Désillusion poétique

Excellent ! J'ai bien ri. Merci.

Un délirant cocktail de références, dans le ton du grand siècle mais avec des enjambements de bon aloi et le retour de ce silure qui fit grand bruit dans notre landerneau.

Coup de coeur pour ce vers

Mais il fallait d’abord que je prisse l’avis,

Merci pour ce bon moment

juste une erreur de préfixe,
dans un verbe
au milieu
acc.. au lieu de enc.. je croix,
... mais je ne suis plus très certain... scuse, pas le temps de relire....

et sinon,
au temps des grands siècles
un petit envoi
en guise de clin d’œil
"dégonfleur" de haine et de rancœur
était un moyen de faire "glisser" le pamphlet..

et montrait que
tout n'était que bataille de mots
jamais pour de vrai


amitié
à l'auteur
et à l'aspirateur
inspirateur ? ach.. je sais plus non plus...

j'adore,
quand la belle langue croise le jeu, l'humour et la verdure,
... c'est tout simplement jouissif, quel style.
d'accord avec Fred sur "l'envoi".

je salue la tenue impeccable du rythme sur la longueur: pour ça, c'est au carré!

Je ne saurais mieux dire que Pussicat, donc je fais mien aussi (si elle me le prête) son commentaire !

Et puis de vraiment belles trouvailles (c'est mon mot du jour, oui, je viens de faire un com' ailleurs avec le même mot, c'est l'effet vide-grenier sans doute) qui m'ont faire rire, ainsi ce : "Qui prétend poèter sans voir où va le vent ?"

Quelle histoire ! Et quelle inspiration ! Me suis régalée, Aseptans.

Une petite question : ce premier vers me rappelle quelque chose, je ne parviens pas à me rappeller quoi ?

***

Fred, tu me fais trop rire :-))))

Merci à tous, je me suis bien marré aussi.
Phylisse, pour le premier vers, il s'agit d'un songe qu'a fait Jacques Attali et dont il a fait le récit à un certain "J'enracine" (sans doute un jardinier) ;-)

Il y a de la maîtrise dans le verbe, c'est sûr. Quant à l'inspiration, elle y est aussi. Pas de doute. Bravo !