Églogue à la gomme

Églogue en bogue et goguenard :
C'est glose et gnose à un guépard...
Te souviens-tu des viens qui tuent
Mon faune aphone et raffiné
Sous les épines des pins chauds?
Froissés tissus serrés.
Soit!
Je surseois à jamais. 
Ma soie s'assoit sur soi,
Depuis...
Sans toi, c'est trop.
C'est pas. C'est plus. Passé. 
Pâle las, palabreux paladin!
Tu m'échauffais, fol incertain,
Feu consumant et consommé
- Que je t'ai eu! -... Et que je tais.

Je vois là un exercice de style plutôt qu'un poème d'inspiration spontanée.
J'aime bien les allitérations, utilisées avec parcimonie, quand elles appuient une impression, une sensation...
Mais point trop n'en faut, si non le sens se perd dans la forme.

j'aime bien
je me permets deux trois petits trucs que je ressens
n'en prenez pas ombrage
c'est juste du ressentir en lecture... ici on est forcément plus critique qu'ailleurs !!!



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est glose et gnose à un guépard... ...............pour aider en lecture et s'inventer un sens, j'écrirais peut-être mon guépard
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Ma soie s'assoit sur soi,..............le sur soi de fin me force un peu la caricature du jeu de mots... Ma soie s'assoit sur moi ?...!
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pâle las ....pâle las...ou pas là...?

et que je tais.... tout que je tais ???


je me répète
j'aime bien ton écriture, elle est de beau sourire
Maâme Mim

Voilà qui devrait plaire à Rebecca.

C'est marrant ça, Dam, mais ça veut dire quoi au juste ?

La pastoralitude de l'églogue apparaît furtivement comme un faune sous les pins (chauds)
Sinon, je vois surtout ici un festival d'allitérations et de jeux de mots, tout droit sortis de neurones chauffés à blanc (comme les pins ?)
C'est à la gomme (de pin ?).
"Pâle las, palabreux paladin!" est à revoir d'urgence car il fait trébucher le lecteur.