Invité
Re: Désert, fils de Montagne
Bonsoir,
J'aime bien l'idée mais je rejoins ce qu'on dit EasterIsland et Elea sur le caractère oral de ce texte. Pourtant ce n'est pas la répétition qui m'a le plus dérangé, c'est même ce que j'ai préféré car cette sentence qui tourne en boucle à quelque chose de très lyrique, comme un chant. Ca m'a fait pensé aux poèmes homériques. En revanche je trouve que le contenu est parfois trop simple, il y a quelques répétitions malheureuses "Elle lui avait permis d'exister", puis "sans elle (...)jamais il n'aurait existé", qui cassent le rythme et empêche la poésie de se dérouler. Ca m'a fait pensé à une sorte de réécriture de la théogonie, avec Gaïa qui engendra le nuit, le jour etc.. en moins fouillé. Peut-être pourrais-tu inclure quelques périphrase à la place des répétitions de "Montagne" "Désert" etc... Ca permettrait d'étoffer ces personnages allégoriques de traits de caractères. ( ex dans l'Odyssée: "l'Aurore au doigt de rose") Sinon la fin est plus fluide et plus poétique après l'apparition du petit prince.
Coty
J'aime bien l'idée mais je rejoins ce qu'on dit EasterIsland et Elea sur le caractère oral de ce texte. Pourtant ce n'est pas la répétition qui m'a le plus dérangé, c'est même ce que j'ai préféré car cette sentence qui tourne en boucle à quelque chose de très lyrique, comme un chant. Ca m'a fait pensé aux poèmes homériques. En revanche je trouve que le contenu est parfois trop simple, il y a quelques répétitions malheureuses "Elle lui avait permis d'exister", puis "sans elle (...)jamais il n'aurait existé", qui cassent le rythme et empêche la poésie de se dérouler. Ca m'a fait pensé à une sorte de réécriture de la théogonie, avec Gaïa qui engendra le nuit, le jour etc.. en moins fouillé. Peut-être pourrais-tu inclure quelques périphrase à la place des répétitions de "Montagne" "Désert" etc... Ca permettrait d'étoffer ces personnages allégoriques de traits de caractères. ( ex dans l'Odyssée: "l'Aurore au doigt de rose") Sinon la fin est plus fluide et plus poétique après l'apparition du petit prince.
Coty
CotyPeterlina- Nombre de messages : 9
Age : 36
Date d'inscription : 04/01/2011
Re: Désert, fils de Montagne
ce qu' "ont" dit. Désolée
CotyPeterlina- Nombre de messages : 9
Age : 36
Date d'inscription : 04/01/2011
Re : Désert, fils de montagne
Ok, dans l'ensemble, je vois ce que vous voulez dire.
Pour ce qui est de la phrase dite par Montagne, comme je lis mes textes à voix haute, ça me semblait convenir. De plus, ce texte correspond à un exercice en atelier, avec mot imposé et phrase qui se répète... J'aurais pu le modifier avant de le publier.
Voilà ce que c'est que de publier un texte sans l'avoir correctement relu, et en étant très fatiguée...
Va tout de même falloir que je me penche sur l'Odyssée et autres épopées et mythes, parce que, à vrai dire, je n'y "entends goutte"!!!
Merci pour ces coms qui vont "peut-être" me faire progresser (lol) Je dis "lol", car ça fait déjà un moment que je publie ici, et j'ai vraiment l'impression de ramer, emmêlée dans des tonnes d'algues qui freinent mon avancée (relol)
Pour ce qui est de la phrase dite par Montagne, comme je lis mes textes à voix haute, ça me semblait convenir. De plus, ce texte correspond à un exercice en atelier, avec mot imposé et phrase qui se répète... J'aurais pu le modifier avant de le publier.
Voilà ce que c'est que de publier un texte sans l'avoir correctement relu, et en étant très fatiguée...
Va tout de même falloir que je me penche sur l'Odyssée et autres épopées et mythes, parce que, à vrai dire, je n'y "entends goutte"!!!
Merci pour ces coms qui vont "peut-être" me faire progresser (lol) Je dis "lol", car ça fait déjà un moment que je publie ici, et j'ai vraiment l'impression de ramer, emmêlée dans des tonnes d'algues qui freinent mon avancée (relol)
Mirelie- Nombre de messages : 45
Age : 69
Date d'inscription : 04/02/2011
Re: Désert, fils de Montagne
Lu à voix basse pour ne pas déranger les enfants qui n'écoutent jamais les contes le matin. Celui-ci mériterait quelques retouches avant de l'essayer à voix haute, un soir.
bertrand-môgendre- Nombre de messages : 7526
Age : 104
Date d'inscription : 15/08/2007
Sujets similaires
» Exo en direct le dimanche 18 décembre 2011 à 20h
» Désert
» Désert
» Le désert
» Exo « Détournement de poème » : Désert
» Désert
» Désert
» Le désert
» Exo « Détournement de poème » : Désert
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum