Léger rire
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Re: Léger rire
Léger rire à l'anachronisme (volontaire, j'imagine) La scène se passe en 1830, bien avant la commune.
Léger rire au parallèle entre les deux "poétiques". L'actuelle, droit dans sa certitude et sa modernité. La seconde, vaguement classique et résolument pompière. Genre chanson réaliste.
Léger rire à l'a-peu-près qui conclut ce poème réjouissant, que j'aurais bien aimé avoir écrit.
Bravo l'artiste.
Léger rire au parallèle entre les deux "poétiques". L'actuelle, droit dans sa certitude et sa modernité. La seconde, vaguement classique et résolument pompière. Genre chanson réaliste.
Léger rire à l'a-peu-près qui conclut ce poème réjouissant, que j'aurais bien aimé avoir écrit.
Bravo l'artiste.
Invité- Invité
Re: Léger rire
Même si j'ai bien compris le ton donné à ce poème, j'ai été un peu déroutée par certains mots comme "planche" (cela dit l'image m'a fait rire, la surprise j'imagine de voir associer ce si joli corsage avec une planche, je devais attendre un qualificatif plus glorieux sûrement) ou "dégoûtant" qui font, comment dire, scolaire/rimes faciles.
Une fois passée la surprise et en deuxième, voire troisième lecture...
Je trouve très belle l'idée de donner un p'tit coup de fraîcheur au tableau, c'est la liberté qui guide ta plume, c'est joliment troussé et imaginé, et j'ai bien ri aussi (manque plus que Félicie et le tableau sera complet)
Encore une petite chose peut-être : "ça lui porte bonheur" : ici je suis gênée par le présent, et le futur n'est pas possible à cause de l'alexandrin. En revanche, j'aurais bien vu "ça lui port'ra bonheur", genre j'élide dans le ton de l'époque.
Une fois passée la surprise et en deuxième, voire troisième lecture...
Je trouve très belle l'idée de donner un p'tit coup de fraîcheur au tableau, c'est la liberté qui guide ta plume, c'est joliment troussé et imaginé, et j'ai bien ri aussi (manque plus que Félicie et le tableau sera complet)
Encore une petite chose peut-être : "ça lui porte bonheur" : ici je suis gênée par le présent, et le futur n'est pas possible à cause de l'alexandrin. En revanche, j'aurais bien vu "ça lui port'ra bonheur", genre j'élide dans le ton de l'époque.
Phylisse- Nombre de messages : 963
Age : 62
Localisation : Provence
Date d'inscription : 05/05/2011
Re: Léger rire
Ah oui, je te vois derrière avec ton sabre...!
mais c'est très très chouette ça, aseptans!!!
))))
Puis j'éprouve toujours une certaine émotion à revoir ce tableau de chevet...
Merci pour ce bon moment de rire léger, j'aime quand on fait ainsi parler les toiles de maîtres.
mais c'est très très chouette ça, aseptans!!!
))))
Puis j'éprouve toujours une certaine émotion à revoir ce tableau de chevet...
Merci pour ce bon moment de rire léger, j'aime quand on fait ainsi parler les toiles de maîtres.
Invité- Invité
Re: Léger rire
étant révolutionnaire je ne peux qu'apprécier
nouga- Nombre de messages : 329
Age : 72
Localisation : ou l'iode enivre
Date d'inscription : 30/05/2012
Re: Léger rire
Tizef a raison : j'étais en avance d'une révolution et j'ai confondu les "trois glorieuses" avec la Commune de Paris (à quelques années près, bouhahahouha).
Mais comme je suis d'une mauvaise foi sans faille, je dirais que dans le texte je me contente de dire que j'ai "vu la commune de Paris", alors on pourrait imaginer qu'il n'y a aucun rapport avec le reste, juste une pensée comme ça ;-)
Ensuite, chère Igloo, je ne suis pas derrière mais au premier plan, tout à fait identifiable (une comparaison avec une autre version peut-être ?).
Et Nouga crions ensemble : vive la révolution, si elle est portée ainsi, sans soutien-gorge, symbole de la contrainte bourgeoise !!!
Enfin, Phylisse, les hommes sont de mauvaises langues : argotiquement (et sans doute déjà à l'époque) une "planche" est une femme dépourvue de poitrine.
Le "ça lui porte bonheur" est tout à fait dans la narration, puisqu'il s'agit d'une citation. Mais j'ai adoré l'idée de Félicie, aussi.
Merci pour ces lectures qui j'espère auront fait sourire, car bien sûr, le but inavoué et Alaisien, était d'arriver au dernier vers :-)))
Mais comme je suis d'une mauvaise foi sans faille, je dirais que dans le texte je me contente de dire que j'ai "vu la commune de Paris", alors on pourrait imaginer qu'il n'y a aucun rapport avec le reste, juste une pensée comme ça ;-)
Ensuite, chère Igloo, je ne suis pas derrière mais au premier plan, tout à fait identifiable (une comparaison avec une autre version peut-être ?).
Et Nouga crions ensemble : vive la révolution, si elle est portée ainsi, sans soutien-gorge, symbole de la contrainte bourgeoise !!!
Enfin, Phylisse, les hommes sont de mauvaises langues : argotiquement (et sans doute déjà à l'époque) une "planche" est une femme dépourvue de poitrine.
Le "ça lui porte bonheur" est tout à fait dans la narration, puisqu'il s'agit d'une citation. Mais j'ai adoré l'idée de Félicie, aussi.
Merci pour ces lectures qui j'espère auront fait sourire, car bien sûr, le but inavoué et Alaisien, était d'arriver au dernier vers :-)))
Invité- Invité
Re: Léger rire
Je suis nulle en histoire et n'aurais pu faire la remarque de Tizief concernant la commune par exemple, en revanche côté des expressions (je dis expression parce que je ne pensais pas que c'était de l'argot, en est-ce ?), c'est un peu plus fourni. C'est juste que j'ai été surprise de la trouver dans un poème et du coup ça m'a fait un peu l'effet d'une recherche de rime en "anche".aseptans a écrit:
Enfin, Phylisse, les hommes sont de mauvaises langues : argotiquement (et sans doute déjà à l'époque) une "planche" est une femme dépourvue de poitrine.
Phylisse- Nombre de messages : 963
Age : 62
Localisation : Provence
Date d'inscription : 05/05/2011
Léger rire
Belle idée, bien exploitée.
Petite remarque : Le deuxième vers de la première strophe est bancal et le deuxième de la dernière strophe boîte également
Petite remarque : Le deuxième vers de la première strophe est bancal et le deuxième de la dernière strophe boîte également
Albert-Robert- Nombre de messages : 492
Age : 82
Localisation : Drôme
Date d'inscription : 21/04/2012
Re: Léger rire
je suis nulle en histoire itou mais j'ai trouvé le texte faible... rédiger un texte en miroir à une oeuvre picturale devrait valoir qu'on se la donne... je ne vois rien dans ce texte qui enfle et s'envole... léger ? Où est l'humour ? Le style est aussi léger que le titre : "c'était pas une planche !" , "Parfois on trébuchait, et c'était dégoûtant."...
Puis, arrive la cavalerie : "Quand tout à coup la voix d'un camarade chu," dites, mam' michu, vous n'auriez pas ouï la voix d'un camarade à nous chu ? Et tous de rire d'un rire hénaurme...
Puis, arrive la cavalerie : "Quand tout à coup la voix d'un camarade chu," dites, mam' michu, vous n'auriez pas ouï la voix d'un camarade à nous chu ? Et tous de rire d'un rire hénaurme...
Pussicat- Nombre de messages : 4846
Age : 57
Localisation : France
Date d'inscription : 17/02/2012
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