Exo en direct le 20 juin 2012 à 20h30

Merci Eva !

Toute les règles furent respectées only celle qui me firent homme et vous donnassent femmes (non, j'ai même pas honte !!! )

Le sujet fut dans l'ensemble bien traité et est formellement le reflet de ce forum de qualité.

Mad Gob

Bon j'ai zappé le stylo et les deux mots bizarres. La faute à pas de bol. Hors sujet le Gobu. Je vous lis tous et je commente ASAP.

Merci Eva, c'est toujours hard de faire MC.

ASAP: As Slowly As Possible? =D

je bloque sur l’allitération
pouèt pouèteuh cacahuèteuh!

c'est grave si je la mets pas? j'en ai plusieurs mais j'arrive pas à les caser dans un texte, ça fait boum, réaction chimique produisant un gaz toxique pour le moindre lecteur et même pour l'auteur

alice, c'est très grave
je ne sais pas si on s'en remettra
ni toi

Oui c'est grave si tu n'allitéres pas cela altère ceux que tu laisses là, avec un haltère sur chaque bras, et cela est bas beurk !

merdre! comment je vais faire?
vite! je recommence un tesque! mais le quatrième me plaisait bien! bon ok, je le mixe avec le prochain! oui chefs!

ah mais non ça va pas
j'ai utilisé toutes les idées, y en avait une à chacun des cinq coins de mon neurone
maintenant, a plus
comment je fais? je vais chercher
le sixième coin

oh! c'est grave si l’allitération est complètement totalement nulle?

oui

(mais que je suis vilaine !)

pestouille, va! :-)
m'en fous, elle sera pourrie, pour rire un peu.

Bébert avait déjà réalisé bien des exploits dans sa vie, il avait fait fleurir des terrains schisteux, avait aplani des collines rebelles, avait suspendu des jardins sur des falaises en pente douce... Il était renommé pour son zèle, il faisait voler les mottes à tel point qu'on l'avait baptisé « le jardinier-mottard ». Mais cette mission du 1er novembre ne lui disait rien qui vaille. Assainir un marécage et le transformer en jardin japonais... pour un architecte fantaisiste avant les fêtes de Noël. Il est vrai que ses parents de qui il tenait sa science étaient d'une longévité légendaire, il ne pouvait alléguer un tour sur leur tombe en un jour pareil. Et puis en célibataire endurci, il n'avait pas de motif conjugal à avancer.

Sa voiture l'ayant curieusement lâché à la dernière minute, il avait dû prendre le train. La brume peinait à s'élever de la gare quand il monta dans le train de 15h19 avec un sandwichs bio acheté in extremis au buffet. Dans le compartiment, quelques passagers clairsemés tentaient de se réchauffer. Contre la fenêtre, deux enseignants sans doute, brassaient des tas de copies , les doigts crispés sur leur stylo encre, namiki c'est ces types ? Une femme plutôt jeune, des yeux de velours, un foulard noué en torrent autour du cou, serrait un hortensia sous papier de soie et s'installa près de lui. Il se tapit contre le dossier pour la laisser passer et elle lui adressa un sourire. Elle pivotait vers lui de temps à autre et il se décida, lui qui rougissait comme une pivoine, à engager la conversation. Elle en vint tout naturellement aux plantes odorantes qui étaient sa grande passion à elle. Il raconta comment il avait découvert le bouquet dont les fleurs s'ouvrent au gré des heures qui passent. Elle se montra curieuse d'en savoir davantage car un parent à elle s'était toujours intéressé à l'affaire et lui demanda ses coordonnées. Elle descendait trois gares avant lui et lui glissa : le village où vous vous rendez n'est pas très touristique, mais vous trouverez un gîte dans une ancienne école des Ursulines. Il est tenu par une de mes cousines.

Le paysage du marais correspondait bien à ce qu'on lui avait décrit. De toute façon, il n'avait qu'une rue et une nuit à passer. L'architecte devait venir le cueillir le lendemain pour sa fameuse mission. Il eut vite repéré le gîte du clos du Loup, un lieu qui n'avait pas l'air très riant. Mais une bouffée de chaleur l'accueillit et une femme semblait l'attendre qui lui rappela vaguement un visage familier. N'avait-elle pas les mêmes yeux de velours que la passagère ? Elle s'empressa de lui servir une infusion de serpolet, quelques biscuits secs et un petit verre de marc. La petite pièce était décorée de coussins fanfreluchés de couleur bise. Ils parlèrent un peu de ses réalisations et il lui sembla qu'elle le devançait dans la conversation.
Allons, une semaine chargée vous attend, je vais vous montrer votre chambre. Et elle passa devant lui pour lui indiquer la dernière porte du couloir. La chambre était sommaire, mais un petit somme réparateur lui suffirait.
Il dormit mal et il fit un cauchemar semé de plantes carnivores et de clochettes qui sonnaient toutes les heures tandis que des yeux se rapprochaient et l'accusaient, crachant une encre couleur hortensia... Il se réveilla la tête lourde. Sur la petite tablette, un bouquet trônait qu'il n'avait pas vu la veille. Un billet s'ouvrait sur les clochettes : « Bébert, l'heure de la vérité a sonné ».
Tout lui revint en mémoire, le secret qu'il avait extirpé au petit vieux, le jardinier rival de son père. Après quoi il l'avait fait disparaître dans une cuve de purin d'ortie au liquide pétillant.
Il dut se rendre à l'évidence, les ouvertures étaient bouclées. On ne l'avait pas fait venir pour assainir un marécage, mais pour finir en cage. Gazéifié ?

On pourrait y passer la nuit...

Madame Hilda Writings a tout juste quatre-vingt dix-huit ans et demi. Elle révise pour son brevet. Elle passe sa journée à réviser, car dans sa jeunesse ses études avaient été interrompues par des problèmes familiaux.
Le souci, c’est que Hilda adore le riz. Comment ça, où est le souci ?
Eh bien, elle passe la journée plongée dans ses annales mais son banal anal problème lui trouble l’analyse. Et puis un matin, en descendant prendre son petit-déjeuner dans sa robe de chambre fanfreluchée, elle tombe dans les escaliers, et badaboum ! se foule la cheville.
Elle va devoir rester deux semaines à marcher avec des béquilles. Et les béquilles, mine de rien, c’est pas pratique pour tailler les rosiers !
La vue de ses plantes mal coupées l’insupporte. Elle embauche un jardinier.
C’est un grand homme, fort, le regard doucement perçant, qui arrive le lendemain. Le moteur de sa moto est horriblement bruyant, mais il semble sympathique.
A part son haleine, on aurait dit de la bouse d’éléphant gazéifiée. Après deux jours de période d’essai qu’il passe à tailler –avec grand soin- les rosiers de Hilda et les mines de crayons, ils se mettent d’accord sur un contrat.
Elle sort son stylo encre Namiki de sa poche, signe le papier et les lui tends.
Il secoue un peu le stylo avant d’essayer de signer. Mais ça ne marche pas. Il secoue secoue secoue secoue secoue. Rien ne se passe.
-Tiens, il fonctionne toujours, d’habitude !
Hilda tente d’écrire, la plume de mule marche parfaitement.
-Ça alors ! Réessayez, pour voir ?
La même chose. Après plusieurs essais, il abandonne.
-Ecoutez, madame, ce n’est pas très grave, vous savez, j’ai un bic…
-Mais si ! Réessayez, pour voir ?

Il aurait pu y passer la nuit si Madame Writings ne s’était pas endormie au bout d’un moment. Il faut dire, à cet âge-là, on a parfois le sommeil facile.

chut je sais je me suis pas cassée, mais je me suis bien amusée Ü

Aseptans: C'est tout simple et tu t'es ptet pas foulé mais j'aime bien. Mais y a quand même des trucs beurk beurkkk

Evanescent: J'aime bien ce qui se dégage de ton texte, une douce nostalgie, même si le "(sa future meilleure amie — bientôt)" m'a un peu gênée, mais c'est rien , un minuscule détail.

Et puis félicitations à vous deux, z'êtes les seuls à l'heure :-)))

demi-lune: bon, la fin est amenée un peu rapidement, mais joli petit texte avec des passages amusants (j'avoue ne pas avoir trouvé l’allitération) (il est tard, faut dire, déjà que je vois rien réveillée)

Sahkti: C'est un texte tout doux, pourtant la scène ne l'est pas. J'aime bien le fait que le narrateur soit si attaché à son stylo, ça lui donne une autre valeur que celle de l'argent. "A elle des voies plus verdoyantes, vertigineuses et verticales." c'est elle qui va devenir jardinière! mais dans la montagne! =D

elea: "m’avait incité"il manque un e ici, je crois, mais attends confirmation, hein :-)
Les images de la fin sont superbes, "des boutures d’amitié", "des pousses de tendresse", tout ça est très beau et correspond bien à ton écriture je trouve.

Hop-Frog: Raah tu m'as mis la chanson dans la tête, c'est malin! Mais j'adore toujours autant, "j'ai la bouche verte" :o)
S'il l'aime d'une violence délicate et qu'il la bat doucement après ses trois litres de vin, elle peut revenir!

Sahkti: poutaingue la correction... bon, trop tard :-) (mais je l'ai lue quand même einh)

Janis: 'naise on a toutes les deux penser à tailler des rosiers!!! Transmission de pensées?
T'aimes pas les histoires d'amour qui finissent bien (donc qui finissent mal, parce qu’après le happy end on dit pas ce qui se passe), et moi j'aime bien tes histoires d'amour qui finissent mal (et donc qui finissent bien)
compliment ultime: c'est pas beurk du tout Ü

Gobu: pfff, demander à Wikipedia pour l’allitération, t'as pas honte? :-) Je me marre bien quand je lis tes textes en général, même si pour le coup faut se concentrer pour pas perdre le fil, surtout là maintenant c'est pas l'heure idéale pour lire du Gobu je crois

chrystie12: Ouah! C'est la première fois que je vous (vous? tu? dans le doute, vous c'est mieux) lis dans un texte comme ça. Je ne sais pas s'il y en a eu d'autres avant, mais je n'ai eu aucun mal à rentrer dedans. Peut-être que le fiat qu'il y ait moins de temps de travail fait que le texte est plus explicatif et s;ouvre plus à la lecture? Je ne sais pas, mais en totu cas ça m'a beaucoup plus :-)


Voili voilou! fini! c'est trop long de commenter! Shuis fatiguée!

ASEPTANS : hé hé joliment troussé, diablement poétique, ça donne le sourire parce que c'est vif et joyeux.

EVA: don d'un baisser ? :-) J'aime beaucoup la fin, la dernière phrase, c'est une belle idée. Un texte mélancolique non dénué de qualités.

DEMI-LUNE: pas mal du tout ! J'aime le lent déroulement du récit, cette pointe d'ironie qui émerge de ci de là et puis la fin, sobre, efficace. Impec.

ELEA: poétique mais peut-être un brin trop descriptif pour moi, trop explicatif, ça rend le cheminement par moments laborieux.

(la suite tout de suite, tel... pfff: -)

Aseptans : j'adore la fin ! les trois dernières lignes, et les trois premières aussi. Le reste, tu peux virer. Non ! je rigole mais je ne suis pas très portée sur les jeux de mots. Ceci dit, c'est très plaisant.

Evanescent : joli et teinté de douce mélancolie. Pour les mains, j'aurais préféré une description plus visuelle (chui embêtante, einh). Mais c'est un beau portrait de vieux, un raccourci saisissant (qui va faire pleurer notre pauvre très vieille rebecca !)

demi-lune : il pourrait lui offrir bière ou champagne plutôt qu'une eau gazéifiée ! oh et toi aussi tu plantes les stylos dans le cœur des infidèles ! joli en tout cas, un petit côté eva longoria et son jardinier dans les desperates.

sahkti : joli moment de lecture, doux et dur à la fois : sucre amer, j'aime ça

elea : tendre et doux et super bien tourné comme d'hab

hop froc : ah j'aime beaucoup cette violence feutrée et courtoise !

janis : bon début, fin à revoir ma fille. Un peu de retenue.

gobu : drôle, enlevé, bien construit, tout ce qu'il faut là ou y faut !

chrystie : le jardinier motard, belle trouvaille ! et waouh, super texte, foisonnant et étrange

alice : drôle et plein de fantaisie, bravo ! j'aime bien cette vie écrite au présent. Bon, c'est un peu décousu et tiré par les cheveux (le riz, la chute, les béquilles, le stylo) mais ça aussi c'est bien, tu t'encombres pas avec la cohérence !

HOP FROG: Plutôt que de se foutre en l'air, il a acheté la moto, voilà une phrase particulièrement réussie, placée au bon moment au bon endroit. J'aime l'amertume qui se dégage de ce texte.

JANIS: j'adore ! Mince, rien à redire, ça m'a filé le sourire et tout me paraît bien, c'est vif à souhait (et drôle).

GOBU: traitement original, tout comme le sujet. On entendrait presque ceux-là qui causent avec gouaille, en roulant des mécaniques. Bien vu !

CHRYSTIE: mottard... hé hé!! Pas mal. Le reste du texte est de la même trempe d'ailleurs, bien ficelé, avec une histoire intéressante. beaucoup aimé.

ALICE: bonne idée et puis j'aime la légèreté du ton que tu emploies. La précision sur l'âge à la fin, me paraît superflue, sinon le reste se tient bien.

bon, la précision en trop à la fin, on a qu'à dire que c’était pour un oxymore
bah oui, "sommeil facile"
si ça c'est pas de l'oxymore, einh

Je vais pas commenter chaque texte car tous m'ont plu (sans hypocrisie), car ils étaient bien en phase avec le sujet loufoque de la jeune fille.

Une mention spéciale pour Demi-lune (bien qu'il soit scandaleux d'utiliser un si bel objet ... je te dis pas l'état de la plume après, une plume fignolée par un maître octogénaire vénéré comme un dieu vivant ... et pour faire rentrer le machin dans le corps ... et) ; mais l'histoire est très bien écrite et imaginée.

Deuxième mention pour Sahkti, mais à la fin, je ne vois pas comment il peut écrire avec le stylo, s'il a été saisi ?

Enfin l'inénarrable Janis, qui n'a pu s’empêcher bien sûr de faire du mal à un pauvre homme, en lui ôtant la vue littéralement (bien qu'il soit scandaleux d'utiliser un si bel objet ... je te dis pas l'état de la plume après, une plume fignolée par un maître octogénaire vénéré comme un dieu vivant ... et pour faire rentrer le machin dans le corps ... et). Mais c'est bien ................. et ................ :-)))

aseptans a écrit:Deuxième mention pour Sahkti, mais à la fin, je ne vois pas comment il peut écrire avec le stylo, s'il a été saisi ?

merci pour la mention ! Le stylo était saisissable mais finalement pas saisi, l'huissier est passé à autre chose.

Aseptans : amusant sur la forme avec moult jeux de mots et allusions (plus ou moins) fines

Evanescent : jolie fin, et un portrait mélancolique et tendre agréable à lire

Demi-lune : les contraintes se fondent dans le texte dont j'ai aimé la chute

Sahkti : bien aimé jusqu'à la fin que je n'ai pas compris; et je ne suis pas certaine de la crédibilité de l'huissier ne saisissant pas un stylo pareil

Elea : bon, visiblement pas terrible, faudra revenir en deuxième semaine, ou pas

Hop-Frog : chouette portrait, plein de trouvailles, je regrette de ne pas pouvoir te lire plus souvent

Janis : génial début, reste la toute fin à revoir un peu, dans la manière, parce que le fond cruel est parfait

Gobu : jolies références filmesques qui rendent le récit très visuel et connoté, c'est malin, et très vivant et amusant à lire

Chrystie : un poil explicatif au début et peu clair pour moi à la fin mais j'ai bien aimé suivre le personnage et ses rencontres

Alice : des choses amusantes, c'est vif et enlevé mais je te sais capable de mieux boucler l'histoire

A7ans : Jeux de mots à gogo ! Mais ils sont plutôt rigolos : on sent que tu t'es bien amusé !

Eva : Poétique et mélancolique. Juste un bémol sur le stylo qui fait un peu "rapporté".

Sahkti : C'était peut-être pas la peine de remettre le motard jardinier après coup parce que du coup, ça fait un peu artificiel.
L'utilisation des mots contraintes est acrobatique : un bistrot fanfreluché et des lettres gazéifiées ? Diable, kezaco ? ;-).
"C'est l'histoire d'un homme qui..." : j'aime bien cette confidence pas entendue, pas écoutée, qui suggère à elle-seule l'abandon, l'indifférence...

Janis : Super !! Bon, je vois que toi aussi tu trouves qu'un stylo ça évoque aussi une arme redoutable et pas seulement en écrivant ! J'aime vraiment beaucoup le style. (Le zeugme est chouette)

Gobu : Là aussi, le style est top ! Fiction savoureuse même si toutes les contraintes n'y étaient pas.

Chrystie : Flagrant délit de détournement de consignes !! Namiki t'a autorisée ? C'est fait si bien qu'on te pardonne ! Juste sur la fin peut-être un peu rapide.

Alice : Heu là ! T'as bu quoi pour faire ce truc déjanté ?

Elea : Ah les rencontre virtuelles via blogs d'écriture... ça rappelle quelque chose, non ? Tiens, toi c'est pas les Harley ? t'es bien la seule à avoir opté pour Guzzi et pas pour les mythiques Harley !

Hop-Grenouille :Bien aimé la première moitié, après on sent que tu as un peu galéré pour vite caser toutes les contraintes avant la fin .

.... et merci à Eva bien sûr !!

demi-lune, moi j'ai rien bu, mais faudrait voir à vérifier chez gobu, l'a mis deux fois elea dans son commentaire
Bon d'accord elea et eva ça se ressemble mais merdre! C'est pas la même chose ! rooh!

oui mais non gobu je m'amuse bien comme ça pas besoin d’être féroce
et puis le jardinier l’était pas content quand j'ai écrit ça, il m'a dit qu'il se brossait les dents tous les soirs! (mais bon caca et éléphant ensemble c’était irrésistible :-)))

Gobu a écrit:DEMI-LUNE :

Drôle de remake de Madame Butterfly avec ses amants jardiniers

Blood'n guts, quelle bourde ! Il fallait lire Lady Chatterley, naturellement. Ceux qui ont des lettres auront rectifié d'eux-même, les autres n'ont que faire sur ce forum.

AliceAlasmartise. a écrit:demi-lune, moi j'ai rien bu, mais faudrait voir à vérifier chez gobu, l'a mis deux fois elea dans son commentaire
Bon d'accord elea et eva ça se ressemble mais merdre! C'est pas la même chose ! rooh!

Ben justement j'avions rin bu. J'aurions p'têt ben dû !

Rendons à Eva ce qui est à Eva, et mille pardons ma chère, pour cette malheureuse coquille !

Gobu (contrit)

Gobu a écrit:Il fallait lire Lady Chatterley, naturellement. Ceux qui ont des lettres auront rectifié d'eux-même, les autres n'ont que faire sur ce forum.

:-))

Gobu a écrit:Ben justement j'avions rin bu. J'aurions p'têt ben dû !

Mais oui ! faut arrêter de pas boire, regarde le résultat

et sache que la chanson que j'attribue à eddy (bob bring me a bottle of bourbon, à prononcer en appuyant bien sur les B et avec la bouche molle) est inventée pour l'alitération (en fait c'est une blague qui faisait hurler de rire mon père : un type qui a des gaz dans son bain à l'hôtel se voit régulièrement apporter du bourbon par le groom bob.)

bon, cherche pas, c'est une blague pour alice, et peut-être mentor

Rentrée trop tard pour vous rejoindre.

Mais j'ai lu vos textes avec plaisir.

ps : Janis, j'aime beaucoup la construction du tien, ce mélange entre pensée, dialogue, et gestuel donne de la vie à l'instant, c'est très chouette.

merci phylisse
je pensais te phoner demain ou samedi pour une rencontre au sommet ?

Connais pas ce bar :-)

Avec plaisir.

okette

Aseptans : Du rythme et une salve de trouvailles. Un titre à crever l’œil

Evanescent : Les contraintes sonnent juste, un texte tendre.
Merci pour cet exo terre-à-terre, Eva.

Demi-lune : Bien aimé le zeugma coup double, l'eau qui pétille louche et le stylo qui fait mouche.

Sahkti : Alors là, saisissant!

Elea : Passé les considérations clavier-stylo, j'ai trouvé bien campé ce jardinier à la main verte et qui inspirerait même de relever le gant (de moto)

Hop-Frog : Les contraintes coulent de source, bien aimé l’atmosphère.

Janis : Fumant... quand le dialogue vous sort par les yeux ou quand la bécane s'emballe, non sans blague !

Gobu : Une tranche capiteuse et décoiffante. On s'y voit.

Alice : Un sujet sur lequel tu n'as pas séché... et ça fait un chouette puzzle échevelé.