Re: FRAGMENTS : Le fil de vos textes courts

Ba Mar 17 Mar 2009 - 15:10

Sous les fleurs dorment les sages
Mines reposées oeil clos
De la terre sourd leur voyage
Secret gardé non éclos

A celui qui " rêve avec madame "

Bunje Dim 29 Mar 2009 - 2:00

À chaud, énormément prétentieux
Vos belles éloquences,
Gardez-les.

Y’a que les filles du printemps
Qui supportent le venin des yeux,
Traîtres comme le serpent
Qui les rend chien suppliant
Qui danse, danse, gémit
Caresse de l’âme.

Voilà la tentation lancée
Séduire, simple regard frappeur
Et partir salaud
À la moindre mauvaise note
Qui fait les ondoiements saccadés
Rends les accords simples
Une vulgaire note répétitive
Tac, tac, tac... tactactac

Quand le fla-fla-fla prend du vent
Ça ne vaut vraiment pas le coup
Oh si! Pour apaiser un peu

Ba Dim 29 Mar 2009 - 6:59

C'est dans l'oeil de mire
Que s'admire le subterfuge
Laxatif vermifuge
Emerveillé des vers

A citer...

Invité Dim 29 Mar 2009 - 9:01

Cité à con paraitre, il déclina. Poliment.

YvY Dim 29 Mar 2009 - 15:03

"Chaque jour,je tentais de m'en separer davantage.Je m'eloignais peu à peu du but que je m'était fixé.Qu'il m'avait parut magnifique,lorsque le l'eut trouvé,que je l'eut ramassé!il semblait ne m'avoir quitté des yeux.Un simple coup d'oiel;je me rendais dans un monde inachevé de prosperité et de liberté.Durant des heures que je l'eusse comtemplé!Une sombre pierre constellé par la marque des tenebres avit rappelé ma conscience."

J'evoque donc ici un objet auquel je me serai attaché,
la plupart des gens parle de leur "doudou" sur ce sujet je voulais
faire autrement.

The-sliph Dim 29 Mar 2009 - 17:49

[quote="YvY"]"Qu'il m'avait parut magnifique,lorsque le l'eut trouvé,que je l'eut ramassé!quote]

Juste une remarque : tu ne peux pas utiliser le passé antérieur dans tes deux subordonnées circ. de temps ; tu dois respecter la concordance des temps et utiliser le plus-que-parfait.

Deuxième point : améliorer l'orthographe...

En dehors de ça je trouve la dernière phrase vraiment intéressante, car elle évoque le mystère.

YvY Dim 29 Mar 2009 - 18:10

YvY a écrit:"Chaque jour,je tentais de m'en separer davantage.Je m'eloignais peu à peu du but que je m'était fixé.Qu'il m'avait parut magnifique,lorsque le j'eut trouvé,que je l'eut ramassé!il semblait ne m'avoir quitté des yeux.Un simple coup d'oiel;je me rendais dans un monde inachevé de prosperité et de liberté.Durant des heures que je l'eusse comtemplé!Une sombre pierre constellé par la marque des tenebres avit rappelé ma conscience."

J'evoque donc ici un objet auquel je me serai attaché,
la plupart des gens parle de leur "doudou" sur ce sujet je voulais
faire autrement.

Invité Lun 30 Mar 2009 - 9:14

YvY a écrit:
YvY a écrit:"Chaque jour,je tentais de m'en separer davantage.Je m'eloignais peu à peu du but que je m'était fixé.Qu'il m'avait parut magnifique,lorsque le j'eut trouvé,que je l'eut ramassé!il semblait ne m'avoir quitté des yeux.Un simple coup d'oiel;je me rendais dans un monde inachevé de prosperité et de liberté.Durant des heures que je l'eusse comtemplé!Une sombre pierre constellé par la marque des tenebres avit rappelé ma conscience."

J'evoque donc ici un objet auquel je me serai attaché,
la plupart des gens parle de leur "doudou" sur ce sujet je voulais
faire autrement.

???

Etrange....

YvY Lun 30 Mar 2009 - 16:12

Sans faire expres je voulais editer le topic pour corriger mes malheureuse faute d'ortho... j'ai clique sur cité oups!

Ba Mer 1 Avr 2009 - 15:28

La gratuité devient une denrée de plus en plus chère.

YvY Jeu 2 Avr 2009 - 16:34

La nuit, je m'allongeais sur un matelas de brousse pour comtempler la nuée. Ume echappé boréale,au loin, une constellation juvénile narrait mon histoire. Sur des galaxies,empreintes, etait inscrite ma jeunesse, une enfance dissimulé dans les cieux que cache le bonheur...

The-sliph Jeu 2 Avr 2009 - 16:56

Alors que l’après-midi touchait à sa fin, le vent charriait des odeurs vanillées. Elles me remémoraient l’époque insouciante où je venais sentir ici le repos, à travers un bonheur toujours immuable. Car ce petit lieu de recueillement et de nostalgie m’avait toujours surpris. Il semblait m’apprendre les arcanes d’une religion dont il était le grand prêtre, et je m’enivrais de cette sensation envahissante lorsque je m’y réfugiais, la sensation de pouvoir quintessencier ce monde du rêve et de la réflexion duquel j’apprenais à devenir le maître.

Paisiblement, le ciel se glauquait en des teintes d’aquarium, laissant froidement à mes yeux la contemplation d’un vaste étang de glace.

Invité Ven 3 Avr 2009 - 17:16

The-sliph a écrit:Alors que l’après-midi touchait à sa fin, le vent charriait des odeurs vanillées. Elles me remémoraient l’époque insouciante où je venais sentir ici le repos, à travers un bonheur toujours immuable. Car ce petit lieu de recueillement et de nostalgie m’avait toujours surpris. Il semblait m’apprendre les arcanes d’une religion dont il était le grand prêtre, et je m’enivrais de cette sensation envahissante lorsque je m’y réfugiais, la sensation de pouvoir quintessencier ce monde du rêve et de la réflexion duquel j’apprenais à devenir le maître.

Paisiblement, le ciel se glauquait en des teintes d’aquarium, laissant froidement à mes yeux la contemplation d’un vaste étang de glace.

Les chiottes ?

Invité Ven 3 Avr 2009 - 17:29

M****, Panda, tu m'as piqué ma vanne.

The-sliph Ven 3 Avr 2009 - 19:18

pandaworks a écrit:
The-sliph a écrit:Alors que l’après-midi touchait à sa fin, le vent charriait des odeurs vanillées. Elles me remémoraient l’époque insouciante où je venais sentir ici le repos, à travers un bonheur toujours immuable. Car ce petit lieu de recueillement et de nostalgie m’avait toujours surpris. Il semblait m’apprendre les arcanes d’une religion dont il était le grand prêtre, et je m’enivrais de cette sensation envahissante lorsque je m’y réfugiais, la sensation de pouvoir quintessencier ce monde du rêve et de la réflexion duquel j’apprenais à devenir le maître.

Paisiblement, le ciel se glauquait en des teintes d’aquarium, laissant froidement à mes yeux la contemplation d’un vaste étang de glace.
Les chiottes ?

L'homme envieux se développe maigre au succès de son voisin. Horace

Bunje Sam 4 Avr 2009 - 4:25

Un petit commentaire dont la pertinence est nulle, mais je dois le dire, j'ai ri de bon cœur.

Invité Sam 4 Avr 2009 - 8:44

Sans blague ?

Bunje Mar 7 Avr 2009 - 23:25

Si,

Est-ce grave docteur?

Invité Sam 11 Avr 2009 - 18:18

Il avait refermé la porte matelassée avec le floc un peu mou, caractéristique de l'isolation acoustique en ordre. Pour cette semaine, enfin, c'était assez. Cette joie tranquille allait tenir un bout de temps, si tant est que le temps a des extrémités. Dehors s'exténuait à faire des saisons, mais en vain. Il faisait toujours beau après la mort.

YvY Dim 12 Avr 2009 - 9:21

La nuée s'éppaississait sous une nuit léthargique.Je m'addossais sur un matelas de brousse et comtemplais au loin une constellation juvénile, une échappée boréale de corolles d'étoiles éparpillés en diamants brisés à la promiscuité d'un nouvel univers dans lequel je m'élancais avec jubilation.
D'un regard suspicieux, j'examinais l'ondulation des plantes aux murmures du vent; ce souffle assourdissant entravait mon sommeil. M'enlacant entre ses serres, il m'arrachait désormais de l'obscurité, dans un monde placide au dela de l'ignorance et la misère,la démence des hommes sur terre.
Emerveillé, je tenais de rester coi autant que ce lieu et de découvrir le bonheur que semblait dissimuler la blancheur de ses murs.

Invité Dim 12 Avr 2009 - 19:13

Y'avait, des lunes noires qui dansaient , têtues, sur le pourri de la nuit : ses frasques et ses fresques, ses fiasques et ses fioles. Le vent avait allumé des mèches sur ton front comme des jours. J'avais écrit ces quelques mots comme des rajouts, sur les bajoues d'une page. Puis il y eu le feu que nous croquèrent au fusain, toi dans ton fuseau de lin, moi dans ma fusée en départance pour nul-ne-sais-où, pour un vol de saison. A l'arraché. Nous avions mangé de la braise et nos lèvres se rejoignaient, nous nous taisions bien. Nous pensions, la violence inouïe et nous rêvions, le calme absolu. La fumée, si blanche que jamais, s'échappait de nos bouches, nous étions nés comme-ça, les mains en nage et le reste en rage, surtout les yeux. Nous décidâmes de nous tenir la main par les yeux jusqu'au décès, c'est un peu ça que l'amour qu'on se rappelle, quand on ne l'a pas près de soi. C'est un peu de l'amour que de penser à lui par les mains. Rien ne blesse quand rien ne presse mais tout tue dans les traces perdues.

Roxane Dim 12 Avr 2009 - 20:37

- C'est drôle non ? Mon père et ma mère pense que c'est toi qui m'a détruite, qui m'a coulée et tout en me faisant un bébé. Moi j'ai pris ta défense. Toi et ta mère pensez que c'est moi qui t'ai détruite, qui t'ai coulée en te faisant un bébé et tout. Je sais bien, j'allais jamais être une mathématicienne, une écrivain, ou quoi que ce soit d'autre que mes parents auraient voulu que je fasse. Je sais bien. Mais je voulais être mannequin, j'allais être quelque chose. Oh pas quelque chose d'extraordinaire. Juste quelque chose. Et qu'elle chance il me reste, hein, maintenant ? Tu t'es battu à la fac ? Pauvre malheureux. Oh moins tu est allé à la fac, toi aujourd'hui ? Ou je suis allée moi ? A la cuisine et retour. Alors arrête, d'accord ? Arrête de dire que j'ai bousillé ta vie. Tu as la moité d'une chance, toi au moins. Moi, qu'es ce que j'ai comme chance ?

Phoenamandre Dim 12 Avr 2009 - 20:44

Au moins tu dis ce que tu as à dire
Je pense qu'il ne s'agit pas d'un texte mais plutôt un message
Grand nombre de personnes peuvent devenir écrivain, mais il faut le vouloir et s'accrocher
Maintenant sur le texte en lui même, ce qui me fait penser à un message c'est que le langage est plutôt courant, tu utilise des exclamations qui rendent ton écrits plus authentique je pense surtout avec le "et tout", fais juste attention à l'orthographe mais je ne suis pas meilleur que toi.
Voilà, je peux pas dire que j'aime puisqu'il ne me concerne pas du tout, et que je persiste à penser qu'il est destiné à quelqu'un

mentor Dim 12 Avr 2009 - 20:52

dans le fil des "TEXTES COURTS" ça aurait été mieux je crois
je le déplacerai d'ailleurs sous peu

très médiocre qualité de l'écriture
un message, oui, mais pour qui ? pour nous ? pour quels lecteurs ? penses-tu vraiment aux lecteurs là ?

Phoenamandre Dim 12 Avr 2009 - 20:57

Je pense pas du tout que ce soit pour les lecteurs, mais pour le lecteur mais bon...
C'est pas grave y'a beaucoup de détresse derrière tout ça

mentor Dim 12 Avr 2009 - 21:00

Phoenamandre a écrit:Je pense pas du tout que ce soit pour les lecteurs, mais pour le lecteur mais bon...

ok, mais LE lecteur, s'il vient pas ici il saura peut-être jamais, alors ?
on joue au psy ?

Roxane Dim 12 Avr 2009 - 21:01

Elle ouvre sa gueule béante et crache un liquide jaunâtre. Elle se vide, vide son ventre, vide ses entrailles. Elle vomit. Sa régurgitation n'est franchement pas belle à voir. Elle est froide. Avec des petits morceaux non-identifiable. Elle à gerbé dans un bol. Dans mon bol. Je le mets au micro-ondes et jette le paquet de la soupe à la poubelle.

Phoenamandre Dim 12 Avr 2009 - 21:05

C'est pas vraiment notre boulot quoique j'aimerais bien, mais c'est tout ce que j'avais à dire sur ce texte, je doute qu'il paraisse un jour dans un recueil c'est sûre ^^

YvY Lun 13 Avr 2009 - 12:19

C'est sympa, mais lorsque je poste un ou deux bout de textes ,je m'attend a quelques commentaires. Ca serai gentil...

Invité Lun 13 Avr 2009 - 12:33

YvY a écrit:La nuée s'éppaississait sous une nuit léthargique.Je m'addossais sur un matelas de brousse et comtemplais au loin une constellation juvénile, une échappée boréale de corolles d'étoiles éparpillés en diamants brisés à la promiscuité d'un nouvel univers dans lequel je m'élancais avec jubilation.
D'un regard suspicieux, j'examinais l'ondulation des plantes aux murmures du vent; ce souffle assourdissant entravait mon sommeil. M'enlacant entre ses serres, il m'arrachait désormais de l'obscurité, dans un monde placide au dela de l'ignorance et la misère,la démence des hommes sur terre.
Emerveillé, je tenais de rester coi autant que ce lieu et de découvrir le bonheur que semblait dissimuler la blancheur de ses murs.

je trouve ton texte desaxe par rapport a l'idee conductrice -tres forte- qu'il contient :
(dans un monde placide au dela de l'ignorance et la misère,la démence des hommes sur terre.)
Son traitement est tres rapide alors que l'introduction, la ou tu decrits l'etat contemplatif du narrateur, est tres long et tres lyrique. Un peu de desequilibre, oui. Une chose un peu risquee:
je tenais de rester coi autant que ce lieu . Qu'entends -tu par un lieu Coi ? Une autre anomalie est que le personnage est bien eveille, attentif, mais il se plaint que son sommeil est entrave. Que souhaite-t'il enfin ?
Il y a egalement quelques fautes de frappes comme ici : comtemplais. Bref, ce n'est pas un texte deplaisant, loin de la, mais il est un peu nonchalant , pas fignole, juvenile oui (dans son ecriture).

Sahkti Mar 14 Avr 2009 - 13:27

Phoenamandre a écrit:Je pense pas du tout que ce soit pour les lecteurs, mais pour le lecteur mais bon...
C'est pas grave y'a beaucoup de détresse derrière tout ça

ça se rapporte à quel texte ces commentaires? Pas tjs simple de s'y retrouver, désolée :-(

Sahkti Mar 14 Avr 2009 - 13:32

YvY a écrit:La nuée s'éppaississait sous une nuit léthargique.Je m'addossais sur un matelas de brousse et comtemplais au loin une constellation juvénile, une échappée boréale de corolles d'étoiles éparpillés en diamants brisés à la promiscuité d'un nouvel univers dans lequel je m'élancais avec jubilation.
D'un regard suspicieux, j'examinais l'ondulation des plantes aux murmures du vent; ce souffle assourdissant entravait mon sommeil. M'enlacant entre ses serres, il m'arrachait désormais de l'obscurité, dans un monde placide au dela de l'ignorance et la misère,la démence des hommes sur terre.
Emerveillé, je tenais de rester coi autant que ce lieu et de découvrir le bonheur que semblait dissimuler la blancheur de ses murs.

Ortho: un seul p et un seul d, à épaissir et adosser, on écrit contempler et pas comtempler, on écrit au-delà et pas au dela.

Grammaire et tournures: j'ai du mal avec je tenais de rester coi, il m'arrachait de l'obscurité et puis qui enlace entre ses serres? Ce n'est pas clair à mes yeux.

Univers onirique, un brin chargé... pourquoi pas mais dommage que ça ne donne pas naissance à quelque chose de plus abouti. Ici, c'est effleuré.

mentor Mar 14 Avr 2009 - 13:43

Sahkti a écrit:
Phoenamandre a écrit:Je pense pas du tout que ce soit pour les lecteurs, mais pour le lecteur mais bon...
C'est pas grave y'a beaucoup de détresse derrière tout ça
ça se rapporte à quel texte ces commentaires? Pas tjs simple de s'y retrouver, désolée :-(

de Roxane, 12 avril - 16h37
;-)

Sahkti Mar 14 Avr 2009 - 13:45

mentor a écrit:
Sahkti a écrit:
Phoenamandre a écrit:Je pense pas du tout que ce soit pour les lecteurs, mais pour le lecteur mais bon...
C'est pas grave y'a beaucoup de détresse derrière tout ça
ça se rapporte à quel texte ces commentaires? Pas tjs simple de s'y retrouver, désolée :-(
de Roxane, 12 avril - 16h37
;-)

Ha ok! Merci :-)

YvY Mer 15 Avr 2009 - 10:53

Afin de vous faire comprendre l'introduction qui aurait aurai été imcomprise ou peu adéquat pour certains, une suite:

La nuée s’épaississait sous une nuit léthargique. Je m’adossai sur un matelas de brousse et comtemplai au loin une constellation juvénile, une échappée boréale de corolles et d’étoiles éparpillées en diamants brisés à la promiscuité d’un nouvel univers dans lequel je m’élançais avec jubilation.

D’un regard suspicieux, j’examinais l’ondulation des plantes aux murmures du vent ; ce souffle assourdissant entravait mon sommeil. M’enlacant entre ses serres, il m’arrachait désormais de l’obscurité, dans un monde placide au delà de l’ignorance et de la misère, la démence des hommes sur terre.

Émerveillé, je tenais de rester coi autant que ce lieu, et de découvrir le bonheur que semblait dissimuler la blancheur de ses murs car ces cris d’harmonie qui m’avaient offusqué immiscaient à mes pensées le désir d’y subsister et je m’enlissait paisiblement dans la fébrile lueur d’un rêve crépusculaire.

Alors que le corps de l’homme reposait dans les broussailles humides, son esprit s’enjoignait à délaisser ces contrées fulgineuse.La nébuleuse étendait la main: je la suivais jusqu’aux cieux sur le chemin qu’elle éclairait, tandis qu’elle m’était apparue soudain, orpheline émergeant de l’univers, dans le vaste ciel où elle rappelait la Création.

Yali Jeu 16 Avr 2009 - 8:10

Je comprends rien avec cette nonchalance du principe à l’accoutumance.

Lyra will Jeu 16 Avr 2009 - 11:15

Âme trame came
Piquée piquée
Colère gramme
Bourrée bourrée
Ratatam
Âme rame drame

alexi788 Jeu 16 Avr 2009 - 14:43

Il me fait rigoler ton texte(am stram gram)^^. C'est très fin.

alexi788 Jeu 16 Avr 2009 - 14:46

Jolie comme une fleur, Joyeuse comme le printemps, légére comme une pétale : La rose des vents.

The-sliph Sam 18 Avr 2009 - 15:01

Bonjour tout le monde,

J'ai écrit ces 8 vers, qui paraîtront peut-être confus, en même tant je les aime bien, et j'aurais aimé un avis, un vrai :

Huitain sur la Nature

Mon esprit est troublé, mes intentions confuses,
Secret de la nature aux blandices profuses...
Parnasse de l’espoir si doucement sublime,
Qui plonge la candeur au profond de l’abîme !
Une hâte naïve emportant les lointains,
M’enceint dans son histoire, aux petits lendemains !
Le Revoir est heureux, l’Au-revoir est cruel !
Ils s’exaltent sans fin, tourbillon perpétuel !

Merci ; @+ The-sliph

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