MST : La chasse du Condor

[wanatoctoumi]

La chasse du condor

conte fantas(ti)que

• Conte (pas réaliste !)
Le conte se déroule sur un monde inconnu, où les animaux communs sont largement plus grands que les héros (les Ambisinestres) dont ils sont les prédateurs naturels.
• Un prince charmant, une princesse, et chabadabada... ou pas / dans un monde différent du notre, avec des espèces étranges si possible
Les ambisinestres vivent en clans.
Leur vie dure le temps d’une vie humaine (70-80 ans, pour ceux qui survivent et meurent de vieillesse). Les femelles ambisinestres ont des portées de quatre petits (gestation 6 mois) qui deviennent adultes dès leur 8ème année.
Les personnages de ce peuple ont trois bras. Celui du centre prend naissance au milieu de la poitrine (entre les 4 mamelles disposées en carré, pour les femelles) et se replie vers le bas au niveau de son coude (pronation seulement, avec ce bras). La main sur ce bras n’a que 3 doigts égaux, larges et aplatis ; elle peut pivoter vers le bas, de la verticale gauche à la verticale droite (180°) : supination impossible.
Les ambisinestres sont, par ailleurs, tout à fait semblables aux humains (tête, épaules, tronc, bassin, jambes pieds, sexe). L’usage du bras central est réservé à des utilisations intimes (toilette ou autres…). On le cache généralement sous ses habits.
Au sujet du sexe, ce troisième bras a de multiples usages qui ne demandent qu’à être imaginés...
Le clan, héros de conte, est formé de six personnages:
La princesse Sèdeul’_Ameuf
Encore très jeune ( 9 ans ) et pubère, innocente et romantique à chier !
Sa poitrine n’est pas encore tout à fait développée et ressemblerait à un carré d’œufs au plat, entourant un long navet dressé (si la comparaison était possible... car les poules, là-bas, mesurent 4m50 et pondent des œufs de 8 à 10 kg, quotidiennement).
Le prince Vlad’_Ukeum
Déjà mûr (18 ans) ; il a un bras raide (le gauche), un peu fléchi au coude mais mobile à l’épaule seulement. Toutefois, il manie l’épée du bras droit.
Ce bras accidenté est la preuve d’une grande bravoure, puisqu’il résulte d’une blessure subie lors d’un combat singulier avec une souris commune, dont il a triomphé en lui tranchant la tête.
Le magicien Jant’_Ykeuf (*)
Comme tous les magiciens, il a des cheveux longs et blancs et le crâne dégarni. Il est vêtu de blanc immaculé et porte trois bracelets magiques à ses poignets (ce qui lui donne bien plus de pouvoirs que n’en aurait un magicien humain).
Mais ses potions sont ridiculement amères et dégoûtantes.
Le Sorcier Pour’_Ykeuf (*)
Ce sorcier maléfique est habillé de noir (bien entendu !) : une longue cape doublée de rouge.
Mince, cheveux raz et épais, nez aquilin, visage émacié (que de clichés ! !)
La particularité de Pour_Ykeuf est que sa croyance l’oblige à ne porter aucun autre vêtement que sa cape. En conséquence, il se sert de sa main centrale comme suspensoir et cache-sexe.
Le Roi Dagh’_Oberto
Son nom lui vient du choix qu’il a fait, lors de son couronnement, d’arborer un long sceptre en forme de poignard, avec lequel il se défend des attaques de volatiles ailés qui volent. Il a ainsi tranché la trompe de plusieurs papillons et perforé, à de nombreuses occasions, le thorax d’un moucheron. Assez vieux (62 ans), il est le père de la Princesse Sédeul’_Ameuf, conçue dix ans plus tôt, avec sa cousine / épouse, Nough’_Aberta. Tous leurs autres enfants nés avant la Princesse sont morts, dévorés en bas âge par des rongeurs carnivores.
La Reine Nough’_Aberta
Elle est la cousine (éloignée) de son époux, le Roi Dagh’_Oberto. Elle est réputée pour l’exceptionnelle dimension de ses pieds, avec lesquels elle peut assommer d’un seul coup une mite, un ver à soie et même un petit cancrelat. Quelques jours après la naissance de la Princesse, elle fut traquée par une patrouille de guêpes carnivores et, afin de les ralentir et avoir le temps de se mettre à l’abri, dut leur jeter ses trois autres bébés en pâture.
(*) Les « Ykeuf » sont une classe douée de pouvoirs surnaturels. Ils sont élevés selon un régime spécial, à base de lait de musaraigne, qui leur procure les enzymes indispensables à l’exercice de leur magie. On ne sait pas pourquoi cette propriété du lait donne de la magie « blanche » ou « noire », selon les individus.

• Style, ton : Loufoque, humour, charme, un mix...
• Il /elle
Ça = Usage ( exclusif ! ) de « ça » pour parler des autres êtres que les six héros.

[Zou]

Même si ce genre de littérature ne constitue pas ma tasse de thé, je rigole déjà de ce qu'on va le cas échéant pouvoir faire du troisième bras ;-))))) Hâte de lire le 1er épisode, Wana.

[mentor]

L’usage du bras central est réservé à des utilisations intimes (toilette ou autres…). On le cache généralement sous ses habits.
Au sujet du sexe, ce troisième bras a de multiples usages qui ne demandent qu’à être imaginés...

Vois pas, mais alors pas du tout... :-)))

Ah oui, moi aussi, je suis bien curieux de voir l'histoire commencer !

[wanatoctoumi]

Même si ce genre de littérature ne constitue pas ma tasse de thé, je rigole déjà de ce qu'on va le cas échéant pouvoir faire du troisième bras ;-))))) Hâte de lire le 1er épisode, Wana.

Ce n'est pas non plus ma littérature d'élection. C'est ce qui fait pour moi le sel de cet exercice...

[Sahkti]

Je sens que ça va donner des trucs délirants, même si moi non plus, ce n'est pas du tout ma tasse de thé et j'ai un réel problème intellectuel à visualiser dans ma caboche tout ce qui ressemble de près ou de loin à de la SF.

[wanatoctoumi]

Je sens que ça va donner des trucs délirants, même si moi non plus, ce n'est pas du tout ma tasse de thé et j'ai un réel problème intellectuel à visualiser dans ma caboche tout ce qui ressemble de près ou de loin à de la SF.

C'est plutôt le genre "Heroïc Fatasy" que j'ai du mal à suivre... DUNE, par exemple, ... J'avais fermé le premier tome de la saga au bout d'une vingtaine de pages. Je n'ai compris l'histoire qu'avec le film de cinéma et, plus récemment, il y a eu une très belle réalisation américaine pour la télé (meilleure que celle du film).
Mais "Le seigneur des Anneaux" me fait le même effet...
Il en va de même des jeux de rôle du genre Donjon & Dragons, où je ne suis jamais parvenu à endosser un personnage.

Ma littérature à moi, ça commence par Brassens et Nougaro (et les autres).
Et j'y suis bien !

[Krystelle]

Et bien Wana, on peut dire que tu as l'idée. Il me tarde de lire ton premier épisode et je sens que je vais me marrer.
Tu as brossé le décor de manière efficace avec une précision qui risque peut-être juste un peu de brider l'imagination...

[wanatoctoumi]

Et bien Wana, on peut dire que tu as l'idée. Il me tarde de lire ton premier épisode et je sens que je vais marrer.
Tu as brossé le décor de manière efficace avec une précision qui risque peut-être juste un peu de brider l'imagination...

J'avais écrit ce tableau pour mon propre usage... mais, devant l'empressement de nombreux autres à poster leur travail, j'ai voulu témoigner que je ne restais pas inactif...
Bien entendu, les détails que j'avais écrits sont révisables (il y a même des choses qui n'auront aucune utilité dans la suite... )
Par exemple, ma dernière phrase est trop stricte: il y a des "ambisinestres" qu'il faudra inventer, sans doute, et qu'on ne désignera pas par "ca" !
J'avais plutôt en tête les animaux (ou des végétaux qui parlent, par ex) en me fixant la règle du "ça" (du neutre).

On va bien voir.

[wanatoctoumi]

Euh...
C'est peut-être assez déconnant, mais...
Je ne suis pas celui qui a donné la contrainte !
;o)

[wanatoctoumi]

La chasse du Condor
conte fantas(ti)que

Dans la forêt profonde...
- Ouf !
L’aile était passée près de lui, mais, fort heureusement, ça ne l’avait pas vu. Il s’était protégé instinctivement en plongeant, quelques secondes auparavant, sous le tronc d’un gros chêne abattu (au risque de s’y trouver nez à nez avec un rat cornu déjà dans la place).
Il allait en venir d’autres... L’hirondelle ça traquait les moustiques –« Heureusement que c'est là pour nous en débarrasser ! », pensa Vlad’_Ukeum- mais ça ne détestait pas, de temps en temps, taquiner les humains, même si, après les avoir saisis dans le bec, le plus souvent ça les laissait tomber de plusieurs dizaines de mètres de hauteur, au bout de quelques coups d’aile, se rendant compte qu’ils n’avaient rien d’aussi juteux que le ver ou le moustique gorgé de sang.
Le Prince n’était pas un poltron. Mais affronter ce danger, dans la situation où il se trouvait, n’entrait pas dans ses plans immédiats. Il fallait d’abord qu’il rapporte cette grosse grappe de tomates au château. Et ça pesait lourd, la tomate !
Tout le clan allait se régaler... Avec quelques lamelles d’un oignon qu’il avait rapporté hier, et que les cuistots avaient pelé, s’inondant de postillons de ce liquide blanchâtre urticant, et en y ajoutant une ou deux feuilles de romarin émincées et attendries par la cuisson, il y aurait de quoi manger pour tout le clan pendant deux jours, y compris les valets, les gardes et leurs familles, les eunuques au bras médian atrophié, les matrones dont la poitrine repose "à quatre pattes" sur leur ventre proéminent... Et il y en aurait même assez pour dresser un étalage, sous la fougère de l’entrée principale du domaine, afin d’en faire profiter les manants arboricoles de ce coin.
Il lui restait pourtant une longue marche à accomplir, en tirant, entre ses jambes, de sa forte main pelvienne, le traîneau qu’il avait confectionné en repliant et en liant une large feuille de blette où il avait fait rouler la grappe de tomates.
La tomate et l’oignon étaient un don du ciel, ainsi que le courmelongette. On en trouvait beaucoup qui poussait de façon naturelle et sauvage, autour de la résidence royale d‘Oberto. Et c’était plus facile à capturer que le mille-pattes qui court si vite, ou que le coléoptère, qui vous gifle brutalement avec ses élytres, lorsque ça les écarte pour prendre son vol.
Bien entendu, quelques dizaines de queues de mille-pattes en sauce piquante, ou un ragoût de coléoptère cuit au feu dans sa carapace, c’étaient des mets bien plus appréciés...
Mais, aujourd’hui, ce n’était pas dimanche et il fallait bien pourvoir aux besoins du clan, les jours de semaine.
...

Quelques pistes :
On peut, maintenant, présenter le château du Roi (une grotte, une énorme souche d’arbre creuse, un vaisseau cosmique abandonné,...) et introduire d’autres personnages, y compris la musaraigne (animal domestique, de clapier ?) ou un élevage de rats musqués pour la parfumerie...et pour les combats-spectacles du genre tauromachie ?
Il faut aussi expliquer (d’une manière ou d’une autre) ce que c’est que le bras médian (ou la main pelvienne).
Il faudra aussi penser à faire sortir de son bain une femme nue, afin de constater la présence de quatre mamelles.
Je n’ai pas encore songé à ce que pourrait être le Condor du titre... (si ce n’est l’oiseau gigantesque...)
Ce pourrait être simplement une figure particulière sur une carte à jouer, qu’il faut capturer dans un jeu de société.

[Bluewitch]

Hé ben Wana, ça c'est du monde fantastico-délirant!
Bon, je me joins aux autres concernant ton "introduction/plan de travail". Pour le texte, là, je dirais:
- est-ce vraiment utile de mettre les "ça" en évidence? Ca m'a un peu gênée à la lecture...
- le tout démarre avec une scène intéressante, le décor est déjà bien planté
- j'imagine le personnage tirer le traineau avec sa "forte main pelvienne" et... wouarf. ;-)

Bref, une ambiance qui me plait bien, qui me fait penser à ces chansons de trolls qu'ont souvent en réserve les amateurs de jeux de rôles. C'est déjanté et prometteur!

[Yali]

Ben ça me semble bien parti tout ça, fantasque et déjanté :-)

[mentor]

C'est du fantastico-loup-phoque humoristique, mais je trouve ça un peu trop dense. Enormément d'infos, de personnages, de choses à découvrir (et retenir ?) dans un même texte. Je trouve ça donc un peu trop chargé. Et le ça, oui, me gêne un peu, ça me casse la lecture.
Sûr qu'en pondant une invention par ligne, le texte peut devenir un roman de 700 pages et plus. Tout est ouvert à des imaginations fécondes.
Un bon début donc, même si ce ne serait pas ma tasse de thé ;-)

[Krystelle]

Un début qui fourmille d'idées, peut-être un peu trop justement. Je suis un peu de l'avis de Mentor, je crois que ça méritrait d'être allégé.
Ce genre de phrase par exemple :
Avec quelques lamelles d’un oignon qu’il avait rapporté hier, et que les cuistots avaient pelé, s’inondant de postillons de ce liquide blanchâtre urticant, et en y ajoutant une ou deux feuilles de romarin émincées et attendries par la cuisson, il y aurait de quoi manger pour tout le clan pendant deux jours, y compris les valets, les gardes et leurs familles, les eunuques au bras médian atrophié, les matrones dont la poitrine repose "à quatre pattes" sur leur ventre proéminent;
La longueur n'est pas nécessairement dérangeante mais on sent que tu veux recaser un maximum d'informations, qui du coup, se trouvent placées sans trop de spontanéïté (morphologie des eunuques et des matrones notamment).
N'empêche, les idées que tu suggères me plaisent, elles sont souvent imaginatives et amusantes. J'aimais bien aussi le principe du "ça" quand tu l'avais énoncé, il m'a par contre quand même génée à la lecture. Cette contrainte supplémentaire exige, je pense, beaucoup de rigueur pour ne pas perdre le lecteur.
Voilà, sinon, pour une suite possible, pourquoi pas, je trouve ce début et les quelques indications que tu as données plutôt convaincants !

[Zou]

Je partage toutes les remarques de mes petits camarades. Inutile dès lors de rallonger la sauce ;-)

[wanatoctoumi]

Bon. J"avais mis l'accent sur l'usage du "ça"... C'est parce que, justement, on n'est pas habitué à "ça" (!)
Et "c" 'est un excellent exercice de style, à mon avis.
La difficulté, justement, est de réussir à ce qu'on ne le remarque pas plus que "ça" !
Il semble que je n'ai pas atteint mon objectif (j'avais -suprème prétention !- mis en gras pour le cas où on ne remarquerait pas sa présence...!)
Peut-être est-ce le surlignage qui choque. Il faut l'abandonner, bien sûr.
Reste à savoir si l'on peut tenter de continuer...sans le "gras".
Je pense que "ça" contribue à l'étrangeté du récit...
Souvenez-vous... Fernand Raynaud, je crois, tenait un discours du genre :
"... Mais l'"Allemand", c'est précis, ordonné, l'"Allemand"... Ca rigole pas avec les détails, l'"Allemand" ! L'"Allemand", ça gueule, ça vocifère, ça ordonne ! ..." etc. Ou bien..
"Une fille quand ça dit "Je t'ai-aime",
C'est comme un second baptè-ème.
Ca vous donne un coeur tout neuf
Comme au sortir de son oeuf." (G.Brassens)

Pour le reste de vos remarques, je conçois qu'il y a accumulation de choses étranges et non explicables (encore inexpliquées, plutôt).
J'ai pourtant résisté à présenter plus de personnages dans ce début qui était limité en longueur.
Je voulais rapidement mettre en évidence la disproportion entre les "humains" ambisenestres et leur environnement.
Cette impression de foisonnement pourrait être limitée en réservant pour la suite certaines descriptions, en effet.
Mais mon souci est que tout vienne naturellement, et non pas comme un tour de table de présentation de la famille.

Si vous êtes d'accord, je refais ma copie, en tenant compte de toutes ces observations.

[mentor]

Si vous êtes d'accord, je refais ma copie, en tenant compte de toutes ces observations.

t'as intérêt sinon t'auras pas ma voix :-))
en plus, je décrète aujourd'hui que la voix d'un modo de mon niveau compte double... ;-)

[wanatoctoumi]

t'as intérêt sinon t'auras pas ma voix :-))

Bien reçu !

[mentor]

t'as intérêt sinon t'auras pas ma voix :-))

Bien reçu !

c'est grisant le pouvoir :-))))

[Loupbleu]

C'est foisonnant d'imagination, plein de choses amusantes, intrigantes...

Le fait qu'il y ait beaucoup (un peu trop à mon avis) de personnages, d'éléments surprenants, tout ça dans des phrases longues, ça fait un petit effet de "trop".

Pour la contrainte du "ça", je pense que "ça" le fait, non mis en gras, "ça" passe davantage inaperçu...

J'adore l'univers fabuleux, je pense qu'on peut continuer à s'amuser avec ce texte ! Reste à trouver une bonne intrigue, (un peu décalée si possible), mettre des scènes de sexe torride (j'y tiens !), et continuer à s'amuser, non seulement de l'univers mais des situations créées...

Suggestion : si on en reste aux descriptions, en effet ça peut donner l'idée d'un pavé à écrire, il faudrait une histoire au cours de laquelle les différents éléments seront expliqués.

Pour des raisons pratiques, je proposerais de s'occuper principalement de deux ou trois personnages, les autres restant secondaires.

Si jamais tu as une idée pour un scénario possible... Bref, si tu as envie, y a encore du boulot ! C'est pas le moment que l'homme au "ça" pionce :-)))

[Krystelle]

C'est pas le moment que l'homme au "ça" pionce :-)))

Purée Loup, j'ai failli passer à coté !
J'aime quand t'es en forme :-)

[wanatoctoumi]

C'est foisonnant d'imagination, plein de choses amusantes, intrigantes...
... Si jamais tu as une idée pour un scénario possible... Bref, si tu as envie, y a encore du boulot ! C'est pas le moment que l'homme au "ça" pionce :-)))

Tiens ! Je viens de recevoir "ça" par mail... à l'instant !
http://contest.logitech.com/promotions/promo.cfm?contentid=129&countryid=6&languageid=3&emea_openseason_hppr
Euh... Je ne sais pas tout ce qui est interdit... Il s'agit d'un site externe... Tu peux effacer, si tu veux, si c'est pas "dans le droit fil de la déontologie" ...

[Kilis]

Oui, foisonnant ce texte et vraiment intéressant. J’aime beaucoup l’explication des personnages. Le début de texte me semble parfois un peu lourd de trop d’explications. J’aurais commencé plus léger, laissant s’installer une ambiance intrigante. On dirait un peu que tu veux trop en dire d’un coup.
Le coup du « ça » ne m’a pas convaincue. D’autant que tu nommes quand même ce qu’il recouvre. Peut-être serait-ce mieux de n’employer le « ça » que pour un seul des êtres sans le décrire. Ce serait un personnage mystérieux.
Sinon : les jalons sont posés et c’est bien parti. Je pense qu’on aurait du plaisir à poursuivre quitte à affiner l’ensemble au fur et à mesure

[grieg]

Si vous êtes d'accord, je refais ma copie, en tenant compte de toutes ces observations.

je vais attendre la nouvelle copie pour commenter.

En attendant je suis assez de l'avis de kilis par rapport au fait que tu en dises trop, trop vite, et au "ça" que tu nommes finalement (même si je comprends la volonté de souligner le côté vulnérable des "petits gars" face à un ça qui n'est qu'une hirondelle)
J'ai un peu de mal avec le "-ouf!" du début aussi. Je l'ai ressenti comme une prise de distance de l'auteur par rapport à son texte et ça m'a empêcher de lire le reste sérieusement.
Par contre, la touche écolo, façon "respectons l'équilibre naturel" de la phrase: "heureusement que c'est là pour nous en débarasser", m'a fait rire.
Enfin, je n'ai pas pu m'empêcher d'avoir en tête, les schtroumpfs et le krakoukas tout au long de la lecture. Va falloir que tu leur donnes une couleur à tes personnages, sinon je vais continuer à les lire en bleu :-)))

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