Peu de femmes

Peu de femmes font mon bonheur.
Une trop jeune, une autre vieille,
Une autre encore sans merveille,
Pour moi n’ont flamme ni saveur.

Ma mère, fille, ni ma sœur,
Ne feront jamais que s’éveille
Le fol incendie qui sommeille
Au sombre foyer de mon cœur.

Une amie autrefois connue
M’avait permis de la voir nue
Dans une chambre ouvrant sur cour.

Mais elle a, hélas ! disparu,
C’est une belle, dans la rue,
Qui fuit, emportant mon amour.


29 juillet 2012

Bonjour et merci pour cette poésie personnelle

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< Extrait du texte de notre page d'accueil :
"commenter les autres textes [..] le faire de manière constructive et pertinente, [...] lorsque la critique est argumentée et n’est ni lapidaire, ni expéditive..."
Ce "commentaire" est-il encore ici posté pour vous donner bonne conscience tout juste avant de livrer un nouveau texte ?
La Modération >
.

C'est bien compréhensible, je comprends ta douleur ;-)

Je ne suis pas trop séduite (encore une de moins :0), la forme assez convenue, et le fond... ne me parle pas trop, ne sais pas où il va... ou il faudrait y aller complètement tant qu'à faire, mais là, ça manque d'humour.

votre texte me fait penser au départ d'une nouvelle ou d'un roman

je serais vous, j'irai me fouiller l'intérieur pour en écrire un autre, qui voyagerait le sujet

désir
fantasme
voyeurisme
regret
imparfait
perfection
imperfection
idéale
onanisme

à vous de voir.... hahaha !!!

amitié

Je vous prie d'excuser ma réponse très tardive. Je suis parti en août sans ordinateur. J'ai été sensible à vos commentaires et vous livre une seconde version qui répond je crois au conseil d'aller plus loin et plus fort dans ma démarche:

Peu de femmes font mon bonheur.
Une trop jeune, une trop vieille,
L’autre ordinaire sans merveille,
Ne sont dignes de mon honneur.

Ma mère, fille, ni ma sœur,
Ne feront jamais que s’éveille
Le volcan profond qui sommeille
Au sombre foyer de mon cœur.

J’ai certes vu des infidèles
Cachant leur tristesse au fond d’elles
Sous des semblants d’adoration ;

Mais même si son corps m’appelle
Je vomirai la damnation
De chérir une femme belle.

26 août 2012

Le dit d'ici
Point ne m'agrée
Mais sa forme est
Bien chantournée :
Un pur sonnet
Bien peaufiné!
...Et pour la joie
......Une autre fois
.........Sonneterez !