2013, un jour une phrase
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Re: 2013, un jour une phrase
Cet homme maigre immobile devant la baie fermée, avec son allure improbable, était-il un ami ?
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: 2013, un jour une phrase
Son oreille avertie était à l'affut de la moindre fausse note.
Invité- Invité
Re: 2013, un jour une phrase
être piéton dans ma ville devient un supplice olfactif, une injure visuelle, une détresse auditive, jusqu'à mon épiderme qui vomit son contact, quel manque de goût !
Re: 2013, un jour une phrase
Qu’y a-t-il de plus incertain que l’incertitude ?
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: 2013, un jour une phrase
Dans la vie comme dans la mer, elle n'allait jamais là où elle n'avait plus pied.
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: 2013, un jour une phrase
...En ce moment l'aigreur des circonstances ne permet pas le dos crawlé, moins encore la brasse papillon et autres fantaisies nautiques...
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
Re: 2013, un jour une phrase
Elle avait fini par apprendre le prénom de celle qui passait son temps à appeler et insulter : Brigitte.
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: 2013, un jour une phrase
Elle s'était laissé bercer par les notes d'un piano depuis trop longtemps oublié...
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: 2013, un jour une phrase
La providence nous dirige mais elle abandonne ces enfants à leur sort... Y'a quelqu'un ? Houston ?
Re: 2013, un jour une phrase
Non pas Houston, Providence... sur la côte est des Etats-Unis.
Invité- Invité
Re: 2013, un jour une phrase
Il n'y en a que pour elle et elle adore ça !
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: 2013, un jour une phrase
Encore une preuve que les extra terrestres n'ont pas fini leur travail sur terre : il reste des téléphones sans maison...
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
Re: 2013, un jour une phrase
Ce petit vent qui fait trembler les feuilles
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: 2013, un jour une phrase
Le soleil avait simplement décidé que c'était maintenant à son tour de prendre des vacances.
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: 2013, un jour une phrase
A quoi bon écrire si on ne se rend pas ridicule ?
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: 2013, un jour une phrase
Encore merci à Croisic.
pourquoi 600 gr de Sureau semblent plus légers que 600 gr de sucre ?
Ces derniers temps, à cause de l’effet capillarité dû au temps humide, je me suis senti obligé de m’agrafer des Pampers aux aisselles, par esprit de solidarité...
Les gouttes de pluie tombaient sur la feuille de résultats biologiques qui lui annonçait qu'elle n'était pas enceinte.
Vie de chien : on vient encore de baisser le pouvoir des chats...
Une épaisse branche du sapin imbibait peu à peu son morceau de ciel ; le voisin était mort avant de lui avoir rendu le sécateur.
Depuis peu, son ombre avait commencé à parler, mais seulement à voix basse, pour ne pas effrayer le voisinage.
Les journées passent parfois si vite ou paraissent interminables.
Les journées passent vite. C'est leur succession qui paraît interminable.
Ou pas ?
Ça pétille de plaisir ! :-)
Il ne se rendait pas compte qu’infantiliser, c’était comme ponctionner de la substance identitaire.
On doit reconnaître que la corrida demeure, avant la mort du taureau, un art plastique vivant proposant un esthétisme minimaliste – notamment par l’alliage du noir et du rouge –, sublimant le noble métier de boucher si méprisé par les végétariens, les macrobiotiques et les poissonniers.
Le printemps s'est noyé dans un bénitier, on craint le pire pour l'été à venir...
Une poignée de sable, tu frottes vigoureusement et tu craches dans le ruisseau...
Oui, d'accord, mais pourquoi la pâte dentaire à la menthe, tache toujours le lavabo ?
C'était un circuit en boucle imprégné de senteurs.
Il se demandait fréquemment jusqu'où elle pourrait aller pour briser le mur de la solitude.
Un individu mal fagoté vint l'arracher de son lit.
Le Capitole s'enfuit devant ceux qui l'ont dressé.
Quelle aventure que cette rencontre entre poissons du même bocal !
Elle avait l'impression qu'elle ne partirai plus jamais de cet endroit.
Un fagot d'impressions l’assaillirent au saut du lit.
Elle prenait plaisir parfois à ressortir ses blessures d'enfance du placard où elle les avait enfermées.
Encore trois semaines avant le rendez-vous, ça allait être bien long !
Le train est passé sans dire bonjour
Les oignons (aux pieds) sont une vraie excuse pour les larmes.
Les oignons sont une belle excuse pour les larmes.
Mais... Cointreau ? N'en faut !
Mignonne, nous n'irons point voir la rose, car son bouton est pourri.
La sagesse c’est de savoir quand arrêter de boire tel ou tel élixir car les larmes n'ont, en définitive, rien de sexy, surtout par ce temps.
En ce moment il ne fait pas bon se pencher au-dessus du puits...
Contre l'oie gnon, les pies gnons résistent.
On appelle « réaction de Maillard » la réunion amoureusement torride d’une protéine et d’un sucre dans le cadre d’une surexposition au soleil d’un barbecue.
Aujourd'hui, il fait ventard !
Mon cœur est un comprimé effervescent, la pluie l'a réduit à une peau de chagrin.
Et moi, mon cœur est une vie au long cours tranquille.
Non madame, nous n'avons plus de soleil en rayon mais nous soldons nos derniers flocons !
Dans le Champagne, elle n'aimait que les bulles.
Il lui proposa, pour lui chauffer les doigts, un je ne sais quoi, il faisait si froid...
En amour, il faut être consentant, et quand on est un abruti qui pue des pieds, c’est à peu près la même chose.
Soyons fous, gardons notre sérieux...
Il y a une folle dans les couloirs de VE, qui incite les passants à faire des bêtises, sans préciser si ce sont des friandises ou des farces... allez attrape...
Mordue de son stomatologue, il lui arracha deux dents avant de lui briser le cœur.
Pourquoi les ormeaux tapissent-ils leur coquille de nacre seulement à l'intérieur ?
La chaleur dilate les cœurs.
En avril ne te découvre pas d'un fil, en mai n'oublie pas ton bonnet.
Elle connaissait par cœur ce concerto pour hautbois de Mozart qui s'échappait joyeusement de cette fenêtre ouverte sur la rue ensoleillée.
En juin, rhume des soins.
Dans l'éphéméride les rides ne s'effeuillent pas...
... tenant la timide hors de portée quand elle était à bout d'arguments je devenais le portrait craché de mon père !
Elle attendait qu'une main vienne arrêter la sienne, en retirer le couteau et panser ses plaies.
elle courait comme une folle zigzaguant entre les dragibus qui tombaient drus des nuages
barbapapa et les marschmallows comme des coussins posés sur le ruban réglisse pour aller se mettre à l'abri sous une pomme d'amour : mais c'est quoi cette planète ?
elle disait : je veux mourir, mais si je lui montrais le chemin du cimetière, elle prenait celui du jardin.
Pourtant le chemin le plus court d’un point à un autre est la ligne droite, sauf que ça ne marche pas quand on habite sur une planète.
« Le bien est radical, le mal est extrême », ce n'est pas de moi mais de Hannah Arendt ; je le colle ici pour ne pas en perdre la trace, y réfléchir à loisir.
Qu’y a-t-il de plus incertain que l’incertitude ?
Son oreille avertie était à l'affût de la moindre fausse note.
Cet homme maigre immobile devant la baie fermée, avec son allure improbable, était-il un ami ?
C'est dans la joie qu'on reconnaît les amis.
... À condition de garder l’œil ouvert, on peut voir en chacun l'ombre d'un ami, tant que dure le battement de s'il...
Dans la vie comme dans la mer, elle n'allait jamais là où elle n'avait plus pied.
Être piéton dans ma ville devient un supplice olfactif, une injure visuelle, une détresse auditive, jusqu'à mon épiderme qui vomit son contact, quel manque de goût !
Semaine 21
Mardi 21 mai 2013
Mardi 21 mai 2013
pourquoi 600 gr de Sureau semblent plus légers que 600 gr de sucre ?
Ces derniers temps, à cause de l’effet capillarité dû au temps humide, je me suis senti obligé de m’agrafer des Pampers aux aisselles, par esprit de solidarité...
Les gouttes de pluie tombaient sur la feuille de résultats biologiques qui lui annonçait qu'elle n'était pas enceinte.
Vie de chien : on vient encore de baisser le pouvoir des chats...
Une épaisse branche du sapin imbibait peu à peu son morceau de ciel ; le voisin était mort avant de lui avoir rendu le sécateur.
Depuis peu, son ombre avait commencé à parler, mais seulement à voix basse, pour ne pas effrayer le voisinage.
Les journées passent parfois si vite ou paraissent interminables.
Les journées passent vite. C'est leur succession qui paraît interminable.
Ou pas ?
oOo
Mercredi 22 mai 2013
Mercredi 22 mai 2013
Ça pétille de plaisir ! :-)
Il ne se rendait pas compte qu’infantiliser, c’était comme ponctionner de la substance identitaire.
On doit reconnaître que la corrida demeure, avant la mort du taureau, un art plastique vivant proposant un esthétisme minimaliste – notamment par l’alliage du noir et du rouge –, sublimant le noble métier de boucher si méprisé par les végétariens, les macrobiotiques et les poissonniers.
Le printemps s'est noyé dans un bénitier, on craint le pire pour l'été à venir...
Une poignée de sable, tu frottes vigoureusement et tu craches dans le ruisseau...
Oui, d'accord, mais pourquoi la pâte dentaire à la menthe, tache toujours le lavabo ?
C'était un circuit en boucle imprégné de senteurs.
Il se demandait fréquemment jusqu'où elle pourrait aller pour briser le mur de la solitude.
oOo
Jeudi 23 mai 2013
Jeudi 23 mai 2013
Un individu mal fagoté vint l'arracher de son lit.
Le Capitole s'enfuit devant ceux qui l'ont dressé.
Quelle aventure que cette rencontre entre poissons du même bocal !
Elle avait l'impression qu'elle ne partirai plus jamais de cet endroit.
Un fagot d'impressions l’assaillirent au saut du lit.
Elle prenait plaisir parfois à ressortir ses blessures d'enfance du placard où elle les avait enfermées.
Encore trois semaines avant le rendez-vous, ça allait être bien long !
Le train est passé sans dire bonjour
oOo
Vendredi 24 mai 2013
Vendredi 24 mai 2013
Les oignons (aux pieds) sont une vraie excuse pour les larmes.
Les oignons sont une belle excuse pour les larmes.
Mais... Cointreau ? N'en faut !
Mignonne, nous n'irons point voir la rose, car son bouton est pourri.
La sagesse c’est de savoir quand arrêter de boire tel ou tel élixir car les larmes n'ont, en définitive, rien de sexy, surtout par ce temps.
En ce moment il ne fait pas bon se pencher au-dessus du puits...
Contre l'oie gnon, les pies gnons résistent.
On appelle « réaction de Maillard » la réunion amoureusement torride d’une protéine et d’un sucre dans le cadre d’une surexposition au soleil d’un barbecue.
Aujourd'hui, il fait ventard !
oOo
Samedi 25 mai 2013
Samedi 25 mai 2013
Mon cœur est un comprimé effervescent, la pluie l'a réduit à une peau de chagrin.
Et moi, mon cœur est une vie au long cours tranquille.
Non madame, nous n'avons plus de soleil en rayon mais nous soldons nos derniers flocons !
Dans le Champagne, elle n'aimait que les bulles.
Il lui proposa, pour lui chauffer les doigts, un je ne sais quoi, il faisait si froid...
En amour, il faut être consentant, et quand on est un abruti qui pue des pieds, c’est à peu près la même chose.
Soyons fous, gardons notre sérieux...
Il y a une folle dans les couloirs de VE, qui incite les passants à faire des bêtises, sans préciser si ce sont des friandises ou des farces... allez attrape...
Mordue de son stomatologue, il lui arracha deux dents avant de lui briser le cœur.
Pourquoi les ormeaux tapissent-ils leur coquille de nacre seulement à l'intérieur ?
La chaleur dilate les cœurs.
oOo
Dimanche 26 mai 2013
Dimanche 26 mai 2013
En avril ne te découvre pas d'un fil, en mai n'oublie pas ton bonnet.
Elle connaissait par cœur ce concerto pour hautbois de Mozart qui s'échappait joyeusement de cette fenêtre ouverte sur la rue ensoleillée.
En juin, rhume des soins.
Dans l'éphéméride les rides ne s'effeuillent pas...
... tenant la timide hors de portée quand elle était à bout d'arguments je devenais le portrait craché de mon père !
Elle attendait qu'une main vienne arrêter la sienne, en retirer le couteau et panser ses plaies.
elle courait comme une folle zigzaguant entre les dragibus qui tombaient drus des nuages
barbapapa et les marschmallows comme des coussins posés sur le ruban réglisse pour aller se mettre à l'abri sous une pomme d'amour : mais c'est quoi cette planète ?
elle disait : je veux mourir, mais si je lui montrais le chemin du cimetière, elle prenait celui du jardin.
Pourtant le chemin le plus court d’un point à un autre est la ligne droite, sauf que ça ne marche pas quand on habite sur une planète.
« Le bien est radical, le mal est extrême », ce n'est pas de moi mais de Hannah Arendt ; je le colle ici pour ne pas en perdre la trace, y réfléchir à loisir.
oOo
Lundi 27 mai 2013
Lundi 27 mai 2013
Qu’y a-t-il de plus incertain que l’incertitude ?
Son oreille avertie était à l'affût de la moindre fausse note.
Cet homme maigre immobile devant la baie fermée, avec son allure improbable, était-il un ami ?
C'est dans la joie qu'on reconnaît les amis.
... À condition de garder l’œil ouvert, on peut voir en chacun l'ombre d'un ami, tant que dure le battement de s'il...
Dans la vie comme dans la mer, elle n'allait jamais là où elle n'avait plus pied.
Être piéton dans ma ville devient un supplice olfactif, une injure visuelle, une détresse auditive, jusqu'à mon épiderme qui vomit son contact, quel manque de goût !
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: 2013, un jour une phrase
Elle ne savait sur quel pied danser, et pourtant, il fallait bien avancer, ne serait-ce qu'en marchant sur des œufs !
Invité- Invité
Re: 2013, un jour une phrase
Parlons-en de son avance... elle passait son temps à chercher midi à quatorze heures!
Invité- Invité
Re: 2013, un jour une phrase
La direction de la Rue du Cherche-Midi ? à quatorze heures, mon ami.
Gobu- Nombre de messages : 2400
Age : 70
Date d'inscription : 18/06/2007
Re: 2013, un jour une phrase
J'aime bien l'expression " midi à quatorze heures " on cherche, on cherche, et puis les aiguilles vous piquent un rappel : " ôte tes poux de ma tête " !
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
Re: 2013, un jour une phrase
Suffirait-il de trois bulles pour que le monde paraisse plus beau ?
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: 2013, un jour une phrase
Elle a toujours eu peur des araignées.
midnightrambler- Nombre de messages : 2606
Age : 71
Localisation : Alpes de Haute-Provence laclefdeschamps66@hotmail.fr
Date d'inscription : 10/01/2010
Re: 2013, un jour une phrase
En ce moment ça dure, ne reste plus qu'à vapoter en gazouillant sur le gazon bien tondu...
Ba- Nombre de messages : 4855
Age : 71
Localisation : Promenade bleue, blanc, rouge
Date d'inscription : 08/02/2009
Re: 2013, un jour une phrase
Elle avait une voix énervante, qui crissait comme un pneu sur du gravier.
Janis- Nombre de messages : 13490
Age : 63
Date d'inscription : 18/09/2011
Re: 2013, un jour une phrase
Et ce téléphone qui n'arrêtait pas de sonner...
Sahkti- Nombre de messages : 31659
Age : 50
Localisation : Suisse et Belgique
Date d'inscription : 12/12/2005
Re: 2013, un jour une phrase
l'imagination sexuelle des magiciens est proche de zéro... m'a informée ma coiffeuse ce matin ???!!!
Re: 2013, un jour une phrase
Dès qu'elle l'aperçut au bout de la rue, elle se reprocha d'avoir mangé de l'ail.
Invité- Invité
Re: 2013, un jour une phrase
Elle était vide comme une boîte de conserve, on avait envie de la frapper très fort.
Re: 2013, un jour une phrase
Je reviens de la planète Arrakis, j'ai goûté à l'Épice, je n'en reviens toujours pas...
Pascal-Claude Perrault- Nombre de messages : 5422
Age : 64
Localisation : Paris, ah Paris, ses ponts, ses monuments et ses merdes de chiens !
Date d'inscription : 20/02/2012
Re: 2013, un jour une phrase
Le but n'est pas d'imposer à tous le même refrain mais de faire entendre à chacun sa propre mélodie.
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