Exo en direct le 20 juin 2012 à 20h30

Aseptans : Texte plutôt bien calem-bourré et calem-burlesque, mais parfois l’astuce est faiblarde.

Evanescent : De beaux passages. La phrase finale est superbe. Simplement cahoté par le Rien que grâce à elle et la répétition maintenant.

demi-lune : Le mari qui plante sa femme, ou une autre façon de jardiner. Lecture plaisante, cependant le narrateur manque de cynisme, à mon goût.

elea : Aisance rédactionnelle indéniable, mais d'accord avec Gobu pour l'aspect eau-de-rose. Bon choix de moto en tout cas.

Hop-Frog : Fin effectivement bâclée, quelques redondances et répétitions, hélas. Mais point de mièvrerie selon moi, dans la mesure où le narrateur n’est pas neutre, voir du côté de Trenet (ou d’Alice) pour le comprendre. Une Royal Enfield aurait été autrement plus adéquate qu'une Harley : car, au fond, il est question de liberté pour un ours.

Sahkti : Une étonnante facilité à jongler entre dialogue et récit sur un texte court, à retranscrire toute une scène, toute une vie. La fin m’a laissé perplexe.

Janis : Le maillage pensées/gestes de la narratrice est très joliment exécuté, jubilatoire. Le reste aussi.

Mad Gob : Outre un certain film, ce texte m'a fait penser à Spinoza encule Hegel de Pouy. Sympathique.

chrystie12 : Avec un calembour tel que « le jardinier-mottard », j’aurais pondu un autre genre de texte. Heureusement, c'est vous qui l'avez trouvé. Belle réalisation.

Alice : On en est encore au stade (b)anal parfois, et ce n'est pas toujours légitime. Mais tu t’exprimes bien, comme d'habitude, et le tout est plutôt chouette.