Like someone in love (chanson mièvre)

De grâce si
Tu restes dis-
Moi ce que tu
Veux

Que reste t-il
Pauvre misère
De notre amour

Le souffle éteint
Dans l'incertain
La flamme du
Feu

Mon cœur bat-il
Dans ce désert
En échos sourds

Comme un baiser
Au front posé
D'une main dou-
Ce

Aube et soleil
Evanouis
Semblent pareils
A cette nuit

Rassure-moi
Rien qu'une fois
Lève ce dou-
Te

Sans fin du condamné à mort
Et si... m'aimeras-tu encore ?

De grâce si
Tu restes dis-
Moi ce que tu
Veux

Le souffle éteint
Dans l'incertain
La flamme du
Feu

Comme un baiser
Au front posé
D'une main dou-
Ce

Rassure-moi
Rien qu'une fois
Lève ce dou-
Te

etc.

La forme des quatrains 4/4/4/1 est extra
surtout avec ces enjambements qui coupent les mots en deux et ce dernier vers où l'on appuie le (e) muet
pas d'erreur c'est une chanson
mièvre ? ça se discute
je verrais bien Gréco la chanter

C'est une bonne chanson, pas mièvre pour deux sous.
Gréco oui, certainement.
Je l'ai lue plusieurs fois, ou plutôt je me la suis chantée, à ma façon. Je ne suis pas musicienne (ça me gêne, ça me gêne...)
mais je vois très bien quel genre de mélodie irait sur ces paroles.
Tu devrais l'envoyer à Gérard Jouanest. Bravo pour l'inspiration.

Pourquoi as-tu mis, à la fin, etc. ? Cela me donne l'impression que tu n'accordes aucune valeur à ce que tu as écrit.
Tu as l'air de dire " on peut continuer ainsi sans fin..."

Je n'ai rien contre les enjambements quand ils ne sont pas trop nombreux et qu'ils se justifient
Mais là, ils s'érigent en système et n'ont pas, en général, de raison d'être, surtout, surtout lorsqu'ils coupent un mot en deux

De grâce ! si tu restes dis-moi ce que tu veux.
Le souffle éteint dans l'incertain la flamme du feu.
Comme un baiser au front posé d'une main douce,
rassure-moi, rien qu'une fois, lève ce doute.

De grâce !
si tu restes dis-moi ce que tu veux
le souffle éteint dans l'incertain la flamme du feu
comme un baiser
au front posé
d'une main douce
rassure-moi
rien qu'une fois
lève ce doute

De grâce si
.................tu restes dis-
.....................................moi
..........................................ce que tu
........................................................veux
le souffle éteint
.......................dans l'incertain
.............................................la flamme du
................................................................feu
comme un baiser
.........................au front posé
............................................d'une main douce
rassure-moi
..................rien qu'une fois
........................................lève ce doute

De grâce si
tu restes dis-
moi ce que tu
veux

Le souffle éteint
dans l'incertain
la flamme du
feu

Comme un baiser
au front posé
d'une main dou-
ce

Rassure-moi
rien qu'une fois
lève ce dou-
te

Que reste t-il pauvre misère de notre amour
mon cœur bat-il dans ce désert en échos sourds
aube et soleil évanouis semblent pareils
à cette nuit sans fin du condamné à mort
et si... m'aimeras-tu encore ?

Que reste t-il pauvre misère
de notre amour
mon cœur bat-il dans ce désert
en échos sourds
aube et soleil évanouis
semblent pareils
à cette nuit                  
................sans fin
du condamné à mort
et si...                
m'aimeras-tu encore ?

Que reste t-il
...................pauvre misère
.......................................de notre amour
mon cœur bat-il
.......................dans ce désert
............................................en échos sourds

Aube et soleil
....................évanouis

semblent pareils
....................à cette nuit
....................................sans fin
...............................................du condamné à mort
et si...
..........m'aimeras-tu encore ?


De grâce ! si tu restes dis-moi ce que tu veux.
Le souffle éteint dans l'incertain la flamme du feu.
Comme un baiser au front posé d'une main douce,
rassure-moi, rien qu'une fois, lève ce doute.

Que reste t-il pauvre misère de notre amour
mon cœur bat-il dans ce désert en échos sourds
aube et soleil évanouis semblent pareils
à cette nuit sans fin du condamné à mort
et si... m'aimeras-tu encore ?

De grâce ! si tu restes dis-moi ce que tu veux
le souffle éteint dans l'incertain la flamme du feu
comme un baiser au front posé d'une main douce
rassure-moi rien qu'une fois lève ce doute

Chanson dis-tu ?
alors il nous faut trouver une merveilleuse interprète,
car je n'ai lu que du grand, du beau, de l'éternel !

J'aimerais bien l'entendre... la chanson souvent n'est plus servie par la parole poétique, alors qu'elles devraient aller la main dans la main.