La porte !

^)^

J'adore cette façon de prendre le contre-pied et/ou le pied de la lettre, de se moquer, d'ironiser doucement sur nos travers. C'est très divertissant.
("si il" = s'il
"prétexte")

Un jour, je devais être en première ou terminale, ma prof de français... Mme LAPORTE m'a dit : PRUNIER !! PRENEZ LA PORTE...
Je me suis levé, je l'ai regardé... il y eut un grand silence, comme quoi, d'une attitude on peut vous écrire tout un poème...
hahaha !!!! ... et elle m'a dit... Prunier, rasseyez-vous ... !!! et le cours à continué comme si de rien était.
( Même les autres de la classe n'ont pas osé rire, je crois que mon silence en a beaucoup dit !!!)

(et je vous jure que c'est la vérité vraie !!!!!)

Serais-tu la frangine de Raymond Devos ? J'ai senti un air de famille.
J'aime beaucoup la finesse de ce texte. Bravo.

Frédéric Prunier a écrit:Un jour, je devais être en première ou terminale, ma prof de français... Mme LAPORTE m'a dit : PRUNIER !! PRENEZ LA PORTE...
Je me suis levé, je l'ai regardé... il y eut un grand silence, comme quoi, d'une attitude on peut vous écrire tout un poème...
hahaha !!!! ... et elle m'a dit... Prunier, rasseyez-vous ... !!! et le cours à continué comme si de rien était.
( Même les autres de la classe n'ont pas osé rire, je crois que mon silence en a beaucoup dit !!!)

(et je vous jure que c'est la vérité vraie !!!!!)

:-)))))))))))))))))))))))))))))))
eh bien moi, j'ai trop ri à te lire !

Il prit le principe et s'assit dessus

J'aime beaucoup !
Le début est un peu plus flottant, on ne comprend pas très bien qui ni quoi

Un texte qui me plait énormément.

Un excellent texte où le jeu avec les mots est un vrai régal.

Pon ! snif ! j'ai pas trop aimé. Manque de rythme ou humeur du moment ? Je ne sais. Désolé. Ce doit être mon humeur ; ou bien les jeux de mots sont-ils trop "téléportés" ?

En effet, je suis content de l'avoir vue et ouverte cette porte :-D

j'ai aimé cette ironie concise,
un bon moment que ce texte, Iris.

juste si je peux me permettre cette seule remarque:

à la dernière ligne j'aurais plutôt écrit:

"et il partit dignement, en la prenant sous son bras"

Iris a écrit: Un jour, il décida d'avancer quoi qu'il arrive. Il verrait bien ce qu'il y avait au bout.
Zigzaguer sans fin, changer de cap à tout bout de champ sous pretexte d'avoir peur de se tromper. Il laisserait désormais cela aux autres.
Aller jusqu'au bout du chemin, au moins une fois dans sa vie

Il se dota d'une paire d'oeillères, et il avança, droit devant lui.

J'ai un vrai coup de coeur pour cette paire d'oeillères :o)

c'est drôle, et le rythme est enlevé!
ça détend comme un coup d'air frais.

j'adore ce passage qui m'a beaucoup fait rire:
"- Vous paraissez fatigué, tenez, prenez un principe, et remettez-vous.
Il prit le principe et s'assit dessus."

Bien vu, bien senti. Une hyperbole juste et amusante.
Bravo.